Travail de synthèse Fait par: Sophie Paré Marie-Pier Plamondon Meggylène Thouin Groupe 406/ #04 Manuel P.63
Bienvenue dans le monde de la Nouvelle France Manuel P.58
Il y a plusieurs années, le commerce des fourrures a eu un gros impact sur le développement de la Nouvelle-France. Les nombreuses explorations de Jacques Cartier ont contribué a l’exploitation de fourrure qui a énormément aidée à l’évolution de la Nouvelle-France. Le commerce des fourrures, la civilisation amérindienne, les échanges avec les européens, le peuple, l’évolution de la colonie et la place du gouvernement royal dans celle-ci sont tous des effets de l’évolution de ce pays.
Vers 1534, le roi de France a envoyé Jacques Cartier aller effectuer la mission qui a pour but de trouver une nouvelle route vers l’Asie. À cause de nombreux inconvénients, il n’a put trouver cette route. Par contre, sur son chemin il trouva un territoire dont il prit possession, une nouvelle voie maritime (le fleuve Saint-Laurent) et ramena un bon nombres de connaissances.
Le commerce des fourrures Manuel P.58 Manuel P.60
Les colonies-comptoir et les colonies de peuplement Durant les années 1600 à 1663, la fourrure de castors a été extrêmement populaire. Les amérindiens donnaient cette pelleterie en échange de l’or. Grâce à ceci, de nombreuses colonies se sont créées. La colonie comptoir qui elle est une colonie saisonnière avec peu de personne et se situe en Nouvelle-France, vise à l’exploitation des ressources naturelles. Ensuite, il y a le colonie de peuplement qui elle est une colonie permanente avec une population élevée et elle se situe en Nouvelle-Angleterre. Suite a ceci, les fourrures des castors se sont achevées dans la vallée du Saint- Laurent et les Amérindiens ont décidés de se déplacer vers l’ouest à la recherche de pelleterie pour continuer leur marché.
Le Mercantilisme Par la suite, les fourrures ainsi que les matières premières envoyés à la métropole qui les transformaient en produits manufacturés pour ensuite les revendre à d’autres pays ou colonies. En d’autres mots ce commercer se nomme le mercantilisme et qui a pour but d’acculer de l’or par celui-ci. Le penseur de tout cela est Jean-Baptiste Colbert. Quel homme intelligent! Donc, pour résumer, la fourrure de castor était la base de l’économie.
Les compagnies à monopole Pour conclure, tout ce qui touche le commerce des fourrures, la pelleterie était dominée par la compagnie à monopole. En échange celle-ci avait certaines obligations à remplir comme soutenir la colonisation, construire les établissements nécessaires à la colonie, assurer le transport des colons et la distribution des terres. La principale compagnie à monopole se situe en Nouvelle-France et se nomme la compagnie des Cents-Associés. Pour remplir cette obligation cette monopole, allait chercher des colons qui effectuaient différentes tâches pour peupler la nouvelle colonie. Sur le bateau qui les transportaient, ils y avait au moins un coureur des bois qui allait chercher les peau de castor et un traiteur qui dirigeait les traites.
On dit que les 1 er amérindien sont venus de l’Asie, en empruntant le détroit de Béring pour ensuite s’établir en Amérique du nord. À ce niveau, ce sont créer 2 grandes familles linguistique amérindiennes. Les Algonquiens, qui eux sont nomades et les Iroquois, qui sont sédentaires. Les Amérindiens On dit que les 1 er amérindien sont venus de l’Asie, en empruntant le détroit de Béring pour ensuite s’établir en Amérique du nord. À ce niveau, ce sont créer 2 grandes familles linguistique amérindiennes. Les Algonquiens, qui eux sont nomades et les Iroquois, qui sont sédentaires.
En premier lieu, les Iroquois, qui ont une hiérarchie matriarcale c’est a dire où les femmes dominent, vivent surtout à partir de l’agriculture dans la région des basses terre du Saint-Laurent et des grands Lacs. L’allié Européenne des Iroquois sont les anglais. Les Iroquois En premier lieu, les Iroquois, qui ont une hiérarchie matriarcale c’est a dire où les femmes dominent, vivent surtout à partir de l’agriculture dans la région des basses terre du Saint-Laurent et des grands Lacs. L’allié Européenne des Iroquois sont les anglais.
En second lieu, les Algonquiens, qui ont une hiérarchie patriarcale c’est a dire où les hommes dominent, vivent surtout des chasse et des pêche dans la région du Bouclier canadien. Grâce à leur mode de vie de subsistance principal ceux-ci ont beaucoup d’affinité avec les Français. Ils vont donc pratiquer le troc avec pour première échange de base ;les fourrures des castors. Les Algonquiens En second lieu, les Algonquiens, qui ont une hiérarchie patriarcale c’est a dire où les hommes dominent, vivent surtout des chasse et des pêche dans la région du Bouclier canadien. Grâce à leur mode de vie de subsistance principal ceux-ci ont beaucoup d’affinité avec les Français. Ils vont donc pratiquer le troc avec pour première échange de base ;les fourrures des castors.
Lorsqu’on parle d’échange entre les Européens et les amérindiens on fait référence à l’alimentation, les modes de transport, les valeurs et les objets ainsi que tout se qui touche au domaine de la santé. Lorsqu’on parle d’échange entre les Européens et les amérindiens on fait référence à l’alimentation, les modes de transport, les valeurs et les objets ainsi que tout se qui touche au domaine de la santé. D’abord les Européens ont empruntés aux Amérindiens le 3/5 des aliments cultivé aujourd’hui, comme le sirop d’érable la pomme de terre, etc., les raquettes et les canots en écorce ainsi que leur mode de vie sauvage. Tandis que les amérindiens ont emprunté aux Européens le sel, le pain, l’alcool, les outils et les ustensile de fer, les fusils, les tissus et malheureusement la rougeole, l’alcoolisme et la grippe. Les emprunts
Le peuplement et l ’évolution de la colonie Manuel P.72
Une politique de peuplement fut mit sur pied en 1663, parce que avant le peuplement ne contenait qu’une majorité d’homme dans la trentaine, car les compagnies à monopoles n’ont pas peuplé les terres comme prévu, mais se sont plutôt préoccupé du rendement les commerces de fourrures. Cette politique constituait à augmenté la population par l’immigration, le mariage et la natalité. Les immigrants aussitôt arrivé possédait une terre, était nourri, était logé et obtenait un travail pendant les 3 ans a venir. On les nommait les engagés. Ensuite, Talon obligeait les célibataires a épousé une des filles du roy sinon ils se verrait obtenir une amande ; récompensais les mariage précoces et les familles nombreuses. Le peuple Une politique de peuplement fut mit sur pied en 1663, parce que avant le peuplement ne contenait qu’une majorité d’homme dans la trentaine, car les compagnies à monopoles n’ont pas peuplé les terres comme prévu, mais se sont plutôt préoccupé du rendement les commerces de fourrures. Cette politique constituait à augmenté la population par l’immigration, le mariage et la natalité. Les immigrants aussitôt arrivé possédait une terre, était nourri, était logé et obtenait un travail pendant les 3 ans a venir. On les nommait les engagés. Ensuite, Talon obligeait les célibataires a épousé une des filles du roy sinon ils se verrait obtenir une amande ; récompensais les mariage précoces et les familles nombreuses.
Au tout début, Jean Talon voulu différencier l’économie. Il eu comme tentative : l’agriculture, les industries, et il fini par établir le commerce triangulaire. Le commerce triangulaire Voir manuel page 81 À long terme l’agriculture apporte des problèmes par le manque de client. Pour les industries seules les construction Naval et les forges du St Maurice connaît un succès. Par contre la fourrure continus toujours a dominé l’économie.
En Nouvelle-France le régime seigneurial est reconnu. Il consiste a répartir les terres ainsi qu’a définir les rapports entre les seigneurs et les censitaires. Le but de ce régime est de peuplé la colonie. Manuel Le régime seigneurial
Les seigneurs doivent envers l’état un acte de foi et hommage, aveu et dénombrement, ils doivent gardé des mines pour le roi, ils doivent gardé le chêne, entretenir ses chemins, taxé l’achat d’une seigneurie et bien sur peuplé. Ils doivent payé la dîme ainsi que fournir un lot pour l’église. Envers ces censitaires, les seigneurs doivent tenir feu et lieu, donné une terre à qui conque en fait la demande, construire des moulins, tenir une cours de justice dont ils sont les juges et ils doivent prévoir une commune. Les seigneurs Les seigneurs doivent envers l’état un acte de foi et hommage, aveu et dénombrement, ils doivent gardé des mines pour le roi, ils doivent gardé le chêne, entretenir ses chemins, taxé l’achat d’une seigneurie et bien sur peuplé. Ils doivent payé la dîme ainsi que fournir un lot pour l’église. Envers ces censitaires, les seigneurs doivent tenir feu et lieu, donné une terre à qui conque en fait la demande, construire des moulins, tenir une cours de justice dont ils sont les juges et ils doivent prévoir une commune.
Les censitaires doivent envers l’état entretenir les chemins et payé une taxe à l’achat d’une terre. Ils doivent payé une cotisation pour l’église. Envers son seigneur, les censitaires doivent tenir feu et lieu, défriché et cultivé sa terre, doivent utilisé le moulin, doivent réservé un banc à l’église au seigneur ainsi que prier pour lui, doivent donné le premier rang au seigneur et doivent planté le mai. Les censitaire doivent payé des redevances dont le cens. Les censitaires Les censitaires doivent envers l’état entretenir les chemins et payé une taxe à l’achat d’une terre. Ils doivent payé une cotisation pour l’église. Envers son seigneur, les censitaires doivent tenir feu et lieu, défriché et cultivé sa terre, doivent utilisé le moulin, doivent réservé un banc à l’église au seigneur ainsi que prier pour lui, doivent donné le premier rang au seigneur et doivent planté le mai. Les censitaire doivent payé des redevances dont le cens.
Les terres sont toujours étroites et perpendiculaire aux cours d’eau pour que le plus de gens possible est accès à la voie d’eau. Voir manuel page 77 Les terres sont toujours étroites et perpendiculaire aux cours d’eau pour que le plus de gens possible est accès à la voie d’eau. Plan d’une seigneurie
Dans les colonies, plusieurs groupes sociaux se sont formés. En ville, les grands marchands, les plus riches, c’est à dire les grands négociants sont ceux qui gèrent la colonie et les commerces des produits importés, les armateurs (la navigation) et le traiteurs (la fourrure). Il y a aussi les petits marchands et les artisans, ceux-ci dépendent d’entrepreneurs qui leur fournissent la marchandise et le crédit. Par exemple les entrepreneurs, les pêcheurs du golfe, les marchands ambulants, les coureurs des bois, les aubergistes, les boutiquiers et les propriétaires de tavernes en sont tous. Les différents groupes sociaux en ville Dans les colonies, plusieurs groupes sociaux se sont formés. En ville, les grands marchands, les plus riches, c’est à dire les grands négociants sont ceux qui gèrent la colonie et les commerces des produits importés, les armateurs (la navigation) et le traiteurs (la fourrure). Il y a aussi les petits marchands et les artisans, ceux-ci dépendent d’entrepreneurs qui leur fournissent la marchandise et le crédit. Par exemple les entrepreneurs, les pêcheurs du golfe, les marchands ambulants, les coureurs des bois, les aubergistes, les boutiquiers et les propriétaires de tavernes en sont tous.
En campagne, les deux groupes sociaux sont les censitaires et les seigneurs. Le notaire officialise les documents légaux. Les colons canadiens de donnent le surnom de militaire. Pour finir, la société canadienne se distingue de la métropole (Nouvelle-France). La différence entre les couches sociales y sont beaucoup moins marqués, elle est de fait plus égalitaire. Les différents groupes sociaux en campagne En campagne, les deux groupes sociaux sont les censitaires et les seigneurs. Le notaire officialise les documents légaux. Les colons canadiens de donnent le surnom de militaire. Pour finir, la société canadienne se distingue de la métropole (Nouvelle-France). La différence entre les couches sociales y sont beaucoup moins marqués, elle est de fait plus égalitaire.
La place du gouvernement royal dans la colonie Manuel P.98
Premièrement, il faut savoir que le gouvernement royal à été conçu pour remplacer le régime des compagnie à monopoles en Le gouvernement royal est constitué d’un roi, d’une ministre, d’un gouvernement royal qui est l’homme le plus important de la colonie. Il représente le roi. Il a pour responsabilité envers les militaires de gérer leurs installations ainsi que d’assurer la direction de l’armée. Il entretient aussi les relations diplomatiques avec les nations amérindiennes et les colonies anglaises. Comme dernière responsabilité, le gouvernement général doit rendre compte au ministre de la marine toute question qui pourrait intéresser ce dernier. Le gouvernement Royal Premièrement, il faut savoir que le gouvernement royal à été conçu pour remplacer le régime des compagnie à monopoles en Le gouvernement royal est constitué d’un roi, d’une ministre, d’un gouvernement royal qui est l’homme le plus important de la colonie. Il représente le roi. Il a pour responsabilité envers les militaires de gérer leurs installations ainsi que d’assurer la direction de l’armée. Il entretient aussi les relations diplomatiques avec les nations amérindiennes et les colonies anglaises. Comme dernière responsabilité, le gouvernement général doit rendre compte au ministre de la marine toute question qui pourrait intéresser ce dernier.
Ensuite, il y a l’intendant qui au même niveau a un rôle primordial. Intendant des finances il administre le budget et le réglemente. Intendant de police, il s’occupe du peuplement, de la concession des terres, de la voirie, de la sécurité publique et réglemente l’activité économique. Le gouvernement royal est aussi constitué d’une conseil souverain ou supérieur qui a pour rôle d’exercer surtout la fonction de cour de justice et aussi il détient les pouvoirs administratifs. Puis, il y a le capitaine de milice qui fait appliquer les ordres du gouvernement au peuple et pour finir il y a la population qui subit les décisions du gouvernement
Gouvernement royal Manuel P.89
Le gouvernement royal met beaucoup d’important à l’église en Nouvelle-France. C’est l’évêque qui est le seul personnage religieux siégeant au conseil souverain. Ensuite, le rôle économique des missionnaires jésuites est d’accompagner le traiteur dans leur expéditions commerciales. La conversion des amérindiens à la religion catholique est le rôle social des missionnaires jésuites et des récolets. Les sœurs Augustines travaillent dans les hôpitaux, tandis que les sœurs Ursulines et les sœurs de la congrégation de Notre-Dame enseignent aux filles. Certains curés des paroisses enseignent aux garçons, s’occupent des pauvres et des nécessités même si cela n’est pas une tâche religieuse. Être un seigneur dans certaines seigneuries est un rôle socio-économique remplit par les jésuites et les sulpiciens. Les caractéristiques de l ’église lors du gouvernement royal Le gouvernement royal met beaucoup d’important à l’église en Nouvelle-France. C’est l’évêque qui est le seul personnage religieux siégeant au conseil souverain. Ensuite, le rôle économique des missionnaires jésuites est d’accompagner le traiteur dans leur expéditions commerciales. La conversion des amérindiens à la religion catholique est le rôle social des missionnaires jésuites et des récolets. Les sœurs Augustines travaillent dans les hôpitaux, tandis que les sœurs Ursulines et les sœurs de la congrégation de Notre-Dame enseignent aux filles. Certains curés des paroisses enseignent aux garçons, s’occupent des pauvres et des nécessités même si cela n’est pas une tâche religieuse. Être un seigneur dans certaines seigneuries est un rôle socio-économique remplit par les jésuites et les sulpiciens.
Comme vous avez put remarqué au début, le commerce des fourrures a effectivement entrainé l’évolution de la Nouvelle-France, Mais tout cela ne nous renseignes en aucun point sur l’évolution de ce commerce après la conquête… Manuel P.105
Bibliographie Louise Charpentier, René Durocher, Christian Laville, Paul André Linteau. (1990). Nouvelle histoire du Québec et du Canada. Montréal: Éd. Centre éducatif et culturel, 463 pages. Laberge, Fernand (2002). « Dossier 1 à 5 » Manuel P. 35