Conférence chirurgie viscérale D3 Caducée 17 Décembre 2010 Mathieu Messager Conférence chirurgie viscérale D3 Caducée 17 Décembre 2010
« Mises en garde » Apprendre à lire les questions Pièges dans l’énoncé Plusieurs questions en une Pièges dans l’énoncé
Conseils Coucher les mots clés au brouillon Hierarchiser Concept de tiroirs No stress = vous connaissez les réponses But Retrouver tous les mots clés Dénicher les PMZ
Brouillon Mots clés évidents Thématique Mot clé réflexe
Rédaction 18h15 →20h30 5 Dossiers Dossier N° 4 relevé et noté ramassé à 19h Fin de rédaction 20h30 (25 min par dossier) Pause 30 min Correction 21h → 23h (25 min par dossier) Corrigés donnés à la fin
Dossier 1 Question 1 et 2 Plainte fonctionnelle ≠ diagnostic Détaillez autant que possible (chercher les points) Signes + Signes – Chronologie
Dossier 1 ANAES / Service des recommandations et références professionnelles / Mars 2001 Question 3 Une endoscopie n'est pas indiquée d’emblée en cas de symptomatologie typique de reflux gastro-œsophagien, associant pyrosis et régurgitations acides, si le patient est âgé de moins de 50 ans et ne présente aucun signe d'alarme associé (amaigrissement, dysphagie, hémorragie, anémie). Une endoscopie haute est indiquée, après avoir éliminé une origine extradigestive, en cas de symptômes atypiques pouvant être liés au RGO (toux nocturne, asthme, douleurs pseudo-angineuses, enrouement, sensations de brûlure pharyngée, otalgies)
Dossier 1 A l’endoscopie - Stade I : Œdème muqueux - Stade II : Ulcérations - Stade III : Ulcérations confluentes - Stade IV : Sténose ou ulcère creusant
Dossier 1 Reco SNFGE
Dossier 1 Pratiques du médicament Alginates SMR faible AMM 35% remboursement
Dossier 1 Risque = EBO
Dossier 2 Prévention ulcère de stress En situation de réanimation médicale ou chirurgicale, certains facteurs de risque d’ulcérations gastro-duodénales ont été identifiés : intubation de plus de 48 heures, coagulopathie, choc cardiogénique, hypovolémique ou septique, coma neurologique, sepsis abdominal, insuffisance rénale aiguë, antécédent certain d’ulcère gastro-duodénal, usage des corticoïdes ou d’AINS. Le traitement préventif ne s’adresse qu’aux patients ayant plusieurs facteurs de risque, dont le principal est une intubation qui doit durer plus de 48 heures. Aucun médicament n’a l’AMM dans l’indication «traitement préventif des lésions gastro-duodénales dans les situations de stress». Toutefois, on peut recommander chez les malades à risque, un traitement par antisécrétoire. Comme traitement préventif des complications gastro-duodénales (accord professionnel).
Dossier 2 HAS Appendicite Devant une douleur aiguë de la fosse iliaque droite, les éléments qui, lorsqu'ils sont associés, permettent de surseoir à l'appendicectomie sont : l l'absence de réaction pariétale à la palpation abdominale, l l'absence de température supérieure ou égale à 38°, l l'absence d'hyperleucocytose supérieure à 10 000 éléments/mL. Un nouvel examen clinique, à domicile ou en hospitalisation, est souhaitable dans les 6 à 12 heures suivantes. Si des médicaments ont été prescrits (antispasmodiques, antalgiques), ils ne doivent pas être renouvelés avant un nouvel examen clinique effectué au terme de leur délai d'efficacité thérapeutique. Devant une douleur aiguë de la fosse iliaque droite, l'antibiothérapie n'a pas à être utilisée comme test thérapeutique.
Dossier 2 HAS Suite L'antibioprophylaxie est débutée à l'induction anesthésique, en administration intraveineuse. En cas d'appendicite compliquée, l'administration d'antibiotiques est poursuivie au minimum pendant 48 heures. La surveillance postopératoire est clinique. La sortie est autorisée en fonction de l'obtention de l'apyrexie, de la reprise du transit intestinal et de l'absence de signe abdominal anormal. Les données scientifiques ne permettent pas d'imposer une durée minimum de surveillance. Une sortie avant le troisième jour est possible, si le patient ou l'entourage sont clairement informés de l'éventualité d'une complication. Le rôle du médecin traitant est fondamental.
Dossier 2 HAS Appendicite Fin La radiographie sans préparation de l'abdomen (ASP) est inutile au diagnostic positif de l'appendicite, sauf chez le jeune enfant. L'étude échographique de l'appendice peut être utile lorsque le diagnostic clinique est difficile ou douteux. Une échographie appendiculaire jugée normale n'élimine pas le diagnostic d'appendicite. L'appendicectomie peut être réalisée par cœlioscopie ou par voie classique. L'examen anatomopathologique est indispensable, quel que soit l'aspect macroscopique de l'appendice.
Dossier 3 Icono Occlusion
Dossier 3
Dossier 3
Dossier 5 Société Nationale Française de Colo-Proctologie (SNFCP) Recommandations pour la Pratique Clinique sur le traitement des hémorroïdes Association traitement local et traitement par voie générale Aucune recommandation ne peut être faite quant aux bénéfices d'une association entre un traitement local et un traitement par voie générale. Cette association thérapeutique est largement utilisée en pratique, le plus souvent entre un topique local et un traitement par voie générale. Cependant, ce type d'association n'a pas de bénéfice démontré (accord professionnel).
INDICATIONS THERAPEUTIQUES EN CAS DE THROMBOSE Dossier 5 INDICATIONS THERAPEUTIQUES EN CAS DE SYMPTOMES HEMORROÏDAIRES CHRONIQUES ET RECIDIVANTS GUIDEES SELON LE STADE ANATOMIQUE Hémorroïdes ne se prolabant pas ou peu (grade 1 ou 2) - Régulariser le transit - Et traitement instrumental (privilégier les techniques de coagulation) - Si échec, traitement chirurgical Hémorroïdes se prolabant fortement (grade 3) - Régulariser le transit - Et traitement instrumental (privilégier la ligature élastique) - Si échec, traitement chirurgical Hémorroïdes prolabées irréductibles (grade 4) - Régulariser le transit - Et traitement chirurgical INDICATIONS THERAPEUTIQUES EN CAS DE THROMBOSE Thrombose hémorroïdaire douloureuse - Régulariser le transit - Et anti-inflammatoire - Et excision ou incision des seules thromboses hémorroïdaires externes peu oedémateuses
Merci