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1 La philosophie de lesprit La théorie de lidentité psychophysique (ch. 5) Michael Esfeld Université de Lausanne

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Présentation au sujet: "1 La philosophie de lesprit La théorie de lidentité psychophysique (ch. 5) Michael Esfeld Université de Lausanne"— Transcription de la présentation:

1 1 La philosophie de lesprit La théorie de lidentité psychophysique (ch. 5) Michael Esfeld Université de Lausanne Michael-Andreas.Esfeld@unil.ch

2 2 La théorie de lidentité psychophysique (non 1) Les états mentaux sont des états physiques. 2)Des états mentaux causent des états physiques. 3)Dans la mesure où les états physiques p ont des causes, sont soumis à des lois et peuvent être expliqués, alors tout état physique p a des causes physiques complètes, est soumis à des lois physiques complètes et possède une explication physique complète.

3 3 Le behaviourisme mouvement en psychologie dès 1920 John Broadus Watson (1878-1958) Burrhus Frederic Skinner (1904-1990) étudie les états mentaux dune personne en observant son comportement renonce à utiliser des concepts mentaux. comportement = les mouvements corporels décrits dans un vocabulaire physique

4 4 Le behaviourisme méthodologique prescrit à la psychologie de se limiter à la méthode détudier le comportement des personnes

5 5 Le behaviourisme logique Les propositions qui contiennent des concepts mentaux décrivent des dispositions de comportement. Le contenu des concepts mentaux est le même que le contenu de certains concepts de dispositions de comportement. Lidentité des états mentaux à des états physiques est fondée sur des raisons sémantiques. physicalisme sémantique

6 6 Le behaviourisme logique 1)Chaque type détat mental est identique à un type détat physique de comportement. 2)Cette identité sétablit a priori au moyen dune analyse sémantique. Tous les types détats mentaux dans tous les mondes possibles sont identiques à des types détats physiques. 3)Il est possible de traduire chaque concept mental en des concepts physiques.

7 7 Le behaviourisme logique « x est M » « Sil y avait les conditions physiques P 1, x manifesterait le comportement C 1, sil y avait les conditions physiques P 2, x manifesterait le comportement C 2, … sil y avait les conditions physiques P n, x manifesterait le comportement C n. »

8 8 Carl Gustav Hempel (1905-2001) Lanalyse logique de la psychologie (1)La signification de chaque proposition consiste en ses conditions de vérification. (2)Les conditions de vérification de chaque proposition sont publiquement observables. (3)Seul le comportement, abordé par le biais de concepts physiques, est publiquement observable. (4)On peut décrire la signification de chaque proposition qui contient des concepts mentaux en employant des propositions qui nutilisent que des concepts physiques décrivant le comportement.

9 9 Carl Gustav Hempel (1905-2001) Lanalyse logique de la psychologie (1)La signification de chaque proposition consiste en ses conditions de vérification. sémantique vérificationniste (2)Les conditions de vérification de chaque proposition sont publiquement observables. (3)Seul le comportement, abordé par le biais de concepts physiques, est publiquement observable. contestable (4)On peut décrire la signification de chaque proposition qui contient des concepts mentaux en employant des propositions qui nutilisent que des concepts physiques décrivant le comportement.

10 10 La réfutation du behaviourisme logique pas possible de définir des concepts mentaux en indiquant des conditions nécessaires et suffisantes en termes physiques Chaque essai dune telle définition devient circulaire, comprenant en fait des concepts mentaux. Marie désire une glace si et seulement si quand Marie est à la maison et il y a de la glace dans le frigo, elle sy rend pour en prendre, et quand Marie voit le glacier, elle lui achète une glace, et quand on propose une glace à Marie, elle accepte tout de suite la proposition, etc.

11 11 Lidentité selon le modèle scientifique U. T. Place (1956), H. Feigl (1958), J. J. C. Smart (1959) progrès des sciences comme modèle établir que chaque type détat mental est identique à un type détat physique eau = H 2 O gène = séquence de bases dans lADN douleur = stimulation de fibres-C M = P

12 12 Lidentité des types Lidentité sétablit a posteriori sur la base de recherches empiriques. Pour chaque type détat mental M, il y a un certain type détat physique P auquel M est identique selon une loi de la nature. M = P contenu des concepts mentaux différent du contenu des concepts physiques même extension deux descriptions du même type détat

13 13 Lidentité des types possible de réduire la description des états mentaux à une théorie physique réduction de la description des propriétés de leau à la théorie chimique de H 2 O réduction de la génétique classique à la biologie moléculaire lois déquivalence dextension : « M » « P » déduire les propositions dune théorie qui emploie des concepts mentaux à partir des propositions dune théorie physique qui utilise les concepts physiques coextensifs

14 14 Lidentité des types position philosophique qui prend comme modèle des identifications scientifiques pas de conclusion quimposent les progrès des sciences de la nature corrélations entre des types détats physiques et des types détats mentaux compatibles avec le dualisme interactionniste, le parallélisme et lépiphénoménisme argument de la causalité mentale

15 15 Lobjection de la réalisation multiple douleur = stimulation de fibres-C chez les êtres humains douleur = autre type détat cérébral chez les tortues douleur = autre type détat physique chez les Martiens pas possible didentifier chaque type détat mental à un certain type détat physique identité uniquement au niveau des occurrences individuelles

16 16 Lidentité des occurrences Les états mentaux possèdent une réalisation physique = chaque occurrence (« token ») dun type détat mental est identique à une occurrence dun type détat physique. Les états mentaux dun type M peuvent être réalisés par des occurrences détats physiques de différents types. la version la plus faible de la théorie de lidentité psychophysique

17 17 Pas de réduction M P 1 v P 2 v P 3 v P 4 v … pas de concept physique qui est coextensif au concept mental M pas possible de réduire la psychologie à une théorie physique Néanmoins : (1) x (P 1 x Mx) (2) non x (Mx P 1 x) (3) x (P 2 x Mx)


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