La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

THE SADC GENDER PROTOCOL SUMMIT DROITS DES FEMMES: et SANTE DE REPRODUCTION VIH/SIDA ET L’AGENDA POST 2015 (RDC, Kinshasa, 6 Mai 2014 par Elodie Musafiri)

Présentations similaires


Présentation au sujet: "THE SADC GENDER PROTOCOL SUMMIT DROITS DES FEMMES: et SANTE DE REPRODUCTION VIH/SIDA ET L’AGENDA POST 2015 (RDC, Kinshasa, 6 Mai 2014 par Elodie Musafiri)"— Transcription de la présentation:

1 THE SADC GENDER PROTOCOL SUMMIT DROITS DES FEMMES: et SANTE DE REPRODUCTION VIH/SIDA ET L’AGENDA POST 2015 (RDC, Kinshasa, 6 Mai 2014 par Elodie Musafiri) PLEASE USE PHOTOGRAPHS, QUOTES AND ANY OTHER VISUALS YOU HAVE TO MAKE YOUR PRESENTATION MORE ENGAGING. 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

2 SYNOPSIS Brief summary of the good practice and motivation as to why it is a good practice. Dans les salles de classe, par le cours d’éducation à la vie, les enseignants formés, forment et sensibilisent à leur tour, les élèves du secondaire, qui à leur tour sensibilisent les autres ados et jeunes des autres classes, écoles et quartier sur la santé sexuelle et reproductive: la prévention des IST/VIH /SIDA, la Planification Familiale, les conséquences des avortements clandestins, des grossesses non désirées et des mariages précoces

3 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA SYNOPSIS En classe, envie de vomir au vue des diapos sur les IST Nous estimons, pour notre, part que c’est une « bonne pratique » : Nous estimons, pour notre, part que c’est une « bonne pratique » : Elle cadre très bien avec les articles 26 et 27 du Protocole de la SADC en œuvre concernant la santé des femmes /filles et de reproduction ainsi que le VIH/SIDA. Elle cadre très bien avec les articles 26 et 27 du Protocole de la SADC en œuvre concernant la santé des femmes /filles et de reproduction ainsi que le VIH/SIDA. En effet, la sensibilisation faite par les élèves auprès de leurs pairs ados et jeunes se réalise avec un contenu d’avance construit interactivement par eux et leurs enseignants, accepté et partagé ensemble en classe En effet, la sensibilisation faite par les élèves auprès de leurs pairs ados et jeunes se réalise avec un contenu d’avance construit interactivement par eux et leurs enseignants, accepté et partagé ensemble en classe Contenu plus pertinent, plus dynamique, plus crédible, plus porteur aux yeux des pairs, car ancré, non dans l’informel, mais dans leur propre appropriation des connaissances apprises à l’école, dans leurs besoins, leurs croyances et leur confiance Contenu plus pertinent, plus dynamique, plus crédible, plus porteur aux yeux des pairs, car ancré, non dans l’informel, mais dans leur propre appropriation des connaissances apprises à l’école, dans leurs besoins, leurs croyances et leur confiance La formation et le suivi de terrain (des enseignants et des élèves pratiquants) sont assurés par des connaisseurs en matière de santé sexuelle et de reproductive du Centre Bomoto, réputé pour sa formation des jeunes en la matière La formation et le suivi de terrain (des enseignants et des élèves pratiquants) sont assurés par des connaisseurs en matière de santé sexuelle et de reproductive du Centre Bomoto, réputé pour sa formation des jeunes en la matière

4 OBJECTIVES Interaction entre élèves et enseignants, cours d’éducation à la vie, prévention IST/VIH/SIDA What did the process s Global :Global : Contribuer à la réduction du taux de transmission des IST, VIH/Sida ainsi que celui des grossesses non désirées, des avortements clandestins et des mariages précoces chez les jeunes (art. 26 et 27 ) Contribuer à la réduction du taux de transmission des IST, VIH/Sida ainsi que celui des grossesses non désirées, des avortements clandestins et des mariages précoces chez les jeunes (art. 26 et 27 ) Spécifiques : Spécifiques : 1) informer et former 10 enseignants (2 par école ciblée) et 5 superviseurs dans la santé de reproduction et les problèmes connexes ; 1) informer et former 10 enseignants (2 par école ciblée) et 5 superviseurs dans la santé de reproduction et les problèmes connexes ; 2) intégrer les notions relatives à la santé sexuelle et reproductive dans le cours d’éducation à la vie dans les 5 écoles ciblées 2) intégrer les notions relatives à la santé sexuelle et reproductive dans le cours d’éducation à la vie dans les 5 écoles ciblées 3) préparer, en informant et en transférant les capacités à 300 élèves par école, soit un total minimal de 1500 ados et jeunes à s’engager résolument à la sensibilisation d’au moins 10 de leurs pairs chacun sur ces mêmes matières, 3) préparer, en informant et en transférant les capacités à 300 élèves par école, soit un total minimal de 1500 ados et jeunes à s’engager résolument à la sensibilisation d’au moins 10 de leurs pairs chacun sur ces mêmes matières, 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

5 OBJECTIVES (suite) Superviseurs, enseignants et élèves pour la sensibilisation des jeunes aux IST/VIH et Santé de reproduction Ecoles /carrefour des jeunes pour l’information et la pratique en SR 4 ) Intégrer la santé de reproduction dans les programmes scolaires 4 ) Intégrer la santé de reproduction dans les programmes scolaires 5) Institutionnaliser les écoles ciblées comme des cadres/centres /clubs de rencontre et de rayonnement des jeunes entre eux et avec les adultes pour l’information et le counselling liés à la prévention des IST/VIH/SIDA (apprentissage du port correct du préservatif, dépistage volontaire du VIH/SIDA, Planification Familiale, conséquences néfastes de l’avortement volontaire clandestin, des mariages précoces 5) Institutionnaliser les écoles ciblées comme des cadres/centres /clubs de rencontre et de rayonnement des jeunes entre eux et avec les adultes pour l’information et le counselling liés à la prévention des IST/VIH/SIDA (apprentissage du port correct du préservatif, dépistage volontaire du VIH/SIDA, Planification Familiale, conséquences néfastes de l’avortement volontaire clandestin, des mariages précoces 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

6 BACKGROUND Why did the activity come about? What problem or context is it responding to? L’organisation ELAEIS /FFC a contribué à la prévention des IST/VIH/SIDA en milieu scolaire et chez les ados et jeunes de Kinshasa/ RDC En effet, l’Afrique subsaharienne est la région la plus touchée avec 69% des personnes vivant avec le VIH dans le monde. En RDC, l’épidémie du VIH/SIDA se féminise, se ruralise, se juvénilise (15-19 ans) avec un taux moyen de 4.1 % d’infection au VIH. 20 personnes sont contaminées chaque heure; 1 personne sur 20 vit avec le VIH; 300 personnes PVV meurent chaque jour ; Selon le BSS, 75% des jeunes congolais n’ont pas de connaissances satisfaisantes sur les moyens de protection contre le VIH; 16% (15-24 ans) seulement ont utilisé le préservatif lors de leur dernier rapport sexuel et 2% seulement des jeunes de 15 ans et plus accèdent au CDV; les rapports sexuels sont précoces, non protégés et multipartenaires. 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA Why did the activity come about?

7 BACKGROUND (suite) Why did the activity come about? What problem or context is it responding to? Selon l’EDS, les ado de 15-19 ans contribuent pour 10% à la fécondité totale et 10% d’ados n’ont jamais entendu parler du SIDA. La prévalence contraceptive moderne n’est que de 4%. Selon l’EDS, les ado de 15-19 ans contribuent pour 10% à la fécondité totale et 10% d’ados n’ont jamais entendu parler du SIDA. La prévalence contraceptive moderne n’est que de 4%. La pauvreté, l’ignorance, la négligence, la gêne, les tabous l’automédication, le charlatanisme, les fausses croyances, l’influence des églises handicapent la bonne prévention et la réponse efficace aux IST/VIH/SIDA Les jeunes se fient aux pairs et partagent davantage les soucis de santé sexuelle avec les autres jeunes Dans le programme national, le cours d’éducation à la vie aborde ces questions sans les approfondir La prise en charge et la prévention du VIH/SIDA est « une affaire de tous », selon Liévin Kapend, Coordinateur du PNMLS/RDC 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

8 KEY ACTIVITIES Identification du problème à l’école et dans la communauté ciblée et Contact avec les autorités scolaires et politico administratives de la zone concernée par le projet (Kingabwa/Kinshasa) Atelier de renforcement des compétences psychosociales en matière de d’appropriation des stratégies, de techniques CCC sur la prévention et la prise en charge des IST, VIH/SIDA et autres problèmes de la santé de la reproduction des adolescents et jeunes chez 15 sensibilisateurs dont 10 enseignants de 5 écoles (2 par école) et 5 superviseurs du Pool Kingabwa/Kinshasa A travers le cours d’éducation à la vie, transfert des compétences de sensibilisation sur le changement de comportement de 1500 élèves (dont 969 filles) du secondaire à raison de 300 par établissement sur la prévention et la prise en charge des IST, VIH/SIDA et autres durant 2 mois grâce à la démonstration, causerie éducative, boite à image, travaux pratiques élaborés, partagés, discutés et édités par les élèves eux mêmes 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

9 KEY ACTIVITIES (suite) Planification participative, appropriation du contenu définitif, méthodologie et directives de sensibilisation par les élèves formés aux autres adolescents et jeunes. Titularisation des écoles comme des centres ou des clubs en charge de rencontre-discussions sur la prévention et le conselling sur la santé de reproductive et sexuelle Suivi et évaluation des activités de sensibilisation des enseignants et des élèves par des superviseurs formés par le projet FFC 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

10 RESOURCE ALLOCATIONS 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA Amount local currency (specify) Amount in Rand Gender specific allocation 446,645.90 $ Gender in mainstream projects all projets 168,681.00 $ Ambassade de Pays Bas Ambassade de Norvège Ambassade de France MAMA CASH OAK FONDATION GWI AJWS FCP PRBB 400,000.00 £ 135,651.00 £ 46,000.00 £ 50,000.00 £ 626,186.00 $ 99,550.00 $ 40,000.00 $ 220,150.48$ 6,000.00 $ TOTAL 1,808.032.23 $USD

11 BENEFICIARIES 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA CATEGORYWOMENMENTOTAL% WOMEN Direct beneficiaries FFC/org ELAIES/SR 1900 969 25 703 1925 1672 98% 58 Indirect beneficiaries/FFC ELAEIS/SR 3000 1275 1000 1221 4000 2496 75 51 Online/FFC ELAEIS/SR 16 6 2323 18 9 88 66 Total 7166 29541012070.80

12 MONITORING AND EVALUATION What types of monitoring and evaluation methods and tools did you use to measure impact? La formation en M&E des organisations dont Elaeis qui assure la mise en oeuvre du projet sur la Santé de reproduction Le suivi interne, participatif, mensuel et trimestriel L’ évaluation externe à mi-parcours et fin projet par revue documentaire, interview, focus group, observation dirigée, visite des sites, restitution à l’ équipe du projet et commentaires sur les réajustements nécessaires Communication on line régulière, par téléphone et par mail, site FFc et face book; rapports narratifs et financiers sur l’avancement du projet avec les partenaires et les bailleurs Echange annuel de bonnes pratiques et expériences avec les autres organisations appuyées par FFC et/ou non financées 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

13 RESULTS Service delivery Les droits des femmes /filles sont promus et défendus par le FFC. EX. Kavalega à Bunia, les femmes et les hommes reconnaissent les DF Des ressources sont mobilisées pour les organisations des femmes congolaises ; une nouvelle culture philanthropique est créée pour les droits des femmes en RDC. EX. les femmes d’Oicha mobilisent 100$ 50 organisations des femmes/filles congolaises sont subventionnées après identification du diagnostic institutionnel et renforcement de leurs capacités en gestion, en suivi et évaluation des projets, en mobilisation des fonds (recherche des bailleurs) et en plaidoyer 10 enseignants et 5 superviseurs formés transfèrent les compétences psychosociales à 1672 élèves et ceux-ci sensibilisent 2496 autres jeunes, en matière de santé sexuelle et de la reproduction Les informations relatives à la santé de reproduction IST/VIH/SIDA sont intégrées dans le programme scolaire 5 cadres d’information et de prévention en matière de santé de reproduction sont institutionnalisés au niveau des écoles ciblées 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

14 RESULTS Women’s empowerment FFC forme et finance les organisations des femmes: En réinsertion scolaire et et socioéconomique : ex. Espérance Kavira/ Université de Goma En apprentissage des métiers et des AGRs comme la savonnerie, la broderie, l’alphabétisation, la fabrication des casseroles artisanales Le formation des femmes en participation politique et des futurs candidates à la communication électorale. À Mbudi, juin 2013 Kinshasa Pour faire le plaidoyer pour la paix et la sécurité en RDC, ainsi que pour l’équité des genre Formation FFC des femmes en gestion des projets à Oicha Nord Kivu 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

15 RESULTS Women’s empowerment (suite) EX. Rencontre des femmes de l’Est de la RDC avec les Ambassades accréditées à Kinshasa et plaidoyer au Canada, aux USA et en Europe, mars 2014. Les filles-mères, les survivantes, les femmes et filles déscolarisées, les orphelines et les veuves sont encouragées et appuyées par les organisations bénéficiaires de FFC à s’autonomiser. Ex. AFDEV à Kinshasa, CEOV à OICHA, Nord Kivu etc... Les filles à l’école apprennent et sensibilisent les autres sur la santé de reproduction et sur les avortements volontaires et les grossesses non désirées Formation des bénéficiaires FFC en gestion des projets à Walikale et à Oicha Nord Kivu 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

16 RESULTS Men for change Quelques rares projets FFC sont dirigés et soutenus par des hommes. Ex. CEOV, à Oicha, projet qui vise de rééquilibrer les relations du genre dans la communauté « Il y a des femmes plus intelligentes que les hommes » Certains militaires soutiennent la défense des droits des femmes et sollicitent plus de sensibilisation dans les camps militaires et des policiers. Ex colonel Bob et SISI « les femmes sont incontournables en RDC surtout avec la crise économique sévisssant » Les enseignants hommes et femmes demandent plus d’implication des jeunes filles et plus de moyens pour l’accès à la santé de reproduction « Ce sont les femmes qui paient le plus lourd tribut des IST/VIH/SIDA » Un député national dit lors de notre plaidoyer du 08 avril 2014 sur la loi de parité au parlement « les femmes sont autant que les hommes capables de diriger le pays, ; Il faut seulement les soutenir et leur faire confiance» Les hommes portent désormais des fardeaux au retour des champs à Lubero, Nord Kivu Les hommes demandent de laver les assiettes à la place des femmes, à Kinshasa, Kimwenza, Manresa, avril 2013 Kahigwa, chef de localité Mass en Ituri, reconnait les droits des femmes après la formation au genre et permet sa femme et à ses filles de manger la viande, le poisson et les sauterelles Les femmes du plateau de Bateke à 100km de Kinshasa, dont aucune n’est mariée civilement, lors d’une formation sur les droits matrimoniaux et la VGB, découvrent qu’une femme mariée a droit à l’héritage et le seul homme participant comprend les violences domestiques et décide de ne plus frapper sa femme aussi participante à la formation Le pasteur Marco comprend que les églises perpétuent aussi les discriminations envers les femmes en les séquestrant pendant des jours dans les “parmanences des églises de réveil” 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

17 RESULTS Public participation Grace au financement des bailleurs ci identifiés, nous organisons des formations sur la participation publique et de la femme surtout pour toutes les représentantes des partis politiques, de la société civile, des chefs religieux et traditionnelles, des leaders d’opinion, des jeunes femmes et des adultes Nous avons élu des points focaux dans chacune des 11 provinces pour assurer la « surveillance » de la participation et de la représentation des femmes dans les provinces d’intervention Après sensibilisation des communautés par les organisations financées, nombre des femmes accède à des postes politiques (à Uvira, Adjointes des chefs de localité, de quartier) Beaucoup de femmes se sont présentées comme candidates potentielles aux prochaines élections municipales de 2014 et législatives de 2016 Une veuve a été délivrée du poids des coutumes d’extorsion des biens laissés par son défunt mari grâce au projet AFDECO /FFC à Kinshasa/Masina, par sa vulgarisation de la CEDEF et de la résolution 1325 Mais beaucoup reste à faire dans ce domaine à cause de la stigmatisation des femmes par la communauté, les stéréotypes et les préjugés ainsi que le manque de confiance de la femme en elle-même qui demeurent et qui défavorisent la bonne représentativité de la femmes dans les instances de prise des décisions 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

18 RESULTS Changes at the work place Les femmes sont sous représentées dans la formulation et l’application des politiques économiques de la RDC Pas de politiques ni de lois qui assurent l’accès de femmes et des hommes à l’entreprenariat et au commerce Cependant, au bureau de FFC, nous engageons les jeunes (4 filles), 1 femme adulte et 2 jeunes gens) pour mieux perenniser le travail. La plupart des organisations financées par FFC sont dirigées par les femmes. La discrimination et le harcelement basées sur le genre sont prohibées dans nos interventions Nous encourageons et capitalisons l’acceptaion de chacun-e- avec ses forces et ses faiblesses Plus des filles (969 soit 58% ) que des garcons (703 soit 42%) sont bénéficiaires du projet sur la santé de reproduction à l’école et sont plus intérésées à poser des questions sur la santé de reproduction et à intervenir pour sensibliser les autres filles à l’école et dans leurs quartiers Ex. Une fille appelle son amie à Goma pour lui dire de faire attention aux IST et avortement provoqué, “C’est horrible, masta, cela tue, je ne savais pas” 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

19 RESULTS Outreach through the media A chaque événement important du pays nous faisons des points de presse pour plaidoyer, pour appeler à l’éveil et à l’action, pour former et informer sur les droits des femmes Aussi les médias sollicitent des interviews et les font passer sur leurs ondes en rapport avec nos activités: Radio Okapi, RTNC, Antenne A, Lingala facile, TV 50, Digital, RTGA … Ex. En marge du sommet de la francophonie 2013, le couronnement de la Directrice de FFc pour son implication dans la lutte contre les violences sexuelles en zone de conflits. Le plaidoyer réalisé en Europe et aux USA, mars 2014, a été fort médiatisé sur les principaux médias RDC Mais les médias sont généralement très coûteuses, cela ne nous aide pas à publier suffisamment nos activités Cependant, nous avons notre propre site ainsi qu’un New Letter et le FaceBook qui actualisent et médiatisent régulièrement les informations sur notre travail www.ffcrdc.orgwww.ffcrdc.org 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

20 RESULTS Changes at household level Beaucoup de foyers congolais survivent à cause du travail économique des femmes qui augmente leur crédibilité (les femmes du Kasai sont parmi les plus discriminées en RDC, mais elles sont reconsidérées à cause de leur apport financier, Kananga, décembre 2014) Malgré cela, les hommes en majorité continuent à croire qu’ils sont les garants de toute décision au foyer et dans la communauté ; les complexes de supériorité masculins continuent à barrer la route aux progrès notables vers l’égalité des chances Certains parents commencent timidement à répartir équitablement le travail entre les enfants quel que soit leur sexe Le mari de notre directrice, Laddis Manyangwa, a déclaré qu’il a compris qu’il doit beaucoup soutenir le travail fastidieux de sa femme (très mobile), malgré les critiques des autres maris, pour le bien de la multitude des femmes et des hommes de la RDC Voir aussi exemples ci haut sur les hommes qui aident les femmes aux travaux domestiques et au transport des fardeaux au retour des champs 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

21 RESULTS Capacity building Nous renforçons les capacités des femmes via les organisations : En gestion du cycle des projets, En recherche des financements plus importants En participation politique de la femme En construction des mouvements des femmes (partenariat, plaidoyer et échange d’expériences) en faveur de la promotion et de la défense des droits des femmes En apprentissage des métiers, des AGRS et l’alphabétisation En encourageant et appuyant plus les filles dans la vulgarisation et la sensibilisation des outils de prévention IST/VIH/SIDA grace au transfert des compétences psycho sociales Le staff FCC est renforcé par les autres fonds. Ex. OAK FONDATION, Fonds de l’Amérique Centrale, Fonds de l’Afrique du Sud 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

22 RESULTS Changes in attitudes Les changements lents mais réels sont notés; il faut être résolu et déterminé pour arriver à modifier les attitudes des gens : Nous travaillons sur /et avec de petits groupes : les enfants issus de viols, les orphelins du SIDA, les jeunes, les adultes, les femmes elles- mêmes; nous impliquons les hommes, les gouvernants, les leaders communautaires, traditionnels et religieux, les enseignants… EX. de changement d’attitudes : les femmes peuvent désormais manger de la viande initialement leur interdite par l’égoïsme des hommes du village Kavalega, en Ituri; les femmes se présentent comme candidates aux élections Certaines femmes peuvent désormais posséder des biens propres, novembre 2013 à Kisangani (élevage, pisciculture, champ, commerce) avec l’accord du mari Les filles et les garçons peuvent discuter sur des sujets tabous liés à la sexualité et à la santé de reproduction à l’école et au village/quartier EX. de Gisèle Kazadi Biuma, L2 Psy Scolaire sur les coutumes de peuple Kasaien, A l’université de Kinshasa Certaines coutumes persistent dans la discrimination, encouragées par certaines églises avec des versets bibliques discriminatoires 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

23 RESULTS Changes at a policy level Les femmes ont influencé les décisions sur la promotion des droits de la femme et l’équité des genres, la paix et la sécurité. EX. La présence des femmes congolaises au dialogue intercongolais, et chez Kagame pour la fin du M23 Projet de vulgarisation des textes juridiques comme la constitution de la RDC promulguée en février 2006, art 14 et 15 sur l’égalité et l’équité La RDC a signé une loi de répression des violences basées sur le genre (2006) et la stratégie nationale de lutte contre les violences basées sur le genre (SNVBG) depuis 2009, l’adhésion aux Objectifs Millénaires du Développement, au Protocole de la SADC du genre et développement, au CEDAW, aux résolutions du Conseil de sécurité des NU, au protocole de Maputo Mais la faible représentation des femmes dans les instances de prise de décision, le manque de volonté politique, le manque de contraintes et de mesures d’application en sont des obstacles majeurs. Les dispositions discriminatoires à l’égard de la femme sont répertoriés et ont été soumises à la commission des réformes des lois congolaises 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

24 RESULTS Changes at a policy level (suite) Le gouvernement n’a pas de politique éducatif qui tienne compte du genre ; il appuie les initiatives des partenaires, les filles restent encore défavorisées et sont plus nombreuses à décrocher. FFC assure la réinsertion scolaire de certains enfants issus des Violences sexuelles et l’appui à l’alphabétisation La participation des femmes et des hommes dans la formulation des programmes et l’application des politiques économiques n’est pas équitable ; les femmes sont sous représentées ; Les ONGs encadrent informellement les femmes pour leur apprendre de petits métiers et des activités génératrices des revenus Quelques avancées sont observées dans le code de travail en rapport avec la promotion de l’égalité des chances et de traitement des travailleurs la constitution en son art 47 garantit le droit à la santé sans mot dire sur la santé maternelle et reproductive. Le gouvernement de la RDC et la société civile ont élaboré une politique nationale de la Santé de reproduction : PNSR, PSND (Programme Spécialisé des naissances Désirables), PNRM Politique Nationale de Réduction de la Mortalité, PF, PSM (Programme de la Santé Mentale) CAFCO, a soumis au gouvernement via Ministère du genre un projet de loi sur la santé de reproduction Loi de 2008 protection des PVV, ne fait pas de différence pour le genre 7% seulement accèdent aux antirétroviraux pourtant reconnus par les textes et les stratégies Le soutien spécifique des prestataires des soins aux PVV n’est pas encore intégré Participation des femmes dans le comité de réforme de la sécurité 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

25 CHALLENGES What have been the main challenges? How have these been overcome? La langue anglaise : recrutement d’une personne chargée de la communication, fund raiser, parlant français et anglais Le fund raising et les ressources insuffisantes: plaidoyers nationaux et internationaux, fidéliser les donnateurs par des contacts permanents, le rapportage, l’audit et l’évaluation régulièrs Le soumissionnement des projets et le rapportage par les organisations appuyées : suivi de proximité avec feedback aux rapports et projets envoyés à FFC, formation continue Les pesanteurs culturelles, les tabous, les croyances et les pratiques néfastes: sensibilisation par petit groupes, témoignages, encouragement et renforcement par des histoires de succès dans différents contextes La viabilité et la perénité des écoles pilotes cadres des rencontres des jeunes pour prévention IST/VIH et santé de reproduction: impliquer les autorités scolaires Le transport et le transfert des fonds vers les organisations est rendu difficile par l’insécurité dans les zones d’intervention: recours aux avions humanitaires, Monusco et UNAS, echofligt L’insécurité des défenseures des droits humains: renforcer le parteneriat avec laCI bfdhfgjgjgkgk 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

26 LESSON LEARNED AND INNOVATION What lessons have been learned? How are these being applied? Les jeunes filles sont capables d’apporter sont des porteuses potentielles de changement si on leur fait confiance et si on les renforce (sensibilisation des pairs); Si on autonomise les femmes, et allège leurs taches domestiques; elles participent plus efficacement à la gestion du pays (AGRS) Les maris sont des partenaires et des bénéficiaires privilégiés dans le changement de comportement si on les associe aux programmes de sensibilisation et requérir leur input dans le travail de leurs femmes ( conscientisation et conseil en couple) Un bon résultat dépend de la collaboration entre la volonté politique, la pression de la communauté internationale et des membres de la société civile (plaidoyer et lobbying) Comment ont-elles été appliqués? Par la formation, l’appel à l’active participation, l’engagement, la sensibilisation des femmes et des hommes, le plaidoyer, le partenariat/collaboration, l’échange de bonnes pratiques, la visibilité, l’audace (oser), la subvention des organisations 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

27 LEARNING AND SHARING WITH PARTNERS How have you learned from and sharing with other partners ? Le renforcement mutuel et la motivation là où on n’avance plus grace à une bonne communication et rapprochement avec les autres organisations Échange d’expériences avec les partenaires des autres organisations: ci dessus, le FFC ( à gauche, la directrice et au milieu, Elodie) recoit les femmes Nobels (Leyman du Nigeria) à Bunia, février 2014; à droite, l’équipe du plaidoyer avec le Président du Parlement Européen, Belgique, mars 2014 La restitution des plaidoyers et des autres formes d’activités aux autres bénéficiaires ex. Au TCC, restitution médiatisé, 25 Avril 2014, par moi même Rapport d’activités en face et on line sur le site de l’organisation et sur face book Médiatisation sur les ondes radio et TV nationales et étrangères La élébration du succès à chaque occasion pour renforcement les liens entre les membres du FFC et les autres partenaires Participation à des réunions locales, nationales et internationales 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

28 SUSTAINABILITY AND REPLICATION How can the work be sustained? En assurant chaque fois l’après projet par l’implication de toutes les parties prenantes de la communauté, telles que les autorités scolaires, les parents, les chefs religieux, coutumiers, les écoles, les leaders communautaires, les femmes et les jeunes En montrant aux organisations comment faire la mobilisation des fonds plus importants (fund raising) auprès des donnateurs En étandant ce projet à toutes les écoles par le renforçement de tout leur staff en techniques de prévention et prise en charge des IST/VIH/SIDA En affectant un budget conséquent aux centres des jeunes opérationnels dans ces écoles 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

29 SUSTAINABILITY AND REPLICATION How can the work be cascaded to other organisations? Formation des formateurs comme les enseignants et les superviseurs aux élèves et ceux-ci aux autres pairs et ceux ci aux autres organisations ou catégories sociales Inviter les autres formateurs ou représentants d’autres organisation au partage d’informations et des stratégies, des défis etc... 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

30 KEY PRIORITIES FOR 2014 What will the council be focusing on in the next year? Continuer à s’attaquer aux inégalités pour faire progresser les droits de l’homme/femme Autonomiser davantage les femmes, « donner l’argent, c’est leur donner le pouvoir et la voix » Mettre en place des systèmes de santé solides et durables et obtenir des résultats sanitaires plus larges grâce aux ripostes au VIH Optimiser la prevention, la protection le diagnostic et le traitement de IST/VIH/SIDA via l’éducation Améliorer la disponibilité et la qualité des médicaments et outils de diagnostic et de protection liés au VIH; 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA

31 Merci Aksanti sana Tuasakidilayi bunyi Matondo mingi Melesi mingi 50/50 BY 2015: DEMANDING A STRONG POST 2015 AGENDA


Télécharger ppt "THE SADC GENDER PROTOCOL SUMMIT DROITS DES FEMMES: et SANTE DE REPRODUCTION VIH/SIDA ET L’AGENDA POST 2015 (RDC, Kinshasa, 6 Mai 2014 par Elodie Musafiri)"

Présentations similaires


Annonces Google