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Boulogne-Billancourt

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Présentation au sujet: "Boulogne-Billancourt"— Transcription de la présentation:

1 Boulogne-Billancourt
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2 Boulogne-Billancourt
Un peu d’Histoire……

3 Boulogne-Billancourt son origine : au Moyen-Âge
3 Boulogne-Billancourt son origine : au Moyen-Âge Billancourt est une grande ferme qui appartient à l’Abbaye de St-Victor. Boulogne, appelé alors les Menuls-les-Saint-Cloud, est un petit village qui est donné par le roi Louis VI le Gros ( ) à l’abbesse de Montmartre qui en devient « le seigneur ». Ce village est entouré de vignes et de la forêt « de Rouvray ». Un pont (qui deviendra le pont de St-Cloud) reliant les deux villages est construit en 1189. En 1250, Isabelle, la sœur de Saint-Louis, fonde au nord du village, l’abbaye de Longchamp (détruite à la Révolution) qui deviendra plus tard l’hippodrome de Longchamp. En 1308, le roi Philippe IV Le Bel ( ) marie sa fille au roi d’Angleterre à Boulogne-sur-Mer où se perpétue le culte marial. Il choisit alors d’édifier aux Menuls une église dédiée à Notre-Dame de Boulogne. Le village des Menuls-les-Saint-Cloud devient alors le village de Boulogne. La forêt de Rouvray devient le bois de Boulogne.

4 4 Les travaux de l’église commencent en 1320 sous le règne Philippe V Le Long, fils de Philippe IV le Bel et à la fin des travaux, la paroisse prend le nom de Boulogne la Petite. Jusqu’à la Révolution, les pèlerins se rendent en procession à l’église Notre-Dame de Boulogne. Jean le Bon, Du Guesclin et Jeanne d’Arc y seraient venus. Le village de Boulogne-la-Petite s’accroît et prend alors le nom de Boulogne.

5 Boulogne-Billancourt De la Renaissance à Napoléon III
5 Boulogne-Billancourt De la Renaissance à Napoléon III L’abbesse de Montmartre possède une ferme de 26 ha qu’elle fait exploiter par un fermier. L’abbesse de Longchamp a, elle aussi, une ferme de 60 ha. Des paysans sont aussi propriétaires de petites parcelles et cultivent du seigle, des légumes et des fruits. Ils ont, également, des vignes. En 1500, les vignes cèdent la place à des champs de blé, de luzerne et d’asperges. Mais petit à petit, les paysans vendent leurs terrains à des aristocrates qui désirent construire leur maison de plaisance afin de ne pas être trop loin du roi François 1er qui a son château de Madrid au nord de la forêt de Boulogne. Les Gondi, financiers de Catherine de Médicis, font construire un palais florentin sur les hauteurs du village de St-Cloud. Sous Louis XIV, Charles Jean-Baptiste Fleuriau d’Armenonville ( ) est propriétaire d’un château situé entre l’abbaye de Longchamp et le village de Boulogne. Sous Louis XV, la famille Meulan fait édifier un château (qui deviendra le château Buchillot et qui abrite aujourd’hui les sculptures de Paul Belmondo). Le roi Louis XV permet aux princes de Conti (ses cousins) de chasser dans la forêt de Boulogne, appelée alors « le parc des Princes ».

6 6 Sous Louis XV, la famille Meulan fait édifier un château ( qui deviendra le château Buchillot) Acheté par la commune, il abrite aujourd’hui les sculptures de Paul Belmondo. e

7 Boulogne-Billancourt Le parc aux Princes est loti dès 1855
7 Boulogne-Billancourt Le parc aux Princes est loti dès 1855 et est appelé le quartier des Princes dès 1925. En 1840, Adolphe Thiers décide la construction d’une nouvelle enceinte de Paris afin de protéger la capitale d’éventuelles attaques et prend du terrain à la ville de Boulogne. En 1855, le Parc des Princes est loti mais avec interdiction d’y bâtir des commerces, des usines et avec l’obligation d’enclore la propriété d’une grille de fer. L’une des premières propriétaires est la princesse Zénaïde Youssoupoff. Sa demeure est habitée, dès 1906, par le Grand-Duc Paul (fils du Tsar Alexandre II) et sa famille. Les plus fortunés, tel le baron James de Rothschild, viennent jouir du paysage champêtre boulonnais et achètent des terrains et propriétés. Ce dernier fait édifier en 1856 un château à l’emplacement de celui de Fleuriau d’Armenonville. En 1860, Napoléon III prévoit le rattachement du village de Billancourt à Boulogne et pour ne pas mécontenter les habitants, il joint les deux noms. Au lendemain de la Révolution Russe d’octobre 1917, arrivent à Boulogne-Billancourt des officiers et des civils blancs fuyant le Bolchevisme. Les plus nantis se logent dans le quartier des Princes et les autres vers les usines Renault, dans le quartier Billancourt qui prend, par dérision, le nom de Billankoursk.

8 Avenue Robert Schuman : l’état de l’hôtel Youssopoff
8 Avenue Robert Schuman : l’état de l’hôtel Youssopoff La princesse Zénaïde Youssoupoff demeura dans ce bel hôtel particulier du Second Empire, puis le Grand-Duc Paul, fils du tsar Alexandre II, exilé de Russie suite à son mariage morganatique et ses idées trop libérales. Mais après la Révolution Russe d’octobre 1917, l’Etat Français réquisitionne l’hôtel et le revend à l’Institution religieuse Dupanloup.

9 Boulogne-Billancourt Le parcours des années 1924-1932

10 10 Rue Rochereau, au carrefour Denfert Rochereau : maisons locatives du XIXe siècle Le baron Haussmann fait donc lotir petit à petit le Parc des Princes (de Conti).

11 Style normand ou style Napoléon III
Rue Max Blondat Nom d’un sculpteur 1930 11 Style normand ou style Napoléon III Le duc de Morny, demi-frère de Napoléon III, est un redoutable homme d’affaires. Il vient de créer Deauville avec ses maisons de villégiature où aristocrates et riches bourgeois se rassemblent. Le style normand est né : toit en ardoise, lucarnes, pierres meulières et colombages peints. Ce style se propage dans la région parisienne qui garde aussi le style Napoléon III : maison cube au toit également en ardoise. Toutes les maisons, de style normand ou Napoléon III, sont protégées par de hautes grilles. Dans cette rue, il y avait la maison et l’atelier du sculpteur Paul Landowski, grand prix de Rome. Sa maison a été détruite pour faire place à son musée en sous-sol.

12 Le centre culturel porte son nom.
12 Qui est Paul Landowski ? Paul Landowski ( ) s’intalla en 1906, à Boulogne-Billancourt dans le « Parc des Princes des Conti », rue Moisson-Desroches (rue qui deviendra la rue Max Blondat). Il y vécut et y travailla jusqu’à sa mort en Sa villa fut détruite pour y construire un immeuble locatif et à l’emplacement des sous-sols de la maison, un musée présente les œuvres de ce sculpteur talentueux. Le sculpteur Paul Landowski ( ), mascotte de la ville de Boulogne-Billancourt. Le centre culturel porte son nom.

13 13 1924 Rue Gutenberg Un riche Boulonnais se fait construire, en 1924, une propriété constituée de deux corps de bâtiments identiques, séparés par un jardin.

14 14 1924 Style régionaliste, empruntant la briquette réalisée industriellement. Guirlandes de fleurs et cornes d’abondance Art Déco A l’intérieur, fontaine transformée aujourd’hui en jardinière. Rue Gutenberg La maison du riche Boulonnais pour abriter toute sa famille, y compris la belle-mère

15 La France se reconstruit après l’effroyable
15 1930 La France se reconstruit après l’effroyable guerre Certains notables vont faire appel aux architectes de renom pour édifier à Boulogne, dans le quartier des Princes, leur villa extrêmement moderne, utilisant le béton armé plutôt que la pierre et la briquette, avec des grandes baies vitrées pour y faire entrer la lumière Les paquebots « le France II » et « le Paris » font la une des journaux et certains français aux rentes assurées s’offrent déjà des croisières pour se rendre en Amérique. Rue Gutenberg Maison 1930 Art Déco : construction en béton armé, grande baie vitrée à ossature métallique, hublot, garde-fou moderne, le tout rappelant un paquebot.

16 16 Rue Gutenberg Même si les villas ont un aspect moderne, elles gardent parfois un décor du XIXe siècle

17 19 24 Le phalanstère des sculpteurs-graveurs de l’allée des Arts 17
En 1924, Les sculpteurs Oscar Miestchaninoff et Jacques Lipchitz et le graveur Victor Canal font appel à l’architecte Le Corbusier (associé à son cousin Pierre Jeanneret) . Il construit de grands ateliers aux grandes baies vitrées exposées au Nord et un espace d’habitation, le tout donnant sur un beau jardin commun. Un pont suspendu, tel un bastingage de bateau relie les deux bâtiments, celui de Lipchitz (en blanc) et celui de Miestchaninoff (en jaune). Mais Lipchitz ne s’entendra pas avec Le Corbusier et préfèrera vendre la villa avant qu’elle ne soit finie. Le pont, en définitive, ne relie pas les deux villas. Allée des Arts De nombreux artistes, très en vogue, décident de se regrouper en phalanstère.

18 1924 Qui est Lipchitz ? 18 Allée des Arts
Il arrive à Paris en 1909 , prend des cours aux Beaux-Arts puis à l’Académie Julian. En 1913, il crée la femme au serpent. Il prend la nationalité française et vit à Boulogne, dans le quartier des Princes. Comme il est juif, il émigre à New-York en 1941 et devient citoyen américain en 1958. Il décède en Italie mais est inhumé à Jérusalem. 1924 Jacques et Berthe Lipchitz par A. Modigliani Allée des Arts La villa blanche qui aurait dû appartenir à Chaim Jacob (ou Jacques) Lipchitz ( ).

19 1924 Qui est Oscar Mietschninoff ? 19 Allée des Pins
C’est un peintre et surtout un sculpteur français d’origine biélorusse. Après un passage à l’école des Beaux Arts d’Odessa, il quitte la Russie en 1906 pour se rendre à Paris où il s’inscrit à l’école des Arts Décoratifs et à l’école des Beaux Arts. De nombreux artistes russes se retrouvent dès 1913 à Montparnasse. Mietschininoff a son atelier cité Falguière et il y reçoit Zadkine, Chagall, Lipschitz et bien d’autres puis Modigliani qu’il protège. Beaucoup d’artistes russes occupent « la Ruche ». Puis il se rend en en Asie (Vietnam, Birmanie, Cambodge, Siam) et à son retour il expose ses œuvres à Paris mais aussi dans toutes les capitales de l’Europe. C’est la notoriété. 1924 Allée des Pins A l’angle de la maison de Mietschaninoff, un escalier cylindrique.

20 20 Qui est Canal ? Victor Suret-Canale ( ) est originaire de Neuilly. Il fut élève au Collège Ste-Croix où il rencontra Sacha Guitry avec qui il se lia. Il fréquenta l’atelier de décoration de l’Ecole Bernard Palissy. Il fut surtout un spécialiste des médailles et des épées pour Académiciens 1924 Sa femme Thérèse ( ), artiste peintre issue de l’Académie Julian, le seconda au sein de leur entreprise de gravure. L’un des premiers garages. A l’époque, rares ceux qui possèdent une voiture. Allée des Pins A côté de la maison jaune d’Oscar Mietschaninoff, la maison rouge de Victor Suret-Canale

21 est plus connu sous le pseudonyme de « Le Corbusier ».
21 Charles-Edouard Jeanneret-Gris (né en Suisse en décédé en France en 1965) est plus connu sous le pseudonyme de « Le Corbusier ». Il est architecte, urbaniste, décorateur, peintre, sculpteur et homme de lettres. Il sera l’architecte le plus sollicité de Boulogne-Billancourt. Il prend la nationalité française en 1930.

22 Aquarelle de Christian Bénilan
22 Aquarelle de Christian Bénilan 1927 15, allée des Pins En 1927, Le Corbusier construit une villa pour le musicien Paul Ternisien et son épouse, artiste peintre mais en 1932, les propriétaires engagent une procédure pour malfaçons

23 Femmes au balcon d’A. Lombard Carrefour des anciens combattants :
23 Qui sont Alfred Lombard et Pierre Patout ? 19 3 Alfred Lombard, peintre marseillais et Pierre Patout se connaissent bien. Ils ont travaillé ensemble pour l’aménagement et les décors des grands paquebots (Ile de France et le Normandie). Alfred Lombard commande à son ami sa villa ultra moderne en béton lisse, avec de multiples décrochements et surtout une baie vitrée de 20 m² (son atelier) donnant sur le bois de Boulogne. Femmes au balcon d’A. Lombard Carrefour des anciens combattants : la maison du peintre Alfred Lombard ( ) édifiée par Pierre Patout ( )

24 24 Le nouvel architecte, Georges Henri Pingusson ( ), dut faire face à la difficulté de bâtir un immeuble en forme de triangle. Il décide néanmoins de conserver la forme de proue de la maison précédente de Le Corbusier. Ce bâtiment évoque l’architecture des paquebots, notamment « le Normandie » avec ses hublots. Pingusson reprend le principe de l’angle en verre pour avoir un éclairage maximum. Toutefois, l’étroitesse de l’immeuble ne permettra pas d’y inclure un ascenseur et il faudra prendre l’escalier central. 1936 15, allée des Pins La villa des Ternisien est démolie et remplacée par un immeuble de rapport en 1936

25 Cette maison est sur pilotis libérant alors le sol.
25 Le Corbusier ( ) a construit la maison suivante pour un journaliste américain, M. Cook. Cette maison est sur pilotis libérant alors le sol. Fenêtres en longueur. Toit-terrasse accessible. Le Corbusier est l’initiateur du « Mouvement moderne architectural » mais il est aussi sculpteur, urbaniste, peintre et écrivain. La maison suivante est de Raymond Fischer ( ). Celui-ci s’est formé auprès du Viennois Adolf Loos. Résolument moderne, la façade est en béton lisse, fenêtres en longueur et toit-terrasse comme celle de Le Corbusier. L’intérieur est décoré par Leleu. Rue Denfert Rochereau : villas différentes construites par des architectes différents : Robert Mallet-Stevens, Le Corbusier et Raymond Fischer.

26 Le casino de St-Jean-de Luz (1928)
26 La première des trois maisons mitoyennes est l’œuvre de Robert Mallet-Stevens ( ) pour Mme Collinet. L’escalier est situé sur le côté et est éclairé par une étroite fente vitrée. La façade est entièrement en béton blanc et ne comporte aucune décoration. Mallet Stevens est un architecte de renom à l’époque où il construit cette villa. Il a déjà édifié pour Laure de NoaIlles une villa luxueuse à Hyères entre 1924 et 1933. Le casino de St-Jean-de Luz (1928) et les pavillons pour les expositions de 1925 et 1937 sont également ses œuvres. 1926 Rue Gambetta La Villa Collinet

27 27 Rue Gambetta Toutes les villas possèdent un jardin privatif derrière les hautes grilles.

28 Carrefour des anciens combattants
28 Carrefour des anciens combattants L’entrée du Bois de Boulogne avec ses petits pavillons

29 29 Rue Gambetta La villa Niermans (n°3) et l’hôtel particulier de Gilbert Crances (n°5)

30 1935 30 Jean (1897-1989) et Edouard (1904-1984) Niermans
sont déjà des architectes de renom. Ils ont déjà construit les hôtels de ville de Puteaux et d’Alger et feront plus tard les salles de concert de la Maison de la Radio. Jean Niermans réalise cette maison pour lui-même où il va demeurer avec son épouse mais aussi sa mère. Chacun a son étage. Au rez-de-chaussée et au premier étage : les pièces de service. 3 Rue Gambetta La villa Niermans

31 31 Emilio Terry ( ) est issu de la riche société Cubaine. Il fait partie du cercle mondain boulonnais et montre ses talents de dessinateur, passionné d’architecture. L’un de ses amis, Gilbert des Crances, lui demande la construction d’un hôtel de réception, à la fois moderne et néo-classique. Petit chef d’œuvre. Cet hôtel fut acheté par la suite par E. Piaf pour abriter ses amours avec M. Cerdan 1931 5 Rue Gambetta L’hôtel des amours d’Edith Piaf et de Marcel Cerdan

32 Des villas style Deauvillois
32 Rue Gambetta Des villas style Deauvillois

33 Spécialisé dans la période du Premier Empire.
33 Paul Marmottan ( ) , collectionneur d’art, écrivain historien et critique d’art, Spécialisé dans la période du Premier Empire.

34 Avant tout un passionné. Spécialisé dans la période du Premier Empire.
34 Qui est Paul Marmottan ? Avant tout un passionné. Comme son grand-père et son père, il collectionne les œuvres d’art du Premier Empire. Petit fils d’un riche industriel du Nord, il passe sa vie à s’instruire mais acceptera un poste de conseiller de Préfecture, poste qu’il quittera bien vite. Il voyage alors beaucoup, surtout en Europe et visite les lieux des campagnes napoléoniennes et les résidences de la famille Bonaparte. Il achète un terrain dans le parc des Princes à Boulogne pour y construire son hôtel où il entrepose ses trésors. A sa mort, en 1932, il lègue son hôtel particulier parisien (le musée Marmottan) et son hôtel boulonnais devenue la Bibliothèque Marmottan. Paul Marmottan ( ) , collectionneur d’art, écrivain historien et critique d’art, Spécialisé dans la période du Premier Empire.

35 Place Denfert Rochereau
35 Place Denfert Rochereau La villa Marmottan devenue aujourd’hui la Bibliothèque Marmottan

36 36 Au croisement de la rue Salomon Reinach et de l’avenue Robert Schuman (n°16) Villa de M. Dujarric de la Rivière, biologiste et de sa femme, organiste.

37 Au croisement de la rue Salomon Reinach et de l’avenue Robert Schuman
37 19 3 Au croisement de la rue Salomon Reinach et de l’avenue Robert Schuman Jean-Léon Courrèges ( ) est un spécialiste du style régionaliste

38 19 3 6 38 Au 32 bis, rue de la Tourelle
La maison d’Albert Préjean construite par Marcel-Victor Guilgot

39 Hôtel construit par Jean Hillard.
39 L’architecte Jean Hillard ( ?) a déjà réalisé de nombreux hôtels particuliers dans le 16e arrondissement et à Auteuil quand il commence cette construction. Il est influencé par l’architecture anglaise et hollandaise avec ces bow-windows en saillie. Il joue également au niveau du revêtement, tantôt enduit, tantôt en pierres ou briquettes. Il aménage les combles et les rend habitables (ce qui est exceptionnel à cette époque) par la mise en place de chiens-assis couverts d’ardoises ou de tuiles plates. rue du Parc Hôtel construit par Jean Hillard.

40 40 19 3 1 Constant Lefranc ( ), connu pour avoir réaménagé « la Tour d’Argent » et le restaurant de l’hôtel George V, réalise en 1931 un groupe de 5 immeubles construits en arcs de cercle. Le traitement des façades est extrêmement soigné, fait de béton enduit et d’un revêtement de pierre classique. La ferronnerie d’art des balcons est de E. Brandt ( ). Au 60 et 62 , rue de la Tourelle Groupe d’immeubles collectifs inspirés des HBM de la ville de Paris

41 Les bâtiments épousent harmonieusement la courbe de la rue
41 Rue Belvédère Les bâtiments épousent harmonieusement la courbe de la rue

42 42 5, Rue Belvédère Bâtiment conçu par R. Bornay, ingénieur-conseil. La façade a une allure néo-classique épurée

43 Villa pour l’artiste Froriep de Salis d’André Lurçat (1894-1970)
43 19 2 7 9, rue du Belvédère Villa pour l’artiste Froriep de Salis d’André Lurçat ( )

44 44 19 2 9 21, rue du Belvédère Villa de la sculptrice russe Dora Gordine ( ), construite par Auguste Perret ( )

45 45 Rue Belvédère Les bâtiments en béton armé épousent harmonieusement la courbe de la rue

46 Boulogne-Billancourt Et ses édifices futuristes

47 47 Rue M. Loyau Bâtiment futuriste

48 de la chasse royale au football populaire
48 Le Parc des Princes de la chasse royale au football populaire Cet endroit fut utilisé dès le 18e siècle comme un lieu de détente, de chasse et de promenade prisé par le roi et les princes de sang. Louis XV l’abandonna néanmoins au profit de ses cousins, les princes de Conti qui y chassèrent pendant plus d’un siècle. Petit à petit, la riche bourgeoisie adopte ces bois, d’autant que Napoléon III lance, en 1856, un projet d’aménagement en faisant lotir toute une grande partie de ce parc. Au temps de la 3e République, sous l’influence de Coubertin, il fut décidé d’aménager un lieu qui rassemblerait plusieurs sports athlétiques et collectifs (le cyclisme, le rugby et le football). Un stade ovale et des tribunes, comme les arènes, sont édifiés. Le premier « Parc des Princes » fut inauguré en juillet 1897. Devenu beaucoup trop petit et obsolète, alors de grands travaux de réaménagement sont entrepris en 1930 et se terminent en 1932. En 1972, à la demande de la ville de Paris, l’architecte Roger Taillebert prévoit une nouvelle enceinte et de nouvelles tribunes spectateurs de toutes conditions sociales y sont admis à condition qu’ils achètent – un bon prix – leur place.

49 49 Un second stade (stade Jean Bouin) est créé à côté en 1925 et comporte places. Il est rénové en 1970 puis une seconde fois en 2013. Il dispose aussi d’un terrain de hockey sur gazon et de 15 courts de tennis. En 2015, il est recouvert d’une toiture métallique futuriste à claire-voie. Rue du Cdt Guillebaud Le stade Jean Bouin (résolument futuriste) et le stade du Parc des Princes (1972)

50 Fin Ce diaporama est à usage non commercial Il ne doit pas être publié
Il est adressé gratuitement par courrier électronique aux amis des amis Il ne doit pas être modifié Aucune de ses vues ne doit en être extraite Merci de respecter ces consignes La réalisatrice : Cath ou l’Oiseau de Feu Pour voir ou revoir ses diaporamas, vous avez deux possibilités : Cliquez sur le site canadien de Léo : Ou bien allez sur Google et écrivez : Oiseau de Feu – Léo Dans les deux cas, vous devez enregistrer le diaporama pour pouvoir le visionner. Mais à présent, elle possède un site, encore peu étoffé, mais cela viendra…….. Fin Musique Country de Max Taynor La réalistrice et 3 de ses amis Claude, Jacky et Jean-Pierre.


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