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Didactique du français L1

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Présentation au sujet: "Didactique du français L1"— Transcription de la présentation:

1 Didactique du français L1
Cours de Didactique du français L1 Semestre 1 Cours 8 : jeudi 10 novembre 2016 Docteure Martine Girerd

2 Ressources pour les vidéos sur les inférences Site : dixmois.fr
Martine Girerd – 10 novembre 2016

3 Questionnaire pour le film « Restaurant"
Martine Girerd – 3 novembre 2016

4 Cours en e-learning Qu’entend Mme Saada-Robert par familiarisation progressive de l’écrit ? Il n’y a pas d’apprentissage formel de la lecture et de l’écriture, mais une entrée « pas à pas » dans l’écrit (« chemin » d’acquisition) 2) Quel est l’intérêt didactique d’apprendre en parallèle l’écriture et la lecture ? Ce sont les mêmes processus mis en jeu (modèle de Perfetti) Martine Girerd – 3 novembre 2016

5 Modèle de Perfetti Martine Girerd – 3 novembre 2016

6 Cours en e-learning 3) Qu’est-ce que Mme Saada-Robert définit par mémoire lexicale ? En lecture comme en écriture on fait appel à notre mémoire lexicale visuelle et phonologique : processus de récupération des mots (adressage et assemblage) 4) En quoi l’acquisition des deux processus (lecture et écriture) est-elle inversée ? Pour lire : donné visuel, pour traduire le visuel, découpage phonologique, puis contrôle Pour écrire : on découpe le mot en phonèmes, on l’écrit de manière visuelle puis on contrôle Martine Girerd – 3 novembre 2016

7 Cours en e-learning 5) Comment définit-elle le « processus analogique? » Le processus analogique est un processus commun entre la lecture et l’écriture permettant de lire/écrire un mot inconnu à l’aide des caractéristiques d’un mot connu. (exemple : les lettres du prénom) 6) Que sous-entend le mot « étape » Le mot « étape » sous-entend que les processus se font les uns après les autres Martine Girerd – 3 novembre 2016

8 Cours en e-learning 7) Qu’entend-elle par « étape alphabétique consolidée ou orthographique » ? Elle veut dire que les mots sont lus ou écrits de manière automatisée (dernière étape) 8) Qu’est-ce-qui différencie le modèle de Rieben & Saada- Robert des autres modèles ? C’est aussi un modèle étapiste mais avec des dominances de stratégies Martine Girerd – 3 novembre 2016

9 Modèle de Rieben & Saada-Robert
Martine Girerd – 3 novembre 2016

10 Cours en e-learning 9) Que signifie chez Mme Ferreiro « la lecture et l’écriture prennent source chez le jeune enfant bien avant la lettre » ? Cela signifie que les enfants ont les capacités d’écrire avant de connaître le code alphabétique. 10) Selon vous quels points positifs et quels points négatifs peut-on dégager du modèle de Mme Saada-Robert? Points positifs : Diversité des stratégies que l’élève peut utiliser : elles sont présentes à tous les stades. Martine Girerd – 3 novembre 2016

11 Cours en e-learning Observations « de terrain » pas en « laboratoire » L’enfant reste maître de ses apprentissages Importance de la sémantique (utilisation des textes) Points négatifs : Modèle « étapiste » (même si MmeS.R évoque des processus dominants » (cf modèles plus récents) Martine Girerd – 10 novembre 2016

12 Cours 8 Les stratégies d’écriture émergente (2) La dictée à l’adulte (DA) Le texte de référence (TR) (1) Martine Girerd – 10 novembre 2016

13 LES STRATĖGIES D’ĖCRITURE ĖMERGENTE
Martine Girerd – 3 novembre 2016

14 L’écriture émergente Les stratégies d’écriture émergente provisoire : Production de traces Imitation picturale Traces graphiques discontinues Production logographique de lettres Lettres en ligne (issues du répertoire logographique) Variété et nombre de lettres sans analyse du son SĖMIOPICTURALITĖ Martine Girerd – 3 novembre 2016

15 L’écriture émergente Production de lettres en correspondance phonologique Début du traitement alphabétique Stratégie syllabique (DT pour docteur) Stratégie alphabétique (DOKTOR) Production de mots Stratégie lexicale : écriture de mots (mots familiers et fréquents) : SEMIOGRAPHIE Martine Girerd – 3 novembre 2016

16 Martine Girerd – 3 novembre 2016

17 Martine Girerd – 3 novembre 2016

18 Martine Girerd – 3 novembre 2016

19 L’écriture émergente Phase 1 : production de traces, imitation picturale L’enfant fait des marques graphiques qu’il associe peu à peu à des significations sans les relier à la chaine sonore C’est la « proto écriture » ou écriture première La préoccupation de l’enfant est visuo-graphique Martine Girerd – 3 novembre 2016

20 L’écriture émergente Maria, GS, Octobre Elle ne fait pas la différence entre l’écriture et le dessin. Elle a bien compris le message mais ne sait pas encore passer par une autre représentation du message que la forme figurative. Martine Girerd – 3 novembre 2016

21 Mike, GS, Décembre Traces graphiques, pseudo-lettres Mike a réalisé que l’écriture se présente sous forme d’un graphisme horizontal et linéaire et en fait une simulation. Cette procédure résulte de la différenciation entre le dessin et l’écriture qu’opère l’enfant entrant dans l’écrit. Martine Girerd – 3 novembre 2016

22 Traces graphiques, pseudo-lettres Vagues, courbes lignées
Martine Girerd – 3 novembre 2016

23 L’écriture émergente Phase 2 : lettres logo L’enfant établit une correspondance entre les aspects sonores et graphiques de son écriture 1èe prise de conscience : l’écrit est signifiant 2ème prise de conscience : l’écrit est tangible Martine Girerd – 3 novembre 2016

24 Les lettres sont utilisées ici comme des objets sans valeur phonique.
Phase 2 : Lettres logo issues du prénom Thierry et Audrey, GS, Décembre Thierry a compris que pour écrire on utilise des signes tout à fait particuliers comme ceux dont il se sert pour écrire son prénom, lettres parfois inversées, parfois en miroir ou pseudo-lettres qu’il invente. Audrey utilise pour écrire tout ce qu’elle a découvert en classe : écriture bâton, écriture cursive, chiffres. Les lettres sont utilisées ici comme des objets sans valeur phonique. Martine Girerd – 3 novembre 2016

25 Lettres familières dans un ordre différent pour des mots différents
Martine Girerd – 3 novembre 2016

26 Aurélie, GS, Décembre Puis vient le moment où l’enfant fait varier la longueur de son écriture en fonction de la longueur de la chaîne sonore. Aurélie ne marque pas la différence de longueur entre les différents mots mais traduit la longueur plus importante de la phrase. Martine Girerd – 3 novembre 2016

27 Nicolas, GS, Décembre Nicolas traduit par la même graphie, sans respect des normes conventionnelles, le mot « rat » répété deux fois au cours de l’épreuve. Martine Girerd – 3 novembre 2016

28 Sandra, GS, Décembre Comme Nicolas, Sandra traduit par la même graphie, sans respect des normes conventionnelles le mot « rat » répété deux fois au cours de l’épreuve. Elle écrit la phrase en plusieurs parties, signe qu’elle prend en compte une certaine structure syntaxique. Martine Girerd – 3 novembre 2016

29 Mohamed, GS, Décembre Comme Sandra, Mohamed écrit la phrase en plusieurs parties, signe qu’il prend en compte une certaine structure syntaxique. Martine Girerd – 3 novembre 2016

30 Martine Girerd – 3 novembre 2016

31 L’écriture émergente Phase 3 : syllabo alphabétique ou phonétisation de l’écrit Prise en compte du principe phonographique L’enfant essaye de découper la chaîne sonore et de la coordonner avec le chaîne écrite Martine Girerd – 3 novembre 2016

32 L’écriture émergente Correspondance entre la durée de l’oral et la longueur de l’écrit Ajustements syllabiques (une syllabe=une marque graphique) Une étape est franchie lorsque l’élève poursuit l’analyse de la chaîne sonore jusqu’au phonème et qu’il entreprend progressivement de s’occuper du codage de ces unités. Martine Girerd – 3 novembre 2016

33 L’écriture émergente phase 3 : régularisation de plusieurs principes Tous les phonèmes sont à transcrire L’ordre de succession des graphèmes est le même que celui des phonèmes Les sons élémentaires se combinent en sons plus complexes Début de la conscience orthographique :plusieurs graphèmes peuvent transcrire le même phonème (o, au, eau) Martine Girerd – 3 novembre 2016

34 L’écriture émergente Phase 4 : alphabétique : Chaque signe graphique représente un phonème de la langue Martine Girerd – 3 novembre 2016

35 Résultats : les stratégies d’écriture émergente
Stratégie : GRA (traces graphiques, avant les lettres) Relecture : 1ère ligne : Papa le fait glisser tout doucement 2ème ligne : sur le toboggan. Stratégie : VNO et LOG (lettres du prénom, lettres « logo » avec variation du nombre et de l’ordre) Relecture : 1ère ligne : Léo fait une surprise/ 2ème ligne : à Popi/ 3ème ligne : il sort ses peluches et les poupées. Stratégie : VNO, ALP et LEX (alphabétique et lexicale) Relecture : Le docteur parle avec maman. Léo n’a pas peur du docteur. Stratégie : VNO, LOG et SYL (syllabique) Relecture : 1ère ligne : Léo/ 2ème ligne : Léo/ 3ème ligne : viens voir ce qui est resté dans le château. Martine Girerd – 3 novembre 2016

36 L’écriture émergente Chez une même élève : 1er temps : on voit des lettres ou des pseudo lettres, stratégie déjà avancée, tous ne commencent pas ainsi (gribouilllages) 3ème Temps : « Le docteur parle avec maman, Léo n’a pas peur du docteur. » L’enfant s’appelle « Louise » (aide pour écrire « le » ou « Léo ») le mot « avec » est écrit avec une stratégie syllabique, « maman » stratégie orthographique, elle a fait varier les lettres de son prénom pour écrire des mots. Temps 4 : « pseudo régression » : progression jamais linaire Martine Girerd – 3 novembre 2016

37 Martine Girerd – 3 novembre 2016

38 EVOLUTIONS D’ECRITURES ENTRE DEBUT ET FIN D’ANNEE
Martine Girerd – 3 novembre 2016

39 Martine Girerd – 3 novembre 2016

40 Martine Girerd – 3 novembre 2016

41 Martine Girerd – 3 novembre 2016

42 Martine Girerd – 3 novembre 2016

43 Martine Girerd – 3 novembre 2016

44 Martine Girerd – 3 novembre 2016

45 Martine Girerd – 3 novembre 2016

46 Martine Girerd – 3 novembre 2016


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