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Am J Respir Crit Care Med. 2010;182:

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1 Am J Respir Crit Care Med. 2010;182:1038-1046.
Marie BALSAT DESC Réanimation médicale 09 Février 2011

2 Problématique DRA = principal motif de mutation en réanimation chez les patients cancéreux = 50% mortalité globale. Mortalité encore plus élevée si l’Intubation est requise ou si l’étiologie de la DRA est inconnue. Azoulay et Al, Medicine 2004 LBA = clé du diagnostic étiologique mais Risque d’hypoxie et d’intubation au décours. N’apporte de diagnostic que dans moins de 50% des cas. Azoulay et Al,Intensive care med 2006 Tests « non invasifs » sur les crachats, l’aspiration naso-pharyngée, le sérum et dans les urines.

3 Objectif de l’étude Evaluer l’innocuité et l’efficacité du LBA chez des patients porteurs de cancer admis en réanimation pour une DRA. COMPARAISON Fibroscopie + LBA J1 + Tests non invasifs Tests non invasifs seuls et Fibroscopie + LBA si étiologie inconnue à J3 Stratégie invasive Stratégie non invasive versus

4 Méthodes Etude prospective, multicentrique, contrôlée, randomisée, française (16 centres de réanimation), ouverte, conduite de 2005 à 2007. Critères d’inclusion : patients consécutifs porteurs d’un cancer mutés en réanimation pour DRA Sa02<90% AA ou PaO2<60mmHg AA avec Dyspnée de repos empêchant la parole ou FR > 30/min ou signes cliniques de lutte respiratoire Exclus si CI au LBA, OAP cardiogénique, étiologie DRA connue, limitation de soins, VM, grossesse et patients inclus dans un autre essai.

5 Stratégie non invasive : 10 tests à l’admission en réanimation
Imagerie thoracique : RT + TDM thoracique Echographie cardiaque Crachats (Bactério, myco, candida, et BK) Crachats induits (aérosols 15 min) (Pneumocystis jiroveci) Aspirations nasopharyngées Hémocultures PCR HSV et CMV sang Antigénémie aspergillaire GM Sérologies Chlamydiae pneumoniae, Mycoplasme pneumoniae et legionella pneumophila Antigénuries pneumocoque et Légionnelle Diagnostic étiologique selon Azoulay et Al, Crit care med 2008 et par un comité indépendant. Critère principal d’évaluation : taux d’intubation  innocuité LBA Critère secondaire : rendement diagnostique  efficacité LBA

6 Résultats

7 n=34/219 cancers solides

8

9 1 3 2

10 p=0.76 Stratégie non invasive Stratégie invasive
100% des patients de la stratégie non invasive qui ont eu un LBA à J3 (36%) ont été intubés 11,2% des patients de la stratégie invasive ont été intubés après LBA p=0.76 Stratégie non invasive Stratégie invasive Incidence cumulée des intubations : pas de différence statistiquement significative entre les 2 groupes sur le critère principal d’évaluation.

11 P=0.56 Stratégie invasive Stratégie non invasive
Mortalité à J28 : pas de différence statistiquement significative dans les 2 groupes.

12 Autres critères d’évaluation
Résultat intéressant : Losrque le diagnostic est apporté par les deux stratégies, le délai de la stratégie non invasive est plus court que celui du LBA : 47 vs 65 heures (p=0.002) sauf pour le diagnostic de pneumocystose.

13 Conclusion avancée par les auteurs
Le LBA n’augmente pas le risque d’intubation Pas d’infériorité de la technique non invasive avec un temps de diagnostic plus court sauf pour pneumocystose Pas de différence statistiquement significatives de la mortalité à 28 jours entre les deux groupes L’association de la stratégie invasive et non invasive le plus précocement possible à l’arrivée en réanimation.

14 Discussion

15 LBA n’augmente pas le taux d’intubation
Murray et Al, BMT 2001  LBA en réanimation, avec monitoring. Le taux de diagnostic de DRA n’est pas plus faible sans le LBA Rano et Al, Thorax 2001 (association des 2 stratégies) Le LBA n’apporte pas d’informations diagnostiques supplémentaires chez 82% des patients. LBA réalisé dans les 24 heures d’admission en réanimation Permet à lui seul le diagnostic chez 18% des patients Etudes à mener sur l’intérêt diagnostique des LBA tardifs chez cette population (+/- biospsie pulmonaire).

16 Limites Non inclusion des patients les plus hypoxiques
Biopsies de poumon et autopsies auraient pues être proposées pour le diagnostic final Faible rendement diagnostique du LBA dans cette étude (34%) a pu masquer l’infériorité de la stratégie non invasive 80% des patients ont reçu des antibiotiques au moment du LBA Le délai jusqu’au diagnostic étiologique est plus court dans la stratégie non invasive peut-être parce que l’accessibilité au LBA n’est pas la même pour tous les centres.


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