Les raisons d’être optimistes… La nécessité de construire un projet partagé Remise en question, doutes… c’est normal et salutaire  faire le bilan, se remettre en question Changement de mœurs chez les politiques et changement de génération La concertation se professionnalise et s’enrichit de nouveaux acteurs, elle est de plus en plus légitimée. Il existe encore une infinité d’outils à créer/développer ! Terreau favorable avec apparition progressive de nouveaux mouvements, nouvelles formes de participation Parce que l’économie circulaire et l’implication des usagers sont intrinsèquement liés : optimisme ++ Mutation politique en cours. On ne peut plus faire sans. Ca bouge vitesse grand V et comme on sait que c’est efficace, ça ne peut qu’aller de l’avant ! Longue vie à l’Institut La participation comme seule possibilité de redonner du pouvoir aux citoyens : seule alternative à la crise politique actuelle L’Institut de la Concertation ! Il n’y a plus d’argent dans les caisses publiques : youpi ! On va enfin pouvoir discuter et co- construire ensemble L’émergence de mouvements citoyens souhaitant reprendre la main sur leurs vie, avenir, environnement La mobilisation actuelle sur le climat Levier d’appropriation des projets nécessaires Levier : la période de transition, notamment écologique, est un facteur de changement de modèles Prise de conscience qu’il faut faire évoluer les pratiques actuelles ; le modèle actuel atteint ses limites Évolution des concepts et de la façon d’impliquer les citoyens Des collectivités qui rentrent dans le programme Territoire Hautement Citoyen De plus en plus d’élus locaux demandeurs de nouvelles formes de gouvernance La concertation est devenue source d’espoir face à la bureaucratie Les citoyens ne croient plus et n’adhèrent plus en la décision politique / publique unique  ils sont en attente de participer, de s’exprimer Une chance d’améliorer les projets Optimiste au regard du contexte législatif, de l’envie des citoyens, des nouvelles formes de participation citoyenne… On n’est pas tout seul ! Il y a plein de bonnes idées ailleurs !

De belles énergies, des approches de plus en plus « pro », mais pas assez partagées par les pouvoirs, locaux et nationaux Les outils numérique permettent d’élargir les modes de participation à condition de les maitriser et d’accompagner toutes les populations Il y a un vrai travail de décryptage à faire auprès des élus, pour un partage des responsabilités La professionnalisation de la concertation est une bonne et une mauvaise chose… L’ensemble de la classe politique doit se régénérer, apprendre cette démocratie citoyenne. Les habitants, citoyens, doivent aussi en capter les enjeux Être optimiste, oui, mais…

L’Etat doit aussi prendre ses responsabilités et engager des concertations nécessaires sur certaines politiques en amont des projets portés par les MOA Les politiques en parlent beaucoup mais peinent à intégrer pleinement la concertation L’absence de projet de territoire, le recul des établissements publics au nom de la modernisation du droit des grands projets, la multiplication des maîtres d’ouvrage d’un seul projet Frein = l’obligation de déconstruire le mode de compétition dans lequel on s’est construit La participation citoyenne est trop utilisée comme un affichage, dont la sincérité est contestable. Le politique a-t-il compris la valeur ajoutée sur les projets et les décisions ? La concertation en tant que procédure réglementaire est au bout. Il faut réinventer les méthodes Les tensions sociales et le retour d’un discours sur l’autorité dans sa version conservatrice La déformation de la définition de l’intérêt général (qui doit bien rester différent de la somme des intérêts particuliers) La participation peut être une façon de contrer tous les projets Quel bilan des projets réalisés sur le respect des réserves émises lors des consultations publiques, débat public,…? L’instrumentalisation de la participation Le manque d’ambition politique Attention au « solutionisme technologique » (= le numérique va tout sauver) Un frein : c’est aux élus en place de décider de laisser une plus large place au peuple La difficulté à faire bouger nos instances politiques représentatives, par ex. les départements… Difficulté d’instaurer une culture de la participation, manque de relais (élus, presse), ne cherchant pas à encourager ces formes de mobilisation L’absence de culture de concertation du plus grand nombre, souvent considérée réservée à une élite Les oppositions à des projets ont recours à des procédés d’intimidation qui radicalisent les maîtres d’ouvrage et décrédibilisent les démarches de concertation De nombreux espaces de concertation ne permettent pas à tous de s’exprimer L’atomisation croissante de la société Il faut passer à la phase « professionnalisation » des intervenants facilitateurs avec des agréments pointus comme l’IFA La « radicalisation » de l’opposition (ZAD…) couplée à la difficulté de faire s’exprimer la majorité silencieuse Comment faire pour que cela soit simple pour les habitants ? Une priorité en cette période difficile Les raisons d’être pessimiste

Les attentes envers cette journée… Participer à des travaux sur la mise en place de nouveau procédés de concertation Mieux connaitre les objectifs à court terme de l’Institut de la Concertation Comment transférer les expériences de concertation d’un contexte à un autre Prendre le pouls dans les autres collectivités Rejoindre un groupement de passionnés qui s’intéressent à la mutation actuelle de la société Comment bousculer le politique pour que les institutions se mettent à l’heure de la concertation… à commencer par le Parlement (qui ne sait pas bien comment représenter le peuple) Rencontrer et partager avec les acteurs de la concertation Participer Connaître l’Institut Échanger Participer Connaître l’Institut Échanger Lancer de nouveaux chantiers, avec de nouvelles énergies ! Travailler en réseau Constater et entendre d’autres points de vue, pour ne pas vivre et évoluer dans les certitudes