Déclic
Je sais défendre mes projets. Infos : Un hydrobiologiste doit savoir défendre ses projets, s’il veut les voir aboutir. Les institutions qui l’emploient doivent comprendre que sa solution est la bonne et qu’elle doit être mise en œuvre le plus tôt possible.
Je suis un homme ou une femme de terrain. Infos : L’hydrobiologiste est sur le terrain. Il doit planifier et programmer des campagnes d’études. Il va sur place pour prélever des échantillons d’eaux et observer les profondeurs aquatiques.
Je peux travailler pour différents organismes. Infos : Ce métier peut s’exercer au sein de différentes structures. L’hydrobiologiste peut travailler dans des organismes de recherches (INRA, CNRS), dans des établissements publics (Agence de l’eau, directions régionales de l‘environnement, Conseil Supérieur de la Pêche, CEMAGREF), dans des entreprises (EDF), dans des collectivités territoriales, dans des bureaux d’études, dans des associations (Fédération de pêche, Centres permanents d’initiatives pour l‘environnement). Pour aller plus loin : http://www.inra.fr/les_recherches/annuaires/agriculture/animal/animaux_d_elevage/aquaculture/pole_d_hydrobiologie_saint_pee_sur_nivelle : site officiel de l’INRA (Institut de Recherche Agronomique). L’onglet « institut » vous permettra de vous informer sur la mission de l’INRA. L’onglet « la science et vous » vous donnera accès à des dossiers tels que « stimuler la consommation de fruits », etc. http://www.lesagencesdeleau.fr/ : site officiel des agences de l’eau. Ce site vous donnera des informations sur la gestion de l’eau en France. http://www.cedre.fr/fr/publication/colloque/2007/3Lumet.pdf : publication sur le conseil supérieur de la pêche. Ce document explique bien la mission et l’organisation de ce conseil. Ces liens vous permettront de connaître ces institutions et de voir quel est leur rôle.
Nous sommes environ 400 en France. Infos : En France, on compte actuellement environ 400 hydrobiologistes. Le chiffre peut paraître minime étant données les perspectives que promet ce secteur. L’impact est, en effet, bien réel en termes d’emplois. Les bureaux d’études doivent se doter de capacités en hydrobiologie. Pour aller plus loin : http://www.educreuse23.ac-limoges.fr/loewy/Svt/BTS_Hydro/POURQUOI.pdf : ce diaporama montre la volonté de l’académie de Limoges de créer un BTS d’hydrobiologie. Cela démontre que c’est un secteur d’avenir.
J’ai fais une école d’ingénieur ou un master recherche ou pro eaux continentales. Infos : Pour être hydrobiologiste, il faut faire une école d’ingénieur telle que INRA, ENSA, ISIM, en option hydrobiologie ou un Master recherche ou professionnel en Eaux continentales. Le sésame est le concours. Mais tous les organismes ne demandent pas la même formation. A l’INRA, ils demandent un bac +3. Pour entrer au CNRS, il faut un diplôme d’une école d’ingénieur ou un doctorat. Le DESS des Eaux continentales ou encore le Master en Biologie des organismes et des populations constituent deux bons diplômes préparatoires. Pour aller plus loin : http://www.ephe.sorbonne.fr/details/213-qualite-des-eaux-continentales.html : Master Eaux continentales. Ce lien est un exemple de formation qui peut être proposée.
Je préconise des solutions. Infos : Ayant effectué le bilan détaillé, l’hydrobiologiste préconise une solution. Pour aller plus loin : http://www.bretagne-environnement.org/Mer-littoral/Les-menaces/Marees-vertes/Le-plan-de-lutte-contre-les-algues-vertes-en-Bretagne : ce site Internet vous informera sur les solutions préconisées contre les algues vertes, fléau des côtes bretonnes. http://agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/plan_lutte_contre_les_algues_vertes_0.pdf : cette page téléchargeable en format PDF est un dossier complet sur les solutions mises en oeuvre par le gouvernement contre la prolifération des algues vertes. http://www.lexpress.fr/actualite/environnement/comprendre-la-polemique-sur-les-algues-vertes_1015938.html : cette page Web vous donnera accès à un article du journal l’Express sur la polémique autour des algues vertes en Bretagne. Ces différents articles vous montreront qu’il n’est pas toujours aisé pour un hydrobiologiste de faire appliquer ses solutions. Cette affaire des algues vertes peut être une bonne illustration pour vos élèves du métier d’hydrobiologiste. En effet, l’hydrobiologiste est quotidiennement confronté à des problèmes de ce genre.
J’observe par exemple le développement des algues. Infos : Les recherches de l’hydrobiologiste peuvent aller de l’étude des algues aux effets de polluants d’origine agricole sur l’environnement, en passant par la vie des larves dans les rivières ou la disparition de certains poissons dans les lacs. Pour aller plus loin : http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafMT_k.html : vidéo sur le problème des algues vertes. Cela permettra à vos élèves de comprendre le problème posé par les algues vertes.
Je réalise le bilan détaillé de l’état biologique des milieux aquatiques. Infos : On fera appel à un hydrobiologiste, si des poissons morts flottent sur une rivière, des algues en quantités anormales envahissent les bords de mer, la couleur du cours de l’eau est soudain suspecte, etc. Pour aller plus loin : http://www.ecometiers.com/index.asp?r=13&m=12 : information sur le métier d’hydrobiologiste avec un dessin très amusant. http://oniseptv.onisep.fr/video_hydrobiologiste.html : vidéo sur le métier d’hydrobiologiste. Un hydrobiologiste parle de son métier.
Qui suis-je ? ?
Hydrobiologiste. Infos : Son travail se divise en 3 phases : planification et programmation des campagnes de terrain et de traitement. participation éventuelle aux opérations de terrain et de traitement synthèse et valorisation des résultats. Pour aller plus loin : http://www.emploi-environnement.com/fr/dico/fiches/metier_hydrobiologiste.php4 : ce document explique très bien en quoi consiste le métier d’hydrobiologiste. http://www.studyrama.com/formations/fiches-metiers/chimie-biologie/hydrobiologiste.html : cette page web est un bon complément au document précédent. Il permet d’enrichir nos connaissances sur le métier d’hydrobiologiste.