« Logiciels libres : Tendances, risques et opportunités » Résultats du sondage (*) sur l’utilisation des logiciels libres dans les entreprises et les services publics. (*) réalisé par 01 informatique et l’Afai, en collaboration avec Comm’Back
56% des entreprises font appel à l’open source 74% dans les collectivités territoriales (source Apronet et mission Ecoter) Logiciel libre sur le même pied d’égalité que les logiciels propriétaires
La bureautique en tête Sans surprise, forte présence du logiciel libre dans l’infrastructure La sécurité en bonne place Les progiciels ne percent toujours pas
L’open source, avant tout pour des réductions de coûts S’affranchir des coûts de licence et de maintenance d’un éditeur Fiabilité, sécurité : le logiciel libre rassure L’accès au code source : pas déterminant
Principale difficulté : le déficit de compétences Le catalogue applicatif n’est pas assez étoffé Les services de support pointés du doigt La problématique de la propriété intellectuelle est perçue comme un risque mineur
Les logiciels propriétaires construits sur des briques open source : une tendance ? Les utilisateurs ne constatent pas cette pratique…...c’est pourtant un moyen pour les éditeurs de réduire leurs coûts de R&D (Etude Merrill Lynch de 2001)
Pas question de reverser les développements internes à la communauté ! L’open source choisi avant tout pour son utilité… … pas pour son modèle d’industrialisation du développement (contre-exemple chez BNP avec le framework Sweetdev)
Une méconnaissance des licences open source ? L’utilisateur fait confiance à son prestataire De toute façon, « les risques sont infimes »…
Aucun problème juridique rencontré Pourtant, l’open source n’est pas à l’abri des menaces posées par la propriété intellectuelle et les brevets logiciels (SCO avait poursuivi plusieurs utilisateurs) La Loyds est l’une des premières compagnies d’assurance à protéger ses clients contre les risques liés à la brevetabilité
Les responsables open source internes sont encore rares Le manque de compétences internes pourrait être compensé par la présence d’un responsable logiciel libre… … qui ferait l’interface avec la communauté
Une personne interne plutôt qu’un prestataire Un bon moyen d’assurer le transfert de compétences auprès des équipes internes
Merci !