©jake/fotolia Collaboration AGIR 33 – ANPAA 33 Avril 2010 Inspiré du travail de la SFA RPIB SENIOR Collaboration AGIR 33 – ANPAA 33 Avril 2010 Les photographies.

Slides:



Advertisements
Présentations similaires
Développement d’un médicament
Advertisements

L’HOPITAL DE JOUR DE PSYCHOGERIATRIE
Dr Jean-François SAYET
Direction générale de la santé Un diagnostic partagé sur la santé en France Direction générale de la santé Mo I-2-1 Les inégalités sociales de santé :
Exemple état des lieux… Mieux connaître les avis de salariés…
La Dépression par le Médecin Généraliste
Tabagisme et Sevrage tabagique
Méthodes basées sur la connaissance de la fécondité
Bruno VELLAS Gériatre CMRR Midi-Pyrénées
Repérage précoce et intervention brève
Fatigue et MICI Dr Maryan Cavicchi 3ème Journée Nationale des MICI
Dr Rosenzweig Médecin Généraliste - Gévezé
OBSERVANCE THERAPEUTIQUE
LES COMPORTEMENTS DE CONSOMMATION DE PRODUITS PSYCHO-ACTIFS Véronique Gallet – Catherine Marill Service d’addictologie, Hôpital Paul Brousse.
ADDICTIONS ET NOUVELLES TECHNOLOGIES
Etablir une politique de prévention de l’alcoolisme et autres abus de substances au travail 1- Cadrer le problème Professeur Philippe Corten Psychopathologie.
L’entretien motivationnel
DU Education thérapeutique du Patient Université Bordeaux II
Les troubles anxieux.
Soirée d’information du réseau REPER’ AGE
Témoignage d’une IDE Annick FILHON
Suivi de la BPCO – recommandations HAS Février 2012
7 & 8 novembre 2005 LES ESPACES SANTE JEUNES DANS LE SYSTEME DE SANTE : PRATIQUES; PARTENARIATS, PERSPECTIVES.
Loi relative aux droits des malades et à la fin de vie
Les aînés et la toxicomanie
L’évaluation gériatrique standardisée Intérêt et objectifs
Le rôle du médecin dans la prise de décision
Utilisation des substituts nicotiniques pour les fumeurs hospitalisés
Les étapes de changement de comportement (Prochaska)
Clinique et traitement de l’alcoolisme
Us et abus de substances 3 – Us, abus, dépendance
Suicide.
Motivation : la dépendance
Dr Hélène Allaguy-Salachy St Louis –Lariboisière – Fernand Widal
Prévenir et agir sur la maladie chronique
Cas clinique N°1 Mme Josette, 34 ans, mariée, 3 enfants de 13 ans, 11 ans et 6 mois. Elle vient au cabinet pour un certificat d’aptitude à l’aquagym. Elle.
Addictions Maximilien GUERICOLAS
Identifier les fumeurs
Les comportements de consommation
LES COMPORTEMENTS DE CONSOMMATION DE PRODUITS PSYCHO-ACTIFS
RPIB Repérage précoce et interventions brèves
Les dépendances nuisibles
RPIB Repérage Précoce d’Intervention Brève Tiphaine ALLARD – CHU d’AMIENS.
Les freins (1) Absence de demande des patients …et le patient attend…
L’éducation à la santé « C'est toute combinaison d'expériences d'apprentissages planifiés destinés à faciliter l'adaptation volontaire de comportements.
Bien manger avec le Guide alimentaire canadien
Pratiques Professionnelles en Santé au travail
ATELIER Gestion des conduites additives. Nom de l’intervenante: Nathalie HECQ Agence Sanitaire et Sociale de la NC (ASS NC) participants (MIJ.
REALITE DE L’APPORT VITAMINO-CALCIQUE EN INSTITUTION Dr Véronique MERCIER Société de gérontologie de l’Ouest et du Centre XXXVIèmes journées le 5 juin.
Géronto-psychiatrie : la place des médecins généralistes
Actuellement, il y a presque 200 millions de diabétiques dans le monde. Plus de 90% des diabétiques ont le diabète de type 2, et seulement 10% présentent.
Personnes âgées et médicaments D r Delpierre – Hôpital Beaujon IFSI 2006.
QUESTIONNAIRE POUR LES ELEVES DE SECONDES
LA PREVENTION DES CHUTES CHEZ LA PERSONNE AGEE
Docteurr Frédéric LEMAIRE
3 février 2006SGGRP / LUNDBECK1 Bonnes pratiques soignantes en EHPAD Articulations avec le Secteur Libéral.
La Dépendance physique
Le Programme ENTRAIDE à la Résidence Les Adrets Retour d’expérience.
Gilles Godinat Les «Jeudis de la FAAG» Fondation pour la Formation des Aînées et des Aînés de Genève UOG 6 mars 2014.
L’annonce de la maladie
Qualité des soins Soins primaires et soins spécialisés axés sur le patient Examen des médicaments Prise en charge des maladies chroniques et prévention.
Dr Denis JACQUES, psychiatre
Groupes de patients spécifiques Module 5. Introduction De par le monde, la majorité des personnes qui sont en traitement de substitution sont des hommes.
Conduites addictives et personnes âgées
De quoi parle-t-on ?  Définition.
Us et abus de substances Us, abus, dépendance Professeur Philippe Corten ULB Kishasa 2015.
Groupe de travail « critères d’efficacité »
L’alcool en France Dr Patrick de LA SELLE Dijon 23 janvier 2016.
Les Bienfaits du Whisky Sur La Santé. Bonne lecture à tous. LES GRAND-MAMANS.
ARP prévention cardiovasculaire 21 janvier 2016 LALLIER Stéphanie.
Transcription de la présentation:

©jake/fotolia Collaboration AGIR 33 – ANPAA 33 Avril 2010 Inspiré du travail de la SFA RPIB SENIOR Collaboration AGIR 33 – ANPAA 33 Avril 2010 Les photographies sont issues de la brochure canadienne Educ’alcool « L’alcool et les aînés »

©jake/fotolia 1- JUSTIFICATION

©jake/fotolia QU’APPELLE T’ON SENIORS ? Une définition difficile pour une population hétérogène Un critère d’âge habituel : Plus de 65 ans (en restant souple) Un critère d’autonomie : Autonomes « Fragiles » Dépendants

©jake/fotolia UNE POPULATION QUI AUGMENTE Plus de 9 millions de personnes ont plus de 65 ans en France 97,5 % des ans 80% des plus de 80 ans vivent à leur domicile UNE POPULATION DE PLUS EN PLUS SOUVENT AUTONOME à un âge avancé

©jake/fotolia Consommation Tabac quotidien33% 23%9% Alcool quotidien2%7%19%37% Audit-C positif15%13%16%13% Ivresse/année30%16%8%2% Cannabis/année19%7%1%0% Autres illicites2%1%0% Psychotropes11%18%24%23% UNE POPULATION QUI CONSOMME Baromètre santé 2005 – Tendances n°67

©jake/fotolia UNE CONSOMMATION CENTREE SUR LES PRODUITS LICITES ALCOOLTABAC MEDICAMENTS PSYCHOTROPES DONC La diminution du nombre de fumeurs avec l’âge est liée, en partie, à la mortalité prématurée L’augmentation du nombre de buveurs avec l’âge est liée surtout à une culture générationnelle

©jake/fotolia Entre 70 et 75 ans Baromètre santé 2005 Une consommation selon le sexe

©jake/fotolia LES RISQUES LIES A L’ALCOOL ? Les mêmes que chez l’adulte jeune mais pour des doses plus faibles Mais des risques plus spécifiques : –Chutes (et fractures) –Confusion, –Dépression, anxiété, faible estime de soi, appauvrissement relationnel, suicides –Dénutrition –Iatrogénie –Diminution de l’espérance de vie Moins de troubles cognitifs chez les consommateurs modérés ?

©jake/fotolia Des modifications physiologiques diminuent la tolérance à l’alcool. Pour la même quantité d’alcool ingérée, le taux d’alcoolémie monte plus haut et décroît plus lentement Poly-pathologie et poly-médicamentation viennent accentuer ce phénomène

©jake/fotolia Complications somatiques Hypertension artérielle, Asthénie, Variation de poids, Troubles digestifs, Diabète, Accidents, chutes répétés, Résultats biologiques perturbés: GGT, TG, VGM Recours plus fréquent aux soins

©jake/fotolia Complications psycho- comportementales Anxiété Dépression (risque de suicide x 16) Troubles du sommeil Troubles sexuels Agressivité Troubles du comportement Autres addictions

©jake/fotolia Difficultés relationnelles, sociales Problèmes conjugaux, familiaux, Inquiétudes de la famille, Difficultés financières, Isolement, rupture de tout lien social… Maltraitance

©jake/fotolia LES RISQUES LIES AU TABAC ? Les mêmes que chez l’adulte jeune mais les pathologies induites par le tabac sont souvent déjà présentes (BPCO, cancers, maladies cardio-vasculaires……) Mais des risques plus spécifiques : –Ostéoporose –Soins dentaires compliqués –Complications infectieuses des suites opératoires ou des cicatrisations de plaies –Dénutrition –Diminution de l’espérance de vie

©jake/fotolia LES RISQUES LIES AUX PSYCHOTROPES ? Très augmentés chez les seniors: –Chutes –Troubles cognitifs, confusion –Surdosage (insuffisance rénale et/ou hépatique plus fréquente) –Erreurs dans les prises –Interactions médicamenteuses –Bouche sèche et dénutrition –Constipation et fécalome –Addiction –2 à 7 fois plus d’effets indésirables –Potentialisés par l’alcool

©jake/fotolia DES RISQUES SOUVENT CUMULES Plus de fumeurs et de consommateurs de psychotropes en cas de mésusage d’alcool Les effets secondaires se cumulent, notamment en terme de baisse de vigilance, de chutes, de dépression, de dénutrition, de perte du lien social UNE ESPERANCE DE VIE TRES DIMINUEE D’autant plus important que les années à vivre se réduisent

©jake/fotolia QUEL QUE SOIT L’ÂGE Tout arrêt du tabac Toute diminution (ou arrêt) de l’alcool et des psychotropes (sauf indication persistante) Est bénéfique au patient en terme de quantité et de qualité de vie ….S’il adhère à cette démarche

©jake/fotolia 2- LE RPIB SENIOR

©jake/fotolia POURQUOI FAIRE UN RPIB SENIOR? Pour repérer les consommations qui font courir des risques Pour explorer les « raisons » des consommations (plaisir ou mal être, habitude, ennui) Pour amener la personne à envisager de diminuer certains risques Par et pour une meilleure qualité de vie Le tout en quelques minutes

©jake/fotolia 2-1- LE REPERAGE

©jake/fotolia DANS QUEL CONTEXTE ? 80% des plus de 80 ans vivent à domicile Des hospitalisations plus fréquentes et plus longues Recours plus fréquent aux soins Une fin de vie en institution pour les dépendants ou les « fragiles » A domicile A l’hôpital Au cabinet En EHPAD

©jake/fotolia UN REPERAGE SYSTEMATIQUE et noté dans le dossier médical Tabac:  OUI  NON Alcool:  OUI  NON –Quantités consommées: –Diagnostic:  Usage à risque (> seuils)  Usage nocif (conséquences)  Dépendance (DSM IV) Psychotropes:  OUI  NON –Quantités consommées: –Médicalement justifié:  OUI  NON

©jake/fotolia 2 TYPES DE BUVEURS Le buveur chronique: 2/3 des buveurs excessifs A commencé jeune Est plus souvent un homme, fréquemment dépendant, avec des troubles cognitifs et sociaux Pathologies hépatiques, cardio-vasculaires, pulmonaires et rénales plus fréquentes Tabac fréquemment associé Le buveur tardif: 1/3 des buveurs excessifs A commencé le plus souvent après 50 ans Suite à des stress de la vie (deuil, retraite, maladie….) Les femmes sont plus représentées Environ 5 hommes abuseurs pour une femme

©jake/fotolia POURQUOI BOIVENT-ILS ? Pour modifier l’humeur et l’état de conscience Pour se donner de l’énergie Pour se relaxer et faciliter la socialisation Mais aussi pour calmer la douleur physique, l’anxiété, l’insomnie, l’humeur dépressive et les troubles somatiques divers liés à l’âge. Les mêmes motifs poussent à la consommation de psychotropes ou d’antalgiques opiacés

©jake/fotolia Les seuils à risque de l’OMS doivent être réduits au-delà de 65 ans Certaines recommandations étrangères fixent les seuils suivants : 1 à 2 verres standards par jour Pas plus de 3 verres par occasion Au-delà de ces seuils, les risques pour la santé augmentent = Usage à risque En l’absence de toute pathologie évolutive, ou de médicaments incompatibles avec l’alcool

©jake/fotolia 1 verre standard = 10 g d'alcool Une bouteille de vin (75 cl) : 7 verres Une bouteille de whisky (70 cl): 22 verres Une cannette de bière (33 cl): 1,5 verre

©jake/fotolia UN REPERAGE ALCOOL avec des questions standardisées Moins intrusif Mieux cadré Plus rapide Mais aucun questionnaire n’a été validé chez les plus de 65 ans La consommation déclarée d’alcool peut être évaluée sans spécificité

©jake/fotolia Exemple de questions A quelle fréquence vous arrive-t-il de consommer des boissons contenant de l ’alcool ?  A tous les repas ? Combien de verres standards buvez-vous au cours d’une journée ordinaire où vous buvez de l’alcool ?  On additionne tous les verres de la journée, aux repas et aux apéritifs. A quelle fréquence vous arrive t’il de boire plus de 3 verres standards lors de la même occasion?  Tous les jours? L’important est de noter les consommations dans le dossier médical (CDA quotidienne et occasionnelle): Pour suivre l’évolution Pour valoriser les changements positifs

©jake/fotolia 2-3- INTERVENIR

©jake/fotolia L’intervention brève : objectifs  Provoquer une prise de conscience  Inciter à un changement de comportement  Respecter le choix de la personne…

©jake/fotolia L’intervention brève: principes = F.R.A.M.E.S. Feed-back: restituer le repérage Responsability: reponsabiliser le patient Advice : avis d’arrêt ou de modération. Menu: moyens possibles. Empathy: pas de jugement. Self-efficacy: encourager.

©jake/fotolia 1 - Restituer le repérage « la personne se situe » On résume le repérage : –La personne fume? –La personne est en mésusage d’alcool? –La personne consomme des psychotropes? Partager le diagnostic avec la personne –On évoque les seuils à risque d’alcool –On évoque la consommation des psychotropes, les risques, l’association éventuelle à l’alcool –On évoque la consommation de tabac FEEDBACKFEEDBACK

©jake/fotolia 2- Impliquer la personne Qu’en pense t’elle? A-t-elle conscience des risques encourus? –Possibilité de modifier les idées reçues. –Rappeler les risques encourus s’ils ne sont pas connus –Les bénéfices en terme de qualité de vie attendus du changement Le changement éventuel lui appartient RESPONSABILISERRESPONSABILISER

©jake/fotolia 3- Conseiller la personne Que faudrait-il faire? –Arrêter ou diminuer ? –L’alcool? Le tabac? –Limiter les psychotropes à ce qui est prescrit? Que veut ou peut faire la personne? –Ses priorités, sa motivation, ses craintes Fixer en commun un objectif possible. ADVICEADVICE

©jake/fotolia A ce stade Il est possible de situer la motivation à changer du patient

©jake/fotolia Le processus de changement Consommateur satisfait ou indécis Envisage de changer son comportement de consommation Décide de changer Essaie de changer Change son comportement de consommation Persévère dans son changement rechute Contemplation Intention Préparation Action Maintien

©jake/fotolia Exercice: identifier les stades Si ma femme vous a parlé de ma consommation d’alcool, c’est son problème. Stade de contemplation

©jake/fotolia Exercice: identifier les stades Si je pouvais le faire, je modérerais ma consommation d’alcool. Stade d’intention

©jake/fotolia Exercice: identifier les stades Je vais diminuer le lexomil ® d’un quart, pour voir… Stade de préparation

©jake/fotolia Exercice: identifier les stades Je n’ai pas fumé depuis ce matin Stade Action

©jake/fotolia Exercice: identifier les stades J’ai juste pris un petit comprimé hier soir, exceptionnellement……. Oups! rechute

©jake/fotolia 4- Aider la personne « comment réduire » Comment envisage-t-elle de changer ? (question ouverte): –Comment envisagez vous d’arrêter le tabac? De diminuer l’alcool? De diminuer le « Temesta ® »? On peut l’aider à rechercher une bonne stratégie: –Des patchs de nicotine? –Un petit verre de vin par repas au lieu de deux ? –Passer d’un comprimé de Temesta ® 2,5 mg à 2 comprimés à 1 mg? Puis on verra tout doucement. MENUMENU

©jake/fotolia 5- Accepter le choix de la personne Si résistance: –« Je comprends que c’est difficile pour vous, même si je vous sens capable de changer ». –« On pourra en reparler la prochaine fois ou quand vous serez prêt » –« Je vous remets ce petit document qui explique bien les choses. Prenez le temps d’y réfléchir. » On comprend la position du patient, sans jugement, même si on ne partage pas son avis. –Rester authentique –Rester chaleureux –Écouter et réagir, de façon bien contrôlée EMPATHIEEMPATHIE

©jake/fotolia 6- Encourager Renforcer la confiance: –« Je vois que vous avez bien compris les risques et que vous êtes bien motivée pour changer ». –« Vous avez déjà réussi à arrêter quelques semaines, c’est très encourageant pour votre prochaine tentative » –« Vous êtes toujours très active et vous voulez le rester. Voilà une bonne motivation pour diminuer les médicaments» –« Vous n’y êtes pas arrivé? C’est fréquent, essayons de comprendre pourquoi? » SELFEFFICACYSELFEFFICACY

©jake/fotolia 7- Résumer Résumer ce qui a été dit au cours de la consultation: –Redéfinir les problèmes de la personne, –Intérêt des changements décidés par la personne, –Reformuler ce que la personne a prévu pour changer –Proposer de refaire le point lors d’une prochaine rencontre.

©jake/fotolia 3- CONCLUSION Un RPIB senior pour identifier les risques Un RPIB senior pour permettre à la personne de diminuer les risques, si elle le souhaite Un RPIB senior pour une amélioration de la qualité des soins et de la qualité de vie.

©jake/fotolia Un RPIB senior pour identifier les risques Un RPIB senior pour permettre à la personne de diminuer les risques, si elle le souhaite Un RPIB senior pour une amélioration de la qualité des soins et de la qualité de vie.

©jake/fotolia ANNEXES

©jake/fotolia DSM IV critères diagnostiques Dépendance si présence 3 ou plus des critères suivants sur les 12 derniers mois : Symptômes de sevrage : 2. Symptômes de sevrage : à la suite d'une période d'abstinence, évités ou améliorés par une nouvelle prise de la substance. Prise de la substanceen plus grande quantité 3. Prise de la substance : en plus grande quantité ou pendant plus longtemps que prévu. Tolérance : 1. Tolérance : besoin d'accroître les doses consommées pour obtenir l’effet désiré ou par une diminution des effets à dose constante.

©jake/fotolia DSM IV critères diagnostiques suite contrôler la consommation 4. Désir persistant ou des efforts infructueux pour diminuer ou contrôler la consommation. Beaucoup de temps passé 5. Beaucoup de temps passé à utiliser ou à se procurer la substance. Abandon ou réduction 6. Abandon ou réduction des activités sociales, professionnelles ou de loisir à cause de l'usage. Poursuite de l’usage 7. Poursuite de l’usage malgré la connaissance des risques pour la santé.