La rébellion de 1837

William Lyon Mackenzie Les réformateurs du Haut-Canada et du Bas-Canada gardaient le contact entre eux. Ils partageaient leurs visions du futur, mais ils avaient les idées différentes. William Lyon Mackenzie (Haut-Canada) voulait copier le système américain, mais Papineau n’était pas d’accord.

La force et les armes étaient nécessaires. Louis-Joseph Papineau Mackenzie et Papineau ont réalisé que le gouvernement ne pouvait pas être changé de l’intérieur. De plus, ils pensaient que le Clique du château et le Pacte de famille étaient impossible de briser. La force et les armes étaient nécessaires.

Les révoltes dans le Haut-Canada et le Bas-Canada manquaient de coordination. Les premières actes ont été faites par les Fils de la Liberté (un groupe de patriotes). L’Église catholique ne soutenait pas trop les patriotes. Les rébellions ont commencé lorsque le gouvernement voulait arrêter Papineau.

Il y avait une série de courtes batailles La bataille de Saint-Eustache Le 14 décembre 1837 Il y avait une série de courtes batailles Saint-Denis, Saint-Charles et Saint-Eustache À Saint-Eustache, les troupes britanniques ont tué de nombreux patriotes En décembre 1837, la plupart des chefs des patriotes et leurs forces étaient en prison

Papineau s’est échappé aux États-Unis. Le soulèvement a vite été terminé, mais … L’identité culturelle de la population du Bas-Canada a continué jusqu’à aujourd’hui. La vie politique québécoise actuelle comprend ces sentiments de rébellion.

Les rébellions dans le Haut-Canada

Même si les sentiments des patriotes dans le Bas-Canada étaient populaire dans le Haut-Canada … la situation était différente. La réforme et le nationalisme dans le Haut-Canada étaient associés à la démocratie américaine (Mackenzie) Les habitants d’origine Anglaise voyaient les Américains comme des ennemis. Mais, ils voulaient un gouvernement meilleur.

Mackenzie consacrait beaucoup de temps et d’énergie à organiser la résistance au gouvernement. Certains de ces soldats avaient participé à la guerre de 1812, mais la plupart avait de l’expérience militaire minime. Quand Mackenzie a entendu que le gouverneur avait envoyé des troupes au Bas-Canada, et York était sans défense, il a décidé de frapper.

Mackenzie voulait une avance rapide pour gagner les armes et faire prisonnier le gouverneur. Il n’avait pas trop de soutien, mais a ordonné une attaque à partir de la taverne Montgomery. Il conduisait personnellement l’attaque sur un cheval blanc. L’attaque a échoué, et Mackenzie s’est enfui aux É.-U.

Le rapport de Lord Durham

Suite aux rébellions, la Grande-Bretagne a pris conscience qu'elle devait revoir son gouvernance de ses colonies Le Cabinet britannique (à Londres) a créé une commission chargée de proposer une solution La commission était dirigé par Lord Durham, et il a été nommé gouverneur en chef des deux provinces (Haut et Bas) Il est venu au Canada en 1838 avec sa femme, Lady Durham.

L’Empire britannique au 19e siècle

Lord Durham était plus indépendant Il n’a pas partagé le pouvoir avec le Pacte et la Clique Bien qu’il soit plus aristocrate, il était progressiste. Il gouvernait sans Conseil, ni Assemblée Il était donc perçu comme un dictateur.

Lord Durham n’était pas populaire au Canada et en Angleterre. Il a quitté son poste et il est rentré chez lui. Il a écrit son rapport en recommandant l’unification des 2 colonies. Il a aussi recommandé l’unification de toutes les colonies d’Amérique du Nord britannique. Durham a suggéré que l’Assemblée aurait le pouvoir sur ses affaires intérieures.

Le gouvernement britannique a accepté la suggestion d’unification. En 1840, l’Acte d’Union unifiait le Haut-Canada et le Bas-Canada. Il est devenu en 1841 le Canada-Uni avec Montréal comme capitale Cette unification s’est passée sans le soutien ni la participation des Canadiens français