Concepts de base en psychanalyse. IFSI C.H.D. Stell RUEIL-MALMAISON 1ère année. 2009-2010 Unité d’Enseignement 1.1. Psychologie. Concepts de base en psychanalyse. BELLEGO Maxime Psychologue Clinicien Doctorant en Psychologie sociale de la Santé maximebellego@neuf.fr
SOMMAIRE 1. Comment est née la psychanalyse ? 2. Les concepts de base de la psychanalyse.
1. Comment est née la psychanalyse ? 1.1. La représentation de la folie avant la psychanalyse.
1. Comment est née la psychanalyse ? 1.1. La représentation de la folie avant la psychanalyse. 1.2. Vienne, 1880.
1.1. La représentation de la folie avant la psychanalyse. La folie hors de la ville.
1.1. La représentation de la folie avant la psychanalyse. La folie hors de la ville. Pinel, 1793, Bicêtre.
1.1. La représentation de la folie avant la psychanalyse. La folie hors de la ville. Pinel, 1793, Bicêtre. Geôlier => Médecin.
1.1. La représentation de la folie avant la psychanalyse. La folie hors de la ville. 3 impératifs :
1.1. La représentation de la folie avant la psychanalyse. La folie hors de la ville. 3 impératifs : Protéger le malade contre lui-même.
1.1. La représentation de la folie avant la psychanalyse. La folie hors de la ville. 3 impératifs : Protéger le malade contre lui-même. Préserver sa famille.
1.1. La représentation de la folie avant la psychanalyse. La folie hors de la ville. 3 impératifs : Protéger le malade contre lui-même. Préserver sa famille. L’éloigner du milieu générateur du conflit.
1.1. La représentation de la folie avant la psychanalyse. La folie hors de la ville. Loi 30 Juin 1838, Ministère de l’intérieur.
1.1. La représentation de la folie avant la psychanalyse. La folie hors de la ville. Loi 30 Juin 1838 Ministère de l’intérieur. Asile départemental.
1.1. La représentation de la folie avant la psychanalyse. La folie hors de la ville. Ville-Evrard, Vaucluse, Moisselle.
1.1. La représentation de la folie avant la psychanalyse. La folie hors de la ville. Ville-Evrard, Vaucluse, Moisselle. 1875 Maison spéciale de Santé.
1.2. Vienne, 1880. Joseph Breuer (1842-1925).
1.2. Vienne, 1880. Joseph Breuer (1842-1925). Berta Poppenheim
1.2. Vienne, 1880. Joseph Breuer (1842-1925). Berta Poppenheim / Anna. O.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Symptômes.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Contracture jambe et bras droit avec anesthésie.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Contracture jambe et bras droit avec anesthésie. Toux nerveuse intense.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Contracture jambe et bras droit avec anesthésie. Toux nerveuse intense. Impossibilité de boire (malgré la soif).
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Altération de la fonction du langage.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Altération de la fonction du langage. États de confusion, absences, délires.
1.2. Vienne, 1880. Anna, O. Soignait son père (maladie mortelle).
1.2. Vienne, 1880. Anna, O. Soignait son père (maladie mortelle). Arrêter les soins suite aux symptômes.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Pas de lésions organiques.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Pas de lésions organiques. Chocs affectifs violents.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Pas de lésions organiques. Chocs affectifs violents. Hystérie.
1.2. Vienne, 1880. Hystérie : Hystérie = Utérus.
État capable de simuler tout un ensemble de troubles graves… 1.2. Vienne, 1880. Hystérie : État capable de simuler tout un ensemble de troubles graves…
1.2. Vienne, 1880. Hystérie : … mais qui ne met pas la vie en danger et qui laisse espérer une guérison complète.
1.2. Vienne, 1880. Hystérie et le médecin. « Il ne peut comprendre l’hystérie : en face d’elle, il (le médecin) est incompétent. » Freud.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. États d’absence
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. États d’absence => murmure mots, préoccupations intimes.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. États d’absence => murmure mots, préoccupations intimes. États d’hypnose : répète mot à mot.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Mots => Histoires, rêveries thème jeune fille au chevet de son père malade.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Amélioration jusqu’au jour suivant.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Amélioration jusqu’au jour suivant. Talking cure.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Symptômes disparaissent sous hypnose.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Symptômes disparaissent sous hypnose. Souvenir de l’apparition du symptôme.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Ex : symptôme de l’impossibilité de boire.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Ex : symptôme de l’impossibilité de boire. Souvenir gouvernante sous hypnose.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Manifestation de la colère retenue.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Manifestation de la colère retenue. Bu un grand verre d’eau.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Manifestation de la colère retenue. Bu un grand verre d’eau. Se réveilla de l’hypnose.
Disparition du symptôme. 1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Disparition du symptôme.
Les symptômes sont des résidus d’expériences émotives. 1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Conclusion de Breuer : Les symptômes sont des résidus d’expériences émotives.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Conclusion de Breuer : Leur caractère particulier s’apparente à la scène traumatique qui les a provoquées.
Névrose : maladie des nerfs. 1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Névrose : maladie des nerfs.
Névrose : maladie des nerfs. 1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Névrose : maladie des nerfs. Symptômes ne sont plus arbitraires.
Névrose : maladie des nerfs. 1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Névrose : maladie des nerfs. Chaîne de traumatismes à remonter.
1.2. Vienne, 1880. « Ce n’est pas à moi que revient le mérite d’avoir mis au monde la psychanalyse. » Freud Sigmund, 1909, Clark University.
1.2. Vienne, 1880. Affects : forte émotion réprimée dans situations pathogènes.
1.2. Vienne, 1880. Affects : forte émotion réprimée dans situations pathogènes. Ex : Anna. O et le chien.
1.2. Vienne, 1880. Affects : forte émotion réprimée dans situations pathogènes. Ex : Anna. O et le chien. Émotion refoulée.
1.2. Vienne, 1880. Affects : forte émotion réprimée dans situations pathogènes. Ex : Anna. O et le chien. Émotion refoulée. Émotion libérée => Symptôme
1.2. Vienne, 1880. Si l’histoire se déroulait sans affect
1.2. Vienne, 1880. Si l’histoire se déroulait sans affect Symptôme.
1.2. Vienne, 1880. Hystérie : Affects persistent tels quels et sont un poids.
1.2. Vienne, 1880. Hystérie : Affects persistent tels quels et sont un poids. Affects transforment en processus psychiques anormaux : innervation ou inhibition.
1.2. Vienne, 1880. Affects transforment en processus psychiques anormaux : innervation ou inhibition.
1.2. Vienne, 1880. Affects transforment en processus psychiques anormaux : innervation ou inhibition. Hystérie de conversion.
1.2. Vienne, 1880. Hystérie de conversion : Une expression des émotions exagérée qui se traduit par des moyens inaccoutumés.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. États d’absence.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. États d’absence. État normal ne connaissait pas les scènes pathogènes.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. États d’absence. État normal ne connaissait pas les scènes pathogènes. Hypnose pour travail de réminiscence.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Hypnose : suggestions post-hypnotiques.
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Hypnose : suggestions post-hypnotiques. Inconscient
1.2. Vienne, 1880. Anna. O. Hypnose : suggestions post-hypnotiques. Inconscient Conscient.
1.2. Vienne, 1880. L’abandon de l’hypnose.
1.2. Vienne, 1880. L’abandon de l’hypnose. Comment s’y prendre ?
1.2. Vienne, 1880. L’abandon de l’hypnose. Comment s’y prendre ? Apprendre du patient ce que ni Freud, ni le patient ne savait.
1.2. Vienne, 1880. L’abandon de l’hypnose. Comment s’y prendre ? Apprendre du patient ce que ni Freud, ni le patient ne savait. Bernheim, Nancy.
1.2. Vienne, 1880. L’abandon de l’hypnose. Ça marche : patients se souviennent des scènes pathogènes dont les symptômes sont les résidus.
1.2. Vienne, 1880. L’abandon de l’hypnose. Conclusion : Les souvenirs oubliés sont associés à ce qu’il sait encore.
1.2. Vienne, 1880. L’abandon de l’hypnose. Conclusion : Les souvenirs oubliés sont associés à ce qu’il sait encore. Résistance Incs Cs.
1.2. Vienne, 1880. L’abandon de l’hypnose. Résistance est une force.
1.2. Vienne, 1880. L’abandon de l’hypnose. Résistance est une force. Traumatisme : force provoque l’oubli et envoie la scène pathogène dans l’Incs.
1.2. Vienne, 1880. L’abandon de l’hypnose. Refoulement.
1.2. Vienne, 1880. Le refoulement :
1.2. Vienne, 1880. Le refoulement : Désir violent.
1.2. Vienne, 1880. Le refoulement : Désir violent. Conflit avec autres désirs et aspirations.
1.2. Vienne, 1880. Le refoulement : Désir violent. Conflit avec autres désirs et aspirations. Désir inconciliable refoulé et oublié dans l’Incs.
1.2. Vienne, 1880. Le refoulement : Fonction de protection : évite le malaise.
1.2. Vienne, 1880. Le refoulement : Ex. Clinique : Jeune fille a perdu son père qu’elle soignait.
1.2. Vienne, 1880. Le refoulement : Sœur aînée se marie.
1.2. Vienne, 1880. Le refoulement : Sœur aînée se marie. Patiente « vive affection » pour beau-frère.
1.2. Vienne, 1880. Le refoulement : Sœur aînée se marie. Patiente « vive affection » pour beau-frère. Sœur aînée meurt pendant absence patiente et mère.
« Maintenant il est libre et je peux l’épouser ». 1.2. Vienne, 1880. Le refoulement : Au chevet : « Maintenant il est libre et je peux l’épouser ».
« Maintenant il est libre et je peux l’épouser ». 1.2. Vienne, 1880. Le refoulement : Au chevet : « Maintenant il est libre et je peux l’épouser ». Idée révoltante refoulée.
1.2. Vienne, 1880. Le refoulement : Symptômes hystériques.
1.2. Vienne, 1880. Le refoulement : Symptômes hystériques. Oubli de la scène du chevet.
1.2. Vienne, 1880. Le refoulement : Thérapie : S’en souvient, émotion ressurgit.
1.2. Vienne, 1880. Le refoulement : Thérapie : S’en souvient, émotion ressurgit. Symptôme.
1.2. Vienne, 1880. Le refoulement : Dynamique d’un conflit entre les forces du sujet Entre Cs et Incs.
1.2. Vienne, 1880. Le refoulement et le symptôme : Le désir refoulé subsiste dans l’Incs.
1.2. Vienne, 1880. Le refoulement et le symptôme : Le désir refoulé subsiste dans l’Incs. Substitut méconnaissable : symptôme.
1.2. Vienne, 1880. Le symptôme : Substitut de l’idée refoulé acceptable par le Moi.
1.2. Vienne, 1880. Le symptôme : Substitut de l’idée refoulé acceptable par le Moi. Court conflit
1.2. Vienne, 1880. Le symptôme : Substitut de l’idée refoulé acceptable par le Moi. Court conflit => souffrance continue.
1.2. Vienne, 1880. Thérapie : Symptôme doit être ramené à l’idée refoulée.
1.2. Vienne, 1880. Thérapie : Symptôme doit être ramené à l’idée refoulée. Renégocier le conflit.
1.2. Vienne, 1880. Thérapie : Symptôme doit être ramené à l’idée refoulée. Renégocier le conflit. Meilleur solution que refoulement.
La psychanalyse est née.
2. Les concepts de base. Deux forces chez le patient : Effort pour ramener à Cs oublis.
2. Les concepts de base. Deux forces chez le patient : Effort pour ramener à Cs oublis. Résistance passage refoulé.
2. Les concepts de base. Idée sans rapport avec l’idée refoulée a priori.
2. Les concepts de base. Idée sans rapport avec l’idée refoulée a priori. Idée sans rapport Symptôme
2. Les concepts de base. Idée sans rapport avec l’idée refoulée a priori. Allusion à l’élément refoulé.
2. Les concepts de base. L’association libre.
« Laisser parler le malade comme il lui plaît… 2. Les concepts de base. L’association libre. « Laisser parler le malade comme il lui plaît…
2. Les concepts de base. L’association libre. … rien ne peut lui venir à l’esprit qui ne dépende indirectement du complexe recherché ». Freud.
Consigne : même si c’est stupide, hors de question, désagréable… 2. Les concepts de base. L’association libre. Consigne : même si c’est stupide, hors de question, désagréable…
N’est pas le seul outil pour sonder l’Incs. 2. Les concepts de base. L’association libre. N’est pas le seul outil pour sonder l’Incs.
2. Les concepts de base. Jung et l’école de Zurich. L’interprétation des rêves. Les actes manqués.
2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves.
2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Rêves ne sont pas divinatoires.
2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Rêves ne sont pas divinatoires. Étranges, bizarres, on y comprend pas grand chose.
2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Rêves ne sont pas divinatoires. Étranges, bizarres, on y comprend pas grand chose. Comprend : on préfère les oublier…
2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Le rêve est simple à décoder : Les enfants : réalisation du désir insatisfait la veille.
2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Le rêve est simple à décoder : Les adultes : c’est pareil.
2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Objection : Le contenu du rêve ne ressemble pas à la réalisation d’un désir.
2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Réponse : Le contenu du rêve est défiguré :
2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Réponse : Le contenu du rêve est défiguré : rêve tel quel.
2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Réponse : Le contenu du rêve est défiguré : rêve tel quel. rêve tel qu’on le raconte le matin.
2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Réponse : Le contenu du rêve est défiguré : rêve tel quel. rêve tel qu’on le raconte le matin. Contenu manifeste du rêve.
2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Réponse : Le contenu du rêve est défiguré : Les idées oniriques latentes
2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Réponse : Le contenu du rêve est défiguré : Les idées oniriques latentes Le contenu manifeste.
L’interprétation des rêves. Le contenu manifeste du rêve 2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Le contenu manifeste du rêve Substitut des idées oniriques latentes.
Cela ne nous rappelle pas quelque chose ? 2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Cela ne nous rappelle pas quelque chose ?
Le symptôme hystérique. 2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Le symptôme hystérique.
« Le contenu manifeste = réalisation déguisée des désirs refoulés. » 2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. « Le contenu manifeste = réalisation déguisée des désirs refoulés. » Freud.
Comment passe t’on du contenu manifeste au contenu latent ? 2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Comment passe t’on du contenu manifeste au contenu latent ?
2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Condensation. Déplacement.
2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Condensation : des éléments appartenant à différents objets se condensent pour un former un autre.
2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Déplacement : une ou plusieurs particularité d’un élément se déplace sur un autre objet.
Le rêve d’angoisse = réalisation d’un désir. 2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Objection : Le rêve d’angoisse = réalisation d’un désir.
L’angoisse névrotique = refus du Moi contre désirs refoulés puissants. 2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Réponse : L’angoisse névrotique = refus du Moi contre désirs refoulés puissants.
Angoisse si le rêve exprime trop complètement les désirs refoulés. 2. Les concepts de base. L’interprétation des rêves. Réponse : Angoisse si le rêve exprime trop complètement les désirs refoulés.
2. Les concepts de base. Les actes manqués.
2. Les concepts de base. Les actes manqués. Erreurs de lecture
2. Les concepts de base. Les actes manqués. Erreurs de lecture Perte, oubli
2. Les concepts de base. Les actes manqués. Erreurs de lecture Perte, oubli Bris d’objet…
2. Les concepts de base. Les actes manqués. Inattention, distraction, hasard…
Expriment une intention cachée à la conscience… 2. Les concepts de base. Les actes manqués. Expriment une intention cachée à la conscience…
… source dans désirs et complexes refoulés. 2. Les concepts de base. Les actes manqués. … source dans désirs et complexes refoulés.
… source dans désirs et complexes refoulés. 2. Les concepts de base. Les actes manqués. … source dans désirs et complexes refoulés. Symptômes. Rêves.
Substituts des désirs refoulés chez les personnes « bien portantes ». 2. Les concepts de base. Les actes manqués. Substituts des désirs refoulés chez les personnes « bien portantes ».
2. Les concepts de base. Matériel : Association libre Rêves Actes manqués.
2. Les concepts de base. Matériel : Association libre Rêves Actes manqués. + Transfert pendant la cure.
2. Les concepts de base. La sexualité. « Les hommes en général, ne sont pas sincères dans ce domaine. (…) Ils portent un épais manteau de mensonges pour se couvrir…
2. Les concepts de base. La sexualité. « … comme s’il faisait mauvais temps dans le monde de la sensualité. Et ils n’ont pas tort…
2. Les concepts de base. La sexualité. « … le soleil et le vent ne sont guère favorables à l’activité sexuelle dans notre société…
2. Les concepts de base. La sexualité. « … en fait, aucun de nous ne peut librement dévoiler son érotisme à ses semblables ». Freud, 1909.
Symptômes liés à la vie amoureuse du malade. 2. Les concepts de base. La sexualité. Symptômes liés à la vie amoureuse du malade.
La maladie remonte toujours : 2. Les concepts de base. La sexualité. La maladie remonte toujours : L’évènement de l’époque.
La maladie remonte toujours : 2. Les concepts de base. La sexualité. La maladie remonte toujours : L’évènement de l’époque. La puberté du malade.
La maladie remonte toujours : 2. Les concepts de base. La sexualité. La maladie remonte toujours : L’évènement de l’époque. La puberté du malade. Son enfance.
La maladie rencontre dans ces moments 2. Les concepts de base. La sexualité. La maladie rencontre dans ces moments les évènements. les impressions. Qui déterminent la maladie ultérieure.
2. Les concepts de base. La sexualité. Donc : Désirs refoulés de l’enfance forment le symptôme qui se déclenche au traumatisme.
Y a-t-il une sexualité infantile ? 2. Les concepts de base. La sexualité. Y a-t-il une sexualité infantile ?
Y a-t-il une sexualité infantile ? 2. Les concepts de base. La sexualité. Y a-t-il une sexualité infantile ? Pas celle de l’adulte.
Y a-t-il une sexualité infantile ? 2. Les concepts de base. La sexualité. Y a-t-il une sexualité infantile ? Pas celle de l’adulte. Développe à travers des étapes.
2. Les concepts de base. Le développement psycho affectif.
2. Les concepts de base. Le développement psycho affectif. Stade oral (0-2ans) Stade anal. (2-3ans). Stade phallique. (3ans).
2. Les concepts de base. Le stade oral : (préhension d’aliments et d’informations). la différenciation dedans/dehors pas faite.
2. Les concepts de base. Le stade oral : la différenciation dedans/dehors pas faite. Différenciation sujet/objet pas faite.
2. Les concepts de base. Le stade oral : la différenciation dedans/dehors pas faite. Différenciation sujet/objet pas faite. Plaisir lié au sein => reproduit suçotement du pouce.
2. Les concepts de base. Le stade oral : Le manque : déplaisir intérieur /plaisir extérieur
2. Les concepts de base. Le stade oral : Le manque : déplaisir intérieur /plaisir extérieur Dedans/dehors Ok
2. Les concepts de base. Le stade oral : Le manque : déplaisir intérieur /plaisir extérieur Dedans/dehors Ok Sujet/objet Ok
2. Les concepts de base. Le stade anal : Maîtrise de l’objet : l’entourage est considéré comme un objet partiel à maîtriser et à manipuler.
2. Les concepts de base. Le stade anal : Maîtrise de l’objet : l’entourage est considéré comme un objet partiel à maîtriser et à manipuler. Fort-Da : symbolisation absence/présence et pouvoir relationnel.
2. Les concepts de base. Le stade phallique : Curiosité sexuelle infantile
2. Les concepts de base. Le stade phallique : Curiosité sexuelle infantile Différence des sexes : absence/présence du pénis.
2. Les concepts de base. Le stade phallique : Curiosité sexuelle infantile Différence des sexes : absence/présence du pénis. Théories sexuelles infantiles.
Le complexe d’Œdipe : Mère Père Enfant
Le complexe d’Œdipe : Mère Père Enfant
Le complexe d’Œdipe : Mère Père Enfant
Le complexe d’Œdipe : Mère Père Enfant
2. Les concepts de base. La phase de latence : Consolidation des acquis.
2. Les concepts de base. La phase de latence : Consolidation des acquis. Intérêts intellectuels.
2. Les concepts de base. La puberté : Le complexe d’Œdipe se joue une dernière fois pour être résolu.
2. Les concepts de base. La puberté : Le complexe d’Œdipe se joue une dernière fois pour être résolu. L’ado investit les objets extérieurs à la famille.
2. Les concepts de base. Sujet et subjectivité. Étude de cas. Méthodes de la psychologie clinique analytique.
Pedinielli & Fernandez, 2005. « On ne peut, comme en médecine, 2. Les concepts de base. Subjectivité. Pedinielli & Fernandez, 2005. « On ne peut, comme en médecine, concevoir l’individu comme porteur de troubles et…
« … définissable par des multiples variables 2. Les concepts de base. Subjectivité. « … définissable par des multiples variables isolées, atomisées et objectivées…
« … La subjectivité est ce qui appartient en propre au sujet et 2. Les concepts de base. Subjectivité. « … La subjectivité est ce qui appartient en propre au sujet et suppose un équilibre entre elle-même et ses aliénations…
2. Les concepts de base. Subjectivité. « … (les autres sont constitutifs de soi dont l’expérience ne se réduit à celle d’aucun autre) » Pedinielli & Fernandez, 2005.
2. Les concepts de base. Subjectivité. Pedinielli & Fernandez, 2005. « Le clinicien note en fait tous les éléments qui paraissent spécifiques de la personne qu’il rencontre…
2. Les concepts de base. Subjectivité. « …Certes les évènements sont importants, mais c’est leur vécu qui constitue la part subjective. » Pedinielli & Fernandez, 2005.
2. Les concepts de base. Symptôme.
2. Les concepts de base. Symptôme. Du côté du sujet.
2. Les concepts de base. Symptôme. Du côté du sujet. Ce dont il se plaint.
Ex : « je n’arrive plus à manger ». 2. Les concepts de base. Symptôme. Du côté du sujet. Ce dont il se plaint. Ex : « je n’arrive plus à manger ».
2. Les concepts de base. Symptôme. La plainte ne résume pas la souffrance.
2. Les concepts de base. Symptôme. La plainte ne résume pas la souffrance. La plainte constitue la demande.
2. Les concepts de base. Symptôme. Symptôme = signe ?
2. Les concepts de base. Symptôme. Symptôme = signe.
Du côté de l’observateur. 2. Les concepts de base. Signe. Du côté de l’observateur.
Du côté de l’observateur. Relatif à une conception de la maladie. 2. Les concepts de base. Signe. Du côté de l’observateur. Relatif à une conception de la maladie.
2. Les concepts de base. Signe. Du côté de l’observateur. Relatif à une conception de la maladie. Ex : dissociation = signe schizophrénie.
2. Les concepts de base. Signe. Du côté de l’observateur. Relatif à une conception de la maladie. Important pour associer le signe au trouble.
Ensemble de signes permettant de reconnaître… 2. Les concepts de base. Signe. Sémiologie : Ensemble de signes permettant de reconnaître…
…décrire, discuter une maladie ou un état pathologique. 2. Les concepts de base. Signe. Sémiologie : …décrire, discuter une maladie ou un état pathologique.
2. Les concepts de base. Signe. Ex : « Je dors mal ».
2. Les concepts de base. Signe. Ex : « je dors mal ». Symptôme : « je dors mal ».
2. Les concepts de base. Signe. Ex : « je dors mal ». Symptôme : « je dors mal ». Nommer trouble du sommeil, insomnie.
2. Les concepts de base. Signe. Ex : « je dors mal ». Symptôme : « je dors mal ». Nommer trouble du sommeil, insomnie. Signe = état anxieux ou dépressif.
2. Les concepts de base. Signe. Sémiologie : Caractériser les signes relevés (insomnie) et rechercher les autres signes de tel tableau (état dépressif).
Présence/absence du signe. 2. Les concepts de base. Signe. Présence/absence du signe. Ex : triste, insomniaque, anorexique, pessimiste.
Présence/absence du signe. 2. Les concepts de base. Signe. Présence/absence du signe. Ex : triste, insomniaque, anorexique, pessimiste. Pas de ralentissement.
Présence/absence du signe. 2. Les concepts de base. Signe. Présence/absence du signe. Ex : triste, insomniaque, anorexique, pessimiste. État dépressif ?
Un signe isolé n’a pas de valeur diagnostique… 2. Les concepts de base. Signe. Conclusion : Un signe isolé n’a pas de valeur diagnostique…
Un signe isolé n’a de valeur qu’associé à un tableau. 2. Les concepts de base. Signe. Conclusion : Un signe isolé n’a de valeur qu’associé à un tableau.
2. Les concepts de base. Introduction à la psychologie clinique analytique.
Clinique = au chevet du malade. 2. Les concepts de base. Introduction à la psychologie clinique analytique. Clinique = au chevet du malade.
2. Les concepts de base. Introduction à la psychologie clinique analytique. « Sous discipline de la psychologie qui a pour objet l’étude, l’évaluation, le diagnostique… Pedinielli, 2005.
2. Les concepts de base. Introduction à la psychologie clinique analytique. « …l’aide et le traitement de la souffrance psychique quelque soit la cause de son origine… Pedinielli, 2005.
2. Les concepts de base. Introduction à la psychologie clinique analytique. « …maladie mentale, dysfonctionnement, traumatisme, évènements de vie, malaise intérieur… » Pedinielli, 2005.
Psychologie clinique analytique. Particularités : Pratique, activité propre au clinicien.
Psychologie clinique analytique. Particularités : Pratique, activité propre au clinicien. Méthode, technique : vise à étudier les phénomènes dans leurs contextes naturels en prêtant attention à la singularité du sujet.
Psychologie clinique analytique. Particularités : Pratique, activité propre au clinicien. Méthode, technique. Base de connaissance : défini le paradigme qui sert de grille de lecture des phénomènes psychologiques (psychanalyse, cognitiviste…)
Psychologie clinique analytique. Particularités : Pratique, activité propre au clinicien. Méthode, technique. Base de connaissance. Domaine d’action large.
Psychologie clinique analytique. Particularités : Domaine d’action large : pratique allant du normal au pathologique (difficultés spécifiques maladie ou difficultés quotidiennes = couple).
Psychologie clinique analytique. Outils : Signes.
Psychologie clinique analytique. Outils : Signes. Psychopathologie.
Psychologie clinique analytique. Psychopathologie. Tente d’apporter une compréhension et une interprétation des faits, des processus psychologiques.
Psychologie clinique analytique. Psychopathologie. Elle se réfère à des conceptions théoriques différentes : à l’origine psychanalytique, comportementaliste, phénoménologique…
Psychologie clinique analytique. Psychologie analytique. Objet de la clinique : maladie,
Psychologie clinique analytique. Psychologie analytique. Objet de la clinique : maladie,
Psychologie clinique analytique. Psychologie analytique. Objet de la clinique : maladie, trouble
Psychologie clinique analytique. Psychologie analytique. Objet de la clinique : maladie, trouble.
Psychologie clinique analytique. Psychologie analytique. Objet de la clinique : maladie, trouble. Sujet qui exprime une souffrance.
Psychologie clinique analytique. Psychologie analytique. Objet de la clinique : maladie, trouble. Sujet qui exprime une souffrance. Écart entre théorie et sujet.
Psychologie clinique analytique. Psychologie analytique. Intérêt du clinicien : Au plus près du patient, écoute de sa subjectivité.
Psychologie clinique analytique. Psychologie analytique. Intérêt du clinicien : Au plus près du patient, écoute de sa subjectivité. Neutralité bienveillante.
Psychologie clinique analytique. Psychologie analytique. Intérêt du clinicien : Entendre les places dans le discours.
Psychologie clinique analytique. Psychologie analytique. Intérêt du clinicien : Entendre les places dans le discours. Mouvements transférentiels.
Psychologie clinique analytique. Psychologie analytique. « Il ne s’agit plus seulement de connaissances objectives mais de relations intersubjectives…
Psychologie clinique analytique. Psychologie analytique. « L’objet d’étude est un sujet, le clinicien aussi et son fonctionnement psychique intervient dans ce qui se passe. » Colette Chiland, 2006.
Psychologie clinique analytique. Psychologie analytique. Outils : Entretien clinique, observation, tests, échelles, étude de cas.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. Deux niveaux.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. Deux niveaux. Descriptif : étude des signes.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. Deux niveaux. Descriptif : étude des signes. Interprétatif : psychopathologie vers la singularité du sujet.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. Intérêt pour le clinicien :
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. Intérêt pour le clinicien : Pas de placage théorique.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. Intérêt pour le clinicien : Pas de placage théorique. Théorie = grille de lecture.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. Intérêt pour le clinicien : Pas de placage théorique. Théorie = grille de lecture. Singularité.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. Intérêt pour le clinicien : Étude de « cas » : cas ? Névrose ? Psychose ou une rencontre avec une personne qui souffre ?
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. Sujet et théorie :
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. Sujet et théorie : L’un au service de l’autre.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. Sujet et théorie : L’un au service de l’autre. Sujet = théorie = sujet.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. Sujet et discours : Que dit-il ?
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. Sujet et discours : Que dit-il ? A qui s’adresse t’il ?
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. Sujet et discours : Que dit-il ? A qui s’adresse t’il ? De quelle place ?
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. La sémiologie.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. La sémiologie. Étude des signes visibles (comportements, symptômes psychiatriques)=> Diagnostic.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. La sémiologie. Niveau objectivable : relever signes dans discours, histoire, comportements socio affectifs…
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. La sémiologie. Relever les éléments relatifs à la nomenclature psychiatrique (DSM, CIM).
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. La sémiologie. Démarche classificatoire.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. 2. La psychopathologie.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. 2. La psychopathologie. Positions subjectives.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. 2. La psychopathologie. Positions subjectives. Fonctionnement psychiques.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. 2. La psychopathologie. Positions subjectives : son rapport au monde.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. 2. La psychopathologie. Fonctionnement psychique : mécanismes et processus psychique en jeu.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. 2. La psychopathologie. Fonctionnement psychique : lecture interprétative de la souffrance.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. 2. La psychopathologie. Fonctionnement psychique : 4 axes.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. La relation d’objet.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. La relation d’objet. Mécanismes de défense.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. La relation d’objet. Mécanismes de défense. Type d’angoisse.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. La relation d’objet. Mécanismes de défense. Type d’angoisse. Conflit psychique.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. La relation d’objet. Mode de relation du sujet à l’autre.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. 2. Mécanismes de défense. Organisation économique de la vie du sujet.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. 2. Mécanismes de défense. Organisation économique de la vie du sujet. Ex. Refoulement névrose.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. 3. Types d’angoisse. De quoi le sujet se défend t’il ?
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. 3. Types d’angoisse. De quoi le sujet se défend t’il ? Ex. Angoisse de castration, névrose.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. 4. Type de conflit psychique. Conflit au niveau des instances topiques.
Psychologie clinique analytique. Étude de cas. La synthèse pour éclairer la logique du sujet.
2. Les concepts de base. Sujet et subjectivité. Étude de cas. Méthodes de la psychologie clinique analytique.
2. Les concepts de base. Méthodes de la psychologie clinique analytique.
2. Les concepts de base. Méthodes de la psychologie clinique analytique. L’observation. L’entretien clinique.
Méthode de recueil des données complémentaire à l’écoute. 2. Les concepts de base. L’observation. Méthode de recueil des données complémentaire à l’écoute.
2. Les concepts de base. L’observation. Qu’observe t’on ?
2. Les concepts de base. L’observation. Qu’observe t’on ? Conduites extériorisées.
2. Les concepts de base. L’observation. Qu’observe t’on ? Conduites extériorisées. Guidé par hypothèse de travail.
2. Les concepts de base. L’observation. Conduites = productions significatives à travers lesquelles s’exprime le sujet.
2. Les concepts de base. L’observation. Conduites = à resituer dans l’histoire du sujet et dans le contexte de l’observation.
2. Les concepts de base. L’observation. (Parenthèse du rôle de l’observation dans les injonctions paradoxales).
2. Les concepts de base. L’entretien clinique.
2. Les concepts de base. L’entretien clinique. Comprendre le fonctionnement psychologique d’un individu en se centrant sur son vécu.
2. Les concepts de base. L’entretien clinique. Meilleur outil pour accéder aux représentations subjectives.
2. Les concepts de base. L’entretien clinique. Meilleur outil pour accéder aux représentations subjectives. Lien avec Incs (Freud).
2. Les concepts de base. L’entretien clinique varie selon :
2. Les concepts de base. L’entretien clinique varie selon : La théorie : psychanalyse ou comportementale ?
2. Les concepts de base. L’entretien clinique varie selon : La théorie : psychanalyse ou comportementale ? Modalités visées par l’entretien :
2. Les concepts de base. L’entretien clinique varie selon : Recherche ? Diagnostic ? Expertise ? Bilan ? Thérapeutique ?
2. Les concepts de base. L’entretien clinique varie selon : La théorie : psychanalyse ou comportementale ? Modalités visées par l’entretien :
2. Les concepts de base. L’entretien clinique varie selon : La théorie : psychanalyse ou comportementale ? Modalités visées par l’entretien. Aucun entretien ne se ressemble.
2. Les concepts de base. Principes du clinicien : Non directivité. Respect. Neutralité bienveillante. Empathie.
2. Les concepts de base. Principes du clinicien : Non directivité : soutenir l’acte de parole sans diriger le discours.
2. Les concepts de base. Principes du clinicien : Non directivité. Respect. Neutralité bienveillante. Empathie.
2. Les concepts de base. Principes du clinicien : Respect : accepter la singularité du sujet.
2. Les concepts de base. Principes du clinicien : Non directivité. Respect. Neutralité bienveillante. Empathie.
Mais pas rigide ou distant ! 2. Les concepts de base. Principes du clinicien : Neutralité bienveillante : pas de jugement, critique, désapprobation. Mais pas rigide ou distant !
2. Les concepts de base. Principes du clinicien : Non directivité. Respect. Neutralité bienveillante. Empathie.
2. Les concepts de base. Principes du clinicien : Empathie : réceptivité aux sentiments vécus par le sujet ET capacité verbale d’en communiquer la compréhension.
Le clinicien ne sait pas et ne fait pas à la place du patient. 2. Les concepts de base. Principe n°1 du clinicien : Le clinicien ne sait pas et ne fait pas à la place du patient.
Le clinicien ne sait pas et ne fait pas à la place du patient. 2. Les concepts de base. Principe n°1 du clinicien : Le clinicien ne sait pas et ne fait pas à la place du patient. Redonner au sujet sa subjectivité.
2. Les concepts de base. La question du transfert.