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LA COMPREHENSION EN LECTURE

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Présentation au sujet: "LA COMPREHENSION EN LECTURE"— Transcription de la présentation:

1 LA COMPREHENSION EN LECTURE
PLAN : Définition de la lecture compréhension Evolution des représentations Les trois variables de la lecture compréhension L’évaluation de la lecture compréhension Exemples > vocabulaire et questionnement Une première partie théorique Une seconde partie pratique

2 DEFINITION DE LA COMPREHENSION EN LECTURE
Selon l’ONL « Apprendre à lire » C’est la capacité de compréhension du langage parlé multipliée à la capacité d’identification des mots écrits. Ces deux compétences sont nécessaires ; aucune n’est satisfaisante. La relation est multiplicative L = IE X CO En élémentaire : c’est l’IE qui rend le mieux compte des différences individuelles en compréhension de textes. Au collège : ce sont les différences individuelles en compréhension à l’oral qui rendent le mieux compte des différences individuelles en compréhension de textes. Au CP, les textes proposés sont bien en-dessous des compétences de compréhension à l’oral. CO n’est pas discriminative, la lecture est surtout fonction de l’identification des mots écrits.

3 EVOLUTION DES REPRESENTATIONS DE LA COMPREHENSION EN LECTURE
Ces deux compétences sont nécessaires ; aucune n’est satisfaisante. La relation est multiplicative L = IE X CO En élémentaire : c’est l’IE qui rend le mieux compte des différences individuelles en compréhension de textes. Au collège : ce sont les différences individuelles en compréhension à l’oral qui rendent le mieux compte des différences individuelles en compréhension de textes. Au CP, les textes proposés sont bien en-dessous des compétences de compréhension à l’oral. CO n’est pas discriminative, la lecture est surtout fonction de l’identification des mots écrits.

4 AVANT Vision de transposition
Conception traditionnelle de la compréhension : Le lecteur va chercher le sens dans le texte et le transpose dans sa tête Lecteur Texte AVANT Les défenseurs de ce modèle donne comme argument que : Le texte est déjà porteur d’un sens commun puisqu’il est écrit, figé > et qu’on ne peut donc pas transformer le sens d’un texte à sa guise au gré de son humeur. Pour eux, le lecteur n’a qu’à transposer dans sa mémoire le sens déjà prédéterminé par l’auteur. Vision de transposition

5 Conception contemporaine de la compréhension en lecture
AUJOURD'HUI Lecteur : ses connaissances personnelles - ses façons de faire pour lire Texte : le statut du support - l’intention de l’auteur - la macrostructure du texte (organisation des idées) - le contenu (les concepts sous-jacents, le niveau de vocabulaire, le registre d’énonciation) Contexte : psychologique (dans quel esprit j’aborde ce texte ?), social (dans quel but ?) et physique (bruit, temps, nombre de pages). Vision interactive

6 Conception contemporaine de la compréhension en lecture
Degré d'imbrication = Niveau de compréhension Lecteur Contexte Texte Lecteur : ses connaissances personnelles - ses façons de faire pour lire Texte : le statut du support - l’intention de l’auteur - la macrostructure du texte (organisation des idées) - le contenu (les concepts sous-jacents, le niveau de vocabulaire, le registre d’énonciation) Contexte : psychologique (dans quel esprit j’aborde ce texte ?), social (dans quel but ?) et physique (bruit, temps, nombre de pages). Vision interactive

7 Conception contemporaine de la compréhension en lecture
MEILLEURE EST LA COMPREHENSION Lecteur : ses connaissances personnelles - ses façons de faire pour lire Texte : le statut du support - l’intention de l’auteur - la macrostructure du texte (organisation des idées) - le contenu (les concepts sous-jacents, le niveau de vocabulaire, le registre d’énonciation) Contexte : psychologique (dans quel esprit j’aborde ce texte ?), social (dans quel but ?) et physique (bruit, temps, nombre de pages). Vision interactive

8 Pour résumé, le lecteur prend appui pour comprendre sur :
Le texte : l’intérêt et la nature du texte proposé ; Lui : sa connaissance et ses stratégies de lecture ; Le contexte : la qualité de celui-ci. On peut dire qu’on est à 50%-50% : l’auteur avance d’un pas, le lecteur avance également d’un pas. LE LECTEUR INTERPRETE L’ECRIT A PARTIR DE CE QU’IL SAIT

9 Choix des textes L’intention de l’auteur >
(émotions, comportement, connaissances) ; Le type de texte > (fictionnel, fonctionnel) ; Le contenu du texte > (thème abordé) ; La structure du texte > (organisation des idées narratives, descriptives, directives). Divertir - Guider - Apprendre Marshall (1984) : la structure du texte et son intention de communication > classer les différents types de texte

10 Conséquences pour le maître E :
Varier les types de textes ; Laisser un libre choix parmi une liste d’écrits ; Evaluer la quantité d’écrit ; Introduire ou non des illustrations ; Regarder le nombre de pages ; Titre explicite ou explicité. La question de la BCD ; La question des projets : « écrire dans le val-de-Marne » LA COMPREHENSION EN LECTURE SE CONSTRUIT SUR DE L’ECRIT

11 Réfléchir au contexte de lecture :
- Est-ce que l’intention de lecture est explicité au lecteur ? - Est-ce que le support est de qualité ? Adapté ? - Est-ce qu’on lui permet de lire dans sa tête ? Psychologique > l’intention de lecture du lecteur > Cambrioleur ou acheteur (ses centres d’intérêts, son projet lecteur) Physique > qualité de lisibilité du support écrit > photocopies mal passées (bruit, température) Social > lire seul ou en grand groupe (Holmes, 1985) - lire seul ou travailler de concert (Dansereau, 1987).

12 Conséquences pour le maître E :
Faire lire seul avant de mutualiser ; Proposer des supports de qualité ; Expliciter le but de la lecture. La question de la BCD ; La question des projets : « écrire dans le val-de-Marne » LE CONTEXTE DE LECTURE SE CONSTRUIT

13 Le lecteur s’appuie sur ses :
savoirs processus métacognitifs ; micro > lettres, mots ou groupe de mots, phrase) ; d’intégration > faire des liens logiques et culturels entre les phrases ; macro > résumé du texte ; d’élaboration > jugement. sur le monde ; sur la langue. Liés aux savoirs : Savoirs sur la langue : la conscience phonologique, construction syntaxique, sémantiques, pragmatiques (vouvoiement, le ton) et spécifiques de vocabulaire lié à l’apprentissage ; Savoirs sur le monde > la question des ponts entre nos savoirs personnels et le texte, l’étendue de nos savoirs, la richesse des expériences vécues et leur mise en mots, ces savoirs sont organisés en schémas. Liés aux attitudes : Attitude face à l’acte de lire ; Attitude face au contenu que le texte propose (centres d’intérêt) ; Attitude tout court > peur de l’incertitude, oser prendre des risques, peur de ne pas savoir (échec).

14 Conseils pour le maître E :
En concertation : chercher la plus grande précision lors de la définition de ses difficultés avec le maître de la classe ; En évaluation : proposer des exercices qui permettent de distinguer ces trois variables ; En relation : mettre des mots sur ce que l’élève a besoin d’apprendre ; En prévention : vérifier la compréhension orale et le fait de raconter. « Cet élève devant tel type de texte et dans tel contexte comprend de telle façon » « Nathan devant un documentaire en BCD n’arrive pas à trouver des informations sur l’habitât du loup. »

15 Evaluation en lecture compréhension
Hors écrit : Est-ce que l’élève comprend déjà ce qui se dit ? Est-ce qu’il est capable de raconter ? Au niveau de l’écrit : Est-ce que l’élève comprend l’explicite d’un texte ? Est-il à l’aise avec les différents types de textes ? Arrive-t-il à extraire de la signification à partir de toutes les unités graphiques ? > lettres, mots, paragraphes, textes Arrive-t-il à réactualiser les informations déjà présentes en mémoire au regard des nouvelles qui arrivent ? Adopte-t-il une attitude spécifique face à un texte écrit ? 1- Est-ce que les élèves comprennent les textes qui sont lus à haute voix ? 2- Est-ce que l’élève adapte son rythme de traitement de l’information en fonction du texte ? 3- Est-ce que le type de texte est un frein à la compréhension en lecture ? 4- Interaction texte-lecteur - on est passé d’une croyance d’une activité passive à une activité active 5- Aller du sens littéral vers le sens figuré 6- La question de la portée pour résoudre les contradictions > reprises anaphoriques ; l’utilisation du discours direct 7- La syntaxe influe sur le décodage (nom-verbe > président) - Le sens guide la syntaxe (les poules du couvent couvent) et Les connaissances pragmatiques (la clientèle est constituée de mineurs)

16 Pour conclure : quelques pistes
Partir des centres d’intérêt de l’enfant ; Faire verbaliser sa façon de faire ; Vérifier la connaissance spécifique du vocabulaire liée à l’apprentissage de la lecture ; Proposer des supports variés à l’élève pour qu’il puisse avoir un choix ; Sélectionner la dominante de la prise en charge > lecteur, texte ou contexte ; Proposer des textes avec des informations nouvelles et d’autres déjà connues. « Cet élève devant tel type de texte et dans tel contexte comprend de telle façon » « Nathan devant un documentaire en BCD n’arrive pas à trouver des informations sur l’habitât du loup. »


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