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eXtensible Markup Language

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Présentation au sujet: "eXtensible Markup Language"— Transcription de la présentation:

1 eXtensible Markup Language
Xavier Blanc

2 Plan De HTML à XML Documents bien formés Documents valides Liens
Feuilles de style Traitement de documents XML Applications

3 de HTML à XML Généralités

4 HTML Langage à balises Balises obligatoires (head, body, …)
Balises à valeur sémantique (h1, meta, …) Balises à valeur d’habillage (center, small, ..) Nombre fini de balises Balises différentes suivant les navigateurs Pas d’évolution possible pour l’utilisateur

5 HTML Aucune séparation de la forme et du fond
Balises de fond (Meta, Head, …) Balises de forme (center, small, …) Balises de fond & forme (h1, h2, …) Durée de vie limitée à la durée de vie des outils capables de visionner ces documents.

6 L’apport de XML Ensemble non fini de balises
L’utilisateur peut créer de nouvelles balises Séparation de la forme et du fond Un document XML sera constitué d’au moins deux entités (le fond et la forme) Séparation du contenu et de la grammaire Permet la validation des documents

7 Historique XML est un standard un W3C (World Wide Web Consortium)
XML est basé sur le standard SGML Les travaux de XML ont commencé en 1996 En 1999, XML est considéré comme étant le standard d’échange d’information du futur

8 règles syntaxiques de XML
Documents bien formés règles syntaxiques de XML

9 Un document XML bien formé
Exemple de document XML : <livre> <titre> le super livre </titre> <chapitre> <numero> 1 </numero> <titre> titre du chapitre 1 </titre> <contenu> blabla blabla </contenu> </chapitre> <chapitre> … </chapitre> </livre>

10 Documents XML bien formés
Un document XML bien formé est un document qui est conforme aux règles syntaxiques du langage XML. Un document bien formé pourra être traité par un parseur XML sans générer d’exception. Un document XML bien formé pourra être associé avec une feuille de style.

11 Règles syntaxiques XML
Un document XML est constitué de : Un prologue : qui contient un ensemble d’informations sur le document Un ensemble d’éléments avec leurs contenus : les éléments et leurs contenus sont les données du document Des commentaires qui peuvent être inclus n’importe où dans le document

12 Le prologue La déclaration XML <?xml version=“1.0” encoding=‘ISO ’ standalone=‘yes’ ?> Permet de préciser la version du document Permet de préciser l’encodage utilisé Permet de savoir si le document est autonome ou pas (lien vers d’autres documents)

13 Le prologue XML permet de définir des types de documents.
Un type de documents est une sorte de grammaire, on peut alors valider un document par rapport à une grammaire. Le prologue permet de déclarer le type d’un document. <!DOCTYPE livre SYSTEM "livre.dtd" >

14 Ensemble d’éléments Les éléments des documents XML sont composés d’une balise d’ouverture, d’un contenu et d’une balise de clôture. <nom> contenue de l’élément </nom> Le nom d’une balise est composé de caractères alphanumériques, du tiret-souligné, du signe moins ou du point. Il ne faut pas qu’il soit composé d’espaces. Un nom doit commencer par un caractère alphabétique ou du caractère tiret-souligné. Un nom ne doit pas commencer par XML/Xml/xML/...

15 Ensemble d’éléments Une balise d’ouverture peut avoir un ensemble d’attributs. Ex : <livre date=‘   ’> … Un attribut est une paire nom=valeur Les noms des attributs suivent les mêmes règles que les noms des éléments La valeur est une chaîne de caractères encadrée par les caractères guillemets ou apostrophe L’attribut xml:lang est prédéfini et sa valeur représente le langage utilisé dans le document Ex : <p xml:lang=‘ fr ’> ...

16 Ensemble d’éléments Le contenu d’un élément peut être :
un ensemble d’éléments et/ou des données sous forme de chaînes de caractères ne contenant pas les caractères & et < et/ou des références

17 Ensemble d’éléments Une référence peut être :
une référence à un caractère alphanumérique, elle doit commencer par &#x, puis inclure le numéro du caractère et finir par ; Ex : 8 est une référence vers & une référence prédéfinie comme par exemple & ou &apos; qui sont deux références vers & et ‘  une référence vers quelque chose défini dans la DTD (Data Type Definition). Elle commence alors par &, puis par le nom de la référence, et finit par ; Ex : &ma_reference; (avec ma-reference=‘ texte long … ’ Ce couple (nom, valeur) est appelé une entité

18 Ensemble d’éléments Les balises de clôture sont composées des noms correspondant aux balises d’ouvertures précédés du caractère / Ex : </livre> En élément peut être vide (sans contenu), dans ce cas, il n’a qu’une seule balise (composée du nom suivi du caractère /) Ex : <Element_vide/>

19 Sections littérales Lorsque le parseur scanne un élément, il remplace toutes les références par leurs valeurs. Pour empêcher cela, il faut utiliser une section littérale. Une section littérale est encadrée par <![CDATA[ et par ]]> Ex : <![CDATA[ <auteurs> Dupond & ]]>

20 Instructions de traitement
Il est possible d’inclure des instructions de traitement dans un document XML La déclaration d’une instruction de traitement se fait de la facon suivante : <?nom arg1 arg2 .. ?> nom est le nom de l’application cible arg1, arg2, … sont les arguments de l ’application Les noms XML, XmL, … sont réservés

21 Commentaire Des commentaires peuvent être inclus dans le contenu d’un élément XML. Ils doivent être encadrés par les marques <!-- et --> Un commentaire est une chaîne de caractères quelconque qui ne contient pas la chaîne -- Exemple : <!-- un commentaire --> <!-- un commentaire qui n’est -- pas bien formé -->

22 Documents bien formés Le plus petit : <?xml version=“1.0” encoding=‘ISO ’ standalone=‘yes’ ?> <livre/> Un autre : <?xml version=“1.0” encoding=‘ISO ’ standalone=‘yes’ ?> <livre date=‘   ’> <chapitre> XML & HTML </chapitre> <!-- préciser la version de HTML--> </livre>

23 Documents valides XML et grammaire

24 Document Type Definition
En XML, un type de document représente une structure (une grammaire) Ex : le type livre précise qu’un livre est composé de chapitres, qui sont composés de parties … Un type de document est défini dans une DTD (Document Type Definition) Une DTD peut être inclue ou référencée par un document XML

25 Document Type Definition
On peut vérifier la validité d’un document par rapport à la DTD qu’il référence ou qu’il inclut. On parlera alors de document XML valide Un document XML valide est donc un document XML bien formé qui a une DTD et qui est conforme à cette DTD Il existe déjà de nombreuses DTD, il est alors possible de les utiliser pour construire des documents XML valides Ex : La DTD MathML pour les équations

26 Document Type Definition
Pour associer un document XML à une DTD, il faut le faire avec l’élément <!DOCTYPE> Ex : <!DOCTYPE livre SYSTEM "livre.dtd" > On considère qu’un document XML est constitué de deux choses : La DTD et la donnée. Un document XML bien formé peut ne pas être composé de DTD Un document XML valide doit avoir une DTD

27 Data Type Definition Une DTD est définie dans l’élément <!DOCTYPE name SYSTEM "fichier.dtd" [delaration] > name est le nom du type de document SYSTEM "fichier.dtd" est une référence vers le fichier.dtd. Ce fichier contient tout ou une partie de la DTD. C’est la partie externe de la DTD [declaration] permet de définir tout ou une partie de la DTD. C ’est la partie interne de la DTD

28 Contenu d’une DTD Déclarations des entités
Déclarations des éléments et de leurs contenus Déclarations des attributs des éléments Commentaires

29 Les entités Une entité est un couple (nom, valeur). On référence le nom pour utiliser la valeur. Ex : & (amp,&) Une entité peut être interne (définie dans le document) ou externe (définie ailleurs) Les entités internes ont des valeurs de chaînes de caractères XML et sont utilisées comme moyen d’abréviation. Les entités externes peuvent être de type XML : utilisé pour segmenter un document en parties non XML : utilisé pour inclure des sons, images ...

30 Déclaration des entités
Les entités doivent être déclarées dans la DTD Un document peut référencer n’importe quelle entité qui a été déclaré dans la DTD mais aussi les entités prédéfinis (amp, apos, …) La déclaration d’une entité se fait de la manière suivante : <!ENTITY nom valeur> La valeur doit être entre guillemets

31 Les entités externes XML
Permet la segmentation d’un document XML Ex : <!DOCTYPE livre [ <!ENTITY chapitre-1 SYSTEM "./chap1.xml"> <!ENTITY chapitre-2 SYSTEM "./chap2.xml"> ]> <livre> &chapitre-1; &chapitre-2; </livre> Le mot clé SYSTEM indique une URL, voir le mot clé PUBLIC avec les identificateurs public

32 Les entités externes non-XML
Les entités externes non-XML servent à inclure des images, du son ou autre dans un document XML Avant de définir l ’entité, il faut définir son format en utilisant une NOTATION Ex : <!NOTATION img  "./PsP" > Puis définir l’entité Ex : <!ENTITY fond SYSTEM "./fond.img" NDATA img> L ’utilisation se fait donc ainsi : Ex : <photo val=‘ fond ’/>

33 Les entités paramètres
Ces entités sont définies dans une DTD mais elles sont aussi utilisées dans une DTD Une entités paramètre est forcement XML Une entités paramètre se définie comme une entité générale si ce n’est qu’il y a le caractère %. Ex : <!ENTITY % nom valeur> Pour référencer une entité paramètre on utilise le caractère % Ex : %nom;

34 Les éléments dans la DTD
La déclaration d’un élément se fait de la manière suivante : <!ELEMENT nom modèle> Le nom correspond au nom de l’élément Le modèle défini le contenu de l’élément : éléments fils données mélanges éléments fils et données n’importe quoi respectant la syntaxe XML élément vide

35 Les éléments dans la DTD
Pour décrire les éléments fils d’un élément, il suffit de donner leurs noms entre parenthèses. Si l’ordre des élément fils est important on les sépare par des virgules sinon par des barres verticales. Pour préciser les multiplicités des éléments fils on utilise : (soit fils le nom de l’élément fils) : fils = une fois et une seule fils? = 0 ou 1 fois fils* = 0, 1 ou plus d’une fois fils+ = au moins un fois il est possible de faire des groupes d’éléments fils en utilisant des parenthèses.

36 Les éléments dans la DTD
Exemples de définition d’élément : <!ELEMENT livre (titre, intro, chapitre+)> <!ELEMENT chapitre (titre , (titre_partie, partie)+)> ...

37 Les éléments dans la DTD
Lorsqu’un élément ne contient que des données (i.e. : un chaîne de caractère), on le défini de cette manière avec le mot clé : #PCDATAT Ex : <!ELEMENT partie (#PCDATA)>

38 Les éléments dans la DTD
Il est possible qu’un élément ait des éléments fils mais aussi des données. Il est tout à fait possible de définir ce type d’élément dans une DTD. Ex : <!ELEMENT toto (#PCDATA, titi, tutu)*>

39 Les éléments dans la DTD
Lorsqu’un élément peut contenir soit du texte, soit n’importe quel ensemble d’élément fils, il faut utiliser le mot clé ANY Ex : <!ELEMENT elmt ANY> Lorsqu’un élément est un élément vide, il faut utiliser le mot clé EMPTY Ex : <!ELEMENT elmt EMPTY>

40 Les attributs dans la DTD
La déclaration des attributs d’un élément se fait de la manière suivante : <!ATTLIST element (attribut type default)+> element correspond au nom de l’élément qui contient l’attribut attribut correspond au nom de l’attribut type correspond au type de l’attribut default contient des indications sur la valeur par défaut

41 Les attributs dans la DTD
Le type de l’attribut peut être : CDATA pour une chaîne de caractère ID ou IDREF pour des références internes au document ENTITY ou ENTITIES pour des références externes non-XML NOTATION pour associer le contenu de l’élément à une application

42 Les attributs dans la DTD
L’indication sur la valeur par défaut peut être : #REQUIRED indique que l’attribut doit avoir une valeur une fois le document créé. #IMPLIED indique que l’attribut est optionnel. #FIXED ‘valeur’ indique que l’attribut est une constante

43 Les attributs dans la DTD
Quelques exemples : <!ATTLIST ex1 att1 CDATA #IMPLIED> <!ATTLIST ex2 att1 CDATA #IMPLIED att2 ENTITY #REQUIRED> ...

44 Sections conditionnelles
<![ INCLUDE [ contenu ]]> fait que le contenu appartient à la DTD <![IGNORE [ contenu ]]> fait que le contenu n’appartient pas à la DTD En utilisant des entités paramètres et en les redéfinissant dans le document, il est alors possible d’avoir une DTD conditionnelle

45 Liens Navigation XML

46 Avec les attributs ID et IDREF
L’attribut ID permet d’associer un identifiant à un élément Ex : <!ELEMENT cible (#PCDATA)> <!ATTLIST cible identifiant ID #IMPLIED> L ’attribut IDREF permet de référencer un élément qui possède un attribut ID Ex : <!ELEMENT référence EMPTY> <!ATTLIST référence ref IDREF #REQUIRED> D’où <cible identifiant=‘01234’> blabla </cible> <!-- une référence --> <référence ref=‘01234’/>

47 XPointer XML Pointer Language
XPointer est le standard qui permet de référencer des ressources Un XPointer est constitué d’une référence de base puis d’une cascade de références. Ainsi il est possible de référencer la valeur de l’attribut couleur du 3ème éléments fils de l’élément de type voiture.

48 XPointer XML Pointer Language
La référence de base d’un XPointer est : root() : la racine du document cible origin() : l’origine du pointeur. id(nb) : l’élément ayant un attribut id avec nb comme valeur html(val) : un élément <A> ayant un attribut name avec val comme valeur

49 XPointer XML Pointer Language
Les cascades de référence peuvent être : child(), descendant(), ancestor(), … avec les paramètres suivant : nb : le numéro de l ’occurrence #element, #pi, #comment, #text, #all nom : le nom d’un élément un nom d’attribut et/ou une valeur d’attribut attr(nom) pour la valeur d’un attribut nom ...

50 XPointer XML Pointer Language
Un XPointer peut être précédé d’un URL, il faut utiliser le caractère # comme séparateur Exemples de XPointer

51 XLink XML Linking Language
Un XLink permet de lier plusieurs ressource entre elles. Les XLink peuvent être : simples / étendus : les liens simples n’ont qu’une seule cible contrairement aux liens étendus inclus / exclus : La ressource qui décrit les liens inclus est inclue dans le liens, elle est considérée comme l’origine.

52 XLink XML Linking Language
DTD du lien simple <!ELEMENT lk-simple EMPTY> <!ATTLIST lk-simple xml:link CDATA #FIXED ‘simple ’ href CDATA #REQUIRED inline (true | false) ‘true’ role CDATA #IMPLIED title CDATA #IMPLIED content-role CDATA #IMPLIED content-title CDATA #IMPLIED show (embed | replace | new) #IMPLIED actuate (auto | user) #IMPLIED behavior CDATA #IMPLIED >

53 XLink XML Linking Language
Pour les liens étendus, la valeur de l’attribut xml.link est ‘extended’ Un lien étendu est composé de plusieurs cibles. Chaques cibles est représenté par un élément avec l’attribut xml.link qui a comme valeur ‘locator’

54 L’habillage de documents XML
Feuilles de style L’habillage de documents XML

55 La forme et le fond Un document XML contient des informations qui vont être présentées sur différents supports (ecran, feuille, son, …) Il est possible de créer des feuilles de style pour décrire comment se fait cette présentation Les feuilles de style sont référencées par les documents XML, elles n’en font pas parties

56 CSS : Cascading Style Sheets
CSS est un standard du W3C pour décrire des feuilles de style. CSS-1 a été défini en 1996, CSS-2 en 1998 CSS-1 est supporté par les navigateur version 4 de netscape et microsoft. CSS-2 est supporté par les navigateur version 5 de netscape et microsoft Le W3C s’est engagé pour qu’une version N soit toujours valide par rapport au version N+x de la norme.

57 CSS : Cascading Style Sheets
Il est possible de définir plusieurs feuilles de style pour un document XML Il est possible de définir une feuille de style avec des propriétés valables uniquement pour les écrans et des propriétés valables uniquement pour les imprimantes. Il est possible qu’une feuille de style importe d’autres feuilles de style

58 CSS : Cascading Style Sheets
Le principe de base de CSS est le suivant selecteur { propriété1: valeur; propriété2: valeur; } Selecteur indique quel est (ou quels sont) l’élément affecté par ces propriétés. Les propriétés sont des indications sur la forme, CSS définit 122 propriétés

59 CSS : Cascading Style Sheets
Ex de feuille de style CSS : @media screen, print { *{ background : black; color : yellow; font-weight : bold; font-size:14pt; font-family : Garamond; font-style : normal; }

60 CSS : Cascading Style Sheets

61 CSS : Cascading Style Sheets

62 XSL : eXtensible Stylesheet Language
XSL est un standard pour décrire des feuilles de style La spécification date de Avril 1999, elle n’est pas encore totalement stabilisée XSL permet plus de chose que CSS La présentation n’est pas basé sur l’arbre du document XML Il est possible de rajouter des informations (ex : table des matières, …)

63 XSL : eXtensible Stylesheet Language
Pour afficher un document L’arbre source est transformé en fonction des directives de la feuille de style XSL L’arbre transformé est mis en sortie (écran, papier) Une feuille de style XSL décrit les directives de transformation de l’arbre source.

64 XSL : eXtensible Stylesheet Language
Structure d’un feuille XSL <xsl> <define-script> var foo = … function bar(xx) {…} </define-script> <define-style name= "style-para"   <!– attributs de formatage --> /> <define-macro name=item <!– forme resultat --> </define-macro> <import href="feuille.xsl" /> <id attribute="sqd" />

65 XSL :eXtensible Stylesheet Language
Structure d’une feuille XSL (suite) <rule> <root/> <HTML> <BODY> <children/> </BODY> </HTML> </rule> <rule> <element type="para"/> <target-element type="code" /> <PRE> <children/></PRE> </rule>

66 XSL : eXtensible Stylesheet Language
Exemple de feuille XSL <xsl> <rule> <root/> <HTML> <BODY> <children/> </BODY> </HTML> </rule> <rule> <element type="cours"/> <target-element type="auteur"/> <H1> Salut je lis auteur </H1> </rule> </xsl>

67 XSL : eXtensible Stylesheet Language

68 Traitement de documents XML
DOM et SAX

69 Parseur XML offre de nouveaux horizons applicatifs
Il n’est pas possible d’imaginer l’étendu de ce domaine applicatif Cependant, toutes les applications auront besoin de parseur Il y a deux types de parseur normalisés SAX DOM

70 SAX : Simple API for XML SAX est un type de parseur XML
SAX a été construit par des internautes en 1997, ils voulaient standardiser ce type de parseur SAX est implanté en Java et en Python SAX est un parseur événementiel Lorsque que le parseur lit un élément du document, il lance un événement Il est utilisé par les applications qui considèrent les documents XML comme des flots de données

71 SAX : Simple API for XML SAX étant un parseur événementiel, il propose un ensemble d’interface pour implanter des handler DocumentHandler startElement() starDocument() ErrorHandler Error() Il suffit ensuite de créer un parseur XML, d’affecter les handler puis de commencer à scanner le document

72 SAX : Simple API for XML Exemple d’application utilisant SAX
public class MyHandler extends DocumentHandler { public void startElement(String n, AttributeList att) { System.out.println("Start element :" + n); } …. DocumentHandler dh = new MyHandler(); parser.serDocumentHandler(dh);

73 DOM : Document Object Model
DOM est un type de parseur XML DOM a été standardisé par le W3C L’API du DOM est définit en IDL CORBA DOM est un parseur compilé Lecture de la totalité du document XML Création d’une structure arborescente d’objet qui représente le document XML

74 DOM : Document Object Model
Le DOM est un parseur compilé, son API est composé de toutes les entités d’un document XML Document : Objet qui représente le document XML Element : Objet qui représente un élément XML Node : Objet dont tous les autres objets héritent Pour construire une application qui utilise le DOM, il suffit de créer un parseur et d’appeler la méthode parse qui retourne un objet de type Document

75 DOM : Document Object Model
Exemple d’application utilisant DOM try { DOMParserWrapper parser = new … Document docu = parser.parser(uri);

76 Conclusion pour les traitements
SAX et DOM sont deux types de parseur standardisés par les internautes pour SAX et par le W3C pour DOM SAX est plus orienté traitement du document comme un flot d’information DOM est plus orienté transformation de document ou archivage Il existe de nombreuses implantations gratuites en Java de SAX et de DOM (Sun, IBM, …)

77 Applications XMI

78 MOF : Meta Object Facility
UML Models MOF Model IDL Meta-model UML Meta-model IDL Interfaces M3 layer meta-meta-model M2 layer meta-model M1 layer models M0 layer

79 XMI : XML Metadata Interchange
Meta-Level Metadata XMI DTDs XMI documents M3 The MOF Model MOF DTD M2 UML MetaModel (ODP and others) UML DTD (ODP and others) MOF MetaModel Documents M1 UML Models (ODP and others) UML Model Documents (ODP and others) M0 Instances

80 Bibliographie A vous de jouer

81 Les documents utilisé pour ce support
« XML Langage et applications » Eyrolles Alain Michard : le site du W3C


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