GÉNIE LOGICIEL ET APPLICATION A LA QUALITE LOGICIEL

Slides:



Advertisements
Présentations similaires
Les Systèmes d’Information Financière Atelier conjoint ACBF / Banque Mondiale / AFRITAC de l’Ouest Gérer l’application dans le temps, sur les plans fonctionnel,
Advertisements

Amélioration de la qualité des forfaits
Analyse et Programmation Orientées Objets
Eléments de Génie Logiciel
Processus d'expression du besoin
L'installation et la diffusion 1 LInstallation et la Diffusion.
La Recette La recette.
La Gestion de la Configuration
Enseigner la technologie
Entreprise Nationale des Systèmes Informatiques
Le processus unifié UML est un langage de modélisation et n ’impose pas de démarche de développement Le processus unifié : méthodologie de développement.
Chapitre 7 : démarche de conception, conduite de projet SI
Les démarches de développement
Les démarches de développement
Plan La modularité Le processus de développement logiciel
Les Ateliers de Génie Logiciel
La revue de projet.
MIAGE MASTER 1 Cours de gestion de projet
MANAGEMENT DU PRODUIT Organisation Technique du Produit (OTP) Objet Arborescence Produits Relation autres domaines Décomposition du système Gestion.
Introduction au Génie Logiciel
Parcours de formation SIN-7
Sésame Conseils Bon sens et compétences
Le projet en STI2D Initier le projet Délimiter les champs du possible
Techniques de test Boulanger Jean-Louis.
IGL301 - Spécification et vérification des exgiences 1 Chapitre 2 Le processus dingénierie des exigences (ref : Bray chapitre 2)
© Petko ValtchevUniversité de Montréal Janvier IFT 2251 Génie Logiciel Notions de Base Hiver 2002 Petko Valtchev.
Conception des Réalisé par : Nassim TIGUENITINE.
La résolution de problèmes grâce à la technologie de l'information
Les étapes du cycle de développement du génie logiciel
Portée, arrimages et intervenants Évolution des méthodes
SEMINAIRE DE CONTACT novembre 2008 Outils de gestion de projet.
Ingénierie Système en SysML appliquée à la rédaction du cahier des charges Y. Le Gallou Séminaire académique STI2D - Calais – 1er avril 2014.
ANALYSE METHODE & OUTILS
Le management de l'IVVQ Processus techniques IVVQ
Supports de formation au SQ Unifié
Hatainville Les Moitiers d’Allonne – Tel : Website : stratic.online.com La démarche projet Mars 2001.
Institut Supérieur des Sciences Appliquées et de Technologie Sousse
GENIE LOGICIEL
Suivi de projet Architecture de l’information par l’équipe en charge du projet A Mille 2013.
Vérification dans le cycle de vie GEF492A 2014 Référence: [HvV §14.2, 14.9] Capt Vincent Roberge Collège Militaire Royal du Canada Génie électrique et.
2003 (revisé 2008)SEG Chapitre 11 Chapitre 1 “The Systems Engineering Context” Le contexte du génie de systèmes.
1 Emeric ROLLIN 1 Génie Logiciel GENIE LOGICIEL
Le contenu est basé aux transparents du 7 ème édition de «Software Engineering» de Ian Sommerville«Software Engineering» de Ian Sommerville B.Shishedjiev.
Introduction au Génie Logiciel
Initiation à la conception des systèmes d'informations
Gestion de projet Cycles de production
1 Emeric ROLLIN 1 Génie Logiciel GENIE LOGICIEL
Présentation AICHA REVEL INGENIEUR D’ÉTUDE STERIA DEPARTEMENT TRD
Problèmes du génie logiciel. H. Lounis Les problèmes zTaille et complexité des logiciels ; zTaille croissante des équipes ; zSpécifications peu précises.
Année 2006 – 2007 ENSEA © Emeric Rollin
1 Vers la gestion de la cohérence dans les processus multi-modèles métier Wolfgang THEURER Ecole Nationale Supérieure d’Ingénieurs des Etudes et Techniques.
L’enseignement de spécialité SLAM
G.L modèle en CASCADE Plan Réalisé par : Selmane mohamed lamine
Les démarches de développement
Soutenance Phase 1 Bibliographie et Analyse des besoins
Sensibilisation aux projets logiciels
Informatique et Sciences du Numérique
Travaux sur « études de cas » Saintes, le 20 juin ème journée académique.
L’enseignement de l’Analyse Fonctionnelle et Structurelle S 5 en S. T
© Petko ValtchevUniversité de Montréal Janvier IFT 2251 Génie Logiciel Le Processus Hiver 2002 Petko Valtchev.
Martine Miny - MPInstitut - Référentiels et métiers de management de projet - Mastère IESTO - 9 février 2004 Référentiels et métiers de management de projet.
Conférence 2TUP Stéphane Barthon 03/12/
Document de spécification d’exigences Normes IEEE et 29148:2011
Présentation de la méthode Merise
ISO 9001:2000 Interprétation Article 7 Réalisation du produit
Introduction aux Interfaces Homme-Machine
C’est ce que l’on veut obtenir la manière dont on va l’obtenir
PRÉSENTATION AGL LES TESTS LOGICIELS LES TEST LOGICIELS 1 Mickael BETTINELLI Brandon OZIOL Gaétan PHILIPPE Simon LUAIRE.
19 avril Spécification d’un cadre d’ingénierie pour les réseaux d’organisations Laboratoire de recherche : OMSI à l’EMSE.
Élaboration d’un référentiel de compétences
Transcription de la présentation:

GÉNIE LOGICIEL ET APPLICATION A LA QUALITE LOGICIEL M1 STIC CG2 Gestion de l’Innovation et de la Qualité - GÉNIE LOGICIEL ET APPLICATION A LA QUALITE LOGICIEL Cours distribué sous licence Creative Commons, selon les conditions suivantes : 1

Au commencement, il y avait … Ce que vous connaissez : le programme informatique Vos compétences : programmation individuelle sur de petits problèmes algo, langages, structures de données (parfois) un peu de méthodologie : analyse descendante Votre vision ? La programmation est excitante et ludique

Qu’est-ce qu’un logiciel ? il est fait pour des utilisateurs dialoguer métier, produire des documents il est complexe et de très grande taille homme-mois nb instructions 1/2 M Inst.  exp. physique des particules CERN 1 M Inst.  central téléphonique 50 M Inst.  contrôle sol + vol navette spatiale il fait intervenir plusieurs participants travail en équipe(s), organisation, planification il est long et coûteux à développer risques nombreux et important : délais, coût

Définition du logiciel Un logiciel (software) est l’ensemble des programmes, des procédures et des documentations nécessaires au fonctionnement d’un système informatique

Caractéristiques du logiciel - 1 le logiciel est facile à reproduire tout le coût se trouve dans le développement le logiciel est immatériel et invisible on ne peut l’observer qu’en l’utilisant la qualité n’est pas vraiment apparente difficile d’estimer l’effort de développement développement difficile à automatiser beaucoup de main-d’œuvre nécessaire …

Caractéristiques du logiciel - 2 le logiciel ne s’use pas, mais il vieillit Détérioration suite aux changements : complexification indue duplication de code introduction d’erreurs Mal conçu au départ : inflexibilité manque de modularité documentation insuffisante Evolution du matériel

Différentes catégories de logiciels sur mesure : pour un client spécifique générique : vendu sur un marché

Différents types de logiciels système d’information et d’aide à la décision logiciel temps-réel logiciel embarqué logiciel distribué

Problématique historique du logiciel « D’une part le logiciel n’est pas fiable, d’autre part il est incroyablement difficile de réaliser dans les délais prévus des logiciels satisfaisant leur cahier des charges »

Le logiciel n’est pas fiable … Quelques exemples célèbres : 1ère sonde Mariner vers Vénus navette spatiale ATT avion F16 bug de l’an 2000  perdue dans l’espace (erreur Fortran)  lancement retardé (problème logiciel)  appels longue distance suspendus (changement de version)  retourné à l’équateur (non prise en compte hémisphère sud) Tout système comporte des bugs …

Délais et exigences non satisfaits … Quelques exemples célèbres : OS 360 d’IBM aéroport de Denver (système de livraison des bagages) SNCF (système Socrate)  en retard, dépassement mémoire et prix, erreurs  1 an de retard  difficultés importantes

Abandons … Quelques exemples célèbres : EDF (contrôle-commande centrales 1400 MWatts) bourse de Londres (projet d’informatisation) Etats-Unis (système de trafic aérien)  renonce après plusieurs années d’efforts  abandon : 4 années de travail + 100 ML perdus  abandon La non rencontre des exigences et les dépassements de délais sont fréquents : 300 à 400 %

Naissance d’une nouvelle discipline Historique Problématique apparue dès les années 1960 Conférence parrainée par l’OTAN (1968) Naissance du « Génie Logiciel » (software engineering) P. Naur, B. Randall (Eds) Software Engineering : A Report on a Conference Sponsored by the NATO Science Committee NATO, 1969

Naissance d’une nouvelle discipline Objectif Démarche de développement ingénierique Principes, méthodes, outils Techniques de fabrication assurant : respect des exigences respect de la qualité respect des délais et des coûts

Définition du « Génie Logiciel » Processus visant : la résolution de problèmes posés par un client par le développement systématique et l’évolution de systèmes logiciels de grande taille et de haute qualité en respectant les contraintes de coûts, de temps, et autres

Résolution de problèmes posés par un client … identifier et comprendre le problème à résoudre solution utile résolvant un problème concret la solution peut être de ne rien développer !

Développement systématique et évolution … techniques maîtrisées, organisation, rigueur bonnes pratiques standardisées (IEEE, ISO) la plupart des projets consistent en une évolution

Systèmes de grande taille et haute qualité … travail en équipe(s) bonne coordination essentielle principal défi : subdiviser et recomposer harmonieusement produit final : critères de qualités bien établis

Respectant les contraintes … les ressources sont limitées (temps, argent, …) le bénéfice doit être supérieur aux coûts la productivité doit rester concurrentielle mauvaise estimation  échec

Transition … Risques majeurs du développement de logiciels : ne pas remplir les exigences du client produire un logiciel non fiable dépasser les délais, les coûts et autres contraintes

Méthodes du Génie Logiciel Méthodologies de développement

Introduction Comme pour tout produit manufacturé complexe : on décompose la production en « phases » l’ensemble des phases constitue un « cycle de vie » les phases font apparaître des activités clés

Activités du développement de logiciel analyse des besoins spécification conception programmation intégration vérification et validation

Analyse des besoins But : Caractéristiques : déterminer ce que doit faire (et ne pas faire) le logiciel déterminer les ressources, les contraintes Caractéristiques : parler métier et non info entretiens, questionnaires observation de l’existant, étude de situations similaires Résultat : ensemble de documents rôle du système future utilisation aspects de l’environnement (parfois) un manuel d’utilisation préliminaire

Spécification But : Données : établir une 1ère description du futur système consigner dans un document qui fait référence Données : résultats de l’analyse des besoins + faisabilité informatique Résultat : Spécification Technique de Besoin (STB) ce que fait le logiciel, mais pas comment Remarques : pas de choix d’implémentation (parfois) un manuel de référence préliminaire

Conception But : Travail : 2 étapes : décrire comment le logiciel est construit décider comment utiliser la techno. pour répondre aux besoins Travail : enrichir la description de détails d’implémentation pour aboutir à une description très proche d’un programme 2 étapes : conception architecturale conception détaillée

Conception architecturale But : décomposer le logiciel en composants mettre au point l’architecture du système définir les sous-systèmes et leurs interactions concevoir les interfaces entre composants Résultat : description de l’architecture globale du logiciel spécification des divers composants

Conception détaillée But : élaborer les éléments internes de chaque sous-syst. Résultat : pour chaque composant, description des structures de données, algorithmes Remarque : si la conception est possible, la faisabilité est démontrée sinon, la spécification est remise en cause

Programmation But : Résultat : Remarque : passer des structures de données et algorithmes à un ensemble de programmes Résultat : ensemble de programmes ensemble de bibliothèques / modules documentés (commentaires) Remarque : activité la mieux maîtrisée et outillée (parfois automatisée)

Gestion de configurations et Intégration gérer les composants logiciels (programmes, bibliothèques, …) maîtriser leur évolution et leurs mises à jour Intégration : assembler les composants pour obtenir un système exécutable

Vérification But : vérifier par rapport aux spécifications vérifier que les descriptions successives (et in fine le logiciel) satisfont la STB Moyens : revues de projet, tests test = chercher des erreurs dans un programme exécution sur un sous-ensemble fini de données 4 types de tests : test unitaire : composants isolés test d’intégration : composants assemblés test système : système installé sur site test d’acceptation : testé par l’utilisateur

Validation But : vérifier par rapport aux utilisateurs Moyen : revues de projet

Maintenance But : Remarque : corriger des défauts améliorer certaines caractéristiques suivre les évolutions (besoin, environnement) Remarque : peut remettre en cause les fonctions du système peut impliquer un re-développement (re-ingeneering)

Maquettage / Prototypage But : préciser les besoins et les souhaits des utilisateurs développer rapidement une ébauche du système 2 types de maquettes : maquette exploratoire : spécification maquette expérimentale : conception

Répartition des activités Actuellement, dans un projet logiciel bien conduit : 40 % Analyse, Spécification, Conception 20 % Programmation 40 % Intégration, Vérification, Validation

Résumé analyse des besoins spécification (maquettage) descriptions conception  architecturale  détaillée descriptions de plus en plus précises = raffinements  Exécutable + Doc. programmation config. et intégration vérif. et validation maintenance

Introduction Modèle de développement ?  enchaînements et interactions entre les activités But pour le projet : ne pas s’apercevoir des pbs qu’à la fin contrôler l’avancement des activités en cours vérifier / valider les résultats intermédiaires Objectif général : obtenir des processus de développement rationnels contrôlables reproductibles

Modèles de développement logiciel modèle en cascade (fin des années 1960) modèle en V (années 1980) modèle en spirale (Boehm, 1988)

Modèle en cascade

Modèle en cascade principe : le développement se divise en étapes  une étape se termine à une certaine date  des docs ou prog. sont produits à la fin de chaque étape  les résultats d’étapes sont soumis à revue  on passe à l’étape suivante ssi l’examen est satisfaisant  une étape ne remet en cause que la précédente commentaire :  modèle séduisant car simple  moyennement réaliste (trop séquentiel)

Modèle en V

Modèle en V  modèle plus élaboré et réaliste principe : les premières étapes préparent les dernières interprétation : 2 sortes de dépendances entre étapes  en V, enchaînement séquentiel (modèle en cascade)  de gauche à droite, les résultats des étapes de départ sont utilisés par les étapes d’arrivée commentaire :  avec la décomposition est écrite la recomposition  vérification objective des spécifications  modèle plus élaboré et réaliste  éprouvé pour de grands projets, le plus utilisé

Modèle en spirale

Modèle en spirale  effort important de mise en œuvre principe : développement itératif (prototypes) interprétation : chaque mini-cycle se déroule en 4 phases 1. Analyse des besoins, Spécification 2. Analyse des risques, Alternatives, Maquettage 3. Conception et Implémentation de la solution retenue 4. Vérification, Validation, Planification du cycle suivant commentaire :  nouveau : analyse de risques, maquettes, prototypage  modèle complet, complexe et général  effort important de mise en œuvre  utilisé pour projets innovants ou à risques

Résumé modèles : enchaînements et interactions entre étapes passage d’une étape à la suivante :  documents, tests  vérifiés et validés 3 modèles : cascade, V, spirale (séquentiels et itératif) cascade : simple mais pas très réaliste spirale : nouvelles notions, très complet mais lourd V : assez réaliste, le plus éprouvé et utilisé

Maturité du processus de développement notion définie par le SEI (Software Engineering Institute) Capacity Maturity Model (CMM) 5 niveaux de maturité :  Initial  Reproductible  Défini  Géré  Optimisé

Niveaux de maturité

Etude américaine (1991) Etude SEI Organisations américaines

Etude américaine (1999) Etude SEI Organisations américaines

Principes du Génie Logiciel Vers une assurance qualité …

Différentes perceptions de la qualité … EXTERNE QUALITÉ INTERNE

Facteurs de qualité - 1 Qualité externe : complétude fonctionnelle  réalise toutes les tâches attendues ergonomie / convivialité  facile d’utilisation  apprentissage aisé fiabilité / robustesse  tâches effectuées sans problème  fonctionne même dans des cas atypiques

Facteurs de qualité - 2 Qualité interne : adaptabilité réutilisabilité  facile à modifier, à faire évoluer réutilisabilité  des parties peuvent être réutilisées facilement traçabilité / compréhension  le fonctionnement du logiciel est facile à comprendre efficacité / performance  bonne utilisation des ressources (mémoire, cpu, …) portabilité  capacité à marcher dans un autre contexte ou env.

Comment agir sur la qualité logicielle ? La qualité est atteinte ou améliorée en appliquant certains principes : rigueur et formalisme séparation des préoccupations modularité généralité / abstraction incrémentalité anticipation des changements

Rigueur et formalisme rigueur = précision, exactitude (confiance en la fiabilité) formalisme = le plus haut degré de rigueur (mathématiques) nécessaire pour les parties critiques (haut risque) peut être utilisé dans chaque phase spécification formelle vérification formelle (preuve) analyse de complexité d’algorithmes …

Séparation des préoccupations - 1 principe : traiter séparément les ≠ aspects d’un problème  diviser pour régner résultat : réduit la quantité de complexité à contrôler

Séparation des préoccupations - 2 différentes sortes de séparations : séparation de domaine domaine de problème : quoi résoudre ? domaine de solution : comment résoudre ? séparation de temps : phases du cycle de vie séparation de qualité maquettes, prototypes conception globale, détaillée vues séparées sur le logiciel : modélisation en UML cas d’utilisation, structure statique comportement dynamique, architecture séparation de responsabilités : org. en équipes projet

Modularité principe : séparer le système en composants logiques  modules avantages : réduction de complexité les modules peuvent être conçus et construits séparément réutilisés système modifié en changeant un nombre limité de modules

Généralité / Abstraction principe : généraliser un problème particulier le rendre réutilisable dans d’autres contextes exemple : logiciel générique vs logiciel sur mesure design patterns : des solutions généralisées pour des problèmes typiques de conception

Incrémentalité principe : exemple : développer le logiciel en une série d’incréments se rapprocher de la solution par raffinements successifs exemple : phase de conception cycle de vie en spirale

Anticipation des changements le logiciel évolue constamment pour différentes raisons : réparation des erreurs détectées adaptation à de nouveaux environnements traitement de nouvelles exigences changements dans les exigences changement des formats de données changement d’exigences non-fonctionnelles avant de développer, poser les questions : quels changements, où ? comment les rendre plus faciles à appliquer ?

Résumé pour l’atteindre, on adopte des principes la qualité du logiciel est fondamentale elle est perçue différemment selon les points de vue : qualité externe : client, utilisateurs qualité interne : développeurs, gestionnaires pour l’atteindre, on adopte des principes participation des activités et modèles de développement l’utilisation de l’approche OO participe aussi beaucoup à remplir ces objectifs

Résumé général logiciel ≠ programme problèmes :  pas fiable  dépassements (délais, coûts)  non conforme au cahier des charges génie logiciel :  démarche ingénierique  méthodes, principes, outils méthodes :  processus de développement  activités et modèles (cascade, V, spirale) principes : pour atteindre des objectifs de qualité outils : Ateliers de Génie Logiciel (AGL)

Conclusion situation en progrès :  logiciel plus fiable  plus facilement modifiable  satisfait mieux les utilisateurs en contrepartie, les problèmes sont plus critiques,  centr. téléph., centrales nucléaires  avions, spatial, ferroviaire  banque, bourse, … plus complexes,  de plus en plus de fonctionnalités  systèmes distribués  mutations technologiques rapides et les exigences plus fortes (fiabilité, permanence du service) la maîtrise du logiciel reste un défi scientifique et technologique majeur

BIBLIOGRAPHIE Normes ISO 2000 V2000- V2008 Normes ISO 14001 Cours EPITA Stéphanie CARON Cours Polytech Nice, Michel KOENIG Assurance qualité normes iso 9000 en pratique , T1997 C. Jambart poche. Paru en 10/1997 CNAM ECL Valérie CAPRON et Rémi BACHELET