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Publié parÈve Desjardins Modifié depuis plus de 5 années
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Le lanréotide autogel a permis une amélioration de la SSP par rapport au placebo dans les TNE GEP (étude CLARINET). Le témozolomide est utilisé en association avec différentes molécules selon la localisation tumorale (capécitabine, bévacizumab, etc.). L’association lanréotide + témozolomide a été étudiée ici dans une étude pilote.
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EI : événements indésirables.
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Les AS de longue durée d’action représentent le traitement le plus utilisé pour les TNE GEP, mais les durées de traitement sont mal connues. L’objectif de cette étude était de décrire les durées de traitement des patients avec TNE GEP métastatique de grade 1-2 en Suède, diagnostiqués entre 2005 et 2013. La durée médiane de traitement, pour tout AS, était de 27,9 mois (extrêmes : 25,2-31,2), identique pour l’octréotide et le lanréotide. Les auteurs ont observé une diminution au cours du temps, probablement en raison d’un suivi plus court. La diminution du délai avant début du traitement était peut-être dû à la démonstration de l’effet antiprolifératif des AS. La couverture de traitement moyenne était de 92 %.
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AS : analogue de la somatostatine.
Le coût des TNE semble élevé. Cette étude a mesuré l’évolution des coûts au cours du temps. La majorité des patients (87 %) avaient des TNE de l’intestin grêle. L’âge moyen au diagnostic était de 63,6 ans. La 1re année, les coûts sont les plus élevés, et surtout liés aux ressources médicales (essentiellement la chirurgie). Puis ils diminuent notablement la 2e année, mais augmentent au cours du temps ; les coûts de traitement pharmacologique sont alors prépondérants. Les AS et l’interféron étaient les principales sources de coût pour les traitements pharmacologiques car la grande majorité des patients a reçu ces traitements, notamment les AS. La chimiothérapie et les thérapies ciblées n’ont été administrés qu’à très peu de patients. Les coûts non médicaux sont négligeables tout au long de la prise en charge.
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Il n’est pas inhabituel d’augmenter les doses d’AS pour contrôler les symptômes et/ou la croissance tumorale. Cependant, l’efficacité de cette approche est mal documentée. L’une des options pour augmenter les doses est de raccourcir à 3 semaines l’intervalle de doses. Au total, les données de 116 patients qui étaient passés à un intervalle de dose de 3 semaines après avoir été sous doses maximales toutes les 4 semaines ont été analysées. Les raisons de l’augmentation de dose étaient le contrôle. des symptômes dans 58 % des cas, la progression dans 35 % et / ou l’augmentation des biomarqueurs dans 10 % des cas. En analyse multivariée, seuls le grade et la charge tumorale hépatique étaient indépendamment associés à la SSP.
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Le traitement de référence des CNE digestifs localisés est la chirurgie, suivie d’un traitement adjuvant par platine + étoposide. Cependant, aucune étude n’a prouvé les bénéfices de la chimiothérapie néo-adjuvante ou adjuvante dans ce contexte.
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La SSP et la SG ont été significativement allongées chez les patients ayant reçu une chimiothérapie périopératoire.
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AS : analogue de la somatostatine ; RIV : radiothérapie interne vectorisée.
Cette étude a évalué les traitements systémiques des TNEP dans les conditions de vraie vie. À l’inclusion, 41 % des patients ont reçu un traitement par thérapies ciblées, se répartissant de façon à peu près similaire entre sunitinib et évérolimus. Concernant les lignes précédentes, 60 % des patients avaient reçu une chimiothérapie 1re ligne. Des diminutions de dose et des interruptions de traitement – voire des arrêts définitifs – sont plus fréquents avec les thérapies ciblées, en raison d’une mauvaise tolérance.
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Pour rappel, le cabozantinib est un inhibiteur de tyrosine kinase ciblant VEGFR, MET, AXL et RET. Il est actuellement approuvé pour le traitement du carcinome rénal et du carcinome médullaire de la thyroïde. MET est exprimé dans les TNE ; une expression élevée de MET est corrélée à une mauvaise survie dans les TNEP. Au total, 87 % des patients ont terminé au moins 1 cycle de traitement, dont 81 % ont eu une réduction de dose ; 82 % des patients ont terminé au moins 2 cycles de traitement. Les auteurs ont observé un taux de contrôle de la maladie élevé dans les 2 cohortes.
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Le profil de tolérance était cohérent avec les données obtenues dans d’autres pathologies.
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EI : événement indésirable.
Le bévacizumab, un anticorps anti-VEGF, a été associé à de nombreux traitements de TNE, avec des résultats variables. L’objectif de cette étude était de réaliser une analyse rétrospective de tous les patients atteints d’une TNE et traités par un protocole comportant du bévacizumab entre août 2008 et novembre 2017.
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En analyse multivariée, le seul facteur indépendamment associé à une moins bonne SSP était la présence de métastases hépatiques.
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En analyse multivariée, le seul facteur indépendamment associé à une moins bonne SSP était la présence de métastases hépatiques.
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Le traitement de référence des CNE est l’association platine + étoposide.
L’étoposide peut être administré par voie intraveineuse, mais il existe également une forme orale qui est controversée (biodisponibilité ? Observance ? Variabilité interindividuelle ?). Dans cette étude, le mode d’administration de l’étoposide était choisi par l’hôpital, selon ses habitudes, et tous les patients d’un même hôpital étaient donc en général traités de la même façon.
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