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Conception Réalisation Réception

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Présentation au sujet: "Conception Réalisation Réception"— Transcription de la présentation:

1 Conception Réalisation Réception
COORDINATION SSI Obligation d’une coordination SSI réalisée par un coordinateur SSI désigné par le chef d’établissement depuis 1993 pour les SSI A et SSI B À la conception, à la réalisation et à la réception du SSI (3 missions) Conception Phase conception du SSI: Ouvrir un classeur avec 12 intercalaires correspondant aux chapitres du DISSI NFS – §12: Déterminer la réglementation applicable / SSI sur site: Engagement de coordination SSI par contrat (le coordinateur SSI n’est pas l’installateur du SSI, ni le bureau de contrôle / SSI) L'activité de contrôle technique est incompatible avec l'exercice de toute activité de conception, d'exécution ou d'expertise d'un ouvrage (décret du ). Se procurer les plans à l’échelle (pour implanter les points, DSNA, identifier les PCF à fermeture automatique, CCF, télécommandés, VCF, VED, VSD, Issues de Secours (IS), BAESH). Se procurer les plans d’implantation de la climatisation (CTA, VMC) et du désenf Déterminer la réglementation applicable (date du permis de construire, date des derniers travaux). S’informer sur les exigences de la commission de sécurité en matière de SSI pour le site concerné. Demander les exigences du chef d’établissement. Déterminer le SSI exigé dans les dispositions générales: CO 21, CO 24 §2, CO13 à 15, GN 8, CO 33, CO 43, CO 53 Déterminer le SSI exigé dans les dispositions particulières: J36, L15, L16, M30, M32, N18, O21, P22, R31, S16, T49, U44, V10, W14, X26, Y20, OA25, EF16, PO9, PO12, PS27,…. Demander à l’assureur s’il exige que le SSI soit implanté selon R7 (si OUI implanter des DA de partout (sauf toilettes et placards)). Se procurer la normes NFS (applicable le 20 juillet 2007; concerne le SDI, en 12 articles et 3 annexes). Déterminer les zones de détection, zones d’alarme, zones de compartimentage, zones de désenfumage, commandes techniques. Lieux d’implantation des DA (circulations horizontales, chambres, locaux; aucun DA ni DM rouge dans les escaliers) ? Implanter les points sur plans avec son compas: Identifier le type de DA à implanter dans les locaux à surveiller: optique de fumée, chaleur (thermostatique, thermo vélocimétrique) otique de flammes (infrarouge, ultraviolet), multicritères, gaz. Se rendre sur site avec les plans et repérer la présence d’alvéoles, d’obstacles (poutres, conduits hauts, retombées sous plafond). Prendre des photos. Identifier la présence de faux planchers et faux plafonds. Calculer selon le tableau de la R7 ou de la norme NF S les 3 aires de surveillance pour chaque DA (« Amax » puis « An » puis « Ae »). Implanter avec son compas les différents points DA suivant les aires « S » calculées (S = π × r²), en respectant la distance « D ». 1 ZD pour les CHC, 1 ZD pour les chambres, 1 ZD pour les locaux; respecter le nombre de points par zone et par ligne. Selon les normes: ZA > ZC > ZF > ZD; En ERP: ZA > ZC > ZF > ZD; En IGH: ZA = ZC = ZF = ZD Donner une adresse de zone et de point à chaque point DA et DM sur plan Donner une adresse à chaque PCF, CCF, VCF, VSD, VED télécommandés et IS, BAESH sur plan: adresse de zone et de point. Enregistrer chaque constituant dans des tableaux: tableau des ZD, des ZC, des ZF; tableau de corrélation entre les zones. Dispatcher ces tableaux et documents dans les différents chapitres du DISSI Soumettre l’étude de conception à l’avis de la commission de sécurité Réalisation Suivi de chantier: Déclaration de l’I7 auprès de l’APSAD réalisée par l’installateur (si R7 exigée par l’assureur). Certificat de non présence d’amiante sur site récolté auprès du maître d’ouvrage. Pendant les travaux d’implantation du SSI se rendre sur le chantier régulièrement Se faire une liste des opérations à vérifier Vérifier que les matériels installés sont ceux choisis au préalable Vérifier que tous les câbles sont en C2 ou CR1-C1, SYS 1 ou SYT 1, nombre de paire par câble à respecter. Alimentation de l’ECS en CR1-C1 (EL 16). Vérifier les passages de câble (1 même local n’est traversé qu’une seule fois par le même câble C2, sinon le câble est en CR1-C1). Recenser les matériels installés, vérifier leur bon emplacement. Récolter les PV de tous les constituants du SSI, les PV de la marque « NF SSI », PV d’associativité, compatibilité des constituants du SSI Récolter les 3 notices détaillées du SSI auprès de l’installateur (notice d’installation, d’exploitation et de maintenance). Laisser les batteries du nouvel SSI se charger complètement (pour permettre la réception ultérieure du coordinateur SSI). Réception Réception du SSI: Le SSI est admis à la marque « NF SSI » Récolter l’autocontrôle d’essais réalisé par l’installateur SSI Récolter le certificat N7 de l’installateur (si R7exigée par l’assureur et Q7 obtenu par l’installateur) Regrouper, ordonner, classer tous les documents du DISSI dans les 12 chapitres du DISSI à renseigner (NFS §12) Fixer rendez-vous au maître d’ouvrage, à l’installateur (l’installateur ouvrira le SSI, réalisera certaines opérations correctives sur place) sur site pour la réception du SSI. Les heures d’essai en réception sur batterie sont prévues selon l’importance du site. Mettre le SSI sur batteries 8 heures avant la réception du coordonnateur SSI (le SSI doit fonctionner sur batteries et respecter son autonomie de 12 h minimum). Le jour « J » déclencher un scénario sur batterie : 1 scénario sur DA et 1 scénario sur DM: vérifier la réalisation du scénario. Mettre la centrale en essai et tester le fonctionnement de tous les points (DA, DM), contrôler les adresses de chaque point DA et DM Remettre la centrale sous tension EDF et réaliser 1 scénario complet sur DA et 1 scénario complet sur DM Tous les constituants du SSI doivent fonctionner dans le scénario attribué à chaque point (DA et DM) du site. Réaliser un PV d’essai faisant apparaître les résultats obtenus du coordinateur SSI (PV de réception du coordinateur SSI). Si réserves sur le fonctionnement, fixer une autre date de levées de réserves. Demander à l’installateur le PV de formation de l’exploitant à l’exploitation du SSI. Afficher la fiche d’exploitation simplifiée du SSI sur TS Vérifier qu’un plan d’implantation des DA, DM , moteurs de désenfumage, CCF, PCF est implanté à proximité de l’ECS (TS). S’assurer qu’une réserve de clé de réarmement des DM rouge et DM vert est présente au PC de sécurité. Informer le maître d’ouvrage par écrit sur l’obligation d’un contrat de maintenance, de faire remettre en état son SSI le plus tôt possible, de surveiller le SSI et le laisser en veille générale en période d’occupation; + tests journaliers par SSIAP (leds, batteries, TS). Visite triennale de coordination SSI MS 73 §2 (+ NFS annexe: conseillée). Si aucune réserve, remettre le dossier d’identité du SSI au maître d’ouvrage. Se faire payer le solde de tout compte pour la mission de coordination SSI terminée

2 COORDINATION SSI: phase conception.
Obligation d’une coordination SSI réalisée par un coordinateur SSI désigné par le chef d’établissement depuis 1993 pour les SSI A et SSI B À la conception, à la réalisation et à la réception du SSI (3 missions) Conception Engagement: Contrat de coordination SSI signé 1/3 du prix payé Quel SSI à implanter ? Détermination de la réglementation applicable (ERP, IGH, CT, PS, habitation, industriel): date du permis de construire. GH 26 à 28, CO 21, CO 24 §2, GN 8 s% handicapés dépassé, CO13 à 15, CO 33, CO 43, CO 53, puis dispositions particulières. Demander à l’assureur du site par lettre recommandée AR s’il exige que le SSI soit conforme à la règle APSAD R7 Demander les exigences de la commission de sécurité. Demander les exigences du maître d’ouvrage (le bénéficiaire des travaux) Obtenir les plans à l’échelle du site où implanter le SSI format A3, format A4, format informatique PDF Se rendre sur site, prendre des photos des emplacements prévus pour les détecteurs (pour voir les alvéoles et l’environnement). Ou implanter le SSI ? Se procurer la règle APSAD R7 dernière version Se procurer la norme NFS dernière version Rechercher dans la réglementation les exigences de SSI, de détecteurs (dispositions générales, dispositions particulières). Si DA exigés où sont-ils exigés (CHC, Chambres, locaux, combles, ….? Avec ou sans IA ?). Des issues sont-elles verrouillées électro magnétiquement ? Sont-elles à asservir au SSI Y a-t-il des portes à badge ? À asservir au SSI ? Y a-t-il des CCF télécommandés, des PCF (CO 47), des coffrets de relayage, BAEH si locaux à sommeil sans source de remplacement. Compter, localiser, adresser les DCT Se rendre sur place pour identifier le présence de retombées (poutres, larges conduits, obstacles) sous plafond. Dessiner ces retombées sur les plans à l’échelle. La hauteur de ces retombées est prise en compte pour l’implantation des DA. (alvéoles de la R7). Implanter les constituants du SSI Nature du détecteur (ponctuel de fumée chaleur, flamme, multicritère, multi ponctuel, linéaire) ? Hauteur du local, pente du plafond (voir tableau des Amax de la R7) ? Présence d’alvéoles (hauteur des retombées sous plafonds selon R7) ? Coefficient du local (0,3 pour les chambres et 0,6 pour les autres locaux en NFS ) ? Prendre le tableau des Amax de la R7, lire la surface de surveillance d’un détecteur (Amax) Multiplier cet Amax par le coefficient K (0,6 ou 0,3): cela donne An (surface de surveillance de sol de 1 détecteur). Évaluer Ae (aire de surveillance d’un détecteur ponctuel « An » réduite par l’environnement du détecteur) in situe. Lire la distance « D » du rayon d’un détecteur (entre 2 détecteurs on calcul « D » + « D »). Prendre son compas l’élargir pour obtenir la surface de surveillance de 1 détecteur (S = π × r²) et tracer en partant d’un des bords des surfaces à surveiller jusqu’à couvrir la totalité des surfaces de sol, faux plafond et faux planchers si exigé. Dans les circulations étroite seul D + D est pris en compte entre 2 détecteurs. Implanter les DA chaleur au plus haut (dans la couche de chaleur); les DA fumée dans la couche de fumée (plus bas: effet poulain). Implanter les DM rouges: sur chaque sortie au RDC et près des escaliers en étage (à 1,30 m / sol) Zoning: Définir la hiérarchie des zones à appliquer (rechercher dans la réglementation): tertiaire ou IGH (compartiment): voir tableaux réalisés. Implanter les DSNA pour que l’alarme soit audible en tout point du bâtiment. Orienter les DSNA dans le sens du cheminement à > 2,25 m / sol sinon les protéger par une protection mécanique, grille anti vandalisme). Emettre : « sous réserve qu’elle soit audible », sinon faire des essais d’audibilité localement. DSNA de > 90 dB selon normes. S’assurer que chaque moteur de désenfumage à asservir au SSI est équipé d’un coffret de relayage (48 VCC). Si des PCF sont maintenues ouvertes pour faciliter l’exploitation, elles doivent être à fermeture automatique (CO47). Identifier les limites géographiques des zones de compartimentage, identifier la présence des CCF télécommandés aux limites de ces ZC; les asservir aux DA et DM implantés dans cette ZC. Identifier dans la réglementation les commandes techniques à asservir au CMSI. Après avoir implanté sur plan tous les constituants du SSI, leur donner un adresse de zone et de point (l’écrire sur les plans). Dessiner ensuite le schémas de « principe » de câblage (il n’est pas le schémas de câblage « détaillé »). Tracer des Lignes du SDI et des lignes du CMSI: 1 ligne par fonction DCT (DSNA, DAS (PCF, CCF), coffrets de relayage, BAEH, commandes techniques, …) / niveau (voir R7et NFS ). Nombre de ZD limité par ligne (voir NFS et R7). Chaque ligne (« BUS », ligne de télécommande) ne peut accueillir qu’un nombre limité de constituants (nombre fixé dans la R7, dans la norme NFS et par chaque constructeur): exemple 40 DSNA / ligne, 32 DA / ligne ouverte ou 128 DA par ligne rebouclée, …. Les câbles sont en C2 ou en CR1-C1. L’ECS est alimenté en CR1-C1 (EL 16). Localiser géographiquement et par adresse de zone et de point chaque constituant du SSI précisément. Constituer les tableau de corrélation entre es zones: Chaque détecteur et chaque DM doit être associé à un scénario de mise en sécurité du bâtiment ou d’un e de ses parties. DA, DM déclenchent: PCF, CCF, VCF, VSD, VED, DSNA, flash, BAEH, arrêt clim (CTA, VMC), arrêt sono, arrêt film,… lesquels ? Établir les tableau de liste pour chaque zone: tableau des ZD, tableau des ZC, tableau des ZF, tableau des ZA Regrouper ces page en dossier d’identité « phase conception » Présenter ce document pour avis officieux aux SDIS compétent. Rédiger si avis favorables le cahier des charges à présenter aux installateurs (DCE).

3 Phase conception Phase réalisation
SOMMAIRE DU DOSSIER D’IDENTITE DU SSI (NFS § NFS § 12, Annexe B1) Phase conception Rappel des textes Liste des plans Plans d’implantation des matériels du SSI Plans de cheminement des câbles du SSI Plan d’analyse du risque (pour justification du choix des DA) Plan de découpage du site en ZD avec identification des DA et des DM Lieu d’implantation du matériel central Zones de mise en sécurité (ZS) (Zones de compartimentage, zones de désenfumage) Zones d’alarme (ZA) Implantation des diffuseurs sonores Corrélation entre les zones ZA > ZC > ZF > ZD (ZDA, ZDM) Schéma de principe de câblage du SSI (par le coordinateur SSI) Phase réalisation Liste des matériels du SSI et leur documents techniques Schémas de câblage détaillé du SSI (l’ensemble des matériels du SSI) fournis par l’installateur Certificats de conformité aux normes fournis par le constructeurs Documents attestant la compatibilité entre le SDI et le CMSI Autocontrôles des installateurs Instructions de manœuvre simplifiées Notice d’exploitation et notice de maintenance du SSI Procès verbal de formation des exploitants du SSI et des personnels chargés de mettre en sécurité les occupants

4 Exploitation et maintenance :
EXIGENCES SSI selon l’ARRETE DU 25 JUIN 1980 MODIFIE : extraits sur le SSI Article MS 58: Obligations de l’installateur et de l’exploitant (Arrêté du 2 février 1993): §  1.  Les matériels de détection automatique d’incendie doivent être admis à la marque NF Matériel de détection d’incendie et être estampillés comme tels, ou faire l’objet de toute autre certification de qualité en vigueur dans un Etat-membre de la Communauté économique européenne. Cette certification devra alors présenter des garanties équivalentes à celles de la marque NF Matériel de détection d’incendie, notamment en ce qui concerne l’intervention d’une tierce partie indépendante et les performances prévues dans les normes correspondantes. §  2.  L’installation des systèmes de détection doit être réalisée par des entreprises spécialisées et dûment qualifiées. §  3.  Toute installation de détection doit faire l’objet d’un contrat d’entretien avec un installateur qualifié. Ce contrat doit inclure les essais fonctionnels prévus à l’article MS 56, paragraphe 3, deuxième tiret. §  4.  Ce contrat d’entretien ainsi que la notice descriptive des conditions d’entretien et de fonctionnement doivent être annexés au registre de sécurité. Article MS 59 :Généralités (Arrêté du 2 février 1993): §  2.  Les dispositifs et équipements constituant le système de mise en sécurité incendie doivent être conformes aux normes en vigueur. De plus, les centralisateurs de mise en sécurité incendie intégrés aux systèmes de sécurité incendie de catégorie A ou B doivent être admis à la marque NF Centralisateurs de mise en sécurité incendie et être estampillés comme tels, ou faire l’objet de toute autre certification de qualité en vigueur dans un Etat-membre de la Communauté économique européenne. Cette certification devra alors présenter des garanties équivalentes à celles de la marque NF Centralisateur de mise en sécurité incendie, notamment en ce qui concerne l’intervention d’une tierce partie indépendante et les performances prévues dans les normes correspondantes. Article MS 62: Classement (Arrêté du 2 février 1993): §  1.  Les systèmes d’alarme doivent satisfaire d’une part aux principes définis ci-après et, d’autre part, aux dispositions des normes en vigueur, en particulier la norme relative aux équipements d’alarme. Cette norme classe les équipements d’alarme en quatre types par ordre de sécurité décroissante, appelés 1, 2 a ou 2 b, 3 et 4. Les dispositions particulières à chaque type d’établissement précisent dans chaque cas les types d’équipements d’alarme qui doivent être utilisés pour chaque catégorie d’établissement. §  2.  Seuls les équipements d’alarme des types 1, 2 a et 2 b comportent une temporisation. En conséquence, si l’exploitant souhaite disposer d’une temporisation alors que les dispositions particulières prévoient un équipement d’alarme du type 3 ou 4, il y a lieu d’installer un équipement d’alarme du type 2 a ou 2 b au minimum et de respecter toutes les contraintes liées à ce type. Article MS 65: Conditions générales d’installation (Arrêté du 2 février 1993) §  1.  Les déclencheurs manuels doivent être disposés dans les circulations, à chaque niveau, à proximité immédiate de chaque escalier, au rez-de-chaussée à proximité des sorties. Ils doivent être placés à une hauteur d’environ (Arrêté du 20 novembre 2000) « 1,30 mètre » au-dessus du niveau du sol et ne pas être dissimulés par le vantail d’une porte lorsque celui-ci est maintenu ouvert. De plus, ils ne doivent pas présenter une saillie supérieure à 0,10 mètre. §  2.  (Arrêté du 12 juin 1995.) « Les canalisations électriques alimentant les diffuseurs sonores non autonomes doivent être conformes aux dispositions de l’article (Arrêté du 19 novembre 2001) « EL 16, § 1 » (c'est-à-dire en câble de type CR1-C1) §  3.  Les diffuseurs d’alarme sonore, notamment les blocs autonomes d’alarme sonore (BAAS) des types Ma et Sa, doivent être mis hors de portée du public par éloignement (hauteur minimum de 2,25 mètres) ou par interposition d’un obstacle. Article MS 66: Règles spécifiques applicables aux équipements d’alarme des types 1 et 2 (Arrêté du 2 février 1993) §  3.  Le déclenchement de l’alarme générale intervient automatiquement, au bout d’une temporisation, réglable suivant les caractéristiques de l’établissement, avec un maximum de cinq minutes après le déclenchement de l’alarme restreinte. §  5.  La temporisation ne doit être admise que lorsque l’établissement dispose, pendant la présence du public, d’un personnel qualifié pour exploiter immédiatement l’alarme restreinte. Si les conditions d’exploitation d’une installation comportant initialement une temporisation viennent à être modifiées, la durée de la temporisation doit être adaptée à ces nouvelles conditions, voire éventuellement annulée. Article MS 67: Conditions d’exploitation (Arrêté du 2 février 1993) §  1.  Pendant la présence du public, l’équipement d’alarme doit être à l’état de veille général. En dehors de la présence du public et du personnel, si l’établissement dispose d’un moyen d’exploiter l’alarme restreinte, l’équipement d’alarme peut être mis à l’état de veille limité à l’alarme restreinte. §  2.  Aucun autre signal sonore susceptible d’être émis dans l’établissement ne doit entraîner une confusion avec le signal sonore d’alarme générale. §  3.  Le personnel de l’établissement doit être informé de la signification du signal sonore d’alarme générale et du signal sonore d’alarme générale sélective, si ce dernier existe. Cette information doit être complétée éventuellement par des exercices périodiques d’évacuation. §  4.  Il peut être admis, selon les dispositions particulières ou après avis de la commission de sécurité, que la diffusion du signal sonore d’alarme générale conforme à la norme visant les équipements d’alarme soit entrecoupée ou interrompue par des messages préenregistrés prescrivant clairement l’évacuation du public. Exploitation et maintenance : Article MS 72- Entretien et signalisation (Arrêté du 2 février 1993) §  1.  Tous les appareils ou dispositifs d’extinction et d’alerte doivent être soigneusement entretenus et maintenus en permanence en bon état de fonctionnement. Le personnel de l’établissement doit être initié à leur mise en œuvre. Cette information doit être maintenue dans le temps.     §  2.  Des pancartes indicatrices de manœuvre doivent être placées bien en évidence à proximité des appareils, des barrages et des mises en œuvre.     (Arrêté du 29 janvier 2003.) « Lorsqu’un appareil ou un dispositif n’est pas apparent, il doit être signalé par un panneau conforme aux signaux normalisés d’indication de localisation d’un équipement de lutte contre l’incendie ou d’un autre moyen d’alarme ou d’alerte définis à la norme NF X  relative aux couleurs et signaux de sécurité. » Article MS 73-: Vérifications technique (Arrêté du 2 février 1993) §  1.  Avant leur mise en service, les appareils et installations fixes doivent faire l’objet d’une vérification, fonctionnement compris, dans les conditions prévues à la section II du chapitre Ier du présent titre. De plus, les systèmes de sécurité incendie de catégories A et B ainsi que les installations fixes d’extinction automatique à eau du type sprinkler doivent toujours être vérifiés par une personne ou un organisme agréé. §  2.  En cours d’exploitation, ces mêmes appareils ou installations ainsi que les appareils mobiles doivent être vérifiés, au moins une fois par an, dans les conditions prévues à la section II précitée. De plus, les systèmes de sécurité incendie de catégories A et B doivent être vérifiés tous les trois ans par une personne ou un organisme agréé (Visite triennale).     §  3.  Pour les systèmes de sécurité incendie et pour les installations fixes d’extinction automatique à eau du type sprinkler, les vérifications doivent être conformes aux modalités prévues par la norme en vigueur correspondante. Pour les systèmes de détection incendie, les vérifications doivent comporter les essais fonctionnels prévus à l’article MS 56 (§ 3, deuxième tiret): essai de foyer type de site (FTS et non FTR). Article MS 74-Contrôles (Arrêté du 2 février 1993) Lors des visites périodiques effectuées par les commissions de sécurité, toutes dispositions doivent être prises par l’exploitant pour permettre le contrôle efficace des moyens de secours. A cet effet, la direction doit mettre en place le personnel compétent et le matériel nécessaire aux essais de fonctionnement.

5 EXIGENCES SSI selon les NORMES de la série NFS 61 930 (CMSI): EXTRAITS
NF S § 6.9. Le signal émis par un déclencheur manuel constitue une information d’origine humaine au niveau d’accès 0 et ne correspond pas nécessairement à l’emplacement de la zone où se trouve le sinistre. En conséquence, dans le cas où il est prévu que le D.M. active des fonctions du S.M.S.I. autres que la fonction d’évacuation, les conditions suivantes doivent être respectées : - s’il existe plusieurs zones de désenfumage (Z.F) dans le bâtiment ou l’établissement, l’action sur un D.M. ne peut en aucun cas entraîner la fonction de désenfumage - dans les S.S.I. de catégorie A ou B, cette information doit être traitée indépendamment de l’Equipement d’Alarme, - dans les S.S.I. des catégories D et E, le déclenchement d’un ou plusieurs D.A.S. par l’E.A. doit être obtenu dans les conditions prévues au paragraphe 6.8 de la présente norme, - dans les S.S.I. de catégorie C, le déclenchement d’un ou plusieurs D.A.S. par l’E.A. peut être obtenu soit dans les mêmes conditions que celles qui s’appliquent aux catégories D et E, soit en utilisant l’entrée d’un D.C.S. prévue à cet effet au paragraphe 2.19 de la présente norme. NF S § L’alimentation et la commande d’un ventilateur de désenfumage doivent s’effectuer au moyen d’un « coffret de relayage pour ventilateur de désenfumage » conforme à la norme NF S (fiche 13 de l’annexe A).Les canalisations électriques d’alimentation depuis l’alimentation électrique de sécurité(A.E.S) jusqu’au moteur ne doivent pas comporter de protection contre les surcharges mais seulement contre les courts-circuits .En conséquence ,conformément aux dispositions de la norme NF C  ,elles doivent être dimensionnées en fonction des plus fortes surcharges que peuvent supporter les moteurs. Un coffret de relayage pour ventilateurs de désenfumage doit être installé en dehors de la (ou des) zone(s) de mise en sécurité desservie(s) par le (ou les) ventilateur(s) qu’il commande. NF S § Chaque ventilateur de désenfumage doit pouvoir être mis à l’arrêt depuis l’endroit où se trouve sa commande manuelle de mise en sécurité .Cette fonction ne doit pouvoir être obtenue qu’au niveau d’accès 2(au sens de la norme NFS61-931) et doit être signalée en tant qu’anomalie sur l’unité de signalisation si cette dernière existe .La liaison entre cette commande manuelle d’arrêt et le coffret de relayage du ventilateur doit répondre aux mêmes exigences de protection contre l’incendie que celle visant les liaisons qui permettent la mise en sécurité (voies de transmission et/ou lignes de télécommande). NF S § 4.7. Identification de tous les constituants du SSI Chaque composant du S.S.I doit être identifié afin de faciliter les opérations d’exploitation, de vérification et de maintenance .En particulier, les voyants non utilisés de l’unité de signalisation (U.S) doivent être clairement identifiés comme tels. NF S §A3: Signal d’évacuation. Au sens de la présente annexe, il s’agit du signal sonore exigé par le texte d’application .Il peut être constitué soit du signal conforme aux dispositions de la norme NF S  ,soit d’un message vocal(préenregistré ou direct),soit de ces deux types de signaux émis de manière séquentielle. NF S 61936 §A4.1 Liaison avec l’U.G.A. Les liaisons entre l’U.G.A et le S.S.S sont de type filaire galvanique. Le S.S.S doit être équipé d’entrées de télécommande recevant les ordres émis par l’U.G.A. Chaque entré de télécommande doit correspondre à chaque Zone d’alarme (ZA). L’ordre de télécommande, correspondant à la nécessité d’émettre le signal d’évacuation, s’effectue par émission de courant sous une tension continue nominale de 24v ou 48v, durant le temps minimum de 5 minutes. NF S 61936 §A Signaux enregistrés. Les signaux ou messages préenregistrés doivent être stockés dans des mémoires non volatiles sans parties mécaniques mobiles .Les mémoires optiques ou magnétiques telles que « disquettes souples », bandes magnétiques, disques compacts, etc., ne sont pas autorisées. NF S §13. Essai et réception de l’installation : Toute installation (y compris extension ou modification d’installation) doit faire l’objet d’une visite de réception en présence de l’utilisateur et des installateurs ou de leurs représentants désignés .Cette réception a pour but de contrôler la conformité du S.S.I avec la présente norme et les spécifications figurant dans le dossier d’identité. La réception doit faire l’objet d’un procès verbal. Préalablement à toute réception, l’installateur établit un document indiquant les essais réalisés, les résultats obtenus et attestant du bon fonctionnement de chacun des sous-systèmes et de leur corrélation .Dans le cas où plusieurs installateurs mettent en œuvre les différentes parties du S.S.I, la personne chargée de la coordination doit recueillir les documents de résultats permettant l’élaboration du procès-verbal de réception. NF S  : Alimentation électrique de sécurité (A.E.S) interne au tableau : - Etant donné qu’il n’y aura qu’une seule zone de mise sécurité, l’AES interne au tableau pourra être commune au S.D.I et au C.M.S.I. - Son autonomie devra être de 12h +1h et conforme à la norme NF S NFS §A4.2 : Système de sonorisation de sécurité (S.S.S) : - Le système de sonorisation de sécurité devra être alimenté par une alimentation électrique de sécurité (A.E.S) conforme à la norme NFS61-940, qui devra garantir une autonomie de 12heures de veille générale, suivi d’un cycle d’évacuation (12h+10mm) NFS §A4.4. 8 diffuseurs sonores non autonomes (D.S.N.A) avec haut parleur ; NFS61-933 §4.1 : formation de l’exploitant 4.1-Le personnel chargé de l’exploitation du S.S.I doit être formé à son fonctionnement. Le personnel chargé de la mise en sécurité des personnes doit être formé à son fonctionnement. CODE DU TRAVAIL- R  : formation et entraînement - La consigne doit prévoir des essais et visites périodiques du matériel et des exercices au cours desquels le personnel apprend à reconnaître les caractéristiques du signal sonore d'alarme générale, à se servir des moyens de premier secours et à exécuter les diverses manœuvres nécessaires. - Ces exercices et essais périodiques doivent avoir lieu au moins tous les six mois. Leur date et les observations auxquelles ils peuvent avoir donné lieu sont consignées sur un registre tenu à la disposition de l'inspecteur du travail. REGLE APSAD R7- (édition juillet 2006) : remise en conformité 10 ans Dans tous les cas, une installation de détection doit faire l’objet, 10 ans après sa mise en service, d’une proposition de remise en conformité complète avec la règle APSAD R7 en vigueur à la date correspondante. Après chaque mise en conformité, l’installation doit faire l’objet d’une nouvelle visite de vérification de conformité.

6 CMSI (NF SSI) CABLAGE DES CONSTITUANTS DU SSI TRE ECS (TS) TR BD BD
IA (Indicateur d’Action) DA (Détecteur Automatique d’Incendie) otique de fumée Câbles C2 rouge 1 paire ≥ 8 /10ème SYT 1 ou SYS 1 DA de chaleur (thermostatique ou thermo vélocimétrique) Câbles C2 rouge 1 paire ≥ 8 /10ème SYT 1 ou SYS 1 DA optique de flamme (infra rouge ou ultraviolet) Câbles C2 rouge 1 paire ≥ 8 /10ème SYT 1 ou SYS 1 DA multicritères (optique de fumée et thermique: et / ou) Câbles C2 rouge 1 paire ≥ 8 /10ème SYT 1 ou SYS 1 CR1-C1 (EL 16) 3 G 1,5 mm² 230 VAC DM (Déclencheur Manuel rouge) Câbles C2 rouge 1 paire ≥ 8 /10ème SYT 1 ou SYS 1 TRE: Tableau Répétiteur d’Exploitation Câble CR1-C1 orange 2 × 1,5 mm ², 24 ou 48 VCC TRE ECS (TS) Face Avant Déportée Câble CR1-C1 orange 2 × 1,5 mm ², 24 ou 48 VCC TR Récepteur Autonome d’Alarme (ERP type J (J 37 § 5)) AES Câble CR1-C1 2 × 1,5 mm ², 24 ou 48 VCC DSNA: Diffuseur Sonore Non Autonome CR1-C1 orange 24 ou 48 VCC, 2 × 1,5 mm² (SSIA et B) BAAS Bloc Autonome d’Alarme Sonore : C2, 3 G 1,5 mm² 230VAC (SSI C, D et E) CR1-C1 3 G 1,5 mm² 230 VAC Flash (si mal entendants ou travaux bruyants): CR1-C1 orange 24 ou 48 VCC, 2 × 1,5 mm² BD AGS: Alarme Générale Sélective: CR1-C1 orange 24 ou 48 VCC, 2 × 1,5 mm² CMSI (NF SSI) AGS SSS: Système de Sonorisation de Sécurité: CR1-C1 orange 24 ou 48 VCC, 2 × 1,5 mm² Enregistrement du message parlé. SSS 1 Évacuation UGA DM vert (déverrouillage des Issues de Secours (IS)) câble C2 1 paire 8/10ème mm UGCIS PCF Porte coupe feu: C2 si manque de tension (MT), 2 × 1,5 mm², 24 ou 48 VCC V CCF Clapet coupe feu: CR1-C1 si émission de tension (ET), 2 × 1,5 mm², 24 ou 48 VCC 2 Compartimentage BD NSA Non Arrêt Ascenseur: CR1-C1, E.T., 2 × 1,5 mm², 24 ou 48 VCC Position de sécurité Dérangement ou… Sous tension DCM ouvrant / exutoire de désenfumage: C2 si manque de tension, 2 × 1,5 mm², 24 ou 48 VCC VCF (Volet Coupe Feu): C2 si manque de tension, 2 × 1,5 mm², 24 ou 48 VCC 3 Désenfumage BD Coffret de relayage pour moteur DF (VSD et VED): CR1-C1, 2 × 1,5 mm², 24 ou 48 VCC Position de sécurité Dérangement ou… Sous tension Commande prioritaire pompiers et réarmement: CR1-C1, 2 × 1,5 mm², 24 ou 48 VCC Commande pompiers Câble CR1-C1 2 × 1,5 mm ² BAESH si locaux à sommeil et absence de source de remplacement Télécommande 4 Commandes techniques Arrêt de la climatisation (CTA ou VMC) C2 manque de tension, 2 × 1,5 mm², 24 ou 48 VCC, relais Contact sec Remise en lumière de la salle (L16, P22): C2 manque de tension, 2 × 1,5 mm², 24 ou 48 VCC, relais Arrêt de la sono DJ (L16, P22), C2 manque de tension, 2 × 1,5 mm², 24 ou 48 VCC, relais Arrêt des films (L16, P22): C2 manque de tension, 2 × 1,5 mm², 24 ou 48 VCC, relais AES (EAE) AES (EAE) Barrière de PS (entrée et sortie): C2 manque de tension, 2 × 1,5 mm², 24 ou 48 VCC, relais

7 LA MAINTENANCE PERIODIQUE: NFS 61 933 ANNEXE A
A.1 Périodicité quotidienne Examen des états sur l’unité de signalisation (US) par action sur le ou les boutons essais voyants éventuels et, dans le cas d’un CMSI, par action sur la touche Bilan : test signalisation (SDI), test bilan (CMSI) Constat de la signalisation donnant l’état des AES et des APS : test source Examen du tableau de signalisation du SDI : examen des TS Examen de la position d’attente des dispositifs de verrouillage des issues de secours (DAS prêts à être déverrouillés) : état des IS Constat de l’intégrité des dispositifs de commande (au sens de la norme NFS 61 938) se situant au niveau d’accès 0: état du TS A.2 Autres opérations de vérifications périodiques A.2.1 Ces opérations de vérification ont pour objectif de détecter les anomalies ou les dérangements de fonctionnement de chacun des équipements. Elles sont susceptibles de modifier les données du système. Elles ne peuvent être exécutées que si le manipulateur suit une procédure particulière nécessitant un dispositif d’accès spécifique (clef, code, etc…). Elles comprennent les examens et constats suivants : Essai du S.D.I. à partir des détecteurs et des déclencheurs manuels Essai du C.M.S.I. à partir du S.D.I Essai du S.M.S.I au moyen des dispositifs de commande manuelle Examen du passage en position de sécurité des D.A.S. ou D.C.T. visés en A.2.2 ci-après. Lorsque les D.A.S disposent d’un contrôle de position et d’un réarmement à distance, cet examen peut être limité au constat des états sur l’U.S. A.2.2 Les opérations de vérification, doivent être effectuées en l’absence de la source Normal-Remplacement (au sens de la norme NF S ) du matériel visé, avec les périodicités minimales suivantes : Périodicité mensuelle : Essai de déverrouillage des dispositifs de verrouillage pour issues de secours (IS) Périodicité trimestrielle : Essai de la fonction compartimentage si il existe des D.A.S. communs à plusieurs Zones de mise en Sécurité (Z.S.). La réalisation pratique de cette prescription peut éventuellement nécessiter l’essai de la fonction compartimentage des Z.S. concernées Essai des coffrets de relayage pour ventilateurs de désenfumage Essai des dispositifs de relayage de mise en sécurité tels que la mise en fonctionnement de l’éclairage, le « non-stop » des ascenseurs, etc…, à partir d’un point de détection Périodicité semestrielle : essai du C.M.S.I. à partir d’un détecteur d’incendie (S.S.I. de catégorie A) et d’un Déclencheur Manuel (D.M.) par Zone de mise en Sécurité (Z.S.) Essai des exutoires, ouvrants, portes à fermeture automatique, rideaux et portes à dévêtissement vertical Périodicité annuelle : Essai fonctionnel de chaque détecteur d’incendie (S.S.I. de catégorie A) et de chaque Déclencheur Manuel (D.M.) Essai des clapets et volets. Essai des dispositifs de commande (au sens de la norme NF S ) Examen visuel direct de chaque D.A.S., y compris ceux qui disposent d’un contrôle de position et d’un réarmement à distance. Essai de fonctionnement de l’Equipement d’Alarme (E.A.) A.3 Opérations de vérification générale : Périodicité triennale (3 ans : conseillés dans la norme, imposée par MS 73 §2) et réalisée par le coordinateur SSI : Ces opérations de vérification ont pour objectif de s’assurer de la conformité du S.S.I. au dossier d’identité. Cela suppose que les opérations de vérification telles que prévues à l’article A.2 ci-dessus viennent d’être réalisées. La périodicité est fixée par le prescripteur, il est recommandé qu’elle soit triennale. Elles comprennent les examens et constats suivants : Examen de l’adéquation du dossier d’identité en regard des exigences de sécurité applicable au bâtiment ou à l’établissement Examen de la conformité du S.S.I. au dossier d’identité Vérification de la réalité des actions de maintenance par l’examen de leur enregistrement et par la réalisation d’essais de fonctionnement (au minimum un équipement par zone et par fonction) Examen des conditions d’exploitation Règle APSAD R7 Après chaque mise en conformité : visite de vérification de conformité Périodicité décennale (10 ans) : proposition de remise en conformité. Après cette période, les pièces de rechange du SSI deviennent difficiles à trouver. Le SSI devient obsolète, bien que capable de fonctionner. Code du travail : R Tous les 6 mois : reconnaissance du signal d’évacuation et utilisation des moyens de secours : par les employés Dans certains ERP, l’exercice d’évacuation est trimestriel (voir les dispositions particulières ERP type R,…)

8 Câblage Alimentation Constituants du SSI
CÂBLAGE DES CONSTITUANTS DU SSI Câblage Alimentation Constituants du SSI Catégorie Câble et Ø câble (mini) Tension permanente Surveillance de ligne Tableaux CR1-C1 3 G 1,5 mm² Secteur (EL 16) 230 VAC Non ECS (TS) Secteur 230 VAC CMSI 1 paire 8/10ème mm Émission de tension 24 VCC Oui TRE C2 Émission de tension 24 VCC TR 2 paires 8/10ème mm Émission de tension 24 VCC Report de ECS Émission de tension 24 ou 48 VCC AES (EAE) interne au SSI Points de détection (Automatique et manuelle) Tension permanente 24 VCC DA IA DM rouge Évacuation DCT 2 × 1,5 mm² Émission de tension 24 ou 48 VCC DSNA: DCT Tension permanente 230 VAC BAAS Flash Émission de tension 24 ou 48 VCC SSS Alarme Générale Sélective Report de synthèse UGA Report de synthèse US Contrôle de position des DAS Manque de tension 24 ou 48 VCC DM vert VEP issue de secours Télécommande BAESH Compartimentage télécommandé DAS à émission de tension surveillance de ligne DAS à manque de tension sans surveillance de ligne MMP sur Porte Coupe feu (PCF) télécommandée Clapet Coupe Feu (CCF) télécommandé Non Arrêt Ascenseur (NSA) Désenfumage télécommandé Ouvrant de désenfumage télécommandé Exutoire de désenfumage (locaux) télécommandé Volet Coupe feu (VCF) Coffret de relayage Moteur de désenfumage V S D et V E D: DCT Commande réarmement DF Commande arrêt pompiers PS Commandes techniques Manque de tension (relais) 24 / 48 VCC Arrêt Clim (CTA, CMC) Manque de tension (relais) 24 / 48 VCC Remise en lumière Arrêt sonorisation en type P Arrêt film en type L Émission de tension 24 / 48 VCC Barrière entrée / sortie en type PS

9 S.S.I. Alimentations et câblage
Éléments commandés Tensions Alimentations Câblage Surveillance de ligne Cat. Type S.D.I. Équipement de Contrôle et de Signalisation 230 vac Tension permanente non CR 1-C1 3 G 1,5² Report de l’E.C.S. (feu et dérangement gén.) 24 vcc Émission de tension oui C 2 2x1p 8/10 Détecteur automatique 1p 8/10 Déclencheur manuel Indicateur d’action Non Tableau répétiteur d’alarme feu (art.J37§4) Emission de tension 8/10 mini S.M.S.I. C.M.S.I. Report de synthèse de l’U.G.A. 24 ou 48 vcc Report de synthèse de l’U.S. Diffuseur Sonore Non Autonome (sirène ou haut-parleur) 2x1,5² minim Diffuseur d’Alarme Générale Sélective 2x1,5² mini Bloc autonome d’Alarme Sonore (B.A.A.S. de type Sa ou Ma) Déverrouillage des issues de secours Manque de tension Eclairage de sécurité Maintien magnétique de porte Clapet coupe feu de ventilation Ou oui* Non arrêt ascenseur Coffret de relayage pour ventilateur Commande arrêt pompier ventilateur de désenfumage Volet de désenfumage sur conduit collectif Impulsions de tension Volet de désenfumage sur conduit collecteur (shunt) ou conduit unitaire Ouvrant le désenfumage en façade Exutoire de fumée Arrêt ventilation mécanique Contrôle des positions des D.A.S. 1p 9/10 mini Réarmement des D.A.S. ou des D.C.T. *les lignes de télécommande et de contrôle de position reliant un Matériel Déporté d’un C.M.S.I. à un D.A.S. peuvent ne pas être surveillées si : 1) Les lignes sont inférieures à 2 m et facilement visitables 2) la totalité des lignes le Matériel Déporté et le Dispositif Actionné de Sécurité sont dans le même volume 3) les lignes sont protégées contre les chocs et réalisées en câble de la catégorie au moins C2 Les câbles d’alimentation de catégorie CR 1-C1, peuvent être réalisés en câble de catégorie C2, lorsqu’ils sont placés dans des Cheminements Techniques Protégés.

10 REPONSES A L’APPEL D’OFFRE POUR LE LOT SSI : Sté TABLEAU DES PRIX site:
PRESTATIONS ATTENDUES SUR LE CHANTIER DU LOT SSI Catégorie du SSI: équipement d’alarme: OFFRES SOCIETES: PRIX HORS TAXE EN € (EUROS) Réponse Nombre Prix / unité Détails produit / prestation Valeur Implantation du SSI selon R7 ou NFS (2007) Oui - non Déclaration de l’I7 auprès de l’APSAD Rapport de présence d’amiante (pour réaliser les travaux SSI) Dépose de l’ancienne installation SSI Évacuation de l’ancienne installation SSI Traitement de l’ancien (DA ioniques) Détecteurs de fumée (DAO) : conventionnels- adressables Détecteurs thermiques: (DAT, TV) conventionnels- adressables Socles des détecteurs automatiques (D.A.) Indicateurs d’action (I.A.) - IA étanches Déclencheurs manuels rouges à membrane déformable à led (DM) Protection mécanique autour des DM (salles de sport, industriel) Déclencheurs manuels verts (DM verts); carte UGCIS TS ou ECS + AES (coffret + batteries) adressable, conventionnel CMSI + AES (coffret + batteries) + carte UGA Matériels Déportés (MD: BD,BDA, EDL,MEA,…, autres) DSNA ou BAAS ou/et FLASH classe B ( > 90 dB ) Répétiteur d’alarme (ZD) ou report d’alarme (3 signalisations) Transmetteur téléphonique, UAE + imprimante Fourniture des coffrets de relayage pour moteurs de désenfumage Fourniture des BAES-BAESH (Eclairage de Sécurité Habitation) Fourniture de la télécommande des BAES-BAESH Câbles C2 SYT1 ou SYS1, rouges, 1 paire > 8/10ème de mm Câbles CR1-C1 oranges Écrans sur câbles / isolateurs de court-circuit Pose du disjoncteur 230VAC d’alimentation du SSI Tirage du câble du disjoncteur 230 VAC vers le TS du SSI Pose des chemin s de câble séparés des autres câbles Tubulures, moulures, goulottes Liaison s par câbles des DCT vers le(s) CMSI Tirage des câbles vers les commandes techniques Raccordement des câbles au borniers des cartes SSI Programmation des 2 tableaux (SDI et CMSI) Programmation des commandes techniques Mise en service du , des SSI Essais de foyer type de site / différents détecteurs automatiques Formation de l’exploitant à l’exploitation du SSI Nettoyage du chantier lot SSI Documents du dossier d’identité du SSI / NFS §12 Prévention des risques sur chantier (PPSPS, plan de prévention,..) Contrat de maintenance SSI proposé Qualification de l’installateur F7 Q7 APSAD Petits matériels: clés de réarmement Durée prévue des travaux Liberté logicielle de programmation Prix HT en €

11 LEGENDE SSI (VOIR NFS ISO 6790)
Détecteur Automatique d’incendie optique de fumée Détecteur Automatique d’incendie de chaleur Détecteur Automatique d’incendie de flammes Détecteur Automatique d’incendie de gaz Détecteur multicrititères Indicateur d’action Détecteur de chaleur linéaire Déclencheur Manuel TR Tableau répétiteur d’alarme incendie Tableau de Signalisation du Système de Sécurité Incendie CMSI Tableau CMSI Avertisseur sonore BAAS Diffuseur sonore DSNA AGS Alarme Générale Sélective Porte coupe feu Clapet coupe feu (CCF) Volet Coupe feu de Désenfumage (VCF) Moteur de Désenfumage (VSD ou VED) Déclencheur Manuel Vert DCM dispositif de commande manuelle DIFFUSEUR LUMINEUX évacuation générale

12 LEGENDE SSI suite Arrêt de la sonorisation Arrêt des films
Arrêt des moteurs de climatisation (CTA (centrale de traitement d’air), VMC (Ventilation Mécanique Contrôlée)) Remise en lumière de la salle Commande des BAES-BAEH: autonomie 6 h (BAESH Si absence de source de remplacement et présence de locaux à sommeil)

13 Type Établissements Catégorie
QUEL SSI POUR QUEL ERP ? Type Établissements Catégorie Catégories de SSI 2quipement d’alarme (EA) A B C D E 1 2a 2b 3 4 J 36 Maison de retraite. Accueil d’handicapés Toutes catégories X L 15 L 16 Salle de spectacle, cabaret Salle d’audition Salle de conférence Salle de réunion Salle de projection Salle de quartier Salle polyvalente à dominante sportive > 1200 m² et h > 6,5 m 1ère catégorie > places 1ère catégorie < places 2ème catégorie avec salle polyvalente Autres catégories ( ) M30 M32 Magasin de vente Centres commerciaux Supermarchés Galerie marchande Mails clos à bar, kiosque, Aire de repos, promotion 1ère catégorie > personnes 2ème catégorie > 700 personnes 3ème catégorie > 300 personnes 4ème catégorie N 18 Bar, brasserie, café restaurant Débit de boissons ( ) 1ère et 2ème catégorie Autre O 21 Hôtel, motel, pension de famille P 22 Salle danse, discothèque Salle de jeux, billard, jeux électroniques ( ) 3ème et 4ème cat. avec danse au sous sol R 31 Enseignement supérieur, secondaire Enseignement primaire, maternelle Crèche, garderie, centre de loisirs Colonies de vacances R avec internat toutes catégories 1ère à 3ème catégorie 4ème catégorie S 16 Archives, bibliothèque ( ) 3ème et 4ème catégorie T 49 Salle d’exposition, salon, foire 1ère catégorie de > à 6 000] pers. 1ère catégorie < personnes 2ème catégorie > 700 personnes 3ème catégorie > 300 personnes U 44 De soin, hôpitaux, clinique, Rééducation, cure médicale ( ) V 10 Cultes: temple, synagogue, mosquée, église ( ) W 14 Banque, bureau, administration X 26 Centres sportifs couverts, salle omnisport, Piscine couverte, patinoire, manège 3ème et 4ème catégorie ( ) Y 20 Musée, exposition culturelle temporaire 1ère catégorie 2ème à 4ème catégorie ( ) OA 25 Hôtel d’altitude, hôtel isolé inaccessible aux secours Toutes catégories > 20 clients EF 16 Établissement , bateau stationnaire ( ) Locaux à sommeil GN 8 Si % d’handicapé dépassé CO 21 C + D non réalisé sans sprinkler CO 24 Présence de locaux à sommeil CO13 à CO15, CO33, CO53, PO9, PO12, PS27, NFS (de partout), APSAD R7 (de partout)


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