La chronique du paparazzo 26 février 2019 Episode n° 159 La chronique du paparazzo

Erreur ! … dans les Bouches du Loup Paisible randonnée… Erreur ! … dans les Bouches du Loup … dans la gueule du Loup

Les randonneurs connaissent bien ce fleuve côtier de 49 kilomètres qui nous permet de rejoindre des lieux intéressants, mais c’est la première fois que nous visitons son cours inférieur, sur la commune de Villeneuve-Loubet.

Les trois vaillants chauffeurs ont pu ainsi nous offrir un beau gymkhana des ronds-points pour rejoindre notre parking. En effet, passer de l’autoroute A8 à la voie du bord-de mer en traversant l’ancienne Nationale 7 n’est pas évident, à l’heure où les locaux, comme nous, vont au boulot.

Le départ a eu lieu de l’hippodrome de Cagnes-sur-Mer,

où nous n’avons pas eu le temps de faire nos courses.

Pourtant, alors que le groupe 3 B visitait un édicule sans intérêt,

les autres, sur la digue, profitaient déjà du panorama.

A présent, nous les y remplaçons, tandis que le G4 s’engage à pas de loup sous le pont du Loup.

Mais pas de crue aujourd’hui, les canards sont en sécurité, et d’autres nageurs en mer se croient au Lac des Cygnes.

Ils se pavanent devant Antibes, Cap d’Antibes Phare de la Garoupe Antibes Fort carré Antibes

indifférents aux excès de l’urbanisme pompidolien. Marina Baie des Anges Photo Internet La construction de ce complexe « les pieds dans l’eau » a débuté en 1968, mais le quatrième bâtiment n’a été livré qu’en 1993. Le plus haut possède 26 étages et culmine à 70 mètres. Fortement critiqué à ses débuts, cet ensemble de 1500 logements possède maintenant le label « Patrimoine du XXe siècle ».

La vraie Baie des Anges s’étale derrière nous, sur fond de Mercantour, qu’on distinguait mieux à l’aller, sur l’autoroute, depuis le viaduc de Magnan. Mont Clapier (3045 m) Grand Capelet (2935 m) Mont Agel (1148 m) Tête de chien (417 m) Cap Ferrat Cap Martin Cagnes-sur Mer Nice

Et nous voici partis pour remonter le cours du Loup, dans un domaine agréablement aménagé et très fréquenté les jours fériés.

et on finit la promenade par un aller-et-retour en amont. ◄ Aller◄ dont on visite la partie haute avant de déjeuner, ► Retour ► Arrivée Pique-nique On rejoint d’abord le centre historique, ◄ Aller◄ Départ

En revanche, il faut se méfier des émules de Big Brother. Le parcours longe les berges du fleuve, paisible aujourd’hui mais parfois torrentiel. En revanche, il faut se méfier des émules de Big Brother.

De vastes espaces ont été aménagés, où nous a précédé le groupe 4 pour la pause banane.

Arrivés au village, on attaque une petite extension apéritive assez particulière.

Auguste Escoffier (1846-1935) était surnommé le «  roi des cuisiniers » et le « cuisinier des rois ». En effet, le RPM a refusé de nous offrir des filets de loup aux agrumes dans cette modeste auberge, d’où une violente manifestation de gilets multicolores en colère.

Et on ne verra pas le plafond en trompe-l’œil ! Ensuite, on se coltine une épuisante montée pour arriver à l’église Saint-Marc, qui est fermée, On nous a trompées ! Et on ne verra pas le plafond en trompe-l’œil !

tout comme le château, actuellement en travaux, et d’ailleurs invisible sauf de loin.

d’autant qu’il y a encore un autre cimetière. Enfin, le comble est atteint dans ce quartier pollué par un voisinage vraiment infréquentable,

près du magnolia-tulipier (peut-être un tulipier-magnolia). Et pendant ce temps, indifférents à nos malheurs, nos deux mentors Serge et Huguette voient la vie en rose, près du magnolia-tulipier (peut-être un tulipier-magnolia).

Heureusement que la vue est belle sur l’arrière pays, Haut Montet (1335 m) Pic de Courmettes (1248 m) Puy de Tourrettes (1257m) notamment les parages du Col de Vence, avec ses innombrables soucoupes volantes.

Nous redescendons vers le fleuve pour déjeuner. Alors, Monsieur Le Président consent à se mouiller en nous promettant que le retour de promenade digestive se fera en voiture.

Confiants dans sa parole, nous repartons courageusement vers l’amont,

pour y découvrir de nouveaux horizons, ici le Baou de Saint-Jeannet, Photo Internet dont la silhouette nous est plus familière vue de la plaine du Var,

deux limousines dont l’entretien laisse vraiment à désirer. Hélas, la déception est grande en haut du sentier, quand on découvre les guimbardes censées nous ramener aux bus, deux limousines dont l’entretien laisse vraiment à désirer.

Tout est bien qui finit bien, puisque personne n’a été dévoré Alors, on retourne à pied vers le centre de Villeneuve-Loubet, agréablement pavoisé à notre intention. Tout est bien qui finit bien, puisque personne n’a été dévoré

PAR LE GRAND MÉCHANT LOUP

COMMUNIQUÉ Le Comité Directeur des Randonneurs du Pays Mentonnais rappelle que les propos du soi-disant paparazzo n’engagent que lui et qu’il convient de ne pas prendre toutes ses affirmations à la lettre. Ah bon ? C’est étonnant !

Sauf indication contraire, les photos sont de l’auteur Février 2019 Sauf indication contraire, les photos sont de l’auteur Réalisation La vue aérienne du titre provient de la brochure « Redécouvrez Menton » (Office du Tourisme 2013)