Paradoxes de l’accompagnement social Aide versus contrainte Confiance versus intrusion Paradoxes des méthodes utilisées
Paradoxes de l’accompagnement social L’accompagnement social : aide ou contrainte? L’accompagnement social : relation de confiance ou intrusion Action sociale et pouvoir du travailleur social Le paradoxe de la durée de l’accompagnement social Paradoxe entre secret professionnel et efficacité de l’accompagnement social Le travail en partenariat : une opportunité avec ou sans dérive
L’accompagnement social : aide ou contrainte? La contrainte est définie par le contrat Le bail fixe le cadre juridique Le contrat d’aide ou d’accompagnement défini les modalités du travail social La contrainte exercée dans le cadre de l’accompagnement doit être une aide, et peut être libératrice. Il importe de clarifier et d’expliquer le sens de la contrainte, de clarifier les rôles de chacun.
L’accompagnement social : relation de confiance ou intrusion? Eviter qu’une seule personne ne porte les casquettes de travailleur social et de propriétaire. Les travailleurs sociaux souhaitent être des médiateurs, mais dans les services participants à la rencontre, ils sont attachés aux institutions propriétaires. Il nous paraît essentiel de clarifier le rôle de chacun au sein de l’institution, dans le cadre des relations avec les bénéfixciaire-locataires.
Confiance ou intrusion? Il importe de mettre chacun face à ses responsabilités, de trianguler la relation.
Action sociale et pouvoir du travailleur social Comment mettre en place un accompagnement social sans porter atteinte à l’estime que la personne a d’elle-même? L’expression d’une demande d’aide implique souvent une perte d’autonomie Il importe de définir au départ les conditions de la fin de l’accompagnement pour permettre de sortir de la subjectivité. Il faut définir le rôle et les compétences de chacun. Le travail en réseau peut permet de partager le pouvoir et donc de réduire le pouvoir de chaque travailleur social.
Le paradoxe de la durée de l’accompagnement social La durée risque d’entraîner la dépendance. Les notions de temps sont différentes selon les personnes. Il faut respecter le rythme de chacun. Il faut donc fixer une durée pour pouvoir évaluer si les objectifs sont atteints et prendre ainsi en compte le travail réalisé.
Le paradoxe de la durée de l’accompagnement social Pour certains, l’accompagnement sera permanent. Le but est de créer les conditions pour que la personne se stabilise.
Paradoxe entre secret professionnel et efficacité de l’accompagnement social Les informations divulguées doivent être un plus pour la personne et l’aboutissement du projet. C’est donc variable en fonction du partenaire. Le secret est partagé par rapport aux conséquences des actes et non par rapport aux actes eux-mêmes. Le partage du secret nécessite l’accord des intéressés.
Le travail en partenariat : une opportunité avec ou sans dérive La multiplicité des partenaires peut entraîner des références multiples qui risquent de nuire à l’efficacité. Le travail en réseau peut permet de partager le pouvoir et donc de réduire le pouvoir de chacun. Un contrat entre les partenaires peut permettre de Clarifier les rôles de chacun Définir les tâches de chaque partenaires