27/11/2012 Surveillance de la tuberculose bovine dans la faune sauvage en France : dispositif SYLVATUB Note de service DGAL/SDSPA/N2011-8214.

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Transcription de la présentation:

27/11/2012 Surveillance de la tuberculose bovine dans la faune sauvage en France : dispositif SYLVATUB Note de service DGAL/SDSPA/N

1. Historique et contexte de mise en place du dispositif Sylvatub

● Infection faune sauvage uniquement dans secteurs où bovins infectés  Contamination faune sauvage d’origine bovine ● Maladie longue à s’installer dans la faune sauvage mais très difficile à éradiquer une fois installée ● Grande variété des situations et spécificités d’espèces Historique et contexte Source : Rapport Anses, 2011

● France : statut « Officiellement indemne » en 2001 ● Découverte d’animaux sauvages infectés dans plusieurs zones d’infection chez les bovins ‒ Forêt de Brotonne (2001) ‒ Côte d’Or et Corse (2003) ‒ Pyrénées Atlantiques (2005) ‒ Dordogne (2010) Historique et contexte Source : DGAl, J. Hars Foyers bovins

● Infection faune sauvage uniquement dans secteurs où bovins infectés  Contamination faune sauvage d’origine bovine ● Maladie longue à s’installer dans la faune sauvage mais très difficile à éradiquer une fois installée ● Grande variété des situations et spécificités d’espèces  Surveillance faune sauvage en France ‒ Découverte fortuite de lésions à l’éviscération ‒ Animaux morts ou mourants (réseau SAGIR) ‒ Surveillance active ‒ Recherche dans des zones connues d’infection de cheptels bovins ‒ Difficulté d’harmonisation des protocoles Historique et contexte

● Mis en place fin septembre 2011 ● Objectifs ‒ Détection animaux sauvages infectés ‒ Suivi du niveau d’infection ‒ Liens épidémiologiques faune domestique / faune sauvage ‒ Harmoniser la surveillance ● Fonctionnement ‒ Définition de niveaux de risques départementaux ou locaux ▫ Présence de foyers bovins ? ▫ Dynamique de l’infection ? ▫ Présence d’animaux sauvages infectés ? ▫ Proximité géographique ? Dispositif Sylvatub Niveaux de risque pour la saison

● Objectifs ‒ Détection animaux sauvages infectés ‒ Suivi du niveau d’infection ‒ Liens épidémiologiques faune domestique / faune sauvage ‒ Harmoniser la surveillance ● Fonctionnement Dispositif Sylvatub Niveaux de risque pour la saison Niveaux de risque estimés Eléments de l’analyse de risque Niveau 3 Elevé -Prévalence élevée tuberculose bovine -Présence d’animaux sauvages infectés (voire réservoir primaire) Niveau 2 Intermé- diaire -Détection régulière ou augmentation soudaine d’incidence de foyers bovins -Présence d’animaux sauvages infectés -Proximité géographique avec des zones de niveau 3 Niveau 1 Faible- Tous les autres départements

● Fonctionnement ‒ Combinaison de diverses modalités de surveillance selon le niveau de risque estimé Dispositif Sylvatub Modalités de surveillanceNiveau 1Niveau 2Niveau 3 Surveillance passive :  Examen de carcasse  Réseau SAGIR* XXX Surveillance passive renforcée :  Renforcement du réseau SAGIR  Cadavres de blaireaux bord de routes XX Surveillance active sur blaireaux XX Surveillance active sur blaireaux, cerfs et sangliers X *Animaux morts ou moribonds

DDecPP FDC Référents Sylvatub Chasseurs FDC Référents Sylvatub Chasseurs GDS GTV Lieutenants de louveterie, … GDS GTV Lieutenants de louveterie, … Communica- tion Collecte Diagnostic Centralisation et archivage Analyse et traitement des données Laboratoire de proximité Laboratoire agréé tuberculose Laboratoire national de référence Référents Sylvatub Animaux trouvés morts ou mourants Animaux abattus à la chasse ou piégés et faisant partie d’un plan d’échantillonnage Chasseurs, agents de l’ONCFS, lieutenants de louveterie, piégeurs agréés, équipages de vénerie sous terre Anses DGAl Anses DGAl Anses DGAl ONCFS Anses DGAl ONCFS Animaux abattus à la chasse et présentant des lésions Logigramme simplifié du dispositif Sylvatub

● Contexte ? ‒ Examen initial de la venaison : obligatoire dans le cadre du Paquet Hygiène lorsque la carcasse est remise au consommateur final ou consommée au cours d’un repas de chasse ou associatif ‒ MAIS examen de carcasse recommandé pour toutes les carcasses, quel que soit leur destination  Objectif général : différentier « l’anormal du normal » sur une venaison ● Qui ? ‒ Chasseurs formés à l’examen initial de la venaison principalement ● Comment ? ‒ Plaquette technique élaborée en > diffusion à tous les chasseurs ‒ Circuit d’information en cas de découvertes de lésions évocatrices de tuberculose = ABCES Examen de carcasse

Chasseur référentCadavre ou lésion Chasseur « formé » Laboratoire d'analyse Culture = 3 mois 48 h max 24h si >8°C Commémoratifs Fédération départementale des chasseurs Résultat négatif Résultat positif Résultat Missions de chaque acteurs présentées sur les « fiches missions » diffusées par la FNC Support d’information à la reconnaissance de lésions tuberculeuses

Information Support d’information à la reconnaissance de lésions tuberculeuses et à la réalisation des prélèvements

● Référents ‒ Vérifie la suspicion, complète la fiche de commémoratifs avec la mention « Surveillance nationale Tuberculose » (nécessaire à l’indemnisation) ‒ Organise la prise en charge de la carcasse ou des viscères dans un sac plastique, accompagnées de la fiche de commémoratifs jusqu’au laboratoire le plus proche sous 48h après l’abattage ‒ Si transport impossible : réalisation des prélèvements (bloc pulmonaire, tête, bloc digestif), acheminement au laboratoire: ▫ Support d’information théorique (demander à ▫ Session de « formation » au LDA (autopsie d’un sanglier par exemple) ‒ Tient à jour un registre des opérations effectuées (appels par les chasseurs formés, vérification des suspicions, transport au laboratoire départemental…) et le transmet à l’animateur national et à la FNC une fois par Examen de carcasse

● Fédération départementale des chasseurs ‒ Organise l’information des chasseurs examinateurs via ses formateurs référents et la diffusion de la plaquette technique ‒ Organise le retour d’informations via le référent sur les résultats d’analyse ● DDecPP ‒ Informe la DGAl et les partenaires locaux en cas de résultat positif ‒ Met en œuvre les investigations nécessaires dans le voisinage où l’animal a été chassé pour recherche d’éventuels cas dans la faune domestique Examen de carcasse

● Laboratoire départemental d’analyses ‒ Vérifie si la fiche de commémoratifs est correctement renseignée : identité du préleveur, date, espèce, localisation… ‒ Si non agréé pour la culture : effectue les prélèvements sur la carcasse, pour envoi au laboratoire agréé le plus proche ‒ Si agréé pour la culture : effectue une analyse bactériologique sur toute lésion suspecte et sur un pool de ganglions. Renseigne un registre des opérations effectuées et le transmet à l’animateur une fois par mois ‒ Peut être sollicité pour organiser des formations à la réalisation des prélèvements Implication du LDA

● Principe ‒ Résultat négatif  informe le référent (FDC/ONCFS), la DDecPP et l’animateur (+ fiche de commémoratifs renseignée) ‒ Résultat positif  transmet la culture et le matériel biologique au LNR et prévient l’animateur et la DDecPP ● Saison : Système transitoire de tableur excel permettant la transmission des informations ● Saison : Système EDI Sacha (Note d’information ADILVA – Mars 2012) ‒ Standardisation ‒ Harmonisation ‒ Circuit de facturation  Paramétrage prévu pour fin 2012 – début 2013 Implication du LDA

Communication

Communication

● Le fonctionnement normal du réseau SAGIR n’est pas impacté dans les départements de niveau 1 ● Départements de niveaux 2 et 3 : mise en place d’un renforcement du réseau SAGIR courant 2013 ‒ Augmenter autant que possible la collecte des cadavres de cerfs et sangliers (sans recherche active) ‒ Recherche systématique de tuberculose au LDA Surveillance des cervidés, sangliers et blaireaux prélevés par SAGIR

● Surveillance par examen de carcasse ‒ Indemnisation forfaitaire de la prise en charge d’une carcasse suspecte et de l’acheminement au LDA le plus proche ‒ Nécessite le renseignement d’un registre d’indemnisation par les référent (à envoyer à la FNC et à l’animateur du dispositif) ● Analyses diagnostiques ‒ Autopsies et réalisation des prélèvements ‒ Cultures bactériologiques ‒ PCR si présence de lésions ‒ « Formation » des référents Sylvatub à la réalisation des prélèvements ‒ Transport de prélèvements entre laboratoires et avec le LNR Indemnisations

CALAGES À FAIRE LORS DE CETTE RÉUNION ● Etablir une liste de numéros d’alerte -référent local -animateur national ( ) -laboratoire départemental -DDecPP ● Formaliser le fonctionnement au niveau local Définir les missions de chaque acteur  Compléter la fiche synthétique sur le flux d’informations entre les acteurs (modèle disponible sur le centre de ressources, rubrique boite à outils, volet examen initial de la venaison, dossier fiches techniques)

● Bilan complet de la 1 ère année de fonctionnement de Sylvatub fin 2012 – début 2013 ● Nouvelle note de service DGAl courant décembre 2012 ● Poursuite de la mise en place de la surveillance dans les départements (notamment le renforcement de la surveillance passive via SAGIR) ● Pilotage national au sein de la Plateforme ‒ Communication, échanges, coordination-animation ● Forte motivation et implication des acteurs locaux Conclusion

Merci pour votre attention