Fonctionnement avec des mots pré catégorisés Des colonnes de mots, CE1, CE2, c’est très Oulipien, on pioche n’importe quoi dans la colonne 1. Puis-je piocher n’importe quoi dans la colonne 2 ? Ou la 3 ? Ils recopient les mots, certes, mais cela donne 25 histoires ! Et on peut introduire de la langue : les chiens à gauche, « aboie » sans « ent », à corriger ensuite.

Ils peuvent même dans cette classe, se déplacer pour aller écrire, changer de place, se mettre sur des canapés avec des tables spéciales ! Et les élèves travaillent. Peuvent s’enregistrer, scanner leur dessin et renter leur texte sur Bookcreator, et être encore plus exigeants avec eux-mêmes, et se réenregistrer !

Vient du livre d’Ouzoulias et ses situations génératives. Derrière, on analyse. Pour les élèves faibles, on ne leur propose qu’un animal féminin, pour qu’ils ne soient pas gênés par l’accord.

Tous voulaient dire leur comptine, ils ont donc dû faire un carnet de comptines.

Même dans la littérature de jeunesse, on peut trouver des textes génératifs. Ici, ils ont entouré le groupe nominal de la fin, et écrire une nouvelle histoire en le remplaçant. Il y a encore des erreurs orthographiques, donc il y a encore un petit travail à faire.

Visite du zoo, citadelle de Besançon, structure générative de bas niveau.

Utiliser l’ardoise, qui permet de proposer des écrits sans violence Utiliser l’ardoise, qui permet de proposer des écrits sans violence. La maîtresse, on relit ensemble, avec un coup de doigt, on corrige ensemble avec bienveillance.

La substitution CE 1 CE2 évidemment, on va se poser la question, mercredi qu’est-ce que j’ai fait ?

On valorise, on lit ensemble, on publie On valorise, on lit ensemble, on publie. Et après, quand on dit qu’on va monter un nouveau projet d’écriture, ils en redemandent ! Car l’important, c’est de réussir à faire écrire, pas une fois, mais qu’ils y reviennent !

Ça vient de « Chut, je lis, l’écris CE1 » On le construit vraiment, le radeau.

On fait la liste du matériel Cette structure évite qu’on ait à conjuguer. Mais il faut vraiment le fabriquer avant d’écrire !

Les images séquentielles ne pas écrire sous chaque image, mais sous une bande d’images (voir après) Elles deviennent un problème si on fait écrire sous chaque image. Car cela ferait écrire, non pas un texte, mais une juxtaposition de phrases. Non !

Il faut prendre des précautions pour en faire une vraie situation générative  Décrire les dessins ensemble. Raconter l’histoire. Donner des images au hasard. Un groupe va trouver telle histoire en mettant les images dans tel ordre, l’autre une autre ! On écrit l’histoire, mais l’emplacement, c’est un seul grand emplacement ! Pourquoi cracherait-on aujourd’hui sur les images séquentielles ? Ça aussi c’est nouveau en ce moment. Précautions, c’est tout.

Un inducteur au début, des images qui s’enfilent. Mais il faut placer des séances de langage là-dessus avant : venez raconter votre histoire, on s’enregistre. Book Creator, et chacun raconte son histoire, ce qui évite les influences.

CQFD : ici, un espace sous chaque image. Pas d’histoire.

C’est moi le plus fort On raconte ce que le dragon pense du loup. Ce qui est malin, c’est de faire raconter ce que dit ce personnage.

Loup noir. CE2 par 2 en début d’année 4 images à assembler dans l’ordre qu’ils voulaient. Quand ils étaient d’accord sur l’histoire, ils la copient. Un seul emplacement. Un titre demandé après avoir écrit l’histoire. Temps utilisé : ceux du discours, comme si l’histoire avait vraiment lieu pour de vrai.

Un autre groupe dans la même classe : utilisation d’un autre niveau sur la capacité à réécrire une histoire : temps du passé. Le niveau n‘est pas le même. Avant, temps du discours. Textes toilettés quand ils seront collés dans le cahier. Rien ne revient à la maison sans être corrigé, et la correction pour être efficace, doit être faite immédiatement. Mais il ne faut pas en avoir trop à corriger d’un coup : d’où l’utilité des outils ! Pour être indépendants pendant l’écriture.