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JEAN MARIE DE LA MENNAIS Une vie pour les enfants et pour les jeunes de Bretagne et du monde entier.

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1 JEAN MARIE DE LA MENNAIS Une vie pour les enfants et pour les jeunes de Bretagne et du monde entier.

2 LES JEUNES D’ABORD ! 1.En quel sens les jeunes sont-ils une priorité pour Jean de la Mennais ? 2.Quel est l’enracinement de son amour pour les jeunes ? 3. Comment a-t-il traduit, dans les faits, cet amour de préférence ? 4.Que nous dit-il aujourd’hui pour demain ?

3 Les jeunes : une priorité pour Jean de la Mennais Il leur porte un amour de préférence

4 Il les considère comme des êtres en croissance et discerne en eux des promesses d’à-venir. Qu’est-ce que l’enfant ? C’est une terre toute neuve qui attend la culture et où vous ne recueillerez jamais que ce que vous y aurez semé….

5 Il est persuadé que pour changer une société il faut s’attacher à l’éducation de la jeunesse. « C’est par l’éducation qu’un peuple est ce qu’il est et non pas un autre… Tout sort de l’éducation… » « Le collège : une image fidèle de la société… »

6 Il pense aussi aux vocations… L’école… Un lieu où l’on peut discerner et cultiver les vocations..

7 Quel est, chez JLM, l’enracinement d’un tel amour des jeunes ?

8 Une disposition naturelle et sa propre expérience familiale.. « Il est impossible d’être mieux que je suis : et pourtant, je ne rêve qu’à la Bretagne, aux amis, aux enfants que j’y ai laissés. Tout mon cœur est là ». Mme de la Mennais : une éducatrice hors pair trop vite disparue … Monsieur de La Mennais un réaliste, exigeant. Monsieur des Saudrais un oncle cultivé et attachant.

9 Une jeunesse pauvre d’argent, de culture et de sens « Avant que j’eusse fondé les Frères de l’Instruction Chrétienne, les campagnes étaient abandonnées; la plupart des villes d’une population moyenne n’avaient aucun établissement public. Quelques maîtres particuliers seulement apprenaient à lire et à écrire aux enfants assez riches pour leur payer une rétribution. »

10 L’expérience du terrain ou la découverte d’une jeunesse en détresse. « Depuis longtemps, on remarque, avec effroi, dans la plupart des enfants de nos villes et d’une partie de nos campagnes même, les signes d’une immoralité précoce qui affllige les regards et plus encore la pensée. Il semble qu’il n’y ait plus d’innocence pour le jeunes gens… » Jean –Marie de la Mennais a été vicaire capitulaire puis vicaire général de Saint-Brieuc de 1815 à 1821. Il a ainsi parcouru le Diocèse en tous sens.

11 Jean Marie et Félicité… Deux pensées indissociables… Ils ont vécu, travaillé, écrit ensemble. Tous deux étaient convaincus de l’importance de l’éducation.

12 La Parole de Dieu, source de son inspiration et de son dynamisme. « Les petits enfants réclament du pain : personne ne leur en partage. » Lamentations, 4,4

13 Comment JLM a-t-il traduit dans les faits cette conviction qui l’animait : les jeunes d’abord ?

14 Comme jeune professeur à Saint-Malo Jean-Marie de la Mennais fut professeur à Saint- Malo de 1802 à 1812. Un professeur dévoué et novateur. « Si je ne considérais que mon repos, j’y renoncerais, sans doute, à l’instant même. Mais il s’agit du salut de mille enfants, et je me reprocherais de trop écouter, dans une pareille circonstance, mes intérêts personnels. »

15 Comme Fondateur, avec Gabriel Deshayes. En 1818, il fonde les Filles de la Providence. En 1819, avec Gabriel Deshayes, il fonde les Frères de l’Instruction Chrétienne.

16 Des maîtres du terrain pour aller sur le terrain… « Jean, les Frères, voilà ton œuvre! » Félicité de La Mennais, à son frère Il forme des jeunes pour aller vers les jeunes avec confiance dans l’avenir et dans la Providence.

17 Si les enfants ne viennent pas à l’école, l’école ira vers eux… « Je m’en vais à travers champs, fondant de nouvelles écoles et donnant des retraites à mes petits enfants bien- aimés. Rien ne me rafraîchit l’âme comme ces pieux et si touchants exercices.Etre au milieu de ces chers enfants, c’est habiter déjà avec les anges, c’est commencer déjà en quelque sorte la vie du ciel. »

18 « Les pauvres, ils sont sacrés pour nous ! » « Sans me faire illusion, je suis content du présent : je ramasse autour de moi, comme on ramasse des débris dans un naufrage ou après, je ramasse, dis-je, quelques jeunes gens jetés presque sans vie sur le rivage par la tempête. »

19 De 1830 à 1837, le nombre d’écoles passe de 90 à 165. A la mort du Fondateur, en 1860, le nombre des écoles atteindra 297. Zèle de feu courage de fer.

20 Aller là où les autres ne vont pas … De 1835 à 1860, Jean de la Mennais sera sur le terrain, pionnier de la liberté d’enseignement et fondateur d’écoles de toutes sortes : primaires, techniques, agricoles, maritimes…

21 En Bretagne, en Gascogne… « Ils sont spécialement établis pour tenir des écoles dans les campagnes ou dans les petites villes qui n’ont pas assez de moyens pour avoir des Frères des Ecoles Chrétiennes. Ils vont un à un ou plusieurs ensemble et logent chez le curé ou chez quelque ecclésiastique… » Règle primitive, avant 1823

22 JLM entend l’appel des enfants et des jeunes des colonies. 1837 : Guadeloupe 1839 : Martinique 1841 : Sénégal 1842 : St Pierre et Miquelon 1843 : Guyane 1859 : Tahiti, Marquises

23 Toujours à l’aise et plein d’humour avec les jeunes. Lors des visites d’écoles. Lors des distributions de prix. Lors des retraites d’enfants et de jeunes. « Rarement, pièce de théâtre a pu intéresser autant les assistants. Jamais aucune n’eut le succès de cette comédie enfantine que notre Père joua avec mes élèves. »

24 Son mot d’ordre : aimer les jeunes ! « Appliquez-vous à vous faire aimer d’eux autant qu’à les instruire. »

25 Cette tradition d’amour des jeunes… « L’avenir appartient à ceux qui auront su donner aux jeunes des raisons de vivre et d’espérer. » Concile Vatican II

26 … nous entraîne et nous invite à faire du neuf. « Les parents veulent-ils que leurs enfants soient instruits gratuitement ? Soit.Veulent-ils qu’ils entrent dans une classe payante ? Soit ! Veulent-ils qu’ils soient gardés en étude du matin au soir et que cependant ils prennent leurs repas à la maison paternelle ? Soit ! Veulent-ils qu’ils travaillent toute la journée et qu’ils n’aillent à l’école que le soir ? Soit ! Quelque demande qu’on nous fasse, nous répondons toujours : Eh bien ! Soit ! »

27 …ici, en Polynésie.


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