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Publié parGautier Lavergne Modifié depuis plus de 6 années
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Vincent FOLNY Responsable pédagogique cellule qualité et expertise, département évaluation et certifications
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La vision de la qualité vue depuis le monde des experts utilisant le CECR. Allégorie de la caverne de Platon
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Laniakea, notre maison Un monde bien plus vaste…
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Une image plus globale de l’évaluation en langue qui n’est pas centrée que sur la seule utilisation du CECR Galaxie de l’accréditation des outils d’évaluation (Normes ISO, Répertoires nationaux de certifications…) Galaxie de l’évaluation orientée vers les apprentissages Galaxie de l’utilisation des résultats Galaxie de la médiation Galaxie de l’utilisations des ressources (humaines et financières) Galaxie des compétences plurilingues Galaxie des compétences professionnelles Galaxie des politiques linguistiques
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Où en est-on aujourd’hui en Europe ?
Adoption massive du CECR et des échelles de niveau. Les organismes certificateurs (Etude d’impact de la Q-mark d’ALTE, 2014) ont massivement mis en place des procédures qualité pour : Un argumentaire expliquant leurs choix; Les analyses psychométriques; Des études de fidélité (PO/PE); En revanche, ils déclarent qu’ils avaient déjà des procédures pour relier les examens au CECR. On peut tout de même croire légitimement que les procédures pour relier les examens à un cadre de référence sont plus professionnelles qu’avant.
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Et dans les systèmes scolaires ?
Adoption massive des niveaux du CECR (standardisation des objectifs finaux). Appropriation timide des niveaux intermédiaires (A2.1, A2.2,…) Le CECR n’est pas suffisamment utilisé pour accompagner la progression des élèves. Manque d’expertise / outils sur l’articulation entre l’apprentissage et l’évaluation. Risque d’adopter des procédures utiles pour dessiner des indicateurs de performance mais pas pour accompagner la progression et l’acquisition. L’évaluation doit permettre le suivi des élèves, d’informer contre le décrochage et permettre d’optimiser les temps d’apprentissage.
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1. Comment savoir si un test correspond bien au niveau du CECR qu'il prétend tester ?
-Révision du construit / spécifications et lien avec les descripteurs du CECR. Organisation d’une procédure visant à établir formellement ce lien (Standard Setting). Validité co-occurrente : comparaison des résultats avec d’autres examens
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2. Un examen qui teste les compétences linguistiques (usage de la langue) peut-il être lié au CECR ?
Oui, bien sûr! Sauf si les tâches/ items n’ont aucun lien avec les approches communicatives…
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contenu: bonne couverture de contenu
3. Comment nous assurer que nos décisions de réussite ou d'échec correspondent bien au CECR ? contenu: bonne couverture de contenu Mesure : information suffisante au niveau du score de césure (passage)
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4. Est-il possible de tester à plus d'un niveau du CECR dans un seul test ?
Oui, à condition d’avoir une bonne couverture de contenu et un niveau d’information suffisant au niveau des scores de césure.
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5. Est-il possible de lier nos tests aux niveaux du CECR même si nous ne disposons pas de statistiques relatives à la performance des élèves dans le contexte de ces tests, hormis des scores finaux ? Oui, tout est possible! Mais dans ce cas le lien est vague, peu convainquant avec un risque fort de détecter des faux forts / faux faibles…
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6. Les tests de différentes compétences peuvent-ils se résumer à un niveau du CECR ?
Question : les utilisateurs finaux sont-ils prêts à utiliser des scores par compétence ? Avantages scores disjonctifs / compensatoires ? CO + CE oui, PO/PE plus difficile.
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Pour en savoir plus www.ciep.fr
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