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Publié parSimon Jacques Picard Modifié depuis plus de 8 années
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Causes multifactorielles = l’institution scolaire n’est pas seule en cause L’institution scolaire a une part de responsabilité Chaque élève est différent Approche globale et différenciée d’un élève Approche pédagogique repensée Travail collectif construit
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Rôle de la formation initiale Rôle de la formation continue - accompagner et soutenir les personnels impliqués : - pérenniser les personnels impliqués ; - - former les intervenants à la prise en charge, - - échanger les savoirs faire, - - construire et mutualiser les formations : par ex formation d’initiative locale : « lutte contre le décrochage ». - mettre en place des formations inter- services = processus culturel Connaissance des métiers / ressources internes de l’établissement scolaire dans l’institution scolaire Connaissance des ressources externes qui contribuent au développement de l’enfant/l’adolescent Valoriser les personnels à titre individuel mais pour leur implication dans l’équipe
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Mobiliser les ressources internes et externes : constituer une équipe de suivi, pluridisciplinaire qui intègre des compétences spécialisées pour repérer précocement les élèves concernés; Créer les conditions d’un échange régulier entre les membres de l’équipe ainsi constituée; Fixer les règles d’échanges = charte de déontologie. Etablir des responsabilités Prévoir un calendrier de rencontres; Etablir des comptes-rendus : qui fait quoi ?. Pouvoir se réunir en urgence sans abus; Construire les outils ensemble; Organiser une prise en charge en diversifiant les modes d’intervention et faire appel au partenariat (social, médical, pédagogique, psychologique, associatif) : faire du sur-mesure mais mesurer et partager ce que l’on fait; Construire l’évaluation ensemble
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Lettre académique de la vie scolaire – n° 1 novembre 2013 - académie de Strasbourg Associations Entreprises
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Cadre déontologique de l’action Alliances externes Ex : les LATI de l’académie de Strasbourg
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Grands principes : La politique nationale et académique en faveur de la prévention du décrochage doit se décliner au sein des établissements La collaboration entre les personnels pédagogiques et éducatifs doit être renforcée (ou consolidée, selon les endroits) afin de permettre : un meilleur partage de l’information un meilleur repérage ou une meilleure prise en charge des jeunes en situation de décrochage Actions à mettre en œuvre Généraliser l’utilisation d’outils permettant d’établir un diagnostic et de repérer les jeunes en situation de décrochage, associant différents professionnels de l’établissement (ex. LYCAM,..) Recenser auprès d’un échantillon d’établissements les pratiques de terrain favorisant un partage accru de l’information entre les personnels pédagogiques et éducatifs autour du jeune (ex. billets de signalement, fiche de suivi,..) Renforcer l’articulation de ces pratiques avec les GPDS Rédiger une charte de déontologie et de confidentialité pour favoriser le partage d’information entre professionnels
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Personnels impliqués dans les alliances internes : Chef d’établissement, référent décrochage, enseignants, conseillers principaux d’éducation (CPE), conseillers d’orientation psychologue (COP), médecins, infirmiers, assistantes sociales, … GPDS : Groupe de prévention du décrochage scolaire Il regroupe des personnels de l'équipe de direction, éducative et pédagogique d’un établissement Il peut parfois s’étendre à l'échelle d'un district ou d'un bassin de formation C’est une instance collégiale multi-catégorielle interne à l'EPLE chargée de la mise en œuvre du volet "prévention/décrochage" du projet d'établissement Il coordonne par l'intermédiaire du "référent décrochage" le repérage des jeunes en situation de décrochage et la mise en place des actions de prévention Donner toute leur place aux parents
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Principes : Les alliances sont mises en place au profit du jeune en difficulté. Elles viennent en appui des personnels de l’établissement et permettent de mobiliser des partenaire externes pour apporter une prise en charge adaptée Elles répondent » au triptyque : « 1 jeune, 1 projet,1 équipe » Si un socle commun peut être défini, les alliances éducatives doivent s’adapter aux territoires et être à géométrie variable. Les réponses apportées doivent être individualisées en fonction des difficultés rencontrées par le jeune et par la prise en compte de ses « univers » (la famille, les centres d’intérêts, etc.)
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Fonctionnement type d’une alliance
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