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LA TRANSPOSITION DIDACTIQUE
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« Un contenu de savoir ayant été désigné comme savoir à enseigner subit dès lors un ensemble de transformations adaptatives qui vont le rendre apte à prendre place parmi les objets d’enseignement. Le « travail » qui d’un objet de savoir à enseigner fait un objet d’enseignement est appelé la transposition didactique » (Chevallard, 1991)
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« […] c’est à dire visant une compréhension critique du monde contemporain dans ses dimensions économiques et sociales. » (Chatel, 2002)
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« Le premier positionnement pourrait se résumer de la manière suivante: les SES sont « une exception historiques », donc : l’étude de son enseignement ne ressort pas d’une problématique didactique utilisée dans l’étude des enseignements de mathématiques ou de sciences, et sa spécificité ne provient pas des « contenus » mais des « méthodes » qui auto-légitiment la discipline[…] Le second positionnement […] postule au contraire que les SES sont une discipline scolaire “comme les autres”, donc: ces enseignements sont bien un champ d’application de la théorie didactique et c’est l’étude de ses spécificités dans les rapports aux savoirs et dans les rapports de savoirs qui peut en accroître la légitimité dans le système éducatif et dans les champs de recherche universitaire reconnus. » (Legardez, 2001).
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Magnard 1 Du pouvoir au pouvoir politique
Partie 1 Le pouvoir comme interaction 1. Qu’est-ce que le pouvoir ? A. Le pouvoir est partout et nulle part à la fois B. Le pouvoir comme relation sociale 2. La spécifité du pouvoir politique A. Tout pouvoir est-il politique ? B. Le pouvoir politique est-il universel ? Partie 2 Quelle sont les ressources du pouvoir ? 1. De la contrainte à la coercition A. Force et ruse, les qualités du prince B. Appareils répressifs et appareils idéologiques 2. Violence symbolique et influence A. L’expérience de Milgram B. L’influence, un pouvoir invisible
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Belin Chapitre 1 Qu’est-ce que le pouvoir ?
1. Pouvoir, famille et société 2. Source du pouvoir 3. Autorité et pouvoir 4. Légitimité et pouvoir
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Nathan Chapitre 1 La notion de pouvoir 1. Le rapport de pouvoir
2. L’exercice du pouvoir
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Pouvoir Magnard Le pouvoir ne peut être analysé comme la propriété d’un individu, d’une institution, d’un groupe. C’est une relation qui suppose dans chacun des termes un consentement, une soumission et une participation à cette relation Le pouvoir peut se définir comme un rapport de force dont l’un peut retirer plus que l’autre, mais où l’autre n’est jamais totalement démuni face à l’un. Il n’y a pas de pouvoir sans croyance. Belin Le pouvoir au sens institutionnel désigne l’appareil d’Etat qui gouverne un pays et règne sur les citoyens qui sont ses assujettis Le pouvoir comme substance désigne l’attribution à une personne ou à un groupe d’un certain capital, qui permettra à cette personne ou à ce groupe d’obtenir certains résultats. Le pouvoir, dans l’analyse par l’interaction désigne la possibilité pour une personne de modifier le comportement d’autrui conformément à son attente. Nathan Obtention de la part d’autrui d’une prestation ou d’un comportement qu’il n’aurait pas effectué spontanément.
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Autorité Magnard ? Belin
L’autorité désigne la capacité dont dispose un individu ou un groupe pour se faire respecter en obtenant d’autrui des actions conformes à ses buts et valeurs. Nathan Capacité d’obtenir le consentement sans recourir à la contrainte.
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Légitimité Magnard ? Belin Au sens sociologique : la légitimité est la qualité de ce qui est reconnu et accepté par les membres d’une société Au sens politique : le principe de légitimité désigne l’adhésion des citoyens aux valeurs d’un régime donné Au sens démocratique : en plus de la condition de la légitimité politique « tout régime qui se conforme au consensus populaire ». Nathan Un pouvoir est légitime lorsque ceux qui le subissent reconnaissent la nécessité de son exercice.
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