Enquête: les ICT dans le centre scolaire de St-Léonard (Vs)

Centre scolaire de St-Léonard 10 classes 20 intervenants 220 élèves Les 20 enseignants du centre ont répondu à notre enquête. « ».En accord avec notre groupe, nous limitons notre présentation des résultats au thème de « la formation ».

Degré de satisfaction personnelle Principal bénéficiaire des ICT Qualité de la formation en établissement Reconnaissance des nouvelles compétences

L’élève est-il vraiment le premier bénéficiaire de l’introduction des ICT?

Compétences acquises après 2 ans de formation en établissement :

Que reste-t-il à faire au niveau de la formation? Anne-Chantal Cina, enseignante 1p en VS « L’intégration des ICT dans la pratique pédagogique paraît complexe. »

Il faut donc développer et montrer des modèles d’organisation permettant l’intégration des ICT

Conclusion Si le premier obstacle, celui de la maîtrise technique, semble avoir été remarquablement surmonté (2 ans de formation en établissement + cours cantonaux à la carte), il serait hasardeux d’en rester là. En effet, le principal intérêt des ICT réside dans leur intégration pédagogique ; celle-ci fait de l’élève un « réalisateur », qui imagine, découvre, apprend et finalement communique ce qu’il a produit en se servant de l’ordinateur. En deçà de cet objectif, l’école se contenterait de former les jeunes à devenir de bons « consommateurs » de technologies. Or, de toute évidence, ils n’avaient pas besoin de l’école pour le devenir.

Intégration avec un projet où l’élève évolue en autonomie totale Él. consommateurÉl. réalisateur

Constats et conclusions sur la formation ICT en établissement Les enseignants sentent qu’ils n’ont plus d’alternative : ils sont contraints de se former en ICT La formation en établissement (utilisation du matériel habituel) donne satisfaction La formation de base sur les logiciels standards (traitement de textes – navigateur – powerpoint - didacticiels …) paraît suffisante La création d’un site web scolaire est réservé à une élite L’intégration des ICT dans la pratique quotidienne n’est pas du tout acquise. Les obstacles paraissent encore nombreux : barrières techniques obstacles organisationnels ( 3pc – 24 élèves) crainte de lancer un projet qui pourrait devenir très lourd au niveau de l’investissement en temps appréhension des enseignants par rapport aux connaissances des élèves