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Dr G Charpentier CH Sud Francilien
Nouveautés thérapeutiques dans le Diabète : stratégies thérapeutiques orales Mono et Bithérapies Impact Medecin 19 novembre Paris Dr G Charpentier CH Sud Francilien
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UKPDS : l’hémoglobine A1c augmente avec l’involution de la fonction ß-insulaire ..
25 50 75 100 1 2 3 4 5 6 sulfonylurée metformine régime années HbA1c années ….alors que l’insulinorésistance reste stable (62% de la théorique à T0 et à 6 ans) UKPDS 16, Diabetes1995 : UKPDS 33, The Lancet 1998 :
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Une stratégie de prévention des complications pour qui
Une stratégie de prévention des complications pour qui ? Esperance de vie en france
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Traitement du diabete de Type 2 : Une stratégie d’addition dans le temps
« Basal + » Basal Bolus Insulinebasale + ADO Metformine + SU or TZD Metformine Regime Exercice 7% 6.5% 6% D’après les Recommandations de l’HAS novembre 2006
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Relation entre Équilibre Glycémique et Traitement Antidiabétique
Espoir coronaire : rapport statistique draft 1 (relié) Espoir diabète : rapport statistique draft 1 (relié) Charpentier G Diabetes Metab Apr;29:152
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Traitement du diabete de Type 2 : Une stratégie d’addition dans le temps
« Basal + » Basal Bolus Insulinebasale + ADO Metformine + SU or TZD Metformine Regime Exercice 7% 6.5% 6% D’après les Recommandations de l’HAS novembre 2006
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« Lorsque le sujet est en surpoids ou obèse, IMC > à 27 ou 30 kg/m², on vise une perte de 5% du poids corporel dans les 3 premiers mois Si après 3 à 6 mois d’une prise en charge hygiéno-diététique, l’HbA1c reste supérieure à 6 %, le groupe de travail recommande d’instaurer un traitement médicamenteux avant même la valeur seuil de 6,5 %. » Recommandations Professionnelles HAS nov 2006, p 85
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Rimonabant 20 mg vs placebo
Réduction du poids et de la taille : Résultats homogenes (sauf chez les diabetiques) RIO North RIO America RIO Europe RIO Lipids Diabetes Rimonabant 20 mg vs placebo -2 Perte de poids (kg) -4 –3.9 –4.7 –4.7 *** -6 *** *** –5.4 *** Overall the results for weight and waist are consistent in the four studies, when examining the placebo-subtracted effect of rimonabant 20 mg. Rimonabant clearly shows a benefit on weight management and treatment of abdominal obesity. -2 Taille (cm) -4 –3.3 –3.6 ***p<0.001 –4.2 *** *** –4.7 -6 *** *** Pi-Sunyer FX et al, 2006; Van Gaal L et al, 2005; Scheen A et al, ADA 2005; Després JP et al, ACC 2004 Van Gaal L. et al Effects of the cannabinoid-1-receptor blocker rimonabant on weight from the RIO-Europe study. Lancet 2005;365:1389–97. Després JP et al. Weight reducing and metabolic effects of rimonabant in overweight/obese patients with untreated dyslipidaemia: RIO-Lipids trial. Oral late breaking presentation ACC 2004. Pi-Sunyer FX et al. Effects of rimonabant, a cannabinoid-1 receptor blocker on weight and cardiometabolic risk factors in overweight or obese patients RIO-North America: A randomized controlled trial. J Am Med Assoc 2006:295: 761–775. Scheen A et al. Rimonabant in patients with type 2 diabetes: results from the RIO-Diabetes Trial. Late breaking clinical trials session, ADA 2005.
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L'exercice physique a un effet bénéfique sur le contrôle glycémique
18 mois - 76 patients diabétiques de type 2 Exercice physique Exercice Régime + régime physique seul seul HbA1c Absence Absence - 1,48 % d'amélioration d'amélioration Etude Kaplan Kaplan RM. et al. Effects of diet and exercice interventions on control and quality of life in non-insulin-dependent diabetes mellitus. J Gen Intern Med 1987 ; 2 :
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Démarrer Metformine après 3 à 6 mois si HbA1c > 6.0%
« Basal + » Basal Bolus Insulinebasale + ADO Metformine + SU or TZD Metformine Regime Exercice 7% 6.5% 6% D’après les Recommandations de l’HAS novembre 2006
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Metformine si HbA1c > 6% malgré 6 mois de MHD
D Glycémie à Jeun N=289, 53 ans, IMC=29.5 6ans de diabète HbA1c=8.2%, GAJ=2.39 g/l ATCD familiaux de Diabète : 75% D HbA1c Metformine Appétit : /- 1.3 kg, 88 % au détriment de la masse grasse (Yiki jarvinen 1997) Semaines De Fronzo R N Engl J Med 1995;333:541
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Après insuffisance du traitemet par Metformine : stratégie d’addition
« Basal + » Basal Bolus Metformine + SU ou TZD ou acarbose DPP4 inhib Insulinebasale + ADO Metformine Regime Exercice 7% 6.5% 6% D’après les Recommandations de l’HAS novembre 2006
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Après échec de la metformine, l’addition de SU permet :
De gagner 1 à 2% d’HbA1c Inconvénients : Hypoglycémies Prise de poids Echappement plus rapide (TZD)
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Après Échec de la Metformine, Substitution ou addition de SU (Glimépiride)?
225 200 (mg / dl) Glycémie moyenne à jeun 175 HbA1c: % 150 Metformin Glimepiride Metformin + Glimepiride 125 3 6 9 12 20 Titration Maintien Durée du traitement (semaine)
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Mr Phi… Robert, 52 ans, 4 ans de DB2
Sous Metformine 1000mgx3, Amarel 6mg, Régime, activité physique = 2h le WE Poids 86kg , IMC = Périmètre ombilical = 98 cm GAJ : 1.36g/l, HbA1c = 6.9 Que proposez-vous ? Lever PP Midi Soir Lundi 1.42 0.81 Mardi 1.39 0.89 0.76 1.86 Mercredi 1.34 1.32 0.80 Jeudi 1.52 0.88 1.35 Vendredi 1.36 0.86 1.15 0.68 Samedi 1.29 1.10 0.79 0.75 2.27 Dimanche 1.41 sport 0.64 1.18 1.90
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Après échec de la metformine, l’addition de TZD permet :
De gagner (lentement) 1 % d’HbA1c D’échapper moins rapidement Inconvénients : Prise de poids LDLc et hypothèque CVx avec la Rosi Rétention hydrosodée et risque d’OAP si myocarde insuffisant
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PIOGLITAZONE EN ASSOCIATION AVEC LA METFORMINE (MET) (1, 2)
Contrôle de l ’HbA1c à 16 semaines 0,4 * 0,19 * * 0,2 Placebo + Metformine (n=160) Évolution moyenne de l’HbA1c (%) -0,2 - 0,83% * † -0,4 0,64 -0,6 * † Pioglitazone 30 mg + Metformine (n=168) * † -0,8 8 12 16 Semaines HbA1c moyenne à J 0 : placebo = 9,75%; pioglitazone = 9,86% *p 0,05 vs J 0 †p 0,05 vs placebo + Metformine (1) Einhorn D, Rendell M, Rosenzweig J et al. Pioglitazone hydrochloride in Combination with Metformin in the Treatment of Type 2 Diabetes Mellitus: A Randomized, Placebo-Controlled Study. Clin Therap, 2000,22(12): (2) ACTOS®, Dossier AMM
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Sensibilité à l’Insuline :
Les enseignements de l’UKPDS : l’apoptose des cellules b Est-il possible d’agir ? HbA1c Fonction ß-insulaire 100 sulfonylurée metformine régime 75 50 ? 25 années 1 2 3 4 5 6 années Sensibilité à l’Insuline : 60% de la Normale à T0 Stable sur 6 ans
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ADOPT : Incidence cumulée d’échec de la monothérapie (GAJ >1,80 g/l)
Nouveau Rosiglitazone vs Glibenclamide réduction du risque 63%, P<0.001 Rosiglitazone vs Metformine réduction du risque 32%, P<0.001 40 Glibenclamide 34% 30 % 20 Metformine 21% Rosiglitazone 15% 10 1 2 3 4 5 Années
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Pioglitazone et Poids : Relation entre diminution de l’HbA1c et augmentation du Poids
La prise de poids est associée à la diminution de l’HbA1c (Régression linéaire : R2=0.1942) (Belcher Exp Clin Endocrinol Diabetes 2000, 108(suppl2)S267-73)
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TZD et risque Cardio-Vasculaire pas d’effet de classe!
Pioglitazone (PROACTIVE) Infarctus : HR = 0.84, p=0.027 Rosiglitazone : meta-analyse (n=42) Infarctus : OR = 1.43, p=0.03 (86/ v 72/12 283) Muraglitazar : meta-analyse Deces + IDM + AVC : RR = 2.23 p=0.03 (35/2374 v 9/1351) Insuff cardiaque : RR = 7.43 p=0.053 Rôle des lipides ? LDLc : Pio ns, Rosi %, mais % LDL petite et dense
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Nouveau Après échec de la metformine, l’addition d’inhibiteurs de la DDP4 permet : De diminuer la GPP d’environ 0.50 g/l et la GAJ d’environ 0.25 g/l et de gagner 0.65 % d’HbA1c Neutralité pondérale Bonne tolérance Inconvénients : Effet hypoglycémiant modeste
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Glycémie plasmatique veineuse (mmol/L)
L’effet incrétine : une différence de sécrétion de l’insuline après charge orale ou IV de glucose Glucose oral Glucose IV 11 2.0 * 1.5 DISCUSSION Malgré des profils glycémiques identiques, il existe des différences significatives dans la réponse des cellules ß après une hyperglycémie provoquée orale ou intraveineuse, comme le montrent les dosages de peptide C. LE CONTEXTE Il s’agit d’une étude en crossover chez des sujets sains. Six sujets jeunes et en bonne santé ont reçu une charge orale de 25, 50, ou 100 g de glucose ou une perfusion intraveineuse de glucose réglée de manière à obtenir le même niveau glycémique. Ces courbes montrent les résultats pour 50 g. Le peptide C serait un meilleur témoin de la sécrétion d’insuline que l’insulinémie dans la mesure où les taux plasmatiques de peptide C ne sont pas modifiés par le passage hépatique de l’insuline. Cette différence de concentration en peptide C après hyperglycémie provoquée orale ou intraveineuse , suggère que la réponse insulinique n’est pas seulement due à l’action du glucose plasmatique mais aussi à d’autres facteurs, appelés les incrétines. Effet incrétine 5.5 Peptide C (nmol/L) 1.0 Glycémie plasmatique veineuse (mmol/L) 0.5 0.0 60 120 180 60 120 180 Temps (min) Temps (min) Moyennes ± SE; n = 6; *p .0,05; = Temps de perfusion du glucose. Nauck MA, et al. Incretin effects of increasing glucose loads in man calculated from venous insulin and C-peptide responses. J Clin Endocrinol Metab. 1986;63: Copyright The Endocrine Society. .
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GLP1 et GIP sont synthétisés par l’intestin en réponse aux nutriments
ProGIP GIP [1-42] Cellule K (jejunum) GLP-1 [7-36NH2] ACTIVE GLP-1 [9-36NH2] DPP-4 Capillaire Proglucagon GLP-1 [7-37] GLP-1 [7-36NH2] Cellule L (ileon) GLP1 et GIP sont synthétisés et sécrétés par les cellules endocrines de l’épithélium intestinal lors du passage de nutriments (glucose et acides gras essentiellement). Le GIP (glucose-dependent insulinotropic polypeptide) est un peptide de 42 acides aminés produit par les cellules K du duodédum. Le GLP1 (glucagon like peptide -1) est un peptide de 37 aa, produit dans les cellules L du jéjunum et de l’iléon, par un mécanisme de clivage protéolytique différentiel de la molécule de proglucagon. Le GLP 1 subit un clivage sur une base en position 6 générant le GLP1 (7-37) ou le GLP1 (7-36) tous deux actifs. La sécrétion de GLP1 est stimulée principalement par le glucose, grâce à un mécanisme de reconnaissance direct au niveau des cellules L, mais probablement aussi par un mécanisme indirect impliquant le système nerveux entérique. Cela pourrait expliquer la simultanéité de la sécrétion de GIP et de GLP1 après une prise alimentaire, alors que les cellules K et L qui les produisent sont respectivement localisées dans les régions proximales et distales de l’intestin. Ref . Incrétines, sécrétion d’insuline et daibète. Bernard Thorens. Medecine/sciences, n°32, janvier 2005, 3-6. Dipeptidyl peptidase-4 (DPP-4) Inactivation > 50 % du GLP-1 en ~ 1 min > 50 % du GIP en ~ 7 min GLP-1=Glucagon-Like Peptide-1 GIP=Glucose-dependent Insulinotropic Peptide Adapted from Drucker DJ. Diabetes Care. 26:
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La voie des inhibiteurs de la DPP4 : Sitagliptine,Vildagliptine Action principale sur la GPP, plus modeste sur la GAJ 1/Brazg, Slide 9 (n’s) Slide 10 Temps Glucose (mg/dL) 100 120 140 160 180 200 220 240 Petit déjeuner Placebo Sitagliptine Déjeuner Diner 0:00 Day 2 8:00 Jour 1 13:00 19:00 7:30 Dose 1 Dose 2 18:30 Difference in LS means 24 hr WMG = mg/dL p<0.001 1/Brazg, Slide 8, Bullets 2-4, Slide 10 Slides 11,12 Among patients who received sitagliptin during period 1, a substantial carryover effect was seen during placebo treatment in period 2. Because the results from period 1 were not confounded by the carryover effect, these data are presented on the slide.1 As shown, combination therapy with metformin plus sitagliptin produced significantly greater improvements in 24-hour WMG than metformin monotherapy (p<0.001).1 Additionally, combination therapy was associated with significantly greater reductions in mean daily glucose (p=0.046) and FPG (p<0.001) versus metformin alone.1 Importantly, glucose levels were reduced throughout the day during both the postprandial and fasting periods.1 Adapted from Brazg RL et al. Poster presented at the ADA annual meeting; June 10–14, 2005; San Diego, CA. Reference 1. Brazg RL, Thomas K, Zhao P et al. Effect of adding MK-0431 (sitagliptin) to ongoing metformin therapy in type 2 diabetic patients who have inadequate glycemic control on metformin. Poster presented at the 65th Annual Scientific Sessions of the American Diabetes Association, San Diego, California, June 10–14, 2005.
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Addition à la metformine in A1C vs. Placebo* = –0.65% (p<0.001)
La sitagliptine en une prise quotidienne en addition à la metformine diminue significativement l’HbA1c de 0.65% Addition à la metformine in A1C vs. Placebo* = –0.65% (p<0.001) semaines 6 12 18 24 A1C (%) 7.0 7.2 7.4 7.6 7.8 8.0 8.2 Placebo Sitagliptine 100 mg * Placebo Subtracted Difference in LS Means. Rosenstock J, et al. Protocol 019. Charbonnel B. et al. Protocol 020. Abstracts presented at ADA and EASD
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Une réduction plus importante pour des HbA1c plus élevées au départ
Catégorie d’HbA1c Sitagliptine 100 mg Glipizide n=112 n=82 n=21 n=179 n=167 n=117 n=33 Modification d’A1C par rapport à l’inclusion (%) -2 -1.8 -1.6 -1.4 -1.2 -1 -0.8 -0.6 -0.4 -0.2 <7% 7-<8% 8-<9% ≥9% Protocol 024. Critére d’inclusion de l’étude %.
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Après insuffisance du traitemet par Metformine : stratégie d’addition
« Basal + » Basal Bolus 1 basale + ADO 2 injs GLP1 TZD Metformine + SU ou TZD ou acarbose DPP4 inhib Acomplia Metformine Regime Exercice 7% 6.5% 6% D’après les Recommandations de l’HAS novembre 2006
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Échec de Bithérapie : Quelles bases scientifiques pour choisir ?
Guillaume CHARPENTIER Centre hospitalier SudFrancilien Impact Medecin
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Après échec de la bithérapie orale Met + SU : quelles bases rationnelles pour choisir l’addition d’un traitement oral spécifique de la GPP ?
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Traitements Spécifiques de la GPP : Inhibiteurs des α-Glucosidases apres échec de Bithérapie (SU + Met) Effets des inhibiteurs des a-Glucosidases associés aux biguanides + SU : moyenne de 6 études regroupant 374 patients traités jusque là par Biguanides + SU Intéret si Trithérapie initiée tôt cad HbA1C<8% Afin d’obtenir HbA1c<7.0% Chiasson Jl in DeFronzo international text book of diabetes mellitus 2004:904
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∆GAJ entre S24 et T0 (mg/dl)
Traitements Spécifiques de la GPP : Inhibiteurs des DPP4 apres échec de Bithérapie (SU + Met) HbA1c Δ -0.9%; p<0.001* Sita + SU ± Met Sita + SU Sita + SU + Met ∆GAJ entre S24 et T0 (mg/dl) 441 DB2 traités par SU (Glimépiride) ± Met, TAS addition Sitagliptine ou Placebo
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Après échec de la bithérapie orale Met + SU : quelles bases rationnelles pour choisir l’addition d’un traitement oral spécifique de la GPP ? Intérêt limité aux patients faiblement déséquilibrés principalement du fait de la GPP
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Après échec de la bithérapie orale Met + SU : quelles bases rationnelles pour choisir l’addition de TZD ou d’insuline ?
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289 DB2, 60 ans, 12 ans de Db, IMC 29, met + SU, HbA1c 7.5 à 9.0%
L’addition de Pioglitazone permet une amélioration moyenne de l’HbA1c de 1.18% ∆ = % (-1.39; -0.97) P<0.001 289 DB2, 60 ans, 12 ans de Db, IMC 29, met + SU, HbA1c 7.5 à 9.0% TAS pioglitazone (30 puis 45) ou placebo
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% de patient avec HbA1c <7% à M7
L’addition de Pioglitazone permet une HbA1c < 7.0% chez 44% des patients < 8.5% à T0 La proportion de patients à l’objectif est d’autant plus importante que l’HbA1c initiale est moins élevée 58% Pioglitazone 41% 43% % de patient avec HbA1c <7% à M7 16% Placebo 12% 7% 6% HbA1c de départ Charpentier G, Halime S ALFEDIAM 2007
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Après échec de la thérapie orale: quelles bases rationnelles pour choisir entre analogues lents du GLP1 ou de l’insuline ?
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Comparaison exénatide / insuline glargine
Exénatide 10 µg 2/j (n=41) Insuline Glargine 1/j titrée sur la GJ (n=37) HbA1c T0 = 8.25% Inclusion Inclusion 14 Semaine 26 14 Semaine 26 12 12 DISCUSSION Toutes les glycémies ont diminué significativement entre le début et la fin de l’étude dans les deux bras de traitement. L’exénatide a diminué les pics glycémiques postprandiaux en comparaison avec l’insuline glargine chez les patients diabétiques de type 2. Les patients traités par insuline glargine avaient des glycémies préprandiales plus basses mais des glycémies postprandiales plus élevées que les patients traités par exenatide. A l’inclusion, les glycémies à jeun (GJ) étaient identiques dans les 2 groupes de traitement: exenatide 10,2 mmol/l; insuline glargine 10,1 mmol/l. CONTEXTE Cette étude de phase 3 randomisée ouverte a comparé les effets de l’exenatide et de l’insuline glargine sur l’équilibre glycémique chez des patients diabétiques de type 2 qui n’étaient pas suffisamment équilibrés par l’association MET/SU aux doses efficaces maximales. Les patients ont été randomisés dans deux bras de traitement. Un bras a reçu exenatide 5 µg 2x/j pendant 4 semaines puis la dose a été augmentée à 10 µg 2x/j pour le reste de l’étude. Le deuxième bras a reçu de l’insuline glargine à la dose initiale de 10 UI par jour (U/j) qui a ensuite été titrée par les patients pour atteindre un objectif glycémique à jeun <1 g/l (5,6 mmol/l) lors d’une mesure quotidienne de glycémie capillaire.. Les patients avaient entre 30 et 75 ans et étaient traités avec des doses efficaces maximales stables de MET et SU depuis au moins 3 mois avant la sélection. Les critères généraux d’inclusion comprenaient une HbA1c entre 7,0 et 10,0% et un IMC >25 kg/m2 et <45 kg/m2.. Des profils de glycémies capillaires à 7 points (avant et 2 heures après le début du petit-déjeuner, du déjeuner et du diner ainsi qu’à 03h00 du matin) étaient réalisés par les patients à l’inclusion et répétés aux semaines 4, 8, 12, 18 et 26. Globalement, en fin d’étude, la moyenne glycémique sur la journée n’était pas différente entre les 2 groupes de traitement (exenatide: 1,46 ± 0,02 g/l, insuline glargine: 1,44 ± 0,02 g/l). 10 Glycémie (mmol/L) 10 8 8 6 6 03h00 03h00 Avant déjeuner Avant diner Avant déjeuner Avant diner Avant p.-déjeuner Avant p.-déjeuner La glargine fait très bien sur la GAJ L’exénatide fait très bien sur la GPP (du repas qui suit l’injection ) . Heine RJ Ann Intern Med. 2005;143:559
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L’exénatide diminue l’HbA1c à 30 semaines d’environ 1% (v placebo)
Placebo 2x/j Exenatide 5 µg 2x/j Exenatide 10 µg 2x/j MET SU MET + SU -0.4 * -0.8 -1 -0.5 0.5 0.1 N = 336 0.1 -0.5 * -0.9 N = 377 0.2 -0.6 * -0.8 N = 733 DISCUSSION A 30 semaines, il y a eu une baisse significative de l’HbA1c par rapport au placebo dans les bras 5 µg et 10 µg d’exenatide dans les 3 études. Le pourcentage de diminution d’HbA1c dans le bras 10 µg d’exenatide est plus important que dans le bras 5 µg.. L’exenatide a induit une baisse d’HbA1c indépendante du traitement anti-diabétique oral de fond (MET et/ou SU). CONTEXTE Les 3 études AMIGO ont été réalisées pour évaluer la capacité de l’exenatide à améliorer l’équilibre glycémique chez des patients diabétiques de type 2 échappant à des doses maximales efficaces de MET, SU ou MET+SU.. 3 études de 30 semaines, contrôlées contre placebo, en double-aveugle ont été réalisées aux Etats-Unis. Cette diapositive présente les résultats combinés. Des sujets diabétiques de type 2 (sous traitement par MET, SU ou MET+SU) ont été randomisés dans un groupe PBO ; 5 µg d’exenatide 2x/j ; ou 10 µg d’exenatide 2x/j; n= Tous les sujets ont également poursuivi leur traitement habituel. Etude MET : PBO n = 113, HbA1c à l’inclusion = 8,2%; exenatide 5 µg n = 110, HbA1c à l’inclusion = 8,3%; exenatide 10 µg n = 113, HbA1c à l’inclusion = 8,2% Etude SU : PBO n = 123, HbA1c à l’inclusion = 8,7%; exenatide 5 µg n = 125, HbA1c à l’inclusion = 8,5%; exenatide 10 µg n = 129, HbA1c à l’inclusion = 8,6% Etude MET+SU : PBO n = 247, HbA1c à l’inclusion = 8,5%; exenatide 5 µg n = 245, HbA1c à l’inclusion = 8,5%; exenatide 10 µg n = 241, HbA1c à l’inclusion = 8,5% La méthode LOCF (Last Observation Carried Forward) a été utilisée . L’exenatide a induit une baisse de l’HbA1c indépendamment de la durée du diabète. Document de formation exclusivement destiné à l’usage des délégués médicaux des laboratoires Lilly France n° FBYE pochette bleue Variations d’ HbA1c (%) * HbA1c initiale : 8.6% * HbA1c initiale : 8.2% HbA1c initiale : 8.6% Donc …. ne lui demandons pas de « sauter » un obstacle qu’elle ne pourra franchir ! DeFronzo RA Diabetes Care. 2005;28: Buse JB Diabetes Care. 2004;27:2628 Kendall DM Diabetes Care. 2005;28:1083
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L’exénatide arase quasi completement le pic PP qui suit l’injection
Placebo 2x/j Exenatide 5 µg 2x/j Exenatide 10 µg 2x/j Résultats combinés des études de phase 3 avec l’exenatide Inclusion Semaine 30 16 Placebo 16 Exenatide DISCUSSION Les résultats combinés des 3 études à 30 semaines montrent une diminution significative (p<0,0001) de la glycémie postprandiale (GPP) par rapport au Jour 1 dans les bras de traitement 5 µg et 10 µg d’exenatide. CONTEXTE Les 3 études AMIGO ont été réalisées pour évaluer la capacité de l’exenatide à améliorer l’équilibre glycémique chez des patients diabétiques de type 2 échappant à des doses maximales efficaces de MET, SU ou MET+SU. 3 études de 30 semaines, contrôlées contre placebo, en double-aveugle ont été réalisées aux Etats-Unis. Cette diapositive présente les résultats combinés. Des sujets diabétiques de type 2 (sous traitement par MET, SU ou MET+SU) ont été randomisés dans un groupe PBO ; 5 µg d’exenatide 2x/j ; ou 10 µg d’exenatide 2x/j; n= Tous les sujets ont également poursuivi leur traitement habituel. La méthode LOCF (Last Observation Carried Forward) a été utilisée . Un sous-groupe de sujets dans chaque bras de traitement a eu un test de tolérance à un repas à l’inclusion, à la semaine 4 et à le semaine 30. Les résultats de l’inclusion et de la semaine 30 sont montrés ici. La taille du repas a été calculée de façon individuelle à l’inclusion afin d’apporter 20% des calories de la journée (composition: 55% glucides, 15% protéines, 30% lipides) au cours d’un petit-déjeuner standardisé donné 15 minutes après l’injection d’exenatide. La cohorte évaluable pour le test de tolérance à un repas a la répartition suivante: MET (n = 36); SU (n = 25); MET + SU (n = 77) Sous-groupe 5 µg exenatide 2x/j (n = 42); sous-groupe 10 µg exenatide 2x/j (n = 52); sous-groupe placebo (n = 44) 15 15 Repas Repas 14 14 13 13 12 12 Glucose (mmol/l) 11 11 10 10 9 9 8 8 7 7 6 6 5 5 -30 30 60 90 120 150 180 -30 30 60 90 120 150 180 Temps (min) Temps (min) Moyennes (SE); N = 138; Cohorte évaluable pour le test de tolérance à un repas p <0,0001 pour les variations de GPP entre l’inclusion et la semaine 30, groupes exenatide vs placebo. Résultats internes, Amylin Pharmaceuticals, Inc.
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L’exénatide diminue la GAJ à 30 s en moyenne de 0.23 g/l (v placebo)
Placebo 2x/j Exenatide 5 µg 2x/j Exenatide 10 µg 2x/j MET SU MET + SU N = 336 N = 377 N = 733 1.25 1.25 1.25 +0.8 +0.8 DISCUSSION A 30 semaines, il y a eu une baisse significative de la glycémie à jeun (GJ) par rapport au placebo dans le bras 10 µg d’exenatide dans les 3 études et dans le bas 5 µg d’exenatide dans les études MET et MET+SU. Dans les groupes placebo la GJ en revanche a augmenté. CONTEXTE Les 3 études AMIGO ont été réalisées pour évaluer la capacité de l’exenatide à améliorer l’équilibre glycémique chez des patients diabétiques de type 2 échappant à des doses maximales efficaces de MET, SU ou MET+SU. 3 études de 30 semaines, contrôlées contre placebo, en double-aveugle ont été réalisées aux Etats-Unis. Cette diapositive présente les résultats combinés. Des sujets diabétiques de type 2 (sous traitement par MET, SU ou MET+SU) ont été randomisés dans un groupe PBO ; 5 µg d’exenatide 2x/j ; ou 10 µg d’exenatide 2x/j; n= Tous les sujets ont également poursuivi leur traitement habituel. Etude MET : PBO n = 113, GJ à l’inclusion = 9,4 mmol/l; exenatide 5 µg n = 110, GJ à l’inclusion = 9,7 mmol/l; exenatide 10 µg n = 113, GJ à l’inclusion = 9,3 mmol/l Etude SU : PBO n = 123, GJ à l’inclusion = 10,7 mmol/l; exenatide 5 µg n = 125, GJ à l’inclusion = 9,9 mmol/l; exenatide 10 µg n = 129, GJ à l’inclusion = 9,8 mmol/l Etude MET+SU : PBO n = 247, GJ à l’inclusion = 10,0 mmol/l; exenatide 5 µg n = 245, GJ à l’inclusion = 10,0 mmol/l; exenatide 10 µg n = 241, GJ à l’inclusion = 9,8 mmol/l La méthode LOCF (Last Observation Carried Forward) a été utilisée . Document de formation exclusivement destiné à l’usage des délégués médicaux des laboratoires Lilly France n° FBYE pochette bleue 1.00 1.00 1.00 .75 .75 +0.4 .75 .50 .50 .5 .25 .25 .25 ∆ GJ (mmol/l) -.25 -.25 -.25 -.50 -.50 -.50 -0.3 -.75 -0.4 -.75 -.75 -0.5 * -0.6 -0.6 -0.6 -1.00 -1.00 -1.00 * * * * Donc …. ne lui demandons pas de « sauter » un obstacle qu’elle ne pourra franchir ! DeFronzo RA Diabetes Care. 2005;28: Buse JB Diabetes Care. 2004;27:2628 Kendall DM Diabetes Care. 2005;28:1083
43
Probabilité d’atteindre une HbA1c ≤ 6
Probabilité d’atteindre une HbA1c ≤ 6.5% avec Exenatide selon la GAJ de départ Données poolées de 2 études (n=1040) comparant à 6 mois l’effet d’Exenatide 10gx2 versus 1 Glargine ou 2 Premix chez des patients insuffisement controllés par metformine + SU La probabilité d’obtenir une HbA1c ≤ 6.5% quand la GAJ est ≥ 1.80g/l est ≤ 25%, et diminue Brodows R EASD 2007
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Un algorithme pour choisir ? ( 1° étape )
GAJ intermédiaire HbA1c modérément élevée (≤ 8% ?) évaluer avantages/ inconvénients selon les situations GAJ élevée ≥ 1.80 g/l ? Analogue lent GAJ peu élevée ≤ 1.40 g/l ? GLP1
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GLP1 ou Analogue lent : avantages/ inconvénients
Glargine Exenatide Nombre d’injections 1 2 Titration oui Non Efficacité Efficacité dans le temps Non répondeurs Illimitée Persistante 1% Incertaine (apoptose β ?) ? 20% ? Poids F(x) de la Glycosurie - 2 à - 4Kg Effets indésirables Hypos Mais …. Nausées,vomissements Pancréatite ? AC ?
46
L’incidence des hypoglycémies par 24h est la même chez des sujets traité par Met + SU, et exenatide ou insuline (glargine ou premix) … 24h Jour Nuit … mais ceux traités par exenatide en font plus le jour et ceux traités glargine, plus la nuit. Brodows R EASD 2007
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… l’étape suivante ne sera-t-elle pas l’association des 2 ?
Si exénatide ou glargine en monothérapie donnent de résultats insuffisant .... Exénatide 10 µg 2/j (n=41) Insuline Glargine 1/j titrée sur la GJ (n=37) Inclusion Inclusion 14 Semaine 26 14 Semaine 26 12 12 DISCUSSION Toutes les glycémies ont diminué significativement entre le début et la fin de l’étude dans les deux bras de traitement. L’exénatide a diminué les pics glycémiques postprandiaux en comparaison avec l’insuline glargine chez les patients diabétiques de type 2. Les patients traités par insuline glargine avaient des glycémies préprandiales plus basses mais des glycémies postprandiales plus élevées que les patients traités par exenatide. A l’inclusion, les glycémies à jeun (GJ) étaient identiques dans les 2 groupes de traitement: exenatide 10,2 mmol/l; insuline glargine 10,1 mmol/l. CONTEXTE Cette étude de phase 3 randomisée ouverte a comparé les effets de l’exenatide et de l’insuline glargine sur l’équilibre glycémique chez des patients diabétiques de type 2 qui n’étaient pas suffisamment équilibrés par l’association MET/SU aux doses efficaces maximales. Les patients ont été randomisés dans deux bras de traitement. Un bras a reçu exenatide 5 µg 2x/j pendant 4 semaines puis la dose a été augmentée à 10 µg 2x/j pour le reste de l’étude. Le deuxième bras a reçu de l’insuline glargine à la dose initiale de 10 UI par jour (U/j) qui a ensuite été titrée par les patients pour atteindre un objectif glycémique à jeun <1 g/l (5,6 mmol/l) lors d’une mesure quotidienne de glycémie capillaire.. Les patients avaient entre 30 et 75 ans et étaient traités avec des doses efficaces maximales stables de MET et SU depuis au moins 3 mois avant la sélection. Les critères généraux d’inclusion comprenaient une HbA1c entre 7,0 et 10,0% et un IMC >25 kg/m2 et <45 kg/m2.. Des profils de glycémies capillaires à 7 points (avant et 2 heures après le début du petit-déjeuner, du déjeuner et du diner ainsi qu’à 03h00 du matin) étaient réalisés par les patients à l’inclusion et répétés aux semaines 4, 8, 12, 18 et 26. Globalement, en fin d’étude, la moyenne glycémique sur la journée n’était pas différente entre les 2 groupes de traitement (exenatide: 1,46 ± 0,02 g/l, insuline glargine: 1,44 ± 0,02 g/l). 10 Glycémie (mmol/L) 10 8 8 6 6 03h00 03h00 Avant déjeuner Avant diner Avant déjeuner Avant diner Avant p.-déjeuner Avant p.-déjeuner … l’étape suivante ne sera-t-elle pas l’association des 2 ? 1 Glargine + 3 GLP1 d’action courte ? (études en cours : AV010…)
48
Ce qu’il ne faut pas faire : « Substitution of Exenatide for Insulin in Patients With Type 2 Diabetes Treated With Insulin in Combination With Oral Antidiabetes Agents » « No specific glycemic goals were set for insulin patients during the trial » Davis S Diabetes Care 2007;30:2767
49
HbA1c : 8.1 ± 1.1% + 0.3% ± 1.5% - 0.1 ± 0.7% Exenatide insuline
PRINCIPAUX RESULTATS HbA1c : 8.1 ± 1.1% + 0.3% ± 1.5% ± 0.7% Exenatide insuline Diabetes Care 30:2767–2772, 2007
50
Conclusion Après échec de la bithérapie orale met +SU
La réévaluation des habitudes « hygiéno-diétiques » peut avoir une réelle efficacité chez 1/3 des patients à condition de le faire tôt (HbA1c ≤ 8.0%). L’addition de pioglitazone peut permettre de ramener « sous le 7 » environ 1/2 patients, tant que l’HbA1c est < 8.5% L’addition d’exenatide permet de réduire l’HbA1c en moyenne de 1%, et de ramener les patients < 7.0% si la GAJ n’est que modérément élevée L’insuline et en particulier la glargine, reste l’arme absolue du contrôle de la GAJ, toujours efficace sur ce paramètre à condition de mettre la bonne dose. L’obtention d’une HbA1c < 7.0% dépend ensuite de l’importance des GPP qui peuvent alors réclamer selon les cas un traitement spécifique surajouté
51
Apres échec des ADO, ajout d’une insuline “basale” Est-ce que ça marche ?
8.61% 8.56% 6.97% % HbA1c < 7.0% : 58% (Lantus), 57% (NPH) 6.96%
52
% patients avec hbA1c >7%
Apres échec des ADO, ajout d’une insuline “basale” Est-ce que ça marche dans les études cliniques ? Dose U/kg/j Prise de poids HbA1c moyenne % patients avec hbA1c >7% Treat to target – Glargine 0,48 3 7,0% 42 Treat to target - Detemir 1,2 6,8% 30 Initiate – Glargine 0,40 7,4% 60 4 T Study: bras 1 analogue lent 0,49 1,9 7,6% 72 Comparaison glargine / detemir 0,44/0,78 3,9/3 7,1% 48
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Impact des glucides sur la GPP dans le DB2 traité par Lantus et ADO
Mr JP G…56 ans DB2 depuis 12 ans Lantus 42u + Amarel 3mgx2 + Metformine 850x3 Glycémie à jeun moyenne = 1.08 g/l HbA1c = 7.8 % Glargine : normalisation de la glycémie basale, mais expansion glycémique PP inchangée
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Effectif estimé en France
Apres échec des ADO, ajout d’une insuline “basale” Est-ce que ça marche en pratique courante ? Diabète de type 2 (n=2 232) – ENTRED 2007 Traitement actuel Recommandation HAS/Afssaps % dans Entred Effectif estimé en France (sur 2,2 Millions) Metformine seule et HbA1c ≤ 6,5% Continuer metformine 12 % N = et HbA1c > 6,5% Bithérapie 11 % N = 1 ADO hors metformine et HbA1c ≤ 6,5% Metformine Metformine ou bithérapie 10 % N = et HbA1c > 6,5% 12 % N = 2 ADO seuls et HbA1c ≤ 7% Continuer bithérapie 15 % N = et HbA1c > 7% Trithérapie 22 % ont au moins 2 ADO 3-4 ADO seuls et HbA1c ≤ 8% Continuer trithérapie 6% N = et HbA1c > 8% Insulinothérapie 2 % N = Insuline +/- ADO et HbA1c ≤ 8% Continuer insuline 11 % N = et HbA1c > 8% Intensification ? 6 % N = 35% TOTAL Objectif glycémique Atteint Non atteint 54 % N = 1,2 M 46 % N = 1,0 M Données pondérées : questionnaire médecin-soignant - France métropolitaine
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La titration de l’insuline est insuffisante
Apres échec des ADO, l’ajout d’une insuline “basale” peut donner des résultats insuffisant pour plusieurs raisons : La titration de l’insuline est insuffisante La titration de l’insuline permet d’obtenir la normalisation de la glycémie à jeun, mais l’HbA1c reste > 7.0% L’intensification du traitement insulinique est limité par le risque d’hypoglycémies
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Pour obtenir une HbA1c moyenne < 7%, la titration de l’insuline basale doit être augmentée jusqu’à obtenir une GAJ < 1.0 g/l GAJ (g/l) HbA1c (%) = (4.78+/-0.49) + (040+/-0.08 X GAJ (mmol)) D’apres l’étude LANMET Yki-Jarvinen Diabetologia 2006; 49: 442
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Diabète de type 2 : traitement de la Glycémie Basale après échec des ADO
Glycémie prandiale Insuline Lente 2,00 g Glycémie basale 1,00 g Repas Repas Repas 8 h 12 h 20 h 24 h
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Contribution relative de la GPP et de la GAJ à l’HBA1c
Au cours du DB2 insuffisamment traité par ADO, avec une HBA1c < 7.3%, La contribution de la GPP à l’excès d’HbA1c est de 70% * Au cours du DB2 insuffisamment traité par insuline lente + ADO, La contribution de la GPP à l’excès d’HbA1c est de 100% quand la Glycémie « basale » est bien contrôlée par un analogue lent. * Monnier Diabetes Care 2003;26:
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: Glycémie maximum Post Prandiale
Profil des glycémies 3h post-prandiales (ajusté) chez 37 DB2 traités par ADO + glargine parfaitement titrée et ayant une HbA1c >7% (HbA1c = 7,74%) : Glycémie maximum Post Prandiale 1 0,5 0,66 0h h h h 0h h h h 0h h h h Breakfast Lunch Diner Franc S Diab Metab S 1,2008:A24.
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Intérêt d’un régime appauvri en glucides ?
Relation entre ∆ glycémique post prandial et apport en CHO au petit déjeuner, déjeuner et dîner chez 37 DB2 traités par ADO + glargine parfaitement titrée et ayant une HbA1c >7% (HbA1c = 7,74%) Intérêt d’un régime appauvri en glucides ? Franc S Diab Metab S 1,2008:A24.
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Adjoindre un analogue rapide avant le repas le plus hyperglycémiant ?
Quand insuline basale + ADO n’obtiennent pas un résultat satisfaisant ….. ....L’adjonction d’une 2° injection d’insuline devient nécessaire. Faut-il alors : Passer à 2 premix ? Adjoindre un analogue rapide avant le repas le plus hyperglycémiant ? Ou d’emblée passer à 3 prémix Ou à un schéma basal-bolus ?
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1 Glargine +/- ADO ou 2 Premix ?
LAPTOP HbA1c : 7.1 v 7.5% Metformine arretée (premix) 26 v 64u/j Hypos : nb/patient = 2.3 v 4.4 INITIATE HbA1c : 7.4 v 6.9% SU ou Glinides arretés Hypos : 16 v 43% Janka HU Diabetes Care 2005;28 : 254-9 Raskin P Diabetes Care 2005;28 : 260-5
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INSULINE BASALE SI HbA1c>8%
Quand insuline basale + ADO n’obtiennent pas un résultat satisfaisant : Ajout d’un analogue rapide avant le repas le plus hyperglycémiant Stratégie Basal + … 3dinjection analogue rapide Basal-bolus 2d injection analogue rapide 1rst injection analogue rapide Basal plus ADO + basale SI GAJ <1g/l et HbA1c>7% ADO INSULINE BASALE SI HbA1c>8% Monnier el al. Diabetes Metab 2006; 32:32-7
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Traitement du repas le plus hyperglycémiant Opal : injection d’Apidra avant le petit dejeuner (repas le plus hyperglycémiant) 200 11.1 † † 180 † 10.0 injection * 160 * 8.9 Glycémie (mmol/L) † Glycémie (mg/dL) 140 7.8 120 6.7 Baseline Endpoint 100 † 5.6 3:00 am Fasting 2h-post breakfast Pre-lunch 2h-post lunch Pre-dinner 2h-post dinner Bedtime Calculated for the per-protocol analysis set (N=316); data are mean; *p<0.05; †p<0.0001 Lankisch M Diabetes Obes Metab ;10:
65
Opal : injection d’Apidra avant le dejeuner (repas le plus hyperglycémiant)
11.1 injection 180 10.0 160 8.9 Blood glucose (mg/dL) 140 Blood glucose (mmol/L) 7.8 120 6.7 Baseline Endpoint 100 5.6 3:00 a.m. Fasting 2h-post breakfast Pre-lunch 2h-post lunch Pre-dinner 2h-post dinner Bedtime Lankisch M Diabetes Obes Metab ;10:
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Opal : injection d’Apidra avant le diner (repas le plus hyperglycémiant)
11.1 injection 180 10.0 160 8.9 Blood glucose (mg/dL) Blood glucose (mmol/L) 140 7.8 120 6.7 Baseline Endpoint 100 5.6 3:00 a.m. Fasting 2h-post breakfast Pre-lunch 2h-post lunch Pre-dinner 2h-post dinner Bedtime Le traitement du repas le plus hyperglycémiant permet de ramener l’HbA1c d’1/3 des patients de 7.3% à < 6.5%
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ou HumalogMix 50 (ou 25 le soir)
Quand insuline basale + ADO n’obtiennent pas un résultat satisfaisant : Basal – Bolus (vert) ou 3 Premix (rouge) ? 374 DB2 traités par Gllargine + ADO, HbA1c 7.5 à 12% : TAS Glargine + 3 lispro ou HumalogMix 50 (ou 25 le soir) HbA1c : BB -2.09%, Premix -1.87% ∆ = -022% (-0.38, -0.07) Rosenstock J Diabetes Care 2008; 31:20–5
68
Quand insuline basale + ADO n’obtiennent pas un résultat satisfaisant : Basal – Bolus avec insulinothérapie fonctionnelle ou bolus fixes ? Nb = 273 DB2 IMC = 36.7 HbA1c = 8.2% avec ≥ 2 inj/j Après 24 s : HbA1c : -1.46% v -1.59% Glargine : 102 v 86 * u/j Glulisine : 109 v 89 * u/j D Kg : +3.6 v +2.4* Hypo sévères : 0.89 v 0.67PA ns NS Obtention d’une HbA1c < 7 % chez la majorité des patients sous basal-bolus (73 et 69%) Bergenstal R, Diabetes Care 2008;31:1305–10
69
Faut-il vraiment intensifier le traitement insulinique à ce stade « tardif » de la maladie ? Quel est le rapport « bénéfice-risque » d’intensifier le traitement chez un DB2 de 60 ans ayant plus de 10 ans de diabète et à fort risque d’ischémie coronaire silencieuse ? “Policymakers who want to use HbA1c as a performance measure should use an upper limit, such as an HbA1c level greater than 9%, to indicate possibly inadequate care, rather than one that would invite clinicians to ignore patient burden, context, and goals (for example, HbA1c level <7%)”. (Montori VM Ann Intern Med 2009; 150:803-8) « le laxisme bien-pensant est de retour » (Roussel R annals.org/cgi/content/abstract/ v1 )
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Espérance de vie en France (population générale)
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Among patients with established CVD, compare those with and without
diabetes on long term outcome (Kaiser Permanente Northwest, n = (2000 – 2005 2008) Nichols G Diabetes 2009;58(suppl 1):A27
72
ACCORD : Est-ce la normalisation de l’HbA1c chez des
diabétiques à risque vasculaire réduit le nombre des événements CVx ? 7.5% 6.4% 10228 DB2 soit avec ATCD CVx, soit à haut risque Intensification si GAJ > 1.0 ou GPP > 1.40 G/L → 77% insuline (55% bolus) 92% TZD, 87 % SU 94% met
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Critère principal : tout événement CV % patients
ACCORD Traitement intensif : Réduction des IDM non fatal, mais … augmentation significative de la mortalité globale ! Critère principal : tout événement CV % patients Mortalité globale % patients Traitement standard 7.5% - 0,9* IDM non fatal : - 24% P = 0.004 Traitement intensif 6.4% Traitement intensif 6.4% + 1,22** Traitement Standard 7.5% Années *P = 0,16 Années **P = 0,04 Nombre de décès plus élevé dans groupe intensif + 22% p = 0.04 arrêt du bras intensif (février 2008) En faveur du groupe traitement intensif mais sans différence significative (critère composite) 73
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Nb d’hypoglycémies totales (%)
Traitement intensif (n = 5128) Traitement standard (n = 5123) p Nb d’hypoglycémies totales (%) Sévères 538 (10,5%) 179 (3,5%) <0,001 Modérés 830 (16,2%) 261 (5,1%) Gerstein H Am J Cardiol 2007;99(suppl1):34i – 43i
75
Les risques de l’intensification : Conséquences cardiaques des hypoglycémies nocturnes
25 DB1, 36 ± 7 ans, Holter glycémiques et Holter ECG 13 hypos nocturnes (8 <2.2 mmol) QT en hypos = 445 ± 40 v 415 ± 23 ms (p = 0.037) Bradycardie sinusale ESV polymorphes Anomalie onde P Gill G Diabetologia 2009;52:42-5
76
Conclusion Chez un patient DB2, dont l’age et les comorbidités plaident pour une stratégie thérapeutique de prévention des complications, il est souhaitable de viser une HbA1c < 7.0%, et pour cela, après échec des ADO, intensifier le traitement par étape : Normaliser la GAJ avec une insuline « Basale » Puis contrôler les GPP par l’adjonction d’analogue rapide, quand les « petits moyens » ne suffisent plus. L’adéquation de cette insuline aux HdeC du repas est capitale : soit plan alimentaire fixe soit IF Le succès de cette stratégie est conditionnée par l’éviction des hypos sévères et de ses conséquences, ce qui réclame : Le dépistage des sujets à risque d’ischémie coronaire silencieuse, éventuellement recours aux Holters glycémiques et ECG Une bonne compliance du patient. Les schémas thérapeutiques doivent être individualisés selon les possibilités des patients. Une stratégie d’intensification n’est sans doute pas possible chez les patients non compliant.
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Back up
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Que peut le renforcement du régime à ce stade ?
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1 injection par jour de Lantus (diner ou coucher)+ ADO
Chez des patients modérément déséquilibrés sous Bithérapie faut-il renforcer les « MHD » ou donner de la Glargine ? Randomisation Bras Lantus Bras MHD 200 T2 DM pts 7% HbA1c 8% GAJ > 1.20 g/l ≥2 ADO (SU + metformine à la dose max tolérée) 1 injection par jour de Lantus (diner ou coucher)+ ADO ADO et amaigrissement (si IMC > 27) + activité physique (2h/S) 9 mois de suivis
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TULIP: Résultats sur l’HbA1c et le poids
Moyenne (SD) Lantus (N=103) RHD (N=108) p value A1c (%) àT0 7.6 (0.3) 7.5 (0.4) - A1c (%) à M9 6.8 (0.7) 7.3 (0.9) ∆ A1c (%) -0.8 (0.7) -0.2 (0.9) P<0.0001 ∆ poids (kg) 0.9 (2.9) -2.5 (3.2) <0.0001 Donc : entre 7 et 8% la glargine permet une réduction de 0.8% (avec un taux d’hypos faible : 4/p/an) et les MHD paraissent globalement peu efficaces … Mais :
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Patients à M9 Lantus (N=103) RHD (N=108)
TULIP: Le régime efficace chez 1/3 des patients modérément hyperglycémiques, la glargine permet d’atteindre la cible chez 2/3 des patients, mais ferait sans mieux encore si elle était mieux titrée chez 40%! Patients à M9 Lantus (N=103) RHD (N=108) Patients <7% GAJ T M9 HbA1c T0 M9 68 (66%) 41 (38%) p<0.0001
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TULIP : Profil glycémique moyen à T0 et 9 mois (n=189)
∆=0.43 1.45 1.42 ∆=0.42 1.36 1.03 La lantus permet de normaliser la GAJ, mais est sans effet sur la GPP dont le gradient par rapport à la GAJ reste inchangé. Elle permet de ramener 2/3 des patients modérément déséquilibrés sous bithérapie, dans la cible
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Le régime est inefficace sur la GAJ, mais permer d’améliorer la GPP
TULIP : Profil glycémique moyen à T0 et 9 mois (n=189) ∆=0.18 1.45 1.42 ∆=0.06 1.36 1.03 Le régime est inefficace sur la GAJ, mais permer d’améliorer la GPP Il permet de ramener 1/3 des patients modérément déséquilibrés sous bithérapie, dans la cible
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Le régime (relativement) pauvre en CHO permet meilleure réduction pondérale, et chez les diabétiques, une meilleure réduction de l’HbA1c que le régime méditerranéen ou pauvre en graisse (ADA) Population générale CHO : 40% v 50% et 51% ∆ poids : -4.7 v -4.4 et -2.9kg (p<0.001) ∆ C.total /HDLc : -1.1 v -0.9 et -0.6 (p=0.01) Diabétiques HbA1c : -0.9% v -0.5 et -0.4% (p=0.045) Shai I N Engl J Med 2008;359:913
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Ajout de Pioglitazone chez des DB2 insulinés : quels bénéfices/inconvénients et pour quels patients ? Proactive : 1760 patients sous insuline : TAS PIioglitazone v Placebo Résultats : Pioglitazone + insuline Amélioration de l’HbA1c de 8,41 % à 7,45% (v 8,52 à 8,06 sous placebo) quelque soit le schéma d’insulinothérapie Diminution des doses d’insuline de 27,5%, arrêt de l’insuline dans 9% des cas, versus 1,7% sous placebo. Pas d’incidence accrue d’insuffisance cardiaque liée à l’association avec l’insuline Prise de poids: 4,2 kg en 3 ans, avec un plateau à partir de la 2ème année B Charbonnel et al, 2009
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Ajout de Pioglitazone chez des DB2 insulinés : quels bénéfices/inconvénients et pour quels patients ? 2 injections/day 1 injection/day Basal insulin ≥3 injections/day B Charbonnel et al, 2009
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Association pioglitazone–insuline : surtout efficace si insulino-résistance
Sujets « insulino-résistants » 89 U d’insuline/jour HbA1c de départ 9,56% Baisse d’HbA1c –1,65% sous pioglitazone Sujets « non insulino-résistants » 24 U d’insuline/jour HbA1c 7,35% Baisse d’HbA1c –0,26% sous pioglitazone B Charbonnel et al, 2009
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