Titre de la communication Nom prénom de l’auteur Titre de la conférence Nom de l’auteur Titre de la communication et/ou de la conférence Le séquençage.

Slides:



Advertisements
Présentations similaires
Le statut social des enfants de 0 à 5 ans influe-t-il sur la prise en charge de leurs problèmes de santé ? A partir d'une étude réalisée en médecine générale.
Advertisements

03/06/2009 Lobservatoire locale en santé : du diagnostic au pilotage de la politique de santé publique 7 ème journée nationale détude - Espt – Vendredi.
Dr Flez jean-francois; Dr Couette Philippe;
Rencontre inter-régionale 1 La sélection des GAL.
Expérimentation du DP - PREPS spécifique pour l’évaluation
MODELES POLYTOMIQUES.
ANALYSE CONJOINTE 29/06/07- Analyse conjointe.
1 Contribution à la surveillance syndromique de la population bovine à partir des données de NERGAL ABATTOIR Réunion du Groupe Abattoir 11 mars 2011, DGAl.
Lundi 10 décembre 2007 / Mardi 11 décembre 2007
DEME - La méthode d’enquête – introduction
AG EPF/COVERTE 2013 Comment évaluer le devenir à long terme des enfants non infectés?
HORAIRES HEBDOMADAIRES PROPOSES Spécialité Gestion 3 heures en classe entière 2 heures en demi - groupe Soit 5 heures - élève Spécialité Communication.
La démarche clinique infirmière
Gelly J, Suarez Valencia JS, Salaün A, Worré S, Christidis A,
Des clubs de plein air pour les adolescents
GESTION DES URGENCES MEDICO-SOCIALES AVEC ANALYSE DE LA CRISE AU MAILLON.
DEMARCHE METHODOLOGIQUE GENERALE DE MISE EN PLACE DES PI
DES PLATEAUX TECHNIQUES REGROUPES ET MUTUALISES aux PLATEFORMES DE COMPETENCES MUTUALISEES ET VIRTUELLES Jean-Jacques Romatet Dr Martine Servat.
Alain Brémond Université Claude Bernard Centre Léon Bérard
Linclusion sociale des personnes en situation de handicap dans la wilaya dAlger : état de la question Alger – 03 octobre 2013.
Demand-side factors in optimal land conservation choice Amy W. Ando *, Payal Shah in Ressource and Energy Economis.
Maison de la Chimie Paris, 11 février 2014 Présentation du Comité dEthique de lInserm Hervé Chneiweiss (Président du CEI)
Fréquence et facteurs associés à la rupture de suivi médical parmi les personnes vivant avec le VIH en France métropolitaine : résultats de l’enquête ANRS-Vespa2.
Fernand BATIONO Séminaire international de clôture du projet Ouagadougou les 16 et 17 septembre 2009.
Projet établissement collège Pierre Moréto
Projet d’ingénerie Naissance Design Exécution Exploitation.
Scolarisation des élèves en situation de handicap Intervention à lESMS 23 juin 2009 Philippe Douriaud CPC ASH.
QUIZZ ETHIQUE DURBUY 2011 Dr Ph. OLIVIER.
Pré-conférence de la Société canadienne de bioéthique - Mercredi 30 mai 2012 SYMPOSIUM D’EXPERTS - INITIATIVE COMMUNE DE RÉFLEXION POUR L’AMÉLIORATION.
Soins externes Février Titre de la conférence 2 Soins externes La décision d’utiliser le circuit TP Soins externes de SP Santé a été prise fin octobre.
Centres de référence Centres de compétence mieux comprendre leur organisation IX e Forum des Associations Vendredi 13 juin 2008 Dr Ioana Caron.
Guide d’animation pour la mise en œuvre de la phase de pré-diagnostic
Assises Régionales du Dispositif Local d’Accompagnement 25 septembre 2009 Innovation sociale Cohésion sociale Economie solidaire Proximité Création d’emplois.
The PATH to Appropriateness Chris Power 6 février 2013 Obtenir des gains d’efficience au moyen de modèles innovateurs de prestation des soins de santé.
Présentation février 2002 Relations Visiblement Meilleures.
UE 3.2 S2 Sciences et techniques infirmières fondements et méthodes
Dora Lévy Clémence Moiron
La satisfaction au travail des professionnels des établissements de santé.
La Culture de sécurité des professionnels de santé.
EPP : Risques, bénéfices et perspectives
LE DIAGNOSTIC SOCIAL TERRITORIAL
Satisfaction des usagers de la consultation externe d’ORL du CHU de Yopougon KOUASSI YM, KOUASSI-NDJEUNDO J, BADOU KE, GOKOU E, TANON-ANOH MJ, KOUASSI.
Le projet CLARTE (1) Cadre
Cancers rares de l’adulte L’organisation en centres experts.
La Culture de sécurité des professionnels de santé.
1 LA DEMARCHE QUALITE ET SON EVALUATION Professeur César AKPO Faculté des Sciences de la Santé COTONOU 2005.
PROJET : identification et régulation des usages des TIC en lycée Lycée Marseilleveyre/ INRP
Cours multimédia Organisation de l ’éducation au Québec Par Jean Loiselle et Jacques Daignault Colloque du BTSE, août 1999.
Recherche-action autour du vieillissement des personnes vivant avec le VIH Résultats de l’étude AIDES : vieillir avec le VIH Alain Bonnineau -
Etude de la clientèle des salles de cinéma En partenariat avec.
ETP-ACT L’éducation thérapeutique du patient en grande précarité et travail social : quelles réalités? Farida MOUDA Chargée de projets IREPS HN.
Diagnostic participatif : L’expérience des CCCA du Hainaut APW Colloque Les aînés, au cœur de l’action provinciale Libramont 9 décembre 2015 VANLIERDE.
Les données, l’information et la connaissance Systèmes d’information de gestion. Reproduction interdite © TC Média Livres Inc. Partie 2.
PROPOSITIONS ET PERSPECTIVES DANS LE CHAMP DE LA FORMATION EN SOINS PALLIATIFS PH. COLOMBAT, D. MALLET, R AUBRY POUR LE COMITE DE SUIVI SP.
Modélisation des Actions Mécaniques Première sti2d
TANDEM Adrien DELORME, CISS Rhône-Alpes 9 février 2016.
Filière DéfiScience Présentation 9 février 2016
Dispositif de prévention et dépistage des cancers Un projet partenarial à destination des personnes handicapées Journée Santé URAPEI-ARS 9 février 2016.
PROJET DE PLATE-FORME DE CONSULTATIONS SPECIALISEES POUR PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP 9 février 2016.
Pourquoi ? comment ? Quels enseignements ? Centre de ressources en soins primaires 1 3 émes Etats Généraux de la Formation et de la Recherche Médicales.
Le travail non rémunéré dans une société de l‘information Marian Kika – Maria Uramova Katowice, 2013.
Information des enfants sur leur statut génétique pour la maladie de Huntington Stéphane-Françoise Clément ICM et Espace éthique Ile de France (Master.
Les séquences en mathématique Par : Taïga Waelput-Lavallée Conseillère pédagogique au secondaire.
LE PROJET STRATÉGIQUE UN PROJET STRATÉGIQUE. POUR PERMETTRE A CHACUN DE… Donner du sens à l’action Partager une vision commune Se mobiliser.
DIFFUSION DE LA CULTURE GERIATRIQUE AUX SERVICES DU MCO EMG du Nord.
8èmes ASSISES DE GENETIQUE HUMAINE ET MEDICALE Lyon, 3-5 février 2015
Avec Moi APPROCHE AXÉE SUR LA PERSONNE. « J’ai commencé ma carrière comme infirmière et j’ai pu constater comment les expériences personnelles et les.
DGESCO Document à destination des familles L’expérimentation du choix donné à la famille sur la décision d’orientation en fin de troisième.
Césarienne programmée Retour d’expérience sur une enquête qualitative au CH de Digne Barbara LEVI VALENSIJournée du comité d’évaluation Master PMP20 Juin.
Transcription de la présentation:

Titre de la communication Nom prénom de l’auteur Titre de la conférence Nom de l’auteur Titre de la communication et/ou de la conférence Le séquençage haut débit en pratique clinique : des préférences des patients au consentement informé Pélissier, C. Peyron, D. Salvi, S. Kidri, E. Gautier, C. Thauvin-Robinet, L. Joly, A.Chassagne, E. Cretin, E. Chassagne, JB. Riviere, D. Lehalle, N. Jean, J. Thévenon, P. Ancet, O Putois, AS Lapointe, P. Morin, P. Edery, M. Rossi, D. Sanlaville, F. Houdayer, L. Faivre, S. Béjean 8 èmes Assises de Génétique Humaine et Médicale – Lyon – 3,4 et 5 février 2016 Titre de la communication

1. Contexte, problématique et objectifs  Contexte : le SHD et son introduction en diagnostic : un progrès technologique qui bouleverse les pratiques, crée des situations nouvelles et génère des interrogations qui dépassent la sphère médicale  Quelles informations communiquer? Quel contenu (fortuit, incertain)?  Quelle est la « valeur » de l’information, de la non-information?  Quelle est la « valeur» des modalités de transmission de l’information?  Préférences des patients sur le processus d’information et consentement  Déterminants et hétérogénéité des préférences  Très peu d’études dans le contexte français  Une recherche pluridisciplinaire et translationnelle  Evaluer et comprendre les préférences des familles de patients quant à la communication des résultats d’un SHD à visée diagnostique, dans le contexte des anomalies du développement et/ou des déficiences intellectuelles.

2. Méthodologie SEQUAPRE - QUANTI  Un des volets de l’étude SEQUAPRE (financée par la Fondation maladies Rares)  Réalisé par l’Equipe d’Economie de la Santé du LEDi en collaboration avec deux centres de référence maladies rares « anomalies du développement et syndromes malformatifs » (Dijon et Lyon)  Une méthodologie originale et pertinente pour révéler les préférences d’un individu : la méthode du Discret Choice Experiment  Choisir entre des configurations alternatives et hypothétiques du « rendu des résultats », approche multidimensionnelle de « l’information » Elaboration des questionnairesPassation de l’enquête  6 attributs / des modalités pour chacun Résultats incertains Aucun / les plus probables / Tous Résultats fortuits Aucun / Action possible / Tous Réexamen Non / Automatiquement / A ma demande Décision de la diffusion Moi / Le généticien / Le comité d’éthique Accompagnement Le généticien /Un(e)psychologue/Un(e)infirmièr(e) /Rencontres avec d’autres familles La disposition à payer 1 / 300 / 600 / 1000  Focus group + Associations de patients + pré-test  Entre février et décembre 2015  Parents de patients reçus en consultation  Questionnaire constitué de 6 paires de choix successives Exemple et caractéristiques individuellesExemple  Auto-administrée avec accompagnement d’une enquêtrice  528 questionnaires, 3168 choix

3. Les résultats attendus  Exploitation statistique par des méthodes d’économétrie des variables qualitatives (logit multinomial, logit mixte, modèles à classes latentes)  Quelles valeurs de chaque attribut sont préférées, en général?  Les parents sont-ils davantage satisfaits si on leur communique non pas tous les résultats incertains mais seulement les plus probables?  Quelle contribution relative ont les différents attributs et leur valeur à la satisfaction des parents?  Un accès à l’information décidé par les parents et non par un comité d’éthique a-t-il plus d’importance que d’avoir ou pas les résultats incertains?  Les choix et l’importance donnée aux différentes dimensions de l’information dépendent-ils des caractéristiques des parents (genre, niveau d’étude, ancienneté du parcours de soins,..)? ……..des résultats en cours d’élaboration

SEQUAPRE - QUANTI Merci de votre attention!  Contact : Christine Peyron Equipe d’Economie de la Santé LEDi (CNRS UMR 6307, INSERM U1200)

SEQUAPRE - QUANTI