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Evolutions de L'ECE Novembre 2017

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Présentation au sujet: "Evolutions de L'ECE Novembre 2017"— Transcription de la présentation:

1 Evolutions de L'ECE Novembre 2017
Les différentes modifications d'organisation de l'épreuve de ces dernières années étaient destinées essentiellement à répondre à ce qui pouvait être considéré comme des "fuites" mettant en question la notion d'équité entre les candidats à laquelle nous sommes toutes et tous très attachés. Malgré les efforts et respect des consignes de tout le monde, ce dont nous ne pouvons que nous féliciter, ces "fuites", bien que réduites, ternissent cette épreuve à laquelle nous sommes tous très attachés, malgré la lourdeur de son organisation. Parce qu'elle est l'aboutissement d'un réel apprentissage, motivant et structurant, pendant les quatre années du collège et les trois du lycée. Sans parler de ce qui se met en place avec le cycle 3 à l'école. Indépendamment de ces contraintes organisationnelles, des évolutions pédagogiques ont eu lieu, avec une prise en compte croissante de l'autonomie et de l'initiative des candidats, donc des élèves, en formation. Novembre 2017

2 De nouvelles conditions...
Publication sur Eduscol : d’une banque de 80 à 100 fiches sujets-candidats incluant les fiches protocoles candidats (sans les éléments de correction et sans les fiches laboratoires évaluateurs) ; d’une fiche barème d’évaluation générique. Mise en ligne par Eduscol le 6 février 2018. Dans la banque de sujets, les IA-IPR référents ECE choisiront 20 sujets pour l'académie et chaque établissement puisera dans ces 20. La liste des 20 sera portée à la connaissance des équipes 3 semaines avant les épreuves qui seront fixées entre le 4 juin et le 7 juin Le recteur pourra diminuer la durée de cette plage de passation. La banque sera renouvelée au tiers chaque année. La réponse de la DGESCO, responsable du bon déroulement des examens en général et de cette épreuve en particulier, est désormais de privilégier la publication d'une banque d'une centaine de sujets, dès février 2018, reprenant des sujets des 4 années précédentes. Ces sujets ne contiendront ni éléments de correction, ni éléments d'évaluation, ni fiches destinées au laboratoire. Ils permettront simplement de faire l'activité. Pour la passation, une liste académique de 20 sujets sera fournie dans laquelle chaque établissement choisira ceux qu'il souhaite proposer aux candidats (comme c'est déjà le cas ces dernières années à partir du cédérom). Cette liste de 20 sujets sera transmise par la DEC 3 semaines ouvrées avant la passation, soit probablement le vendredi 27 avril, semaine de la rentrée des congés de printemps (lundi 30 normalement). La passation peut se dérouler entre le 4 et le 7 juin, ce qui peut être raccourci par le recteur. De toute façon, le lundi 4 juin sera sans doute utilisé pour préparer et mettre en place. La banque sera renouvelée par tiers chaque année, ce qui permettra de proposer de nouvelles activités, comme c'était le cas déjà.

3 Les conséquences d'une publication d’une banque
La première étape où une stratégie devait être élaborée face à une mise en situation nouvelle n'a plus de sens en cas de publication. Une évolution est indispensable en tenant compte des dérives et des critiques qui sont faites à l'épreuve actuelle : La présentation orale pour l'étape 1 n'est pas toujours respectée ; Le temps de 10 minutes est jugé trop court pour réellement construire une stratégie qui ne soit pas caricaturale ; Il n'y a pas de continuité entre les deux premières étapes ce qui oblige le candidat à se réinvestir le plus souvent dans une autre solution que la sienne, sur la même problématique, d’où parfois une déstabilisation. Avec la publication d'une banque, la proposition d'une stratégie "théorique" perd de son intérêt, les élèves pouvant les apprendre et les réciter. Cet aspect théorique était déjà souvent et largement soulevé dans les remontées des établissements. Mais cette étape 1 était nécessaire pour que les élèves comprennent qu'on en fait pas des expériences sans s'interroger d'abord sur "comment on pourrait s'y prendre" et "qu'est-ce qu'on pense obtenir", ce qui est la base d'une démarche d'investigation expérimentale. On ne fait pas "pour voir" mais "pour vérifier". Cette étape, depuis quatre ans, est désormais suffisamment installée pour imaginer passer à un stage ultérieur d'intégration dans le protocole. La présentation orale n'était pas toujours respectée, faute de temps le plus souvent, pour faire passer 4 candidats en 10 minutes. Et cela entrainait souvent un décalage dans le temps ou un déplacement entre deux salles. L'aspect "théorique" de la stratégie, hors tout matériel ou indication, conduisait souvent à des propositions éloignées de ce qui était proposé ensuite comme protocole, ce qui pouvait, en dehors de toutes les précautions prises par les équipes, déstabiliser certains candidats.

4 Les modifications apportées
Les étapes 1 et 2 sont fusionnées en une seule étape A de mise au point d’une stratégie opérationnelle et de réalisation d’une ou de plusieurs manipulations. L'étape A est de 40 minutes environ. Le candidat met au point, argumente sa stratégie en fonction du problème posé, avec l’aide de l’examinateur qui reste en interaction orale avec 4 candidats maximum, à leur demande. Le candidat réalise des manipulations à partir du matériel qu’il a demandé. Puisque désormais l'élaboration d'une stratégie ne doit plus être "théorique", elle est associé à une proposition de protocole très "ouvert" : on dit au candidat "quoi faire" mais pas "comment". Les étapes 1 et 2 fusionnent en une seule étape A d'environ 40 minutes Le candidat doit donc proposer une stratégie opérationnelle. L'examinateur doit être disponible pour répondre aux sollicitations du candidat qui peut à tout moment compléter ou modifier sa stratégie. Le candidat demande du matériel précis parmi le matériel proposé (des tomates de différentes variétés, des images IRM anatomiques et fonctionnelles, des venins, ...).

5 Pour l'étape A : La contextualisation des sujets est conservée ;
Le candidat élabore une stratégie, en ayant connaissance du protocole et du matériel à sa disposition ; Pendant les 40 minutes, le candidat propose sa stratégie quand il le souhaite à l'examinateur, en l’argumentant et peut à tout moment revenir sur celle-ci, en ayant des échanges à l'oral avec l'examinateur ; Le candidat met en œuvre les manipulations qu’il a conçues ; L'évaluateur est susceptible d'apporter des aides mineures pour faire progresser le candidat dans sa stratégie ou dans la réalisation de l'activité ; L'évaluateur est susceptible d'apporter une aide majeure en cas de stratégie inefficace ou de réalisation technique incomplète ou maladroite (le candidat ne pourrait pas communiquer sans ces résultats), assez tard pour laisser du temps de réflexion mais assez tôt pour laisser le temps à la réalisation pratique ; Remarque : si la manipulation a été correcte et que le candidat n’a pas obtenu de résultats exploitables, on lui fournit un document de secours sans que cela soit considéré comme une aide. Pour l'étape A qui n'est pas l'étape "1 puis 2" mais "1 et 2" réunies. On part toujours d'un contexte destiné à poser le problème à résoudre. Contrairement à ce qui se faisait dans l'étape 1, le candidat connait le protocole (très "ouvert") et le type de matériel possible (très ouvert aussi). Le candidat doit proposer une stratégie pour débuter la manipulation, sinon l'examinateur échange avec lui (aides) jusqu'à ce qu'il parvienne à une stratégie, même incomplète, pour "démarrer". Le candidat pourra la compléter par la suite (témoins, résultats attendus). Si le candidat "butte", soit sur la stratégie, soit sur la manipulation, soit sur les deux, l'examinateur lui fournit des aides majeures allant jusqu'à fournir une stratégie, "faire à la place" ou fournir le document de secours. Il ne faut pas trop tarder pour fournir une stratégie opérationnelle si le candidat n'y parvient pas afin qu'il ait le temps de manipuler. Pour une aide majeure sur la manipulation, il ne faut pas la fournir trop tôt pour laisser quand même le temps de la réflexion (avec des coups de pouce sous la forme d'un questionnement ouvert = aide mineure) Remarque : si la manipulation a été correcte et que le candidat n’a pas obtenu de résultats exploitables, on lui fournit un document de secours sans que cela soit considéré comme une aide.

6 Déroulement de l'épreuve
Distribution du sujet : situation problème; ressources et protocole (matériel; fiche technique). Le professeur prend connaissance des propositions successives du candidat et délivre le matériel précisé par le candidat Le professeur délivre si besoin des aides mineures ou majeures. Dans le cas de résultats non exploitables, un document de secours est donné pour passer à l'étape suivante. Professeur Le professeur vérifie la conformité entre la communication et le résultat obtenu Temps Etape A Etape B 0 minutes 40 minutes 60 minutes Candidat Le candidat au vu de son sujet, présente sa stratégie. Il précise parmi la liste fournie, le matériel dont il a besoin. Il met en œuvre sa stratégie. Le candidat précise ou complète éventuellement sa stratégie auprès de l’examinateur. Il peut ainsi proposer un témoin qu'il a oublié ou bien expliquer que les résultats attendus proposés sont erronés. Le candidat communique et interprète les résultats obtenus pour répondre au problème et range son matériel. Frise chronologique qui reprend les idées précédentes... Flèches jaunes et vertes : interactions orales et /ou délivrance de documents

7 Un exemple de sujet version 2018
Une même grille, commune à tous les sujets, présente ce que le candidat doit faire (colonne de gauche) et ce que fait l'examinateur (colonne de droite). Pour le candidat, il s'agit de : mettre au point une stratégie opérationnelle, puisqu'il va devoir la mettre en oeuvre après l'avoir présentée et argumentée (tout en pouvant la compléter ou modifier ultérieurement), et avoir demandé le matériel nécessaire (qu'il pourra compléter). présenter les résultats (obtenus et fournis) pour mettre en valeur les informations utiles pour répondre au problème initial. Pour l'examinateur il s'agit de : écouter et prendre en compte la ou les propositions de stratégie, en évaluer la pertinence et la complétude pour éventuellement orienter le candidat vers davantage d'opérationnalité (aide mineure) ou vers une autre direction pour éviter une impasse qui empêcherait d'obtenir le moindre résultat exploitable (aides majeures). évaluer la qualité et la conformité des résultats présentés. Comme depuis quelques années, une situation fournit le contexte et aboutit à la formulation d'un objectif ("On cherche à montrer ..."). Le problème à résoudre est exprimé en termes d'objectif : "on cherche à ...". En général la réponse est fournie ("déterminer si..." ou "montrer que ...") et le candidat devra fournir des arguments pour confirmer ou infirmer l'hypothèse.

8 Comme depuis plusieurs années maintenant, les sujets pourront comporter des ressource fournissant :
des informations (localisation des venins) et/ou des connaissances indispensables (formation d'un complexe immun par réaction antigène-anticorps) éventuellement des données techniques (principe de l'immunodiffusion). Ces dernières peuvent éventuellement, selon le sujet, se trouver dans une fiche technique à disposition du candidat. Ces fiches ressembleront à celles qui sont déjà disponibles sur le site national et dont il a été conseillé de les utiliser aussi souvent que possible en classe.

9 Fiche protocole – candidat
On rappelle l'objectif du problème en remplaçant les "on cherche à..." par "afin de...", le protocole proposé devant permettre, avec une stratégie opérationnelle, de répondre tout ou partie à ce problème. Le protocole lui-même est réduit aux seuls verbes d'action, sans précision sur la ou les manières de faire. C'est le candidat qui doit, en prenant en compte le matériel fourni et les données techniques, fournir la stratégie de résolution qui permettra d'apporter des éléments de réponse pour résoudre tout ou partie du problème initial. Le matériel technique cité est restreint dans cette fiche afin de ne pas "perdre le candidat" dans trop d'informations parasites inutiles à ce stage de conception d'une stratégie. Ce matériel sera davantage développé dans la fiche technique, si la manipulation en nécessite une.

10 Evaluation de l’étape A
Le temps de réflexion est plus long avec droit à l'erreur et devoir de précision. Pour les aides, il faut imaginer une passation : Soit je donne quelques indications pour orienter un peu, comme des "coups de pouce" et je ne change pas le cours des choses, je ne fais que compenser le temps limité et la solitude du candidat, par exemple en posant quelques questions assez ouvertes ; Soit je dois diriger dans une autre direction un candidat qui erre ou se fourvoie, jusqu'à devoir faire à sa place ou donner les réponses et là j'agis contre un manque de savoir (faire ou être). Concernant les aides et l'évaluation de l'étape A Le candidat dispose désormais de 40 minutes pour réfléchir à sa stratégie et la mettre en œuvre. Certaines manipulations étant plus longues que d'autres, elles ne pourront pas être recommencée si le candidat se fourvoie. Il est donc important qu'il ne "se lance" que si sa stratégie a des chances d'aboutir, même de manière incomplète, sur des résultats exploitables, même si incomplets. La vigilance et la réactivité de l'examinateur sont donc indispensables pour ne pas laisser le candidat persévérer dans une impasse. Les aides mineures sont destinées à compléter ou stabiliser une stratégie opérationnelle, même imparfaite ; Les aides majeures sont destinées à diriger le candidat vers une autre stratégie, pour échapper à une impasse, et en lui fournissant éventuellement une stratégie si le temps est limité pour mettre en œuvre un protocole. L'étape A comportant, de manière intégrée, la conception d'une stratégie et la mise en œuvre d'un protocole découlant de cette stratégie, il importe de veiller à ce qu'une stratégie opérationnelle existe suffisamment tôt (élaborée par le candidat un peu accompagné ou fournie par l'examinateur) pour que la candidat ait encore le temps de la mettre en œuvre et de montrer qu'il sait "manipuler".

11 Aides conceptuelles (pour la stratégie) (pour la manipulation)
Aides mineures Aides majeures Aides conceptuelles (pour la stratégie) - demande de précision - demande d’argumentation - questions précises qui réorientent - questions précises qui permettent de souligner une incohérence - questions précises qui permettent de souligner une insuffisance - explicitation par le correcteur de l'élément qui manque pour qu'elle soit opérationnelle Aides techniques (pour la manipulation) - l'examinateur fournit quelques conseils pratiques (déroulement, consignes de sécurité, rangement du matériel…) - l'examinateur réalise le geste technique à la place du candidat - l'examinateur intervient pour imposer au candidat des règles de sécurité - l'examinateur fournit le document de secours parce que le candidat a été dans l’incapacité d’obtenir un résultat exploitable. Grille qui résume ce qui a été dit précédemment (et qui préfigure les grilles d'aides qui pourraient être fournies ???) Lorsque l'examinateur fournit le document de secours à un candidat ayant correctement manipulé mais qui n’a pas obtenu de résultats exploitables pour une raison indépendante de sa prestation, il ne s’agit pas d’une aide.

12 Evaluation de l’étape A
Le candidat pour parvenir à l’étape B : Niveaux (et points) n’a eu besoin d’aucune aide majeure pour concevoir une stratégie opérationnelle et obtenir des résultats exploitables. A (12 points) a eu besoin d’une aide majeure pour obtenir une stratégie opérationnelle ; ses résultats sont exploitables. B (8 points) pour obtenir des résultats exploitables ; sa stratégie est opérationnelle. C (4 points) a eu besoin de deux aides majeures consistant à lui fournir une stratégie opérationnelle et des résultats exploitables. D (0 point) Grille d'évaluation suffisamment explicite pour ne pas nécessiter d'explicitation ??? Entrée par les aides apportées par la passation. Il sera donc important d'une part de les identifier, et d'autre part d'en conserver la trace tout au long de la journée d'examen.

13 L'étape B Actuellement, pour les candidats, les étapes 3 et 4 sont souvent imbriquées. Étape 3 : le candidat doit faire ressortir les informations utiles issues des résultats de l'activité. Étape 4, le candidat : reprend les informations pertinentes de l'étape 3 ("je vois") reprend les connaissances données en ressources ("je sais") : répond au problème initial ("je conclus") Les étapes 3 et 4 sont fusionnées en une étape B d’environ 20 minutes. Une modification de l’évaluation accompagne cette fusion. Pour l'étape B, pas grand chose de nouveau. Les étapes 3 et 4 étaient effectivement mal identifiées par les candidats, sans doute parce que leur séparation était quelque peu artificielle. Cette séparation a tout de même eu le mérite de bien faire prendre conscience de la nécessité d'une communication portant toutes les informations nécessaires pour que "quelqu'un qui n'aurait pas fait la manipulation puisse faire quand même le raisonnement".

14 Grille d'évaluation de l’étape B
On attend du candidat : une production techniquement correcte (soignée, lisible, appropriée, …) et bien renseignée (informations complètes et exactes) une présentation bien organisée, complète et pertinente (toutes les informations utiles) une exploitation des résultats présentés, éventuellement complétée par des connaissances, qui donne une réponse exacte et complète au problème initial. Niveau A : 3 critères 8 points Niveau B : 2 critères 6 points Niveau C : 1 critère 3 points Niveau D : Rien à valoriser 0 point Nouvelle grille d'évaluation de l'étape B Toujours les deux étapes attendues de la part du candidat : Présenter tous les résultats (complétude) utiles (pertinence) de manière techniquement correcte (lisibilité, pertinence) Exploiter ces résultats (je vois...) en ajoutant des connaissances (peu) ou des informations issues des ressources (or je sais...) pour conclure par rapport au problème initial (donc...) Ces deux étapes débouchent sur trois critères séparant production, présentation et exploitation, mais pas de façon cloisonnée. C'est un ensemble qu'il faut évaluer, les critères ne servant qu'à ne rien oublier et ne pas donner plus d'importance à l'un qu'à l'autre.

15 La formation des élèves pour l'étape A
Dans la continuité de ce qui a été amorcé il y a quelques années pour travailler puis évaluer l'autonomie, l'initiative et l'esprit critique : dans la conception, en engageant le candidat à argumenter ses choix à l’oral et à les remettre en question pour une éventuelle modification de la stratégie ; dans l'organisation, car le candidat doit organiser son travail à partir de protocoles moins détaillés et souvent associés à des fiches techniques levant toute difficulté manipulatoire ; dans la mise en œuvre technique qui reste la spécificité importante de cette épreuve, le candidat montrant qu'il sait exécuter des gestes techniques et respecter des consignes de sécurité. L'évolution de l'épreuve d'ECE correspond à une reconnaissance du travail effectué depuis plusieurs années en direction de l'acquisition d'une réelle autonomie et initiative de la part des élèves, pour affuter leur esprit critique dans une situation d'investigation expérimentale.

16 Les pratiques en classe
Les élèves sont entrainés depuis plusieurs années à exprimer à l’oral leur stratégie ; Seules réelles "nouveautés" : la stratégie n'est plus "théorique" mais doit se mettre en œuvre avec des échanges avec l’évaluateur ; des conseils ou des pistes (aides mineures) sont données qui doivent permettre de faire évoluer la stratégie proposée ; l’objectif est d’aboutir à une stratégie opérationnelle (nouveauté) et à des résultats exploitables avec plus ou moins d’aides (déjà le cas). La mise en oeuvre dès cette année correspond à une contrainte organisationnelle venant du ministère, mais elle n'est possible, même tardivement, que parce que élèves et enseignants y sont préparés. D'ailleurs l'accueil de ces modifications est unanimement favorable ... hormis les délais courts d'ici la passation. Seules les modalités changent : certaines facilitatrices : plus d'étape 1 qui était souvent difficile à gérer par l'examinateur plus d'étapes 3 et 4 souvent un peu confondues par le candidat d'autres un peu plus délicates en première approche accompagnement pendant l'étape A qui nécessite vigilance et disponibilité, avec 4 candidats différentes aides désormais plus importantes car distillées tout au long de l'étape A, au niveau de la conception de stratégie et au niveau de la manipulation un protocole et un matériel "naturel" moins détaillés, avec possibilité de complément pendant l'étape A Pour l'évaluation, ce sera sans doute plus "facile" car plus "global" : pour l'étape A ce sont les aides qui sont l'entrée principale et pour l'étape B c'est la même chose en plus simple car plus global.

17 MERCI de votre attention …


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