Association Partenaires 41, rue des Maronites 75020 PARIS 01.73.77.77.98

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Association Partenaires 41, rue des Maronites PARIS

Objectifs  Accompagner des populations défavorisées vers l’autonomie, dans le respect de leur culture et de l’environnement Partenaires est une organisation de solidarité internationale, laïque et apolitique. Elle intervient dans des régions pauvres du monde. Ses priorités sont la santé et l’eau potable, l’éducation et la formation professionnelle, le développement intégré et durable. Dans des zones où les grandes organisations non-gouvernementales sont peu ou pas présentes, Partenaires suscite des initiatives locales et les accompagne, formant et aidant les bénéficiaires de ses programmes de développement à prendre le relais jusqu’à devenir à terme économiquement autonomes. Valeurs > Coopération pragmatique et pérenne Partenaires définit ses projets en fonction des besoins concrets des communautés et travaille toujours en collaboration avec elles, avec ses équipes locales qualifiées, parfois encadrées pour un temps déterminé par un volontaire occidental. Celles-ci fournissent équipements et savoir-faire aux bénéficiaires, qu’elles forment à assurer l’entretien et la pérennité des installations et des services. Fonctionnement  Bénévolat & taille humaine Partenaires est une ONG à taille humaine, ce qui facilite les contacts et la transmission de ses valeurs. En France, c’est un réseau de bénévoles qui assure le fonctionnement administratif du bureau parisien et des antennes régionales ainsi que les rapports étroits et constants avec les équipes de terrain à l’étranger. Ainsi l’association maintient-elle ses frais de fonctionnement au plus bas (5 % du budget !), garantissant au donateur que sa générosité profitera dans sa quasi- totalité aux populations qu’il souhaite aider.

En 25 ans d’existence, les missions de l’ONG Partenaires : > Nigéria (1991 – 1998) Situation géographique > A 200 km de Lagos, en Ogun-Waterside. Contexte > Les habitants de la région vivent de l’agriculture et de la pêche, et ne disposent que d’un seul hôpital public à l’abandon ; le taux de vaccination des enfants est inférieur à 10%, et les maladies sont souvent liées à la consommation d’eau non potable, à une alimentation déséquilibrée et au manque d’hygiène. Projet > Mise en place d’un programme de développement sanitaire intégré, comprenant : Réhabilitation de l’Hôpital Général d’Ibiade, avec réfection de la maternité, du bloc opératoire et création du premier laboratoire d’analyses médicales de la région. La fréquentation de l’hôpital est passée de consultations en 1990 à en Campagnes de vaccination dans 60 villages isolés : environ vaccinations et plusieurs milliers de consultations médicales. Réparation de puits et de latrines, installation de pompes à eau et de filtres communautaires. Dans chaque village, un « comité de l’eau » est chargé de veiller au bon usage et à l’entretien des puits et pompes. Parallèlement, sensibilisation des villageois aux règles élémentaires d’hygiène et aux bienfaits d’une eau potable. Hier… Partenaires a été fondée en 1991 par Christian Raymond, Ingénieur des Mines et ancien diplomate, et les premières interventions de l’association ont été mises en œuvre au fil des missions et voyages de ce dernier, en réponse à ce qu’il percevait des besoins concrets et des préoccupations majeures des populations rencontrées. Partenaires en quelques mots : Séance de vaccination en brousse, au Nigéria

 Inde (1995 – 2002) Situation géographique > A Mumbai (ex Bombay), trois petits bidonvilles de Nariman Point, à proximité de l’un des quartiers d’affaires les plus prospères du monde Projet > Formation professionnelle et alphabétisation des femmes Création d’un atelier de couture familiale qui aidé les bénéficiaires à acquérir une autonomie financière, évitant ainsi le recours aux usuriers. Cours d’alphabétisation en hindi et d’initiation à l’anglais. Education et soutien scolaire pour jeunes enfants Ouverture d’une classe maternelle et soutien scolaire pour pallier les carences de l’école publique Programme d’éducation à l’hygiène (corporelle et dans l’habitat) et Journées-santé avec soins gratuits des dents, des yeux (dont plusieurs opérations de la cataracte), etc... Bangladesh ( ) Situation géographique > A Dhunot, à environ 140 km au nord-ouest de la capitale Dacca Projet > Alphabétisation et cours de couture Microcrédit en appui aux initiatives familiales des paysannes Mise en place d’une bibliothèque scolaire et formation des enseignants Brésil ( ) Situation géographique > Projet 1 à Vila San Francisco près de Petrópolis Ce projet cofinancé par l’Union Européenne a permis la réhabilitation d’habitations précaires d'une favela, et traitement des eaux usées par la construction de 12 bio digesteurs Programme socio-éducatif portant sur l’hygiène, la santé et le respect de l’environnement > Projet 2 au Nordeste, à et autour de Mirandiba, 400 km à l’est de Recife Diversification des cultures et de l’élevage Réhabilitation de maisons pour éradiquer la Maladie de Chagas Construction de citernes collectives Fabrication de jus de fruits locaux pour les écoliers. Bolivie (2001 – 2003) Situation géographique > Villages des hauts plateaux andins Projet > En partenariat avec une ONG belge, des ONG boliviennes et les institutions locales : Amélioration des ressources en eau et des activités rurales, familiales ou communautaires (culture sous serre, valorisation de l’élevage du lama, amélioration des techniques agricoles, artisanat et développement économique).

5 > Mozambique ( ) Situation géographique > Région de Monapo, au nord-est du pays Projet > En 2010, s’est achevé un projet de 3 ans dirigé d’une part sur la Prévention du paludisme et protection de la mère et de l’enfant Développement du maraîchage de subsistance et de rapport, avec citerne et pompe. > Moldavie (2002 – 2011) Situation géographique > 12 collèges répartis dans tout le pays Contexte > Dans un des pays les plus pauvres d'Europe, Partenaires a longtemps soutenu les écoles-internats publics accueillant orphelins, enfants abandonnés, handicapés mentaux légers. Projet > Rénovation d’établissements, formation professionnelle de centaines d’adolescents (agriculture, apiculture, élevage, coiffure, couture, cordonnerie, menuiserie, mécanique) afin de permettre aux bénéficiaires de mieux s’insérer dans la vie sociale et professionnelle, contribuant ainsi à freiner une émigration économique très forte (20 % de la population avait déserté le pays durant la décennie). Exemple des activités menées dès 2006 à l'école-internat de Grinauti-Moldova, qui accueille et scolarise 110 enfants handicapés mentaux légers de 8 à 17 ans : Mise en place d’ateliers de menuiserie, coiffure, cordonnerie, broderie et couture. Plantation d’un verger Cours d’éducation civique Formation en hygiène et nutrition Création en d’une ferme-école, grâce à un financement de Frères d’Espérance. Création en 2010 d’une ludothèque financée par la Ligue de l’Enseignement. La mairie de Grinauti-Moldova et le Conseil Régional d’Ocnita ont ensuite sollicité l’appui technique et financier de Partenaires pour créer de nouvelles formations, dont celle de boulanger, avec l’aménagement d’une boulangerie au sein de l’école. Ce projet s’est achevé début 2011, grâce à une subvention du Conseil Régional d’Ile-de-France. Forte de ses expériences de terrain qui ont confirmé sa vocation et ses principes, Partenaires concentre désormais son action dans trois pays principaux : le Bangladesh, le Myanmar, et l’Ethiopie toujours au bénéfice de communautés démunies, et dans des régions où les grandes ONG et autres organisations internationales sont peu présentes.

Au Bangladesh, plusieurs centaines de milliers d’enfants vivent dans la rue. Orphelins, abandonnés ou victimes de sévices, ils ont dû fuir leur famille et sont livrés à eux-mêmes. Pour la plupart, sortis du système scolaire et survivant en marge de la société, ils sont ignorés par l’administration, méprisés par la population et exploités par leurs ‘gardiens’. S’ils ne quittent pas la rue, leur espérance de vie ne dépasse pas 25 ans. D’autres ont une famille démunie, souvent recomposée, qui vit dans les très nombreux bidonvilles de la capitale. Trop pauvre, elle ne peut ni les scolariser ni vraiment subvenir à leurs besoins. Ils sont contraints de travailler ou de mendier…Mais Partenaires les accueille, les soigne et les réhabilite, les scolarise, avant de leur assurer une formation professionnelle et un métier : une intégration dans la société et un nouveau départ dans la vie ! Bref historique En 2002, Partenaires a ouvert un foyer d’accueil de jour pour enfants des rues, dans un appartement loué au cœur d’un faubourg de Mirpur, quartier populaire de Dacca. En 2007, l’association connue sous le nom de Street Children’s Partners acquiert une maison de trois étages qui devient le foyer Maer Achol - ‘le pli du sari’ en bengali – où sont aujourd’hui accueillis, soignés, éduqués et formés 270 enfants et adolescents. En 2012, l’association y ajoute un appartement pour les grands adolescents qu’ils ont baptisé Shukhi Ghar, « la maison du bonheur ». 70 des 270 bénéficiaires sont des pensionnaires à temps complet de Maer Achol ou de Shukhi Ghar, filles et garçons en nombre égal. Les 200 autres enfants et ados regagnent leur famille après la classe. L’équipe du Foyer L’équipe comprend 24 employés locaux qualifiés : directrice, intendant/surveillant général, comptable, enseignants (en formation continue), psychologue, éducateurs, surveillants de nuit, cuisinières, femmes de ménage et gardien. Régulièrement des bénévoles apportent pour quelques mois leurs compétences variées Financement et parrainages Outre les dons affectés à la gestion des Foyers par Partenaires, les enfants bénéficient d’un système de parrainages. Pour être équitables envers tous les enfants et inscrire la démarche de chaque parrain dans un projet juste et commun, ces parrainages sont collectifs. Grâce aux lettres semestrielles, les parrains et marraines sont régulièrement informés sur tous les pensionnaires et sur la vie au Foyer. Ils partagent ainsi l’histoire, les joies et les soucis des enfants, et sont tenus au courant des activités qui rythment leur vie. Bangladesh : deux Foyers pour enfants des rues

Les priorités de Partenaires à Dacca : assurer aux enfants et adolescents de ses Foyers…  Un toit et la sécurité, avec l’apprentissage de la vie en collectivité pour que ces enfants qui vivaient en sauvageons dans la rue s’intègrent plus tard sans heurt dans la vie active.  Trois repas équilibrés chaque jour > L’hygiène (vêtements et douches) et l’eau potable > Des soins médicaux (infirmerie sur place et suivi médical en hôpitaux partenaires). > Une vraie scolarité : des enseignants leur apprennent à lire, écrire, compter ainsi que l’anglais et des bases d’informatique, pour qu’ils puissent rejoindre ensuite une école publique du quartier. La plupart y poursuivront des études jusqu’à la fin du secondaire, d’autres seront orientés vers un apprentissage. > Enfin diverses formations professionnelles et un emploi, puis encore deux ans de suivi individuel. Grâce aux soins et à l’immersion scolaire reçus au Foyer, de nombreux enfants ont pu accéder à des études universitaires, puis à un vrai métier grâce aux formations professionnelles qui leur ouvrent des perspectives inespérées.

Myanmar : santé, éducation et sécurité alimentaire Partenaires a débuté son action au Myanmar (ex-Birmanie) en 1998 ; elle est l’une des plus anciennes ONG actives dans ce pays et l’une des rares françaises. Les domaines d’intervention Accès à l’eau potable : construction de réservoirs d’eau, forage de puits, extension de mares, etc. Assainissement : construction de toilettes en dur disposant d’eau et de fosses septiques Education à l’hygiène et à la santé : campagnes d’information et sessions de sensibilisation Réhabilitation d’écoles et de dispensaires : rénovation des sols et des toits, des salles de classe Amélioration des conditions de vie et de la sécurité alimentaire : programmes de lutte contre la faim et la pauvreté. Notre équipe sur place : 1 Représentant-Pays et un stagiaire français 12 employés birmans assurent l’exécution et le suivi des chantiers (leur nombre varie en fonction des programmes en cours).

Les zones d’intervention de Partenaires, banlieues pauvres ou villages enclavés, ont été longtemps délaissées par l’administration du pays, et peu ou pas aidées par la communauté internationale. Aujourd'hui, Partenaires est encore présente dans deux régions : > Région de Yangon : communes de Shwe Pyi Tha, Kyauktan, Hmawbi, Taikkyi, Hlegu Nos actions ont commencé en 2000 à Shwe Pyi Tha, grand faubourg défavorisé situé à 35 km au nord de Yangon. Environ personnes habitent cette agglomération qui héberge plusieurs groupes ethniques. Le revenu moyen journalier par famille y est inférieur à 1,80 €. Le chômage est important et les perspectives d’y trouver un emploi stable sont minces. Enfin, la situation sanitaire est mauvaise. A partir de 2008, Partenaires a élargi son domaine d’intervention à d’autres secteurs en difficulté : Kyauktan et Hlegu, puis Hmawbi, et en 2014 Kawmu (département de la députée Aung San Suu Kyi). > Région de Magway : (région aride ou Dry Zone) : communes de Yenanchaung, Chauk, Salin, Myothit, Myaing La Dry Zone est une région aride située au centre du pays. Les pluies, depuis plusieurs années, y sont de plus en plus tardives et la mousson, qui dure de mai à septembre dans le reste du pays, se résume parfois à quelques averses en fin d’été. Outre le manque d’eau, la région est nettement sous-développée. Comme la population essentiellement rurale est dépendante de l’agriculture traditionnelle, les opportunités d’emploi sont limitées à 5 ou 6 mois par an. Pour survivre le reste de l’année, 80% des foyers n’ont d’autre choix que de s’endetter pour acheter leur nourriture. Partenaires a obtenu des autorisations d’intervention en Dry Zone dans onze départements différents, dont deux où aucune autre ONG n’est présente. Les deux zones d’intervention de Partenaires au Myanmar Une écolière birmane

Quelques exemples de programmes engagés par Partenaires au Myanmar > Réduire la faim et la pauvreté dans 20 villages de la commune de Chauk en proposant des activités de type food for work (nourriture contre travail), cash for work (revenus contre travail), food for training (nourriture si formation) et food for education (nourriture si éducation des enfants), en collaboration avec le Programme Alimentation Mondial. Rénovation et extension de réservoirs et d’infrastructures, conservation de terres agricoles et gestion de l’eau, sensibilisation des familles pauvres à la nécessité d’envoyer leurs enfants à l’école. > Apporter de l’eau dans 6 écoles de Hlegu (à 50 km de Yangon), projet financé par la Fondation Glaxo Smith Kline : construction d’installations sanitaires afin d’améliorer les conditions d’hygiène à l’école, la qualité et la disponibilité de l’eau. > De l’eau pour vivre dans le village de Nyaung Pin Tha North : construction d’un puits avec forage et pompe à main pour 26 familles d’un village de la zone aride (terminé mars 2013). > Une nouvelle école à Hmawbi (avec la Ligue de l’Enseignement) : amélioration des infrastructures de l’école de Chang Wa (très isolée, accessible par bateau ou à pied seulement), meilleur accès à de l’eau saine et sensibilisation de la population aux bonnes pratiques d’hygiène (terminé avril 2013). > Ward 18 : développer une banlieue démunie à Shwe Pyi Tha, à 35 km de Yangon, quartier où plus de personnes vivent dans des conditions précaires : construction d’installations sanitaires, forages munis de pompes à main et distribution de filtres en céramique (2013) et de couples de porcs. > Construction d’un vaste bassin cimenté (36 m x 24 m x 2,75 m, contenance de m 3 ) afin de donner à quatre villages de la commune de Than Bo (266 foyers) un accès pérenne à de l’eau potable. > Protection de l’enfance ( ), prévention du SIDA ( ), amélioration de la scolarité (2008) et aide humanitaire d’urgence après le Cyclone Nargis, responsable de morts et 2 millions de réfugiés en mai

Ethiopie > Contexte : en 1985 Michael Jackson, Lionel Ritchie, Bob Dylan, Ray Charles, Bruce Springsteen et Tina Turner chantaient We are the World pour inciter à envoyer des dons aux milliers d’Éthiopiens qui mourraient de faim. Les images de cette famine par Sebastiao Salgado, reprises l’an dernier par son fils dans un film magnifique, Le Sel de la Terre, nous hantent encore. Petit à petit, le pays s'est remis en marche. Son PIB annuel par habitant est passé d’un misérable 239 dollars en 1985 (contre alors dollars en France), à maintenant 548 dollars (contre dollars en France). Néanmoins l’Éthiopie reste le 9ème pays le plus pauvre du monde : environ 30 % de la population vit en-deçà du seuil de pauvreté… > Zone d'intervention de Partenaires : Gondar est la 4ème ville du pays. Dans le cadre d'une coopération avec Vincennes, ses châteaux royaux du XVIème siècle sont en cours de rénovation. Car le tourisme devrait compléter l’activité économique pour réduire une pauvreté encore très présente. Plus modestement, nous agissons après nous être aperçus que des quartiers de la ville sont totalement dépourvus d'installations sanitaires. Comment se passer de toilettes quand on habite en ville ? Question d'hygiène mais aussi de dignité humaine. > Projet en cours : Partenaires a trouvé une solution pour aider deux des quartiers les plus mal lotis. Fort de l'expérience d'une ONG locale qui a déjà réalisé un projet similaire, Kindu Trust, nous avons construit avec eux un bloc sanitaire de huit toilettes et quatre douches, relié à un bio-digesteur qui alimentera en gaz une cuisine collective. Les autorités locales nous ont donné le terrain et nous avons obtenu une subvention de € d’un partenariat Ville de Lyon/Agence de l’Eau/Veolia. Le reste, soit environ €, sera pris sur les fonds propres de l'association, surtout alimentés par les dons des particuliers. Le cout total du projet est de euros. Partenaires espère ainsi améliorer la vie d’environ 1500 habitants, via leur santé et leur environnement. Toilettes actuelles Femmes devant leurs pauvres demeures à Gondar. Crédit photos : Henri Maitre

Autres 9.0 % Dons de Particuliers 24.0 % Parrainages 18.0 % Mécénat Entreprises Fondations 26.0 % Subventions 23.0 % Missions internationales 84.0 % Fonctionnement 7.0 % Sensibilisation au Développement 9.0 % Quelques chiffres Ressources : € Affectations : € Ressources : € 2014 Affectations : € Mécénat Entreprises Fondations 19% Parrainages 11% Autres 6% Subventions 48% Dons de particuliers 15% Missions internationales 91 % Fonctionnement 5 % Sensibilisation à la solidarité internationale 4 %

> Partenaires Solidaires, le Fonds de dotation de Partenaires a été enregistré au J.O. du 8 août 2011 afin de recevoir et administrer les dons et legs de toute personne physique ou morale dans le but de développer des actions concrètes de solidarité internationale. Cet instrument juridique mis en place par un législateur garantit que les fonds recueillis sont capitalisés et affectés au financement et à la réalisation des programmes humanitaires mis en œuvre par Partenaires en toute transparence et selon les règles de bonne pratique. Le contrôle par un commissaire aux comptes garantit la fiabilité de l’information financière et comptable du fonds de dotation. La préfecture reçoit et vérifie les rapports d’activités moraux et financiers ainsi que les avis du commissaire aux comptes. > Comment devenir donateur ? La donation est un contrat notarié par lequel, de son vivant, une personne (le donateur) fait don immédiatement et irrévocablement d’un bien en faveur d’une autre personne (le donataire). Types de biens concernés : monétaires, immobiliers et mobiliers, actions et obligations, véhicules, bijoux et objets d’art, etc. Le legs est une disposition effectuée par testament par laquelle une personne (le testateur) désigne une autre personne (le légataire) qui à son décès recevra tout ou partie de son patrimoine. En l’absence de testament et d’héritier direct, l’Etat est le seul bénéficiaire de ce patrimoine. En présence d’héritiers réservataires (descendants ou ascendants), le testateur peut léguer une partie de son patrimoine au Fonds de dotation, selon la quotité disponible prévue par la loi. Comme pour une donation, un legs peut être composé de tout type de biens. > Avantages fiscaux Les dons bénéficient du régime de la déduction fiscale applicable au mécénat. Les reçus fiscaux émis par le fonds de dotation donnent accès à une réduction d’impôt sur le revenu. De même, les fonds de dotation étant exonérés de droits de succession, l’intégralité d’un legs ou d’une donation profitera aux programmes de développement soutenus par Partenaires Solidaires. Partenaires solidaires Le Fonds de dotation de Partenaires > Un engagement réciproque et solidaire En renforçant l’indépendance financière et politique de Partenaires, le donateur soutient directement les projets de l’association en lui permettant de lutter efficacement contre les inégalités. Le donataire, de son côté, offre au donateur la garantie d’une gestion rigoureuse des dons et un impact maximum de sa générosité.

En France Bureau parisien : Christian RAYMOND : Président-fondateur Monique PAULY: Vice Présidente Monique DHUIN Trésorière Evelyn HADGE : Secrétaire générale Vaneeda WEISGERBER : Secrétaire adjointe Anne Verin : Relations donateurs Nicole Lefevre : Conseillère éducation Bernard Willi : Conseiller Juridique Marie Marotte : Coordination nationale Au Myanmar Equipes des foyers : Kakoli NARGIS AKTER : Directrice du Foyer Maer Achol Fahima : Educatrice principale et enseignante Azad : Surveillant général Mustakin : Comptable Beauty : Educatrice et enseignante Shaïda : Responsable de l’Atelier couture Nazrul : Educateur de rue Ranjit : Educateur et responsable de l’Annexe Shukhi Ghar Au Bangladesh Partenaires Ouest : Marie-Cécile LACOSTE Partenaires Nord : Michèle O’NEILL Partenaires Rhônes-Alpes: Vanessa GAFFIE Partenaires Est : Alexandre SATTLER Partenaires en Suisse : Partenaires Suisse : Line MATHEZ Antennes nationales : Bureau à Yangon : Christophe GIRAUX : Représentant-pays Kyaw Than Oo : Responsable des programmes Thin-Thin : comptable Matthieu LAYEC : Conseiller technique en agriculture Bureau de Myaing Ko Kyaw Ngwe : Responsable du projet UNICEF Aye Thin Zar Aung : Coordinatrice hygiène et santé Thet Tin Ko, Moe Win : Coordinateurs chantiers et terrain Bureau à Yenanchaung : Ko A One : Responsable de projets Ei Phyo Theint : Comptable Ko Zaw Moe Maung : Ingénieur Thet Aung Htwe : Logisticien U Win Soe : Technicien VRD Yethuya Tun Ko Ko, Thein Lwin, Kyaw Min Lwin Monika : Educatrice des adolescents Lucky : Educatrice des filles Tania : Educatrice à mi-temps Lucky : Educatrice des filles Khala et Nazma : Cuisinières Awa : Femme de ménage Khalu : Gardien du Foyer

Nos partenaires

L'ONG Partenaires s’est forgé sur le terrain sa réputation d’artisan de l’humanitaire :  En s’employant à aider les populations oubliées par les autorités et les grandes structures internationales  En dépassant les directives officielles, souvent inadaptées à la situation et à la culture du lieu, mais en cherchant à connaître la demande et les besoins réels de la population concernée  En s’appuyant autant que possible sur une initiative locale, en l’aidant à réussir et à se répéter, et en laissant ensuite aux bénéficiaires le soin de s’approprier et de pérenniser l’entreprise, ce qui a été le cas dans la quasi-totalité de ses programmes. En France, l’association maintient ses frais de fonctionnement au minimum grâce aux bénévoles, extrêmement engagés, qui prennent à leur charge propre tous les frais incombant à leur tâches respectives. Si vous voulez soutenir Partenaires : Faites un don ponctuel ou régulier, par chèque ou en ligne. Vous bénéficierez d’une déduction fiscale et votre contribution sera un appui précieux à notre action sur le terrain. Rejoignez notre équipe de bénévoles et de volontaires en appelant le ou en écrivant à En résumé :