1.2 Les Écosystèmes En étudiant les écosystèmes anciennes et du présent, nous pouvons mieux comprendre ce qui pourrait arriver dans l’avenir. L’écologie historique est l’étude des matériaux naturels et écrits pour mieux comprendre l’écologie d’une certaine région. Plusieurs sources de Premières Nations nous fournissent avec des renseignements détaillés sur les plantes, animaux et de la répartition naturelle d’une région. (c) McGraw Hill Ryerson 2007
Un écosystème est composé de plusieurs parties. Les facteurs abiotiques incluent l’air, l’eau, le sol, les nutriments, et la lumière. Les facteurs biotiques incluent les plantes, les animaux, et les microorganismes. Les écosystèmes peuvent couvrir un grand nombre d’hectares de terre ou peuvent être petits, comme une cuvette de marée ou du bois en décomposition. Un habitat est l’endroit où vit un organisme. Voir pages 34 - 36 L’habitat du renard rouge inclut souvent les bords des forêts ou des marais. (c) McGraw Hill Ryerson 2007
Les interactions abiotiques dans les écosystèmes Les composantes abiotiques permettent les composantes biotiques de survivre dans un écosystème. Les facteurs abiotiques incluent l’oxygène, l’eau, les nutriments, la lumière et le sol. L’oxygène est produit par les plantes vertes et certains microorganismes et est utilisé par les animaux et la plupart des microorganismes. L’eau est nécessaire pour toute vie. Les nutriments entrent dans les chaînes alimentaires par les plantes et sont très importants pour la croissance. La lumière est nécessaire pour la photosyn- thèse, le processus par laquelle les plantes convertissent et emmagasinent l’énergie du Soleil dans les amidons et hydrates de carbone. Le sol fournit l’eau et le nutriments aux plantes, mais abrite aussi plusieurs plantes et animaux. Les vers de terre dans le sol. Voir pages 37 - 38 (c) McGraw Hill Ryerson 2007
Les interactions biotiques dans les Écosystèmes Une communauté = tous les organismes qui interagissent dans un écosystème. Une espèce est un groupe d’organismes qui se ressemblent dans un écosystème qui peuvent se reproduire entre eux. Une population désigne tous les membres d’une espèce particulaire dans un écosystème. Voir pages 39 - 43 (c) McGraw Hill Ryerson 2007
Le commensalisme – bénéficie à une espèce , n’affecte pas l’autre Les relations symbiotiques sont les interactions entre les membres de deux espèces différentes qui vivent en étroite association. Le commensalisme – bénéficie à une espèce , n’affecte pas l’autre Exemple: les balanes (barnacles) qui se fixent à une baleine Le mutualisme – bénéficie aux deux espèces Exemple: une abeille qui recueille le pollen d’une fleur Le parasitisme – bénéficie à une espèce et nuit à l’autre Exemple: les ankylostomes (hookworms) qui vivent dans les chiens (c) McGraw Hill Ryerson 2007
Les niches, la compétition et la prédation Une niche décrit le rôle qu’un organisme joue dans un écosystème, physiquement, chimiquement et biologiquement. La compétition a lieu lorsque 2 individus ou plus ont besoin de la même ressource. La compétition indique souvent que les ressources sont limitées. Cela limite la taille et la santé de cet individu et peut être même cette population. . Voir pages 44 - 47 (c) McGraw Hill Ryerson 2007
Le nombre de prédateurs et proie affecte l’un l’autre. La prédation désigne les interactions prédateur proie (ceux qui mangent et ceux qui sont mangés!) Les animaux prédateurs ont des adaptations qui les aident à capturer leur proie. Les animaux proies ont les adaptations qui les empêchent de se faire manger. Exemples: les coquilles dures (tortues); les poils piquants (porc-épic); le camouflage (insectes bâtonnets); le mimétisme (papillons…). Le nombre de prédateurs et proie affecte l’un l’autre. (c) McGraw Hill Ryerson 2007
La Biodiversité dans les Écosystèmes La biodiversité réfère à la variété et numéro de différents individus et espèces dans un écosystème. Les écosystèmes en bonne santé ont généralement une biodiversité haute. La plus part des pertes de biodiversité sont une conséquence directe de la perte d’habitat. Les milieux humides offrent des habitats. Voir page 48 (c) McGraw Hill Ryerson 2007
Les êtres humains ont souvent un impact négatif sur la biodiversité. Plusieurs efforts sont en place pour réduire cet impact pour maintenir la biodiversité. Les programmes de gestions des écosystèmes essaie d’équilibrer le progrès humain tout en maintenant la biodiversité. (c) McGraw Hill Ryerson 2007