L’Immersion dans le SRSB L’histoire des comtés Antigonish, Inverness et Richmond Lynnette Babin et Chris Ivany
Notre Région
Pourquoi L’immersion « …les parents acadiens voyaient ce type de programme aider à maintenir leur langue et culture, tendit que les anglophones envisageaient l’avantage d’obtenir une deuxième langue. » Gérald Félix
Le pourcentage des élèves en immersion NB Il n’y a pas de programme d’immersion dans le comté de Guysborough
Le début – Le comté de Richmond La première école fut l’école Petit de Grat en 1979, le deuxième conseil scolaire dans la province à offrir un tel programme. Le programme d’immersion qui avait débuté à l’école Petit de Grat fut redéfini comme Programme d’école Acadienne en La loi 65 de la province accordait le statut à une telle école le demandant. Les parents des élèves à ce temps ont fait la demande.loi 65
Le début – le Comté d’Antigonish Le premier programme a été établi à l’École de Pomquet en 1982, à cause de la pression des parents. C’était un moyen de renaître la langue dans la communauté. La première classe à Dr. Hugh MacPherson Elementary a Antigonish a commencé en Quand le statut acadien a été accordé à l’École de Pomquet, les programmes déjà établis a Antigonish étaient encore populaires.
Le début – Le Comté d’Inverness La première classe a commencé en 1981, dans une petite école à East Margaree. Mme Nancy Aucoin était la première enseignante. Sa première classe avait 14 élèves. Nancy est restée à cette école pendant six ans. La septième année elle a déménagé à l’école North East Margaree. Les élèves qui ont été avec Nancy, sont allés à Margaree Forks District High en septième année. L’École Cape Breton Highlands est maintenant le site d’immersion pour la région. L’école est ouvert depuis L’année passé à Margaree, le programme d’immersion a célébré 25 ans.
Aujourd’hui Suivant le fusionnement des conseils scolaires (Richmond, Inverness, Antigonish et Guysbourough) en 1996 autres programmes d’immersion précoce fut établis à Port Hawkesbury, Antigonish, Margaree et Louisdale.
Les parents « Ce qui était le plus encourageant fut l’appui des parents. C’était vraiment une communauté d’apprentissage. Nous apprenions ensemble, nous décidions ensemble et nous nous communiquions continuellement. » Gerald Félix Les parents avaient besoin de conduire leurs enfants a l’école. Parfois les distances étaient grands. Dans certaines endroits, à cause des nombres, il y avait des menaces au programme.
Le point de vue d’un parent Les craintes De ne pas pouvoir être capable d’aider les enfants avec les devoirs. Que leurs enfants seront pas compétent en anglais Que leurs enfants ne seront pas capable d’apprendre la langue au même temps que les autres résultats d’apprentissage. Les parents s’inquiétaient que le bilinguisme n’était pas certaine après avoir suivi le programme en complète. Pourquoi l’immersion “I think the parents in our community felt strongly about their culture and felt this was a means of keeping it alive.” Anne Peters Il y aura plus d’opportunité d’emplois. L’apprentissage d’un nouvelle langue donne l’occasion d’en apprendre plus.
Les enseignant(e)s Il y a toujours une manque de ressources. Au commencement du programme c’était pire que maintenant. Nancy AuCoin m’a expliqué qu’au commencement le conseil scolaire y a donné une guide de la province d’Ontario pour la maternelle, et la permission de commander un peu de ressources. Elle a du utiliser divers façons d’enseigné. Par exemple, elle m’a dit qu’elle a utilisé des chansons pour enseigner la grammaire, et les membres de la communauté pour rendre l’apprentissage plus intéressante. « La première journée, un petit garçon est allée à la maison, et sa maman lui a demandé, « Est-ce que tu aimes l’école et ton professeur? » Il a répondu, « Oui, je ne comprends rien de tout, mais j’aime mon professeur quand même! » » Madame Docile Fraser, enseignante d’immersion depuis 1985 Avec l’introduction du programme dans une école, il y avait parfois une enseignant(e) qui devrait changer de position. Ce-ci a causé des mauvaises sentiments dans quelques instances.
« Notre conseil a adopté une politique pour l’inscription qui inclut une session d’Info dans chaque école au début de janvier. Aussi on garantit seulement une classe de 25 élèves dans chaque école. » Madame Susan MacDonaldune politique L’appui du Conseil Scolaire
Le présent en face du future « Nous avons établi le programme M-12 dans 4 régions : Antigonish, Port Hawkesbury, Belle Côte, et Richmond. Notre inscription continue à être stable. Pour nous le grand défi est de bien servir les élèves en difficulté en immersion en offrant les appuis dans les 2 langues. » Madame Susan MacDonald “The children who have gone through the program and graduated are proof of the rewarding aspects of acquiring our two official languages. The culture is strong in our community and is growing stronger all across Canada.” Anne Peters, CPF Past President and immersion parent for 25+ years Le Conseil du Strait est dévoué au Français comme langue seconde.
Les programmes d’immersion sont forts aux provinces Maritimes, et nous sommes prêts pour les défis du future.Les programmes d’immersion sont forts aux provinces Maritimes Les programmes d’immersion sont une autre raison pour laquelle la vie est bonne au Cap Breton!
Les faits intéressantes On pense qu’il y a une manque de ressources maintenant. Imaginez-vous la première année sans les ressources qui sont disponibles maintenant. Yikes Selon les résultats des évaluations de ELA en sixième année à CBHA, les élèves en immersion font mieux que les élèves dans le programme régulier. Voici les résultats de 2004/2005 et 2006/2007 qui compare les élèves en immersion et les élèves pas en immersion. L’annéeLes élèves en immersionLes élèves pas en immersion 2004/ %65.4% 2006/ %67.0%
Remerciements Madame Susan J. MacDonald, Conseillère des Programmes en Français, Strait Regional School Board Monsieur Gérald Félix, Ministère de l'Éducation de la Nouvelle-Écosse Mrs. Anne Peters, Canadian Parents for French Madame Docile Fraser, Enseignante en retraite, SRSB L’entrevue avec Gérald FelixL’entrevue L’entrevue avec Anne PetersL’entrevue L’entrevue avec Susan MacDonaldL’entrevue L’entrevue avec Nancy AuCoin