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LA RECHERCHE DOCUMENTAIRE

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1 LA RECHERCHE DOCUMENTAIRE

2 SOMMAIRE L’INFORMATION MÉTHODOLOGIE DE RECHERCHE Généralités
Quelques apports théoriques La démarche Le contrôle Base de décision : l'information accroît la connaissance du récepteur, réduit son ignorance et en conséquence améliore sa capacité de décider Facteur de cohésion sociale : l'information favorise l'insertion et l'intégration du personnel. Instrument de communication : l'information assure la coordination des différentes activités entre les services grâce, notamment à la bureautique et à la télématique.

3 L’INFORMATION Généralités

4 LE RÔLE DE L’INFORMATION
Base de décision Facteur de cohésion sociale Instrument de communication Base de décision : l'information accroît la connaissance du récepteur, réduit son ignorance et en conséquence améliore sa capacité de décider Facteur de cohésion sociale : l'information favorise l'insertion et l'intégration du personnel. Instrument de communication : l'information assure la coordination des différentes activités entre les services grâce, notamment à la bureautique et à la télématique.

5 TYPOLOGIE DE L’INFORMATION
Elle s’établit en fonction de différents critères : L’origine Le support utilisé La durée de vie La position dans le traitement Le destinataire Le degré d’institutionnalisation La finalité Il existe des typologies variées en fonction des critères d'analyse retenus selon : l'origine : les informations internes émanent de l'entreprise où elles circulent ; les informations externes proviennent de l'extérieur ; le support utilisé : l'information peut être écrite, orale, visuelle ou audio visuelle ; la représentation : les signes et les symboles utilisés pour représenter l'information sont très nombreux : textuels, numériques, graphiques, codés, sonores ; la durée de vie : les informations variables évoluent avec le temps, les informations permanentes ont un contenu fixe ; la position dans le traitement : l'information brute, dite élémentaire ou de base, est l'information qui nécessite un traitement car elle est rarement directement utilisable ; l'information élaborée ou résultante est l'information résultant du traitement d'une donnée de base ; l'information de commande ou de décision est l'information qu'il est nécessaire de connaître pour traiter une donnée de base ; Le destinataire Le degré d’institutionnalisation La finalité

6 LES SOURCES D’INFORMATION
Les sources internes Les sources externes Les informations primaires Les informations secondaires Les informations qui proviennent des sources internes sont : Peu coûteuses Directement exploitables Elles doivent être organisées et surveillées en permanence. Les sources externes : on distingue : Sources publiques (OCDE, ONU, CREDOC, INC…) Sources professionnelles (chambres syndicales, chambre de commerce et d’industrie…) Sources privées (Éditeurs, sociétés d’études, NIELSEN, SECODIP) On appelle information primaire la production écrite scientifique elle-même (articles de périodiques, thèses...) par rapport à l’information secondaire qui répertorie, décrit et résume cette production scientifique, dans des bulletins signalétiques, des catalogues, etc.

7 LE CONTRÔLE DE L’INFORMATION
Le contrôle des informations d’entrée : Vraisemblance Redondance Visualisation Codification Le contrôle des informations de sortie : Transmission concordance le contrôle des informations d'entrée la vraisemblance : une année ne peut comporter plus de 52 semaines, le sexe est représenté par 1 ou 2 dans le numéro national d'identité la redondance : les 2ème et 3ème chiffre du n° INSEE avec l'année de naissance la visualisation : contrôle de l'écriture, du remplissage de toutes les zones la codification : la validité de la saisie est contrôlée automatiquement grâce à une clé de contrôle : le numéro d'un chèque, le numéro INSEE… le contrôle des informations de sortie la vraisemblance : les résultats doivent correspondre à un ordre de grandeur normal la transmission : envoie de lettre recommandée avec accusé de réception la concordance : les totaux horizontaux et verticaux d'un tableau à double entrée doivent concorder

8 LA DISPONIBILITÉ DE L’INFORMATION
Une information disponible est une information à la portée de l’utilisateur au moment voulu. Informations légales, illégales Informations ouvertes, fermées Informations formelles, informelles Une information disponible est une information à la portée de l'utilisateur au moment voulu. Les informations disponibles sont de différents types : les informations légales (80 % des informations disponibles) et illégales (l'espionnage) les informations ouvertes (revues scientifiques, magazines spécialisés, banques de données, foires…) et fermées c'est-à-dire d'un accès réservé ou d'un accès plus difficile (lorsque la source n'a pas délivré l'information de son plein gré) les informations formelles sont rédigées ou diffusées sur un support (papier, multimédia, son, image…). Les informations informelles, sont recueillies le plus souvent auprès d'une source orale. Elles sont liées au réseau des relations internes et externes de l'entreprise (clients, concurrents, fournisseurs, sous-traitants…)

9 LA QUALITÉ DE L’INFORMATION
Il faut choisir une information pertinente Fiable À jour Utile Intelligible Précise Rapide Sûre Protégée Peu coûteuse L'efficacité de la décision dépend de la justesse de l'information. On définit ainsi des critères : Fiable : L'information fournie doit être juste, complète et objective. Pour cela, des contrôle de vraisemblance et de redondance sont mis en place. À jour : L'information est, dans la plupart des cas, non durable. Il faut donc remplacer systématiquement les données trop anciennes et être vigilants aux changements économiques, juridiques, financiers… afin de préserver son intérêt. Utile : L'information n'est pas utile ou inutile en soi. Elle doit être adaptée aux besoins de l'utilisateur. Intelligible : L'information doit être comprise par son destinataire, sans aucun doute ni aucune équivoque. Cela suppose qu'un langage commun soit respecté. Précise : L'information ne doit pas être approximative. Néanmoins, une marge d'incertitude doit être définie à l'avance afin d'éviter les risques d'erreur. Rapide : L'information doit être facile et rapide à obtenir en fonction des besoins de l'utilisateur. Cela suppose de limiter au maximum les manipulations. Sûre : L'information ne doit pas être déformée. De plus, elle doit respecter les niveaux de confidentialité préalablement définis. Protégée : L'information doit comporter des sécurités suffisantes pour résister à toutes agressions (malversations, incendies, vols). Les systèmes de sécurité peuvent être des codes d'accès, des boîtes ignifugées… Peu coûteuse : L'information n'est ni gratuite, ni immédiate. Aussi convient-il de prendre en compte son coût d'acquisition et son temps d'obtention. Une information n'a d'intérêt que dans la mesure où le coût d'acquisition de celle-ci est inférieur au coût de l'erreur possible sans cette information.

10 LES COÛTS DE L’INFORMATION
Les coûts d’accès Le coût de stockage Le coût d’utilisation Grâce aux technologies des l'information et de la communication et en particulier grâce à Internet, il devient de plus en plus facile de trouver une information. Toute la problématique va consister à trouver et à diffuser la "bonne" information. Cela engendre plusieurs types de coûts Les coûts d'accès Le coût global d'acquisition des données est composé du coût d'achat des produits documentaires, mais aussi des coûts salariaux des collaborateurs chargés de la collecte et de l'ensemble des tâches administratives liées à la collecte (passation de commande, renouvellement d'abonnements, veille sur Internet). Le coût de stockage de l'information exploitable Le stockage correspond à la conservation organisée des données dans le but de les retrouver ultérieurement. Les dispositifs permettant de stocker des informations sont : le papier imprimé (la moitié des supports d'information), les bandes magnétiques audio et vidéo, les disques optiques numériques (CD-Rom, DVD), les clés USB, la mémoire centrale des ordinateurs… Le coût de stockage a chuté considérablement depuis un certain nombre d'années car les technologies magnétiques (disques…) et optiques (Cédérom, disque optique…) autorisent, dans des conditions d'encombrement très faibles, le stockage d'un volume considérable de données. On considère généralement que le coût de stockage a diminué de près de 200 fois en 10 ans. Le coût d'utilisation de l'information exploitable L'entreprise doit rendre accessible l'information ce qui implique le traitement préalable des documents afin d'en faciliter la diffusion auprès des usagers. Cette accessibilité sera facilitée par la mise en place d'un système de Gestion électronique de documents.

11 METHODOLOGIE DE RECHERCHE
Quelques apports théoriques

12 APPLICATION ÉLÈVE Mise en situation n° 1 1ère phase : Observation
Citez des instruments de recherche que vous connaissez Répondez aux questions suivantes en complétant le tableau ci-dessous 1ère phase : Correction – enchaînement sur les notions théoriques à partir des réflexions élèves

13 INTRODUCTION Plusieurs instruments de recherche :
les moteurs d’indexation les annuaires thématiques les méta-moteurs

14 LES MOTEURS Robots entièrement automatiques qui recherchent les mots clés dans : - le titre des documents - l ’adresse des sites - le texte du site (ex. : Google, Altavista, Exalead…) Les moteurs de recherche sont composés de trois éléments entièrement automatisés : un robot qui collecte les données, un moteur d'indexation qui classe les données, et un moteur d'interrogation qui permet de lancer les requêtes. Un moteur de recherche fonctionne sur le principe de l'indexation. Il visite périodiquement une partie des fichiers accessibles sur Internet et met à jour une base de données comprenant l'indexation de tout ou partie des mots de fichiers visités. Le résultat fourni par le moteur consiste en une liste de pages Web contenant le ou les mots saisies soit dans l'adresse du site, dans le titre ou dans les pages. Lors d’une recherche avec un moteur, lorsque l’on clique sur le lien proposé, on arrive directement à la page concernée.

15 CLASSEMENT DES REPONSES
Moteurs : la pertinence présence des mots clés dans le titre, l ’adresse, le texte nombre de sites qui pointent vers la page nombre de consultations par rapport à la requête Ces résultats sont classés selon un ordre de pertinence. Il existe deux types de critères : In the page : la place des mots formulés dans la requête (adresse, titre, texte, police, fréquence des mots dans les pages…) Off the page : nombre de consultation pour une requête donnée, nombre d'autres pages ou sites Internet y renvoyant. Les moteurs proposent également des sites commerciaux, clairement identifiés (partie droite dans Google : liens commerciaux), ces entreprises ont payé pour avoir « une place de choix » (à condition bien évidemment qu’il y ait une concordance entre la réponse commerciale proposée et la requête)

16 LES ANNUAIRES Constitués avec la collaboration d ’indexeurs (humains), ils offrent des formulaires de requêtes et des rubriques organisées en : - thèmes - sous thèmes (ex. : Yahoo!, Voilà, Lycos…) De plus en plus de services payants Un annuaire, ou répertoire de sites, est une base de données décrivant une sélection de sites et les indexant à l'aide d'une liste de sujets. Il s'agit d'un catalogue de sites, structuré en catégories, et organisé en arborescence. Pour la création d'un annuaire il faut l'intervention d'indexeurs humains qui créent notamment des résumés des sites explorés et les rendent accessibles au moyen de liens hypertextes.. La plupart des annuaires offrent des services payants . Lors de la recherche lorsque l’on clique sur le lien proposé, on arrive directement sur la page d’accueil du site L’annuaire de Google propose aux internautes de devenir « indexeurs » c’est à dire de proposer des sites

17 CLASSEMENT DES REPONSES
Annuaires : classement alphabétique présence des mots clés dans le titre, le résumé, le texte délivrance « d’oscars » En théorie, les adresses des sites sont classés par ordre alphabétique. En pratique la majorité des annuaires associe les fonctionnalités des moteurs de recherche, le classement se fait donc également en fonction de la pertinence. Certains sites délivrent des oscars pour les sites non commerciaux afin de leur attribuer en quelque sorte une note en fonction de l’avis des indexeurs.

18 LES META-MOTEURS Robots automatiques qui cherchent les mots clés sur plusieurs moteurs à la fois (ex. : Metacrawler, Akooe, Kartoo, Copernic…) Un métamoteur lance la recherche sur plusieurs moteurs et/ou annuaires de sites et affiche les résultats fournis par les instruments de recherche qu'il a utilisés. Cependant, leur efficacité est limitée dans le cas d'une recherche complexe. En effet, la syntaxe n'étant pas la même pour tous les outils, la pertinence des résultats peut être réduite. Corpernic est un outil à part, puisqu’il s’agit en réalité d’un logiciel qui doit être installé sur l’ordinateur (téléchargeable gratuitement dans sa version de base) . Il lance simultanément la recherche sur plusieurs moteurs (comme les métamoteurs classiques)

19 LES PORTAILS Sites le plus souvent thématiques qui se veulent une « porte d’entrée » sur le web. Ils se composent généralement : d’un moteur de recherche et/ou d’un annuaire de sites Le portail est souvent le site par lequel un internaute entame son « surf » Site web se présentant comme UN INVENTAIRE, spécialisé dans un domaine ou non, dans lequel les sites référencés sont classés par catégorie et accessibles au moyen de liens hypertextes. On parle de portail notamment pour les pages d’accueil des fournisseurs d’accès. Ainsi sur la page d’accueil de AOL ou YAHOO… on trouve des informations diverses, la possibilité de faire une recherche à l’aide d’un annuaire (arborescence), ou bien à l’aide d’un moteur associé.

20 LE WEB INVISIBLE Le web invisible est l'ensemble des documents (textes, vidéos, images…) du web qui n'est pas indexé par les outils de recherche traditionnels : Sites protégés par mot de passe Absence de liens hypertextes Navigation par requêtes Délai de rafraîchissement Taille des pages… Le web invisible est l'ensemble des documents (textes, vidéos, images…) du web qui n'est pas indexé par les outils de recherche traditionnels. Les documents constituant le web invisible peuvent être dynamiques (non localisables), non référencés (volontairement ou non), ou de nature non indexable (ex. : les animations Flash). Divers obstacles s'opposent aux robots : Sites protégés par mots de passe, (les moteurs ne sont pas capables de saisir des informations au clavier) Formats de fichiers : HTML est le format natif du web reconnu par tous les robots mais beaucoup se sont ajoutés. Tous les robots n’indexent pas certains autres formats (pdf et PostScript ; xls ; ppt ; doc ; rtf…) Pages HTML statiques/pages HTML dynamiques : les robots ont besoin de suivre des liens à l'intérieur du site afin de pouvoir indexer les pages correspondantes. Si les pages dynamiques ne peuvent être accédées que par le biais de l'interrogation d'un formulaire, celles-ci ne pourront pas être indexées par les moteurs. Les robots stoppent : quand ils rencontrent une URL contenant un point d'interrogation. Absence de liens hypertextes : L'information de presse : de plus en plus de sites de presse (quotidiens, radio, télévision…) diffusent en temps réel de l'information. Les robots classiques sont incapables de suivre. (le délai moyen de rafraîchissement de l'index est de 4 semaines). Pages tronquées : les robots n'indexent pas entièrement les pages, ainsi Google se limite à 101 Koctets.

21 APPLICATION ÉLÈVE Mise en situation n° 1 2ème phase : Analyse
Vérification des notions de cours 2ème phase : Correction – renforcement des notions théoriques

22 METHODOLOGIE DE RECHERCHE
La démarche

23 MÉTHODOLOGIE DE RECHERCHE D’INFORMATIONS
Cette méthodologie suit les étapes suivantes : La détermination précise des questions la traduction en mots clés l'association des mots clés à des opérateurs booléens le choix des outils de recherche adaptés l’approbation de l’expression de recherche Cette méthodologie suit 5 étapes : La détermination précise des questions auxquelles on veut apporter une réponse (exemples : informations générales sur un marché, sur une entreprise, sur un secteur d'activité…) la traduction en mots clés de ces questions en rapport avec la recherche, il est nécessaire de trouver des mots associés, des synonymes et ne pas se contenter de réécrire les mots de la question l'association des mots clés à des opérateurs booléens de façon à restreindre ou à étendre le champ de la recherche. le choix des outils de recherche adaptés : cette étape passe par la sélection de moteurs ou de métamoteurs de recherche, puis le lancement de la recherche sur les différents outils et la comparaison des résultats. Les sources obtenues doivent ensuite être validées. l'approbation de l'expression de la recherche : en fonction de la pertinence des résultats de la requête, la recherche sera adaptée ou reformulée, en utilisant éventuellement des termes issus des documents validés et sélectionnés.

24 LA FORMULATION DES REQUETES
cancer cancer -horoscope -tropique cancer peau +cancer +peau chat* / chat « rhume des foins » La formulation des requêtes n’est utile que lorsque l’on utilise un moteur de recherche, (en cas d’utilisation d’annuaires, il suffit de suivre l’arborescence proposée). Lorsque l’on lance la recherche « cancer » on trouve tout ce qui se rapporte à la maladie, mais aussi tous les sites qui traitent d’astrologie (signe du zodiaque) et également les sites à caractère géographique ou touristique qui parlent du Tropique du Cancer Afin de limiter la recherche à la maladie par exemple, il est nécessaire d’exclure de la requête les thèmes « parasites ». Pour cela on utilise le signe « - » accolé au mot qu’il doit exclure. Ainsi la recherche « cancer –horoscope –tropique » donnera comme résultats les sites ayant dans leur texte (ou titre) le mot « cancer » mais pas le mot « horoscope » ni le mot « tropique ». Bien sur il aurait également été nécessaire d’exclure les mots synonymes comme zodiaque… Si l’on lance une recherche avec les mots clés « cancer peau », le moteur (ou le métamoteur) proposera en réponse d’abord les sites dans lesquels les deux mots sont proches, puis de plus en plus éloignés. Enfin il proposera les sites contenant uniquement le mot « cancer » puis uniquement le mot « peau » : L’ESPACE VEUT DIRE OU Si l’on souhaite trouver les deux mots il sera nécessaire d’ajouter le signe « + » accolé au mot. Attention cela garantit la présentce des mots dans le texte mais pas le contexte, ainsi il pourra s’agir du tropique du Cancer et de la peau… de banane. Il est possible d’associer autant d’opérateurs différents que nécessaire. En fonction des instruments de recherche utilisés il est nécessaire d’utiliser un symbole de troncature « * ». Ainsi lors d’une recherche sur Altavista si l’on souhaite obtenir des résultats concernant « le chat » (animal ou technique de communication) il suffit de taper le mot clé, mais si l’on souhaite élargir aux mots : chats (pluriel), chatte (féminin), chattes (féminin pluriel), chaton, chatons, il sera nécessaire d’ajouter le symbole de troncature « * ». Cette recherche donnera également pour résultat : chatoyer, chatoyant… D’autres instruments de recherche comme Google proposent une « troncature automatique » ainsi « capi » donnera : capitaine, capitale, capitole, capitainerie…. Si l’on souhaite absolument trouver une locution dans son intégralité, il faudra utiliser les guillemets. ATTENTION toutefois car lors d’une recherche de ce type la locution « rhumeS des foins » ne sera pas trouvée. REMARQUES : il ne faut pas « alourdir la requête » avec des mots inutiles voire parasites, par exemple les articles, les mots de liaison… Evitez les verbes, car il faudrait envisager toutes les conjugaisons.

25 LES OPERATEURS LOGIQUES
OU, OR (espace) ET, AND (+) SAUF, NOT (-) le symbole de troncature (*) texte groupé («  ») En résumé, les opérateurs logiques (ou opérateurs booléens) sont en partie communs aux différents moteurs de recherche. Le libellé des requêtes sur un instrument de recherche est primordial. L'utilisation d'opérateurs logiques affine utilement une recherche, dont les résultats sont classés en trois catégories : Pertinence : les résultats correspondent à ce que l’on recherche (la requête était bien formulée) Bruit : trop de résultats qui ne correspondent pas à ce que l’on souhaite trouver (il faut reformuler la requête) Silence : pas suffisamment de résultats, il faut reformuler la requête et éventuellement utiliser des synonymes OU / OR / Espace : Si les mots clés d'une requête sont séparés par un espace, l'instrument de recherche trouvera :les sites contenant tous les mots clés (même éparpillés)les sites contenant un mot clé OU un autre OU … ET / AND / + : Si l'on souhaite que tous les mots clés soient contenus dans le site :il faut les faire précéder du signe + (ex. : +cancer +peau). Attention ils peuvent être présents mais dans des contextes totalement différents SAUF / NOT / - : Si l'on souhaite exclure de la recherche un mot clé :indiquer ce mot clé interdit précédé du signe – (exemple : +cancer –horoscope) Expression complète « …. » : Si l'on souhaite que la recherche porte sur une expression complète, exacte : indiquer ces mots clés entre guillemets (ex. : "rhume des foins"). Attention : ne trouvera pas "rhumes des foins« Troncature / * : Si l'on souhaite trouver tous les sites contenant un mot clé commençant par ….: écrire la racine suivie d'un astérisque (ex. : chien*) pour certains moteurs la troncature est automatique (google.fr)

26 APPLICATION ÉLÈVE Mise en situation n° 2
1ère phase et 2ème phase : Observation et Analyse Vérification des notions de cours (exercices 1 et 2 et 3) 1ère phase et 2ème phase : Correction – enchaînement vers la notion de casse et d’accents, élargissement vers la notion de recherche spécifique.

27 MÉTHODOLOGIE DE RECHERCHE D’INFORMATIONS
Recherches spécifiques : images blogs actualités veille… Afin d’obtenir une plus grande pertinence des réponses, et en fonction du contexte, il est indispensable d’affiner la recherche en fonction de certains critères : Géographiques ou linguistiques (il est inutile de lancer une recherche sur le web mondial, si on ne parle que le français, une telle recherche génère trop de « bruit ») Thématiques : si l’on recherche une image ou une vidéo, il sera utile de rechercher directement ce type de document (bien que des résultats intéressants puissent se trouver ailleurs) Si l’on souhaite obtenir des informations très récentes et compte tenu du délai de rafraîchissement des index des moteurs, il peut être judicieux d’utiliser les fonctionnalités avancées de certains de ces moteurs Certains outils permettent également d’obtenir sur sa boite mail directement des informations correspondant à une requête donnée.

28 METHODOLOGIE DE RECHERCHE
Le contrôle

29 VALIDATION DES SOURCES
LECTURE DE L’ADRESSE : (de droite à gauche) Première partie de l'adresse Domaine de premier niveau (.fr, .it, .gouv, .com…) Domaine de deuxième niveau (nom du site) http et www permettent de localiser le site sur la toile (protocole) Deuxième partie de l'adresse Indique l’adresse et le format de la page à l’intérieur du site L'adresse d'un site donne des informations qui peuvent permettre de valider les sources Première partie de l'adresse est l'adresse du site ou U.R.L. Un URL : Universal Resource Locator. Les adresses doivent être lues de droite à gauche, donc de la fin de l'adresse vers son origine. .fr : "Top Level domaine name" (Domaine de Premier Niveau) Le domaine identifie l'origine de l'hébergeur du site. Pour qu'un ordinateur sache où joindre un autre ordinateur sur Internet, il a besoin de connaître son adresse IP (Internet Protocol : son numéro d'identification). Un nom de domaine permet d'associer des mots (plus faciles à retenir) à ce numéro. Les domaines identifient des sous-parties ou des régions du réseau Internet. Un Top Level Domain peut être générique ou géographique : Les noms de domaines génériques sont attribués en fonction du type d'individus ou d'entreprise qui est propriétaire du site : .com : site commercial ou site généraliste (par défaut) .gouv : institution gouvernementale française .cci : chambre de commerce et d'industrie .org : structure à but non lucratif Les noms de domaines géographiques sont fonction du lieu où réside le propriétaire : .fr, .de, .it…. abréviation du nom du pays (France, Allemagne, Italie…) auchan. : est le domaine de second niveau. Il identifie la société ("Auchan") à laquelle appartient le site. www. (World Wide Web) : qualifie la "toile d'araignée" des sites web hébergés autour de la planète. : Hyper Text Transfer Protocol : c'est un protocole technique utilisé sur le Web pour transférer des fichiers entre le serveur et l'utilisateur. Seconde partie de l'adresse donne en plus l'adresse d'une page dans le site : services : répertoire / puis sous-répertoires index.asp : le nom de fichier de la page Web se termine par .htm, .html ou par d'autres extensions désignant différents langages de programmation (.asp, .xml, .php…)

30 VALIDATION DES SOURCES
ORIGINE DU SITE : la page d'accueil est-elle datée ? quelle est la date de la dernière mise à jour du site ? s'agit-il d'une source stable, produite et mise à jour par une source institutionnelle ? les auteurs du site sont-ils des spécialistes dans le domaine ? si la page est trouvée à l'aide d'un moteur, remonter jusqu'à la page d'accueil du site permet-il de vérifier l'appartenance de la page à un site fiable ? la page d'accueil est-elle datée ? quelle est la date de la dernière mise à jour du site ? s'agit-il d'une source stable, produite et mise à jour par une source institutionnelle ? les auteurs du site sont-ils des spécialistes dans le domaine ? si la page est trouvée à l'aide d'un moteur, remonter jusqu'à la page d'accueil du site permet-il de vérifier l'appartenance de la page à un site fiable ?

31 VALIDATION DES SOURCES
CONTENU : le site est-il mis à jour régulièrement ? le site a-t-il un objectif commercial ? l'information est-elle gratuite ou payante ? dispose-t-on d'un moteur de recherche interne au site, d'un plan du site ou d'un sommaire ?

32 APPLICATION ÉLÈVE Mise en situation n° 3
1ère phase et 2ème phase : Observation et Analyse Vérification des notions de cours (exercices 1 et 2 et 3) 1ère phase et 2ème phase : Correction

33 APPLICATION ÉLÈVE Mise en situation n° 4 - Évaluation Exercices 1 et 2
Vérification des notions de cours Correction


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