Service Académique d’Information et d’Orientation LES OBJECTIFS DE SCOLARISATION Service Académique d’Information et d’Orientation
SOMMAIRE L’offre de formation dans l’académie Les résultats Les parcours scolaires L’insertion
L'Ile-de-France L’Ile-de-France 1/5 de la population 3 académies Paris au centre Versailles à l’ouest Créteil à l’est Seine-Saint-Denis Val-de-Marne Seine-et-Marne
L’OFFRE DE FORMATION DANS L’ACADEMIE DE CRETEIL
3e académie de France par sa population scolaire 921 689 élèves et étudiants Seine-St-Denis 266 écoles 412 collèges 177 lycées et 71 LP 4 universités 7 IUT 9 grandes écoles 1 IUFM 42 CIO Seine-et-Marne Val-de-Marne 921689 élèves et étudiants 50% dans 1er degré 42% dans 2nd drgré 17% dans supérieur
Les zones d’éducation prioritaires 24 % des élèves du second degré public sont scolarisés dans des zones d’éducation prioritaires (2001). Ce taux varie, selon les districts, de 0 à 100 % 38% 21 % 12 %
Le poids des ZEP en collège 35 % des collégiens sont scolarisés en ZEP Pourcentage de collégiens en ZEP 35 % des collégiens sont scolarisés en ZEP Positionnement de l’académie L’académie de Créteil est celle qui a la plus forte proportion de collégiens scolarisés en ZEP
DPE 2001
Le rapport effectifs 6ème / places en LGT... …plus faible en Seine-Saint-Denis Le rapport effectifs 6ème / places en LP ... …plus élevé en Seine-Saint-Denis
LES RESULTATS Le taux d ’accès au niveau IV La proportion de bacheliers dans une génération
Évolution du taux d’accès au niveau du baccalauréat Forte progression de l’accès au niveau bac Diminution de la proportion accédant au baccalauréat général et augmentation de celle accédant au baccalauréat professionnel
Comparaison inter-académique sur population scolarisée : Vademecum statistiques 60 % des élèves scolarisés dans l ’académie au niveau IV Stagnation depuis plusieurs années En dessous de la moyenne nationale et Bien en dessous de Paris 60,8% des élèves de l’académie accèdent au niveau IV
Si les jeunes franciliens parvenaient au niveau du bac dans les proportions nationales des différentes catégories sociales, leur taux d’accès serait de 67 %. Le taux réellement observé est supérieur à la moyenne nationale (62,8 %) mais inférieur à cette valeur “attendue”.
DPE 2001
Evolution de la proportion de bacheliers 60% de bacheliers dans une génération de l ’académie (avant 53,7 %) Changement de référence en 2001 (sur pop domiciliée Toujours inférieur à la moyenne national (61,7 %) mais écart moins prononcé. Importance du changement de référence (Géographie de l ’école)
Proportion de bacheliers dans une génération données 2000 selon lieu de résidence (Géographie de l’école) 70% 65% 63,1% 61,7 % 60% Dsans notre académie 60% des bacheliers : -30,7 % ont un bac général 19,2% un bac techno 10% un bac professionnel Par rapport à la France nous avons moins de bacs généraus plus de bac ptechnologiques Un peu moins de bacheliers professionnel Par rapport à Paris Beaucoup moins de bac généraux Beaucoup plus de bac techno et professionnels 60 % de bacheliers dans une génération
Des résultats plus faibles en Seine-Saint-Denis Proportion de bacheliers dans une génération selon le type de baccalauréat MEN-DPD 2000 En 93 beuacoup de bacheliers Surtout généraux, technologique Plus de bacs professionnels que dans le Val-de Marne Des résultats plus élevés en Seine-et-marne pour les trois bacs Des résultats plus faibles en Seine-Saint-Denis
Evolution dans les départements En Seine-Saint-Denis : une plus forte proportion de bacheliers professionnels et une plus faible proportion de bacheliers généraux Dans les trois départements stagnation des proportions de bacheliers généraux
LES PARCOURS SCOLAIRES Le taux de scolarisation Le retard scolaire La politique de passage Les taux de sorties Les abandons en cours de formation
Le taux de scolarisation des 16-19 ans 74,6% des 16-19 ans sont scolarisés Un des taux les plus faible de France
Comparaison inter-académique Le retard scolaire % d ’élèves en retard de 2ans et plus Comparaison inter-académique
De la demande à la décision 2001 Les décisions par rapport à la demande Moins de passages en 2nde GT : -6 % Plus de décisons pour la voie professionnelle: +4% Plus de doublements : +2,6% Par rapport à la France cette année : Plus de demandes et de décisions pour la voie professionnelle
Décisions des chefs d ’établissement Après la troisième Décisions des chefs d ’établissement
Décisions des chefs d ’établissement Comparaison Créteil - France Après la troisième Décisions des chefs d ’établissement Comparaison Créteil - France 60% 2de GT 34,7% 2de Prof 33,0 Jusqu ’à cette année dans notre académie nous avions plus de passage en 2GT Moins de passage dans la voie professionnelle pareil pour le doublement 5,4% Doublement
Après la 2nde générale et technologique de la demande à la décision Plus de décisions de doublements que de demandes Dans l ’académie Plus de décions de doublements que de demandes Par rapport à la France : En demandes :Moins de demandes de passage en 1re Plus de Doublements Plus de décisions de doublements impotantece des réorientation dans la voie professionnelle : 6% des effectifs / 5% au niveau national en 2001
Après la 2nde générale et technologique Décisions des chefs d ’établissement 74,7 19,2 Baisse du taux de passage Augmentation du taux de doublement
Après la seconde générale et technologique Décisions des chefs d ’établissement Comparaison Créteil - France 1re GT Dans l ’académie de Créteil Diminution du passage en 1re (pas en France) et augmentation du taux de doublement (alors qu ’il diminue en France) Doublement
Après le BEP-CAPde la demande à l’affectation Hausse de l’affectation... 69,7 55,3 Baisse de la demande de poursuite dé ’tudes Hausse de l ’affectation : 55,3% des élèves de BEP-CAP poursuivront leurs études …mais baisse de la demande
Taux de sorties
Les abandons en cours de formation Étude REBIERE, SAUVAGEOT MEN/DPD 2001 Profil des sortants interrogés La répartition par Académie en nombre d’élèves est la suivante : Créteil : 38% Besançon : 37.1% Rennes : 14.5% Nice : 10.5%
Les raisons de sortie du lycée professionnel Une formation peu attractive et l’appel de l’emploi 63% des interrogés ont quitté leur formation principalement à cause de la formation ou de l’école. Pour 56% des interrogés, la formation ne leur convenait pas 15% d’entre eux ont quitté leur formation pour trouver un emploi
Inadéquation entre la formation et les vœux d’orientation émis Inadéquation entre la formation et les vœux d’orientation émis Pour 40% des interrogés, la formation suivie ne correspondait pas aux vœux d’orientation émis Pour 17% d’entre eux elle y correspondait Pour 43% elle y correspondait ‘tout à fait’.
L’insertion à moyen terme en France La première insertion en Ile-de-France
L ’insertion en France Enquête INSEE mars 2000 Un taux de chômage des actifs qui passe sous la barre des 10 % Une situation plus difficile pour les jeunes avec : - un taux de chômage plus élevé : 19,3 % - une plus grande précarité : 5 fois plus d’emplois temporaires que les adultes
Le diplôme et le risque de chômage en France Les moins diplômés sont plus exposés au chômage Même en période de chômage, le diplôme permet d ’accéder plus facilement à un emploi
Le risque de chômage selon la formation des diplômés du supérieur Une insertion plus facile pour les diplômés des écoles d’ingénieurs et de commerce Une situation un peu plus difficile pour les diplômés du 3e cycle
La première insertion en Ile-de-France 7 mois après la fin des études La rapidité d ’accès à l’emploi Sans aucune qualification : de grandes difficultés De meilleurs résultats aux niveaux CAP-BEP et BAC Un avantage certain aux sortants de niveaux BTS et DUT
La qualité de l’emploi Elle s ’améliore avec le niveau de formation A niveau égal, les formations industrielles offrent des contrats plus stables et mieux rémunérés
Une insertion plus rapide avec une formation supérieure Les non-diplômés sont 6 fois plus souvent au chômage que les diplômés de niveau BEP-CAP Une insertion plus rapide avec une formation supérieure Le taux de chômage des jeunes on diplômés, bien qu’en baisse, reste élevé (30 %) ; il décroît régulièrement à mesure que s’élève le niveau de qualification. La reprise économique n’a que faiblement profité aux jeunes non diplômés : pour eux, le chômage persistant est six fois plus fréquent que pour les titulaires d’un CAP ou d’un BEP industriel. Une formation supérieure permet une insertion rapide et sûre : 1 % seulement des jeunes de niveau Bac + 2 à Bac + 5 n’a jamais travaillé durant les trois années suivant la fin de leurs études
SITES INTERNET Sites nationaux : http://www.education.gouv.fr http://www.onisep.fr Site de l’académie de Créteil : http://www.ac-creteil.fr Sites d’informations sur l’international http://www.edufrance.fr http://www.eurydice.org http://www.estia.educ.goteborg.se/
Salaire Minimum dans 9 états membres Salaire minimum mensuel en euros
Croissance annuelle de l ’emploi cadre
Les intérimaires Séniors (50 ans et plus) sont majoritairement des ouvriers
Typologie des systèmes éducatifs Les écoles de l ’Europe (d ’après Francine Vaniscotte) Typologie des systèmes éducatifs