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GAILLAC. Gaillac est une ville du Tarn qui compte près de quatorze mille habitants. Son blason se définit comme suit : « D'azur au coq d'or surmonté de.

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1 GAILLAC

2 Gaillac est une ville du Tarn qui compte près de quatorze mille habitants. Son blason se définit comme suit : « D'azur au coq d'or surmonté de trois fleurs de lys du même rangées en chef ».

3 Gaillac possède une histoire intimement liée à la vigne et au vin. C’est en effet la ville aux sept vins et elle possède son caveau de dégustation. La ville fut fondée en 972, lors de la consécration de l’autel de l’église Saint-Michel et ses débuts se confondent avec la vie de l’abbaye qui développa l’agriculture, surtout les vignobles, attirant une population nouvelle. A partir de 1562, la ville subit les attaques des protestants et ce n’est qu’en 1570 que la vie reprit son cours pour les catholiques. Ce fut alors le tour des protestants d’être pourchassés jusqu’en 1572! La ville conservera sa topographie moyenâgeuse jusqu’au XVIIIe siècle et lorsque les remparts furent détruits, les fossés furent comblés et remplacés par des rues plus larges.

4 Venant de Toulouse, ce rond-point rappelle les caractéristiques du Gaillacois : vigne et pigeonniers…

5 Notre promenade commence sur la grande place principale qui accueille son monument aux morts.

6 Donnant sur la place, le joli bâtiment de la Caisse d’Epargne.

7 A l’autre extrémité de la ville, nous dirigeons nos pas vers le parc Foucaud. D’une surface de quatre hectares, il compte plus de 400 arbres (45 essences différentes) dont certains plusieurs fois centenaires.

8 Le château et le parc forment l’un des plus beaux ensembles du XVIIe siècle dans le Midi de la France. C’est vers 1650 que Jacques de Foucaud, Conseiller au Parlement de Toulouse, et son frère Arnaud, décidèrent d’acquérir des terrains en dehors des murs de la ville de Gaillac, en bordure du Tarn, pour y construire une vaste demeure entourée d’un grand jardin. A la faveur des alliances, le domaine passa à une autre famille en 1722 puis en 1870. Ce fut Arnaud de Puységur qui vendit la propriété à la ville de Gaillac après de longues tractations qui durèrent environ dix ans, vers le tournant du siècle. Dès le début, le parc fut accessible aux Gaillacois.

9 Ce plan d’implantation montre bien l’importance du site. La partie de droite, en contrebas, borde le Tarn et accueille un jardin italien avec bassins, des pavillons et un théâtre de verdure.

10 L’ancienne orangerie abrite maintenant une crèche. Son extrémité a été décorée de peintures en trompe- l’œil (photo de droite).

11 Le château, lui, accueille le musée des Beaux-Arts de la ville.

12 Vue de l’arrière du château avec des fontaines en contrebas.

13 Le jardin à l’italienne et le pavillon de lecture.

14 Le toit du pavillon de lecture est décoré d’un personnage fantastique à chacun de ses angles.

15 Le château vu du jardin.

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17 Dans le parc, même le pavillon abritant les toilettes a été conçu pour ne pas déparer les lieux…

18 Du parc, nous avons rejoint le vieux quartier de la Portanelle et nous nous dirigeons vers le centre de la vieille cité.

19 Nous y trouvons, outre des noms de rues originaux, des maisons coquettement agrémentées de verdure.

20 Des places charmantes doivent, malheureusement, se laisser envahir par les voitures…

21 L’hôtel de Paulo fut construit au XVIe siècle, à proximité de l’abbatiale Saint-Michel. C’est l’actuel presbytère de la paroisse Saint-Michel.

22 Cette maison se caractérise par sa loggia au dernier étage comme on en trouve un grand nombre dans la région.

23 En 966, on trouve le nom de Gaillac pour la première fois dans un testament de Raimond Ier, comte de Rouergue, Alby et Quercy, duc d’Aquitaine. Il léguait divers biens à « Sanctis Michaelis de Gaillaco ». Les moines étaient donc déjà installés le long du Tarn. Leur église abbatiale fut consacrée en 972. Au XIIe siècle, les moines y intégrèrent une nouvelle paroisse qui occupait les trois premières travées de la nef tandis qu’ils se réservaient le chœur. Elle fut sécularisée en 1524, et un chapitre de chanoines remplaca la communauté. Elle conserva cependant son titre d’abbatiale. Les guerres de religion entraînèrent sa dévastation. Elle fut restaurée aux XVIIe et XVIIIe siècles. La Révolution apporta de nouveaux dégâts alors que l’abbatiale devint entrepôt, magasin puis fabrique de salpêtre.

24 La tour dans sa partie basse et l’entrée latérale de l’abbatiale datent du XIIIe siècle. Cette dernière a été obstruée.

25 C’est sous la Restauration, au XIXe siècle que fut apposé ce portail de façade de style néo-roman.

26 Egalement sous la Restauration, la nef prit son aspect néo-classique. Cette Vierge de bois polychrome, se rattachant à l’école auvergnate, est une rescapée du XIIIe siècle. On suppose que la main droite mutilée pouvait porter un sceptre.

27 Le déambulatoire, à chapelles rayonnantes, date du début du XIIIe siècle.

28 C’est au fond de l’abbatiale, près de la porte d’entrée, que l’on trouve le Saint Michel, archange, patron du lieu (ci-dessous).

29 Sur la chaire sont sculptés les symboles du tétramorphe. On reconnaît le lion de Saint Marc et l’ange de Saint Mathieu. La chaire et son baldaquin.

30 Saint-Michel vue de la place.

31 Dans d’anciens locaux de l’abbaye est installé le musée de l’abbaye (en sous-sol ), de la vigne et du vin. C’est aussi là que l’on peut déguster.

32 Dans la vieille ville, les maisons en brique rose.

33 Cette tour, la tour Palmata, je l’ai manquée… Rachetée par la ville, c’est la partie restante d’un hôtel particulier du XIIIe siècle. Cette résidence aurait été construite par Bertrand de Gaillac, « bayle » du Comte de Toulouse. Un riche bourgeois, Paul Matha, l’acheta au XVIe siècle et lui donna son nom. Ses murs intérieurs sont décorés en grande partie de peintures d’époque représentant des scènes de guerre.

34 Le pont sur le Tarn remplaça le bac en 1839.

35 Gaillac possédait son port d’où étaient acheminés les vins produits dans la région, notamment. Ici, c’était l’accès au port à partir du monastère.

36 Le Tarn

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38 Vieille maison typique avec sa loggia.

39 Sur la place du Griffoul, une halle à arcades de brique fut construite en 1842

40 La vasque et les aménagements en marbre rouge de Caunes datent des XVIIe et XVIIIe siècles. Place du Griffoul, cette fontaine était déjà présente au XVIe siècle. Elle est remarquable par le groupe de bronze qui représente Silène faisant l ’éducation de Bacchus, ceux-ci surmontés d’un coq.

41 Devant la halle se déroule chaque semaine, en fin d’après-midi, le marché des producteurs.

42 A Gaillac, comme à Lavaur, je retrouve une construction qui a fait partie de ma tournée des pigeonniers du Tarn… Cela marque la fin de ma promenade, avec juste un petit coup d’œil en arrière avant de regagner ma voiture...

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44 Musique : You Tube - Guitare, violon et violoncelle « Easy listening » Informations prises sur place et sur quelques sites Web Photos, conception et réalisation : M.J. Farizy-Chaussé Novembre 2012

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46 AU REVOIR


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