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L’aspect mental au golf

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Présentation au sujet: "L’aspect mental au golf"— Transcription de la présentation:

1 L’aspect mental au golf

2 Le contrôle des distractions
Il faut savoir sur quoi porter attention et à quel moment. On dit aux golfeurs qu’ils doivent passer par les quatre cadrant du champ «attentionnel». Un focus étroit-externe (le drapeau ou la position de la balle) et étroit interne (sa prise, son enlignement ou le choix de son bâton).Un focus large externe (les conditions climatiques, sa position dans le tournoi, les risques à prendre) et large interne (son niveau d’activation ou de stress, ses attentes, sa confiance, etc.) Le discours interne, avec l’utilisation de mots-clés appropriés, nous aide à nous concentrer sur les éléments importants.

3 TROUVER L’ÉQUILIBRE ENTRE CONTRÔLE ET ACCEPTATION
Au golf, on ne peut contrôler qu’une chose, soit accepter les décisions que l’on prend et leur effet sur le résultat de la partie. Parce qu’ils ne peuvent pas exercer le même contrôle dans le golf que dans d’autres aspects de leur vie, plusieurs golfeurs éprouvent une frustration extrême, et c’est ainsi qu’une partie peut s’avérer une expérience exaspérante. En d’autres mots, il faut apprendre à accepter son sort. Accepter, c’est aussi reconnaître la réalité d’une situation. Si vous avez tendance à donner à la balle un crochet à droite, n’essayez pas de lui imprimer un léger crochet de gauche. Visez à gauche et faites confiance à votre slice. Si vous faites un coup roulé mieux les mains croisées, alors faites-le les mains croisées. Essentiellement, la gestion du parcours consiste à accepter ce que vous pouvez et ne pouvez pas faire. En acceptant calmement ce que vous donne la partie, vous obtiendrez plus de la partie.

4 RESPIREZ MIEUX ET JOUEZ MIEUX
Nous sommes tous au courant des effets sur notre vie de la tension incontrôlée. Sur un parcours, une tension mal gérée est néfaste et résulte en du golf de piètre qualité. Si être sur un pied d’alerte élevé peut contribuer à vous montrer à la hauteur de la situation, la « suralerte », due à l’excitation ou à la colère, risque d’être destructrice sur un parcours. Bien respirer est l’une des façons les plus efficaces de relâcher la tension. Le simple fait de se concentrer sur la respiration naturelle compense les effets négatifs de la tension. Les yeux fermés ou ouverts, respirez lentement, profondément et régulièrement par le nez jusqu’à ce que vous sentiez votre souffle se répandre agréablement dans tout votre corps. Expirez lentement par la bouche et sentez sortir la tension. Après avoir répété ce geste à quelques reprises, vous commencerez à vous sentir plus détendu et plus concentré à la fois, ce qui est un état d’alerte propice au golf. Au début, ne recourez à cette technique que pendant de courtes périodes de temps. Avec le temps, vous apprendrez à mieux respirer et à mieux vous concentrer. Cela peut sembler facile, mais je vous jure que vous serez surpris de la difficulté de cette technique. Quand vous la maîtriserez et que vous pourrez gérer la tension, vous obtiendrez de meilleurs pointages tout en restant détendu.

5 DU CALME AVANT TOUT Le golf est l’un des rares sports où l’on note un déclin de la performance si les pulsations cardiaques et la poussée d’adrénaline augmentent. Dans le ski ou le hockey, par exemple, plus le rythme cardiaque est élevé et la montée d’adrénaline forte, plus l’on avance vite et plus on joue avec rage. Au golf, c’est désastreux car alors on s’élance trop vite et nos pensées sont confuses, ce qui détruit le timing et le rythme. Au golf, si votre colère vous habite encore au coup suivant, vous allez très probablement le rater. Ainsi, l’objectif au golf est de contrôler ses pensées et ses émotions. Les meilleurs golfeurs du monde, y compris Tiger Woods, jouent mieux quand ils gardent l’équilibre. Frappez votre coup, acceptez le résultat et passez au coup suivant. Au golf, la force mentale consiste à accepter le coup et à être prêt à frapper votre meilleur coup la fois suivante. Perdre son calme, devenir frustré ou renoncer est le signe d’un manque de force mentale et d’une approche immature du golf. Alors, ravalez votre colère, contrôlez vos émotions et votre rythme cardiaque. Je suis sûr que votre golf n’en sera que meilleur.

6 ATTENTION À VOTRE ATTITUDE SUR LE PARCOURS!
Nous jouons pour diverses raisons, par exemple pour socialiser avec nos amis et la famille, pour profiter de la beauté du paysage, pour nous évader du train-train quotidien ou tout simplement pour poursuivre un objectif personnel. En d’autres termes, le golf ne se limite pas au nombre de fois où nous frappons la balle. Nous ne devrions jamais oublier toutes les richesses qu’offre le golf. À votre prochain départ, regardez bien autour de vous. Humez l’air, écoutez la vie sauvage, appréciez votre environnement. Focalisez davantage sur le plaisir, et vous découvrirez peut-être que votre jeu s’en trouvera amélioré.

7 Les pensées « parasites »
« Ha non! J'ai raté mon coup, je n'étais pas concentré ». Cette phrase nous la percevons fréquemment provenant de la bouche d'un golfeur venant d'exécuter un coup dont il n'était pas satisfait. La réalité est que le golfeur en question a probablement raison, car une mauvaise concentration est à l'origine d'un grand nombre de coups ratés. Mais qu'entendons-nous exactement par la concentration? Être concentré signifie que votre attention est dirigée sur ce que vous voulez accomplir, au moment même de le faire. Par exemple, pour une concentration optimale, 100% de votre attention serait centrée sur votre coup à jouer lors de son exécution. Très logique, vous direz! Oui, mais ceci n'est pas nécessairement facile à réaliser. Tant pour les golfeurs débutants, les joueurs intermédiaires que pour les meilleurs professionnels, il n'est pas toujours évident de garder sa concentration intacte car un nombre inimaginable de pensées « parasites » peuvent venir agir comme obstruction. En réalité très peu de golfeurs sont réellement bien concentrés au moment où ils s'élancent sur la balle. Voici quelques exemples de ces pensées « parasites ». Débutants : « Il y a plein de gens qui me regardent, j'espère que je ne vais pas rater mon coup ». « D'autres golfeurs attendent derrière moi, je dois vite jouer ». Intermédiaires : « J'espère que je ne taperai pas dans l'eau comme la dernière fois ». « Je ne peux pas me permettre de rater ce coup, je suis déjà à 4 au-dessus du par après seulement 2 trous ». Professionnels : « Je dois mettre cette balle au drapeau, je n'ai qu'un coup d'avance sur les 3 suivants ». « Ce putt pour le birdie doit rentrer, j'en ai déjà manqué 2 jusqu'à maintenant ». Il est normal que ce genre de pensées surviennent pendant une partie, mais il faut les chasser de votre tête au moment exact d'exécuter vos coups. Peu importe si ces pensées sont positives ou négatives, elles détournent votre attention du coup à jouer. Pour vous aider, efforcez-vous de visualiser la trajectoire que vous voulez donner à votre balle juste avant de vous apprêter à jouer.

8 ‘’C’EST RIEN QUE DU GOLF’’, DIT STEPHEN AMES
Stephen s’efforce de penser aux choses qui le rendent heureux, comme sa famille, la sensation du soleil sur son visage ou un souvenir d’enfance à Trinidad. Penser à la peur, à la colère et à la frustration ruine la coordination physique et mène à l’effondrement mental. De telles pensées changent notre biochimie interne et entravent la performance. Stephen n’a que très peu ou pas d’attachement sentimental à un coup. Qu’il réussisse un aigle ou qu’il soit débité d’un double bogey, c’est presque pour lui du pareil au même. Son objectif est de garder la même attitude mentale pendant tout le temps passé sur le parcours. Le golf a inévitablement ses hauts et ses bas, mais l’émotion ne fait que les exacerber. Comme le dit toujours Stephen, «c’est rien que du golf». Chaque golfeur devrait faire sienne cette pensée, surtout qu’elle vient de quelqu’un qui gagne sa vie à jouer au golf.

9 LE RIRE, LE MEILLEUR AMI DU GOLFEUR OU DE LA GOLFEUSE
Plusieurs golfeurs semblent être toujours en guerre contre eux-mêmes. Dans l’ensemble, les golfeurs adorent se plaindre de la médiocrité de leur jeu. Cependant, quand ils exécutent finalement un coup tel qu’ils l’avaient visualisé, ils jouent les vantards : «Voilà comment je fais d’habitude.» Les golfeurs ont tendance à prendre trop de temps à rager contre leur jeu. Pour jouer mieux et obtenir de meilleurs résultats, les golfeurs doivent cesser d’être les victimes de ce que leur offre le parcours de jour en jour. Lancer des bâtons, crier à tue-tête et marteler le sol de ses pieds vous enlève, à vous et à vos compagnons de jeu, le plaisir de jouer au golf. De plus, il est pratiquement impossible de bien jouer quand la frustration est de la partie. La recherche indique que le rire est la solution à la frustration. Sur le plan biochimique, notre corps fonctionne plus efficacement quand nous rions que lorsque nous nous renfrognons. En d’autres mots, notre corps se soûle à l’adrénaline sous l’effet de la colère. Le rire joue le rôle d’un centre de réhabilitation. Si vous pouvez rire des difficultés que présente le golf, vous pourrez faire quelque chose de rare: composer avec les mauvais coups et savourer les bons. Si vous êtes en paix avec votre jeu et avec vous-même, les bons coups seront plus nombreux que les mauvais.

10 Visualisez vos coups Votre jeu manque-t-il de régularité? L'une des techniques mentales parmi les plus efficaces afin d'aider à améliorer les performances au golf est l'utilisation de l'imagerie mentale, aussi appelée la visualisation. Cette méthode est une pratique courante pour la majorité des golfeurs professionnels, et les joueurs amateurs auraient aussi avantage à l'employer. Que vous vouliez rentrer un putt de 6 pieds (2 mètres) ou encore effectuer un coup de départ de 240 yards au milieu du fairway, le fait de visualiser la trajectoire que vous désirez donner à votre balle vous aidera à réussir votre coup. En créant une image de ce que vous voulez accomplir, votre cerveau envoie à votre corps un message précis de ce qu'il doit accomplir, ceci fait partie du processus de programmation. Tentez l'expérience lorsque vous ferez vos prochains parcours. Avant d'exécuter chaque coup, placez-vous derrière votre balle et tentez d'imaginer la trajectoire de celle-ci jusqu'à l'atteinte de la cible choisie. « Voyez » votre balle s'envoler dans le ciel, bondir sur le green et rouler dans le trou. Au début, cet exercice sera difficile à réaliser et vous demandera un effort de concentration considérable. Par contre, si vous persévérez dans cette pratique, la visualisation deviendra plus facile à réaliser et fera partie intégrante de votre routine. Plus l'image que vous vous ferez du vol de la balle sera claire et précise, plus vous aurez de chances de réussir votre coup. Soyez toutefois conscient de vos limites personnelles. Il ne vous servira à rien, par exemple, de visualiser un coup de départ de 280 yards si vous ne dépassez normalement pas les 190 yards. N'oubliez pas que même si elle ne vous permettra pas à elle seule de réussir tous vos coups, l'utilisation de la visualisation vous aidera à améliorer votre jeu. Vous verrez, vous en serez surpris

11 Une question de confiance
Jordan est un golfeur qui possède un handicap de 7 et joue en moyenne 3 rondes par semaine, mais ses pointages sont très irréguliers. Lors d'un bon jour, il peut jouer aussi bien que 75. Par contre lors de ses mauvaises parties, ses scores se situent plutôt au-dessus des 90. En fait, lorsqu'il réalise de bons résultats sur les premiers trous il se dit : « Aujourd'hui tout va bien, ce sera un bon jour » et se sent en confiance. Il est persuadé qu'il jouera une bonne partie et c'est ce qui se produit. Toutefois, s'il enregistre de mauvais pointages au début de sa ronde il a tendance à perdre sa confiance et à se dire : « Aujourd'hui c'est un mauvais jour, rien ne fonctionne ». Il continue de mal jouer et termine ses 18 trous avec un score final très élevé. Tout comme Jordan, beaucoup de golfeurs laissent les résultats du début de ronde influencer leur niveau de confiance. Les recherches scientifiques ont démontré que les golfeurs qui réussissent à garder leur niveau de confiance élevé vont mieux performer. Il y a des golfeurs dont la confiance est si fragile qu'ils se disent déjà après un coup de départ raté au 1er trou : « Aujourd'hui ça va aller mal!». Le meilleur conseil que je peux vous donner est d'apprendre à jouer dans le présent. À l'instar de Jordan, plusieurs golfeurs font l'erreur lorsqu'ils sont sur le parcours de diriger leurs pensées soit dans le passé, soit dans le futur ou bien les deux : « J'ai raté mon 1er coup de départ ». « Aujourd'hui ça va aller mal ». « Déjà j'ai fait 3 doubles bogeys ». « Je ne jouerai pas mon handicap ». « J'ai tapé mon coup dans l'eau ». « Je ne pourrai pas faire mieux qu'un bogey ». « J'ai raté tous mes putts courts ». « Vais-je finir par en rentrer un? ». Lors de vos prochaines parties, prenez comme résolution d'essayer de ne plus penser aux coups déjà joués, ni aux scores déjà réalisés ou ceux à venir, jouer simplement un coup à la fois. Approchez chacun de ceux-ci avec une attitude positive, comme si vous saviez que vous alliez les réussir. N'oubliez pas de visualiser la trajectoire que vous désirez donner à votre balle. Vous ne pouvez rien faire de plus que de donner le meilleur de vous-même sur chaque coup. Des mauvais jours il y en aura toujours, mais ceux-ci seront moins mauvais et nombreux si vous persistez à approcher chaque coup avec une attitude positive.


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