La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Le paysage culturel (suite) 10e année Février à juin 2016 Préparé par A. Berteau.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Le paysage culturel (suite) 10e année Février à juin 2016 Préparé par A. Berteau."— Transcription de la présentation:

1 Le paysage culturel (suite) 10e année Février à juin 2016 Préparé par A. Berteau

2 COURS 8  Annonces/Présence  Examen du chapitre 1 reporté au 15 février  Projet Actualités: Ellen présente aujourd’hui!  Il manque l’inscription de 2 personnes pour le terme 3. Je vous donne jusqu’au 12 février pour vous inscrire, après cela, je mets vos noms aux endroits manquants!  La suite du paysage culturel!  Les questions à l’examen (Assistante, peux-tu mettre une alarme pour 14 h 50 s’il vous plaît?)

3 La colonisation et le peuplement  Où est-ce que la colonisation européenne a-t-elle commencé?  Dans l’Est!  C’est vraiment au début du 20 e siècle qu’on a commencé à s’étendre vers l’Ouest, mais très timidement. Le paysage accidenté (rugged landscape) du Bouclier canadien limitait l’expansion aux basses terres du Saint-Laurent.  À l’exception de quelques communautés, le Nord et l’Ouest étaient intactes.  D’habitude, les antécédents culturels des arrivants déterminaient l’endroit où ils s’installaient.  Les Anglais et les Chinois en ville pour les usines  Les Européens les prairies pour les fermes (aussi, ils étaient plus ‘’tough’’!)

4 La chicane est pognée dans la cabane! (On se dispute)  Le fait que le Canada se soit bâti sur deux différentes cultures européennes (anglaise et française) a apporté beaucoup de conflits… même dans la division de la terre!  Les Métis établissaient leur ferme à la française, comme dans l’Est du Canada.  Mais le gouvernement anglais a suivi le système de damier anglais lors de l’arpentage des terrains de l’Ouest Farnham, Québec Saskatoon, Saskatchewan

5 Et les Autochtones dans tout ça?  Chez les Autochtones, aucune frontière artificielle ne divisait la terre. Selon eux, la terre appartient à une communauté vivant en harmonie avec son milieu.  Que représente la figure ci-contre?  Les peuples autochtones ont une conception différente de la terre que nous. La terre fait partie de leur spiritualité.  Leur conception de la vie s’appuie sur une connaissance traditionnelle de l’environnement et est véhiculée par des chants, des histoires, des rituels et des lieux ayant une signification particulière.  Quel lien peux-tu faire entre ta culture personnelle, la culture canadienne et les cultures autochtones?

6 La colonisation et le peuplement… suite  Il y a trois raisons pour lesquelles un peuple choisit de s’installer sur une terre:  L’environnement physique  Le climat  Le potentiel économique  Ces avantages mènent à l’urbanisation.  Si une terre n’a pas une de ces trois raisons, il n’y aura aucun développement.  Cependant, lorsque le potentiel économique est grand, des communautés s’installent autour de la ressource jusqu’à son épuisement.  Pense à Fort McMurray, en Alberta ; ou  Fort St. John, en Colombie-Britannique.

7 La colonisation et le peuplement… suite  Cependant, lorsqu’on décide de s’établir sur une terre pour le potentiel économique d’une ressource, on risque de ne pas y rester longtemps.  C’est ce qui s’est passé à Gagnon, petite ville minière (mine) de la Côte-Nord, au Québec.  Établie en janvier 1960 pour exploiter la mine de fer.  Détruite en juin 1985 après la fermeture de la mine.

8 La continuité et le changement  Voici un exemple de l’urbanisation.  Ce sont deux photos prises du Vieux-Port de Montréal depuis la basilique Notre-Dame en direction est.  Quelle photo représente Montréal en 1863 et Montréal en 1967? Quels sont les indices que tu vois?

9 La continuité contre le changement  Quels éléments des photos précédentes prouvent que Montréal a vécu des changements et que d’autres éléments se sont maintenus (continus)? Éléments qui ont changéÉléments qui se sont maintenus

10 La continuité et le changement (suite)  C’est grâce à ce qui change et à ce qui est maintenu (continu) que nous pouvons comprendre comment les gens et les conditions de vie ont changé ou sont demeurés stables au cours des siècles.  Les changements s’opèrent à des rythmes différents.  Par exemple, les changements peuvent être imprévus et dramatiques, comme le 11 septembre; ou  Être lent et sans conséquence mortelle comme la Révolution tranquille. Éléments qui ont changéÉléments qui se sont maintenus Développement résidentielTransport maritime Développement industrielValeurs religieuses (la basilique, les églises)

11 La continuité et le changement (suite)  Les changements peuvent être positifs ou négatifs  Revenons aux images que nous avons vus au dernier cours.  Quand tu lis les récits dans ton livre d’histoire, ceux-ci supposent toujours une fin positive des changements. Selon les livres, modernité = progrès. Or, bien que la modernité a apporté des changements positifs (pensons aux vaccins!), les changements vécus ne sont pas toujours signes de progrès.  Pense à la pollution et à l’impact de notre interaction avec notre milieu.  Donc, changement ≠ progrès Progrès Progrès ??

12 Les frontières: des lignes tracées sur une carte  Après un certain moment, les gens s’identifie à un endroit et façonnent leur vie et leur identité selon les paysages physiques et naturels.  Par exemple, les gens de la Saskatchewan s’identifient au ciel et au prairies;  Les Britanno-Colombiens s’identifient au climat doux, aux montagnes et à l’océan.  Il ne faut pas oublier: les frontières (boundaries) sont artificielles.  Avant la colonisation des Européens, les membres des Premières Nations, les Métis, les Inuits, les premiers explorateurs et les commerçants divisaient le territoire en fonction des frontières naturelles: le Bouclier, les basses terres, les plaines, les montagnes, les rivières et les forêts. Le ciel magnifique de la Sakastchewan après une tempête…

13 Les frontières (suite)  Cette carte illustre la frontière canado-américaine. Elle montre que les limites tracées ≠ les éléments physiques naturels, comme c’est le cas à Point Roberts ou le tracé qui passe entre les îles Gulf.

14 Le peuple autochtone et les frontières  Avant, on ne consultait pas les peuples autochtones quand on traçait des lignes territoriales. Les choses ont changé au 20e siècle et les Autochtones ont maintenant leur mot à dire.  En C.-B., les Nisga’as ont signé en 1998 un traité avec la province et le Canada.  Regarde la figure 1-45: quelle frontière canadienne respecte le plus le territoire établi en function du groupe linguistique autochtone?

15 CONCLUSION  Le paysage qui t’entoure a été changé par la culture qui était là avant toi, et continuera à changer selon celle-ci.  Il y a trois raisons pour laquelle un peuple s’établit sur une terre (le climat, le potentiel économique et l’environnement physique), mais parfois seul le potentiel économique suffit.  Les Autochtones ont une façon différente de voir la terre que nous, et nous devons respecter cette différence.  Certaines choses changent, d’autres non. Les comparer nous aide à comprendre l’évolution d’un peuple. Le changement ≠ progrès.  Le territoire d’hier et d’aujourd’hui a beaucoup changé, et les frontières sont maintenant artificielles. Penses-tu que la façon qu’il a été divisé a plus de sens maintenant?

16 CONCLUSION (suite)  La semaine prochaine: examen le 15 février! L’examen devrait durer un gros maximum d’une heure. Si tout le monde a fini, nous continuerons la matière. Sinon, apporte-toi du travail personnel à faire (lecture, devoir, etc.).  Pour te préparer à l’examen: regarde la section sur le site web.  Partie D (élève B): travail dû le 15 février au début du cours.  C’est tout… Je vais choisir trois de vos questions et les mettre dans l’examen!  Bonne étude!


Télécharger ppt "Le paysage culturel (suite) 10e année Février à juin 2016 Préparé par A. Berteau."

Présentations similaires


Annonces Google