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Publié parAdélaïde Desroches Modifié depuis plus de 6 années
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sur la philosophie des tests et des modèles en statistiques
Remarques sur la philosophie des tests et des modèles en statistiques
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1. Tests statistiques compléments
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Le dilemme statistique
Les tests peuvent se concevoir de deux manières, dont aucune n’est satisfaisante pour les sciences humaines : Un test est une méthode de décision. C’est la vision économique des statistiques telles qu’elles sont enseignées par exemple à l’ENSAE, école de l’INSEE. Un test est une méthode de démonstration risquée. C’est la vision implicite utilisée par les chercheurs en sciences humaines. Il faudrait alors découvrir « la logique » sous-tendue par cette approche. mercredi 21 novembre 2018 Université de Metz | Licence de psychologie
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Le dilemme statistique
De toute évidence, ça n’est pas la logique classique… Ni la logique floue, car le « risque » n’est pas la bonne mesure, et en particulier ça n’est pas la probabilité d’avoir tort, que ce soit a priori ou a posteriori. La puissance intervient fortement dans le caractère plus ou moins convaincant d’un test. mercredi 21 novembre 2018 Université de Metz | Licence de psychologie
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À propos de la validité des modèles
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Modèles mathématiques
Un modèle mathématique est une construction mathématique, qui doit coller à la vérité. Une vision simplifiée du monde Un modèle est bon s’il est prédictif. Un bon modèle n’est pas nécessairement explicatif. (ex : acupuncture) Une trop grande confiance dans le caractère « réel » des modèles amène à des confusions qui peuvent se révéler graves. Certaines méthodes sont des modèles construits sur des a priori implicites forts (anova, ACP,…). Il sont douteux. mercredi 21 novembre 2018 Université de Metz | Licence de psychologie
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Université de Metz | Licence de psychologie
Exemples La mécanique quantique ne prouve pas que le hasard existe. L’acupuncture efficace ne prouve rien sur les lignes d’énergie vitale. De grandes réussites de la psychanalyse ne prouveraient pas ses fondements. La théorie de « humeurs » donnait parfois de bons résultats. L’intelligence avec facteur g ou bi-factorielle sont également défendables. mercredi 21 novembre 2018 Université de Metz | Licence de psychologie
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