La Grande Dépression
Les images de la crise économique au Canada Sciences Humaines 11
Les chômeurs célibataires
Des chômeurs qui font la queue en Ontario – les années 30
Les sans-abris
La police de Vancouver
Des travailleurs construisent un chemin dans l’Ontario rurale
La construction d’une autoroute provinciale en Alberta
Des barraques dans un camp de travail près d’Ottawa
La construction d’un terrain d’aviation en Alberta
La construction d’un chemin en Colombie-Britannique
Voyager par ‘train’ pendant la crise économique
La marche sur Ottawa – été 1935
William Lyon Mackenzie King
Premier Ministre R.B. Bennett
J.S. Woodsworth Le chef du Cooperative Commonwealth Federation
“Slim” Evans Le chef de la marche sur Ottawa
William “Bible Bill” Aberhart
Maurice Duplessis
Une famille fermière en Saskatchewan
Une bourrasque dans les Prairies
L’érosion du sol en Saskatchewan
Une ferme canadienne pendant la crise économique
Pas d’espoir… l’humiliation
Une ‘bagnole à Bennett’ à Regina
Une véhicule de ferme
La formation du CCF, Regina 1933
L’économie canadienne en croissance Jusqu’à 1924, l’économie canadienne continuait à souffrir des effets de la Grande Guerre. L’échange des produits canadiens était difficile à cause de l’augmentation des tarifs aux États-Unis et d’une sécheresse aux Prairies. Le taux de chômage a augmenté et plusieurs canadiens ont quitté le pays pour s’installer aux États-Unis.
En 1924, les choses étaient beaucoup mieux. L’Europe commençait à acheter encore les produits canadiens grâce aux prêts venant des États-Unis. La valeur de l’exportation du blé a augmenté et il y avait une grande demande des pates et papiers, l’hydroélectricité, et les mines aux États-Unis et aux autres pays.
En 1926, le Canada était aussi connu pour sa production de voitures. Il y avait 200 000 automobiles qui étaient produit des 11 usines canadiennes. La fabrication d’automobiles a provoqué l’augmentation de la production de cuir, de caoutchouc, de verre, d’acier, d’étain, de plomb, d’aluminium et de nickel et la recherche de pétrole s’est intensifiée. Les entrepreneurs canadiens qui s’intéressaient directement au marché de l’automobile ont connu des résultats variables.
En 1927, le Modèle T de la compagnie américaine Ford coutait 500$ et le cout de la dernière voiture canadienne, la Brooks Steamer était 3885$. La compétition était trop pour les canadiens alors il fallait commencer à vendre des modèles américains.
Le début de la Grande Dépression Les années 1920 était une période d’abondance pour l’économie canadienne. À la fin des années 1920, le marché boursier (lieu où on achète des obligations et des actions) était connu comme la manière rapide de faire l’argent. Il était facile d’emprunter pour acheter des actions. Plus que les gens investissaient, plus la valeur marchande des actions augmentait.
Le mardi 29 octobre 1929, « mardi noir », était quand la crise boursière se déroula à la Bourse de New York (le Krach). Ce jour les prix des bourses sont descendus rapidement. On criait aux commerçants de « vendre, vendre, vendre ». Cet événement marque le début de la Grande Dépression. Ce jour là, l’indice du Dow Jones perd 12% (les gains d’une année).
Un désastre est arrivé
Le taux de chômage était à 4 Le taux de chômage était à 4.2 % en 1929 et on pensait que tout continuera pour le bien dans le futur.
Les causes de la Grande Dépression Trop de production et d’expansion. Les compagnies canadiens ont agrandi leurs industries pour générer plus de profit mais l’économie est devenue plus lente et ils recevaient plus d’argent.
Une dépendance sur quelques produits de base. On dépendait de plusieurs produits essentiels des États-Unis et lorsqu’ils ont eu une dépression, nous aussi on a eu une dépression.
Le prix des douanes. Le Canada voulait sortir d’une récession en augmentant le prix des douanes de nos produits exportés, mais il y avait trop de compétition des autres pays et pas assez de variété dans nos produits exportés.
Trop de crédit. Les canadiens ont acheté trop, les bourses inclus, sur le crédit. Quand le marché est tombé, ils étaient en dette et ne pouvait pas payer pour leurs possessions. Beaucoup d’investisseurs ont acheté en prête, payant 10% au temps de l’achat et payant le reste lorsque le prix du bourse est augmenté. Les prêtes pour les bourses étaient facile à obtenir et la panique pour en acheter rapidement a poussé le prix par-dessus sa vraie valeur.
Pendant la grande dépression plusieurs personnes ont visité la soupe populaire
La dépression était un temps de souffrance dans l’économie et dans la société.
King n’était pas prêt pour une crise comme la dépression R.B. Bennett King n’était pas prêt pour une crise comme la dépression Les gens regardaient au gouvernement fédéral pour l’aide et King a dit que c’était la responsabilité des gouvernements provinciaux et municipaux de régler la problème. Son attitude lui a coûté l’élection de 1930 quand R.B. Bennett, le chef conservateur a pris pouvoir.
La réponse de Bennett Bennett a donné 20 millions de dollars aux gouvernements provinciaux pour la création des emplois. Il a augmenté les tarifs par 50% pour protéger les industries canadiens. Ces deux solutions n’ont pas fonctionné
La société blâmait Bennet pour la sévérité de la dépression. Bennet était inquiète que les citoyens allaient se réunir sous l’influence du communisme.
Le gouvernement a crée des camps de travail pour les hommes dans les forêts très isolés. Là, les hommes travaillent sur les projets comme la construction des rues et des fossés. Ils gagnaient 20 cents par jour et on reçu une chambre à coucher et 3 repas par jour.
Plus que 170 000 hommes ont passé du temps dans ces camps et les conditions étaient horrible. Pas de couvertures Aucune recréation/sport Nourriture horrible
Le New-Deal de Bennett En janvier 1935 Bennett a annoncé à la radio son « New-Deal ». Il a pris son inspiration du président Franklin Roosevelt. Le « New Deal » était composé de promesse et de lois pour contrôler les heures du travail, établir un salaire minimum et améliorer les conditions de travail.
Les canadiens qui étaient déjà des chômeurs n’ont pas vraiment profité de ca. Beaucoup de gens pensaient que le New-Deal était une manière que Bennett cherchait à obtenir les votes à la prochaine élection.
Vivre sur le secours direct Ceux qui vivaient sur le secours direct recevaient des coupons qu’ils pouvaient échanger. Pour les vêtements Pour la nourriture Pour le charbon
Beaucoup de canadiens n’aimaient pas le système car ils le voulaient pas demander de l’aide. Plusieurs familles vivaient au seuil de la famine.
La Marche sur Ottawa En 1935 plus que 1000 hommes ont quitté les camps à l’intérieur de la Colombie-Britannique pour protester les conditions des camps. Ils se sont réunis à Vancouver Ils ont décidé d’apporté leurs inquiètes à Ottawa C’est là où a débuté la protestations connu comme la marche sur Ottawa
Les hommes se sont mis dans les wagons de train et ont voyagé à travers les prairies. Ils ont collectionné plus d’hommes et de support en route.
Lorsque les protestateurs sont arrivés à Regina la GRC les a arrêté. Seulement les chefs des syndicats ont leur droit d’aller à Ottawa.
À Ottawa Bennett a attaqué les chefs les appelant les troublants et les radicaux. Les chefs ont appelle Bennett un menteur et quelqu’un non capable de diriger le pays Ils on été lancé de parlement
À Regina la GRC voulaient encourager les participants de retourner chez eux. Les participants résisté et se sont battus contre la police Un homme a été tué et 130 ont été arrêté