La Gestion De L’eau En Egypte Simon Romain Simon Aurélien Zinetti Jérémie 5A
La pauvreté en Egypte(crise sanitaire) Les eaux usées d’usines voisines déversées dans le Nil depuis un égout à ciel ouvert sont l’un des nombreux signes évidents que la seule source d’eau douce de l’Égypte est en train de devenir un dépôt toxique. Les agriculteurs ont un mode de vie largement traditionnel et dépendent du Nil pour subvenir à leurs besoins.
Les problèmes sanitaires Le concept de pauvreté hydraulique est bâti sur les relations croisées entre plusieurs variables quantitatives et qualitatives. Certains indicateurs particuliers me semblent incontournables pour la situation en Égypte : la disponibilité volumétrique de la ressource ; la pauvreté globale réelle (mesurée selon les rapports entre revenus et dépenses minimales) ; l’accès des consommateurs et des usagers à des volumes suffisants d’eau propre et potable et aux sphères de prises de décision ; la capacité des usagers et des consommateurs. La capacité est évaluée ici en fonction de la gravité de la pauvreté ; les libertés politiques individuelles et collectives : droit d’organisation, de contestation et d’expression ; la participation volontaire et effective des usagers et consommateurs à la gestion de la ressource et à l’élaboration et l’exécution des choix et des politiques hydrauliques globales, sectorielles et locales.