LES TABLES AMERICAINES - HO 249 ENSM Le Havre - A. Charbonnel – Les tables américaines – V 1.2. - 0711

1- Les pilots charts Benjamin Franklin, le précurseur Matthew Fontaine Maury, l'initiateur Exploitation des cartes ENSM Le Havre - A. Charbonnel – Les tables américaines – V 1.2. - 0711

1- Les tables HO 249 Notations françaises et américaines Angle Horaire à l'origine AHao GHA LHA Greenwich Hour Angle Angle Horaire local AHag LHA LHA Local Hour Angle Déclinaison D D Déclination Angle Horaire sidéral ou Temps Sidéral AHso SHA LHA Sideral Hour Angle La première observation scientifique des courants date de Benjamin Franklin, au 18ème siècle. A cette époque, les bateaux postaux américains qui faisaient le trajet entre l’Angleterre et les colonies mettaient des jours voire des semaines de moins que les bateaux anglais. Les autorités anglaises, très étonnées, écrivirent à B. Franklin pour lui en demander la raison. Il consulta alors son cousin, Timothy Folgen, capitaine de baleinier, qui lui parla du Gulf Stream et lui dessina une carte (cf. illustration dès 1769). A cette époque, la plupart des capitaines de bateaux américains connaissaient le Gulf Stream et savaient l’utiliser en allant vers l’Angleterre et rester en dehors en revenant. Franklin, intrigué par cette idée de « courants » au milieu de l’océan profita d’un voyage de retour vers les colonies en 1775, puis d’un voyage vers la France en 1776 pour effectuer des mesures de températures de l’eau et de l’air, plusieurs fois par jour, et pour vérifier l’emplacement du courant qui est plus chaud que les eaux qui l’entourent. Cette première cartographie du Gulf Stream permit d’améliorer les services postaux entre l’Angleterre et les colonies britanniques de manière tangible : sur certaines routes, le temps de navigation fut réduit de plus de 14 jours ! ! http://commons.wikimedia.org/wiki/Image:Franklin-Benjamin-LOC.jpg http://seacoos.org/Data%20Access%20and%20Mapping/currents/franklin Pilot chart crédit NOAA Hc Height calculated Z Relevement ENSM Le Havre - A. Charbonnel – Les tables américaines – V 1.2. - 0711

1- Les tables HO 249 HO 249 : Sight reductions tables for air navigation La première observation scientifique des courants date de Benjamin Franklin, au 18ème siècle. A cette époque, les bateaux postaux américains qui faisaient le trajet entre l’Angleterre et les colonies mettaient des jours voire des semaines de moins que les bateaux anglais. Les autorités anglaises, très étonnées, écrivirent à B. Franklin pour lui en demander la raison. Il consulta alors son cousin, Timothy Folgen, capitaine de baleinier, qui lui parla du Gulf Stream et lui dessina une carte (cf. illustration dès 1769). A cette époque, la plupart des capitaines de bateaux américains connaissaient le Gulf Stream et savaient l’utiliser en allant vers l’Angleterre et rester en dehors en revenant. Franklin, intrigué par cette idée de « courants » au milieu de l’océan profita d’un voyage de retour vers les colonies en 1775, puis d’un voyage vers la France en 1776 pour effectuer des mesures de températures de l’eau et de l’air, plusieurs fois par jour, et pour vérifier l’emplacement du courant qui est plus chaud que les eaux qui l’entourent. Cette première cartographie du Gulf Stream permit d’améliorer les services postaux entre l’Angleterre et les colonies britanniques de manière tangible : sur certaines routes, le temps de navigation fut réduit de plus de 14 jours ! ! http://commons.wikimedia.org/wiki/Image:Franklin-Benjamin-LOC.jpg http://seacoos.org/Data%20Access%20and%20Mapping/currents/franklin Pilot chart crédit NOAA ENSM Le Havre - A. Charbonnel – Les tables américaines – V 1.2. - 0711

1- Les tables HO 249 Intérêt (e , Ge ) Tcf1 (Ho , Z ) Hc Intercept Les données Position estimée Heure Astre relevé (e , Ge ) Tcf1 (Ho , Z ) Hc La première observation scientifique des courants date de Benjamin Franklin, au 18ème siècle. A cette époque, les bateaux postaux américains qui faisaient le trajet entre l’Angleterre et les colonies mettaient des jours voire des semaines de moins que les bateaux anglais. Les autorités anglaises, très étonnées, écrivirent à B. Franklin pour lui en demander la raison. Il consulta alors son cousin, Timothy Folgen, capitaine de baleinier, qui lui parla du Gulf Stream et lui dessina une carte (cf. illustration dès 1769). A cette époque, la plupart des capitaines de bateaux américains connaissaient le Gulf Stream et savaient l’utiliser en allant vers l’Angleterre et rester en dehors en revenant. Franklin, intrigué par cette idée de « courants » au milieu de l’océan profita d’un voyage de retour vers les colonies en 1775, puis d’un voyage vers la France en 1776 pour effectuer des mesures de températures de l’eau et de l’air, plusieurs fois par jour, et pour vérifier l’emplacement du courant qui est plus chaud que les eaux qui l’entourent. Cette première cartographie du Gulf Stream permit d’améliorer les services postaux entre l’Angleterre et les colonies britanniques de manière tangible : sur certaines routes, le temps de navigation fut réduit de plus de 14 jours ! ! http://commons.wikimedia.org/wiki/Image:Franklin-Benjamin-LOC.jpg http://seacoos.org/Data%20Access%20and%20Mapping/currents/franklin Pilot chart crédit NOAA AUCUN CALCULS pour avoir la hauteur calculée ou hauteur estimée Intercept ENSM Le Havre - A. Charbonnel – Les tables américaines – V 1.2. - 0711