Comptes et financements actuels des retraites du privé CNAV ARRCO/AGIRC

Financement de la CNAV 1) Par les cotisations des actifs (part patronale et salariale). 2) Si les cotisations néquilibrent pas le régime, ce dernier via létat se voit obligé de compenser le déficit par lemprunt.

ARRCO/AGIRC LARRCO est la caisse complémentaire obligatoire des salariés du privé. En 2009: 18 millions de cotisants et 11,5 Millions de Retraités. LAGIRC est la caisse complémentaire des cadres. En 2009: 3,14 millions de cotisants et 2,40 millions de retraités.

Financement des complémentaires 1)Cotisations salariales et patronales. 2) LAGFF Financée par des cotisations supplémentaires des actifs,permet encore, de prendre à taux plein la retraite à 60 ans. 3) Les 84 Mds de réserves permettent de lisser les résultats dans le temps

Conclusions sur les résorptions possibles des complémentaires Les caisses complémentaires ont donc à partir de ces simulations de multiples choix de solutions plus ou moins contraignantes pour résorber déventuels déséquilibres. Le ou les choix de ces différents moyens devant découler dun accord patronat- syndicats.

Rappels sur la dette globale PIB France Milliards Dette publique 80% du PIB soit Mds Déficit public 2010 estimé à 7,7% du PIB soit 124 Mds (critère de Maastricht 3%). Le déficit public comprend, toutes les branches de la sécurité sociale pour tous les régimes (maladie, vieillesse, famille, AT,..)

Financement général de la protection sociale Les cotisations sociales sur tous les régimes La CSG qui abonde la branche famille, le FSV, la branche maladie et la CNSA. La CRDS La CADES

La Caisse damortissement de la dette sociale La CADES a pour mission damortir la dette sociale française en sappuyant sur des ressources fiscales et lemprunt Ses ressources: La totalité des 0,5% de la CRDS soit environ 6 Mds et 0,2% de la CSG soit environ1 Mds. En 2009 elle a levé 35,7 Mds sur les marchés financiers. Projet dabondement par le FRR ?

Notes souveraines attribuées par les agences de notation

Lavenir de notre protection sociale dépendra : Dune réflexion nationale sur le type de protection sociale souhaitée. De la charge financière que nous serions prêt à assumer. Dune logique deffort partagée. De la reprise de la croissance économique.