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LE T . O . A . S .T Thème: le langage oral à l'école maternelle

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Présentation au sujet: "LE T . O . A . S .T Thème: le langage oral à l'école maternelle"— Transcription de la présentation:

1 LE T . O . A . S .T Thème: le langage oral à l'école maternelle Objectif: Comment être le plus efficace possible  dans l’enseignement du langage oral? Animation: collectif diaporama, groupes de recherches 6 min, mise en commun, diaporama, Pause, collectif réflexion de pratiques, diaporama Séquence : Les IO et les objectifs, stimuler et structurer le langage, outils d’aide et pistes d’activités dans les divers domaines, conclusion Temps: 3 heures

2 L’apprentissage du langage oral en cycle 1
Mercredi 18 janvier 2017 Circonscription Marseille 6

3 Le langage oral dans les Instructions Officielles
Avec la parution des nouveaux programmes, il y a un glissement des priorités → : S’approprier le langage et découvrir l’écrit → : Mobiliser le langage dans toutes ses dimensions Les textes de 2008 focalisaient sur la construction du système alphabétique (maternelle), • au détriment de l’activité discursive • sans référer à l’activité réflexive L’objectif langagier de la GS disparaissait au profit d’apprentissages techniques, de mécanismes, d’automatisation sur le fonctionnement de la LANGUE , Les programmes de 2015 place le langage comme facteur primordial pour la réussite de tous. (« construire l’équité en réduisant les écarts langagiers") → réduction des inégalités par l’acquisition d’un langage riche et structuré. Réduction des inégalités pour permettre à tous quelque soit le langage pratiqué à la maison d’acquérir le langage utile à l’école: L’entrée à l’école entraine des ruptures nécessaires comme la rupture entre milieu familial (vie quotidienne) et milieu scolaire Ruptures entre langage de la maison/langage de l'école Ruptures entre objets et usages à la maison/ à l'école Ruptures dans les pratiques scolaires/de la vie quotidienne Les différentes dimensions: langage oral/ le langage écrit langage en production / langage en réception (avec le langage intérieur) langage en situation/ langage décontextualisé La fonction sociale/ psychologique/ cognitive du langage Les différentes formes de langage: raconter, questionner, expliciter, évoquer…

4 DOMAINE: MOBILISER LE LANGAGE DANS TOUTES SES DIMENSIONS
L’ORAL LE LIEN ORAL ÉCRIT L’ÉCRIT LA LITTÉRATURE ET LES DOCUMENTAIRES Le langage oral : utilisé dans les interactions, en production et en réception, il permet aux enfants de communiquer, de comprendre, d’apprendre et de réfléchir. Il est nécessaire au développement intellectuel, affectif et langagier de l’enfant. (Programmes 2015). OSER ENTRER EN COMMUNICATION : Passer de la prise de parole spontanée à une conversation plus organisée en grand groupe : dire, exprimer un avis, un besoin, questionner, annoncer une nouvelle, « Faire des efforts pour que les autres comprennent ». Mettre en place les conditions bienveillantes et sécurisantes pour que tous les enfants prennent la parole, accueillir les erreurs, reprendre des formulations entendues (entraînement régulier). 2-3 ans : d’abord moyens non verbaux utilisés. Ils apprennent à parler. Ils reprennent des formulations, travaillent la langue qu’ils entendent. Vers 3-4 ans, ils progressent sur le plan syntaxique et lexical. Énoncés plus complets, organisés, cohérents, prises de paroles plus longues. Autour de 4 ans, ils découvrent que les personnes pensent et ressentent différemment. Ils comprennent qu’il faut expliquer et réexpliquer. Ils posent des questions, font des plaisanteries. Accroissement du vocabulaire, organisation plus complexe des phrases. Fin de maternelle, conversation enseignant-enfants peut parfois être proche de celle que l’enseignant a avec d’autres adultes. COMPRENDRE ET APPRENDRE : Les moments de réception sont des moments d'apprentissage à part entière ; Les enfants verbalisent d’abord leurs expériences personnelles dans des scènes entendues puis ils s’intéressent à ce qu’ils ignorent (notions, objets culturels, nouvelles manières d’apprendre). Se construire ces images mentales, sans parler, est une activité langagière cruciale: reconnaître, rapprocher, relier des évènements et des fictions. ECHANGER ET REFLECHIR AVEC LES AUTRES : Les moments de langage avec les autres : résolution de problèmes, prises de décisions, compréhension d’histoires …Mettant en jeu : langage d’évocation, argumentation, explication, questionnement L’enseignant commente l’activité, induit de la réflexion sur les propos tenus. Les enfants reproduisent spontanément sons, formes et structures puis on va les amener à centrer leur attention sur le vocabulaire, syntaxe pour une « découverte des caractéristiques de la langue française » Exemples d’activités : parler devant un grand groupe/se taire pour une lecture - participer à des échanges collectifs/attendre son tour/ se taire répondre à des questions, reformuler des consignes... raconter, rendre compte, résumer, exposer... (construire le récit oral) parler à propos d'un même objet (« activité conjointe ») s'intéresser à des objets, des pratiques « inintéressantes

5 Centration sur l’action Au DIRE LE FAIRE
Passer du FAIRE Centration sur l’action Au DIRE LE FAIRE Organisation verbale de l’action Pour PENSER LE FAIRE Organisation cognitive de l’action Penser le faire : explicitation du geste Éléments de progressivité: PS et MS Dire ce qu’on fait Dire ce qu’on a fait MS Dire ce qu’on va faire Dire comment on a fait GS Dire comment on va faire Dire comment il faudrait faire si/pour… Dire comment l’autre a fait

6 Importance de l’explicitation du geste Conférence de Viviane BOUYSSE – Inspectrice générale de L’Education Nationale Conférence LES NOUVEAUX PROGRAMMES POUR L’ÉCOLE MATERNELLE Viviane BOUYSSE Octobre 2015

7 L’oral - Oser entrer en communication - Comprendre et apprendre
Les attendus en fin d'école maternelle Objectifs visés - Oser entrer en communication - Comprendre et apprendre - Echanger et réfléchir avec les autres - Commencer à réfléchir sur la langue et acquérir une conscience phonologique : acquisition et développement de la conscience phonologique, éveil à la diversité linguistique. - Communiquer avec les adultes et avec les autres enfants par le langage, en se faisant comprendre. S’exprimer dans un langage syntaxiquement correct et précis. Reformuler pour se faire mieux comprendre. - Pratiquer divers usages du langage oral : raconter, décrire, évoquer, expliquer, questionner, proposer des solutions, discuter un point de vue. - Dire de mémoire et de manière expressive plusieurs comptines et poésies. Pour un enfant, apprendre à parler c’est être capable de se faire comprendre et de comprendre autrui sans avoir recours à d’autres stratégies que les stratégies langagières . Apprendre à parler c’est amener les élèves à se faire comprendre sans avoir recours aux gestes, aux déplacements par une personne qui ne fait pas partie de son milieu familial.

8 Le langage oral : mise en commun des pratiques individuelles
Quels supports? Quelle progressivité ? Quelle évaluation? Quelles difficultés pour les élèves? Quelles difficultés pour les enseignants? Quels dispositifs et à quels moments?

9 Le langage comme objet d’observation et de manipulation
L’objectif du cycle 1 est d’amener les élèves à acquérir un langage riche, organisé et compréhensible pour l’autre. Ceci nécessite de solliciter au cours des diverses activités de la classe les diverses fonctions et usages du langage. LES 3 FONCTIONS DU LANGAGE Le langage comme instrument de communication Interagir avec les autres Gérer des conflits Le langage comme moyen de se représenter le monde Nommer, catégoriser le monde Rapporter des éléments à autrui Exprimer ses pensées, ses émotions Le langage comme objet d’observation et de manipulation Réfléchir, corriger, traiter la langue comme un objet Jouer avec la langue et manipuler ses composantes Aspect social Aspect psychologique Aspect cognitif

10 Comment stimuler le langage oral? Comment le structurer?
Différents facteurs peuvent influer sur les interactions langagières: Les situations de communication induite par le maître le groupe classe les groupes restreints les échanges singuliers induite par une organisation propre à un évènement ou un lieu les coins jeux les ateliers lors des sorties… induite par l’élève en direction du maître, des adultes en direction des camarades

11 Le moment de la prise de parole par rapport à l’évènement exprimé
* Langage en situation : « oser entrer en communication »: langage assez limité, factuel, c’est un langage d’action, les élèves expérimentent le langage : plutôt TPS/PS * Langage décontextualisé : plus précis, plus structuré, plus élaboré :plutôt MS/GS (oral scriptural) (raconter, évoquer, décrire, questionner, expliquer…) Cet oral nécessite un enseignement avec un savoir-faire particulier (donner des informations sur le contexte, adapter le temps du discours, utiliser des repères chronologiques…)

12 La pédagogie du langage présente 2 facettes :
Les activités proposées La pédagogie du langage présente 2 facettes : « des moments libres » : les enfants expérimentent le langage des moments plus structurés où des objectifs langagiers sont ciblés Il est important de: Travailler l’oral dans les situations ordinaires : accueil, lever de la sieste, habillage, conflit… Travailler l’oral dans les situations pédagogiques régulières : appel, rituels, activités.. Travailler l’oral en rapport avec les domaines d’apprentissage (lexique, structure syntaxique, métalangage…)

13 JOUER, RÉFLÉCHIR, S’EXERCER, MÉMORISER
Les activités ritualisées (à condition qu’elles soient variées) sont des moments importants de la communication. Faire l’appel Accueillir les élèves après la sieste Résoudre un conflit Dire ensemble des comptines et chansons de gestes Dire ce que l’on a compris… Il est nécessaire de réinterroger les rituels, les activités, les ateliers pour articuler les différentes modalités d’apprentissage : JOUER, RÉFLÉCHIR, S’EXERCER, MÉMORISER

14 Des outils d’aide et des pistes d’activités
Activités de mémorisation et de structuration du lexique : la carte mentale Enrichissement du lexique par l’utilisation de mots précis par l’adulte lors de la réalisation de l’activité , lexique qui sera entendu, intégré et peu à peu oralisé par les élèves pendant la réalisation des diverse activités. Ce lexique peut être structuré sous forme de carte mentale lors d’une séance détachée afin d’en faciliter la mémorisation. Les mots, énoncés sur un thème donné, sont regroupés en catégories puis organisés spatialement sur une affiche mémoire. Ce sont ces activités de catégorisation et d’organisation spatiale qui vont aider à l’ancrage du lexique en mémoire et à sa récupération lors de la production orale de l’élève.

15 EXEMPLE : l’AUTOMNE en GS

16 Activités pour les enfants en difficultés langagières: les albums échos
Philippe BOISSEAU instituteur puis inspecteur, s’est intéressé aux pratiques langagières des jeunes enfants et est le concepteur des albums échos. Exemples:

17 Descriptif: Les albums échos à la première personne regroupent 6 à 8 photos d’un enfant en pleine activité (exemple: en motricité ou lors d’une activité culinaire). On fait découvrir l’album à l’enfant et on note ses premiers commentaires sur ses photos. L’enseignant complète l’album par un petit texte sous chaque photo . Ce texte reprend les propositions spontanées de l’enfant en les complexifiant un petit peu. Public désigné: Les albums échos sont particulièrement utiles à 3 types d’enfants: - Pour les enfants qui parlent mais sont incompréhensibles (identification des propos plus facile pour l’adulte grâce au contexte) - Pour les « mutiques »: la qualité psycho-affective des échanges que favorise l’album de photos vient parfois à bout de leur difficulté à parler. - Pour les enfants parlant une autre langue à la maison: cet outil peut être utiliser en FLE .

18 Démarche: 1/ Réaliser un état des lieux des compétences langagières des enfants en début d’année scolaire en multipliant les interactions langagières dans divers contexte et en se mettant en position d’observateur. 2/ Analyser les productions langagières observées à l’aide de grilles de programmation syntaxique élaborées par P.BOISSEAU →voir documents acquisitions du lexique ( 3 ans : 750 mots/ 4 ans : 1750 mots / 5 ans : 2750 mots) → voir documents grilles d’observation PS, MS et GS pour la maîtrise syntaxique 3/ Cibler quelques élèves en grandes difficultés pour lesquels l’album écho est une réponse adaptée 4/ Prendre des photos de l’enfant dans une situation et les lui présenter. Noter ses propos et les reformuler dans une syntaxe correcte mais en restant dans sa zone proximale de production et de compréhension.

19 LEXIQUE: présentation du document et mise en ligne sur le site de la circo car 17 pages
Les mots à acquérir sont classés par âge et par thème et par nature du mot Il y a jusqu’ à 15 thèmes pour les 5 ans : 1 - les mots de la classe 2 - les coins-jeux 3 - la grande motricité 4 - la cuisine 5 - les animaux 6 - la fête 7 - le temps 8 - moi et ma famille 9 - le quartier 10 - la maladie 11 - le jardin 12 - les sorties thèmes spécifiques aux 5 ans 13 - les transports 14 - les métiers 15 - les activités scientifiques Différentes catégories selon la nature des mots: nom / verbe / adjectif / préposition SYNTAXE: distribuer le document à tous

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21 Langage et Agir, s’exprimer , comprendre à travers l’activité physique
Un exemple en PS: DECRIRE POUR FAIRE AGIR Les élèves décrivent des situations vécues en motricité (matériel, actions) dans le but de faire installer par des camarades leur propre parcours de motricité. EDUSCOL

22 - Activité de mémorisation du lexique liés aux séances de motricité ( noms des objets et verbes d’actions) - Importance de prononcer le lexique lors de la réalisation des séances de motricité pour que les enfants intègrent simultanément le mot prononcé avec l’objet utilisé ou l’action effectuée ( langage en situation) - Support choisi pour l’activité sous forme de photos des élèves : grand intérêt, mobilisation rapide par rappel immédiat de ce qui a été réalisé en séance de motricité - Réelle situation de communication langagière entre les élèves car pour réaliser le bon parcours il faut communiquer avec les bons mots à ses camarades - Validation visuelle immédiate par comparaison du parcours photographié et réalisé

23 Langage et Explorer le monde
Un exemple en MS: RACONTER Les élèves racontent comment ils ont procédé pour planter un bulbe ( compte-rendu d’activité). EDUSCOL

24 Le maître veut obtenir une description précise de la plantation du bulbe ; il met dans un pot transparent les billes d’argile puis la terre et demande ensuite aux enfants d’organiser les différents éléments prédécoupés (pot/ billes d’argile/ terre/ bulbe/ arrosoir) pour décrire les actions nécessaires à la plantation du bulbe, ce qui oblige les enfants à éclaircir les positions relatives de ces éléments entre eux lors de la plantation. Lors de la réalisation antérieure, l’enseignant avait invité les élèves à dénommer précisément les actions ainsi que les objets, instruments, outils utilisés, La verbalisation accompagne et / ou commente les gestes et permet le retour immédiat sur les mots employés et les constructions. L’action est accomplie ou évoquée avec les mots.

25 Langage et Construire les premiers outils pour structurer sa pensée
Un exemple en GS: EXPLIQUER POUR FAIRE AGIR Explication de la réalisation d’un pavage Les enfants de grande section ont appris à réaliser des pavages. Lors d’une rencontre en classe avec les élèves de CE2 de l’école primaire, des binômes grande section/CE2 sont formés et placés côte à côte pour que chaque enfant de GS fasse réaliser son pavage à son interlocuteur en lui indiquant comment agencer les pièces qui sont devant lui. A la fin de la séance, les élèves de GS dévoilent le pavage initial et comparent les résultats. EDUSCOL

26 Apprentissage langage oral
Un outil pédagogique: La pédagogie de l’écoute( P Péroz) Les compétences à développer Compétences langagières Compétences linguistiques Compétences conversationnelles: Ecoute Prise de parole, capacité à parler à intelligiblement, à suivre la conversation Vocabulaire Syntaxe Conjugaison Morphologie Les compétences à développer en premier les compétences premières et indispensables sont les compétences langagières appelées également compétences conversationnelles mais cela n’est possible que si l’enfant développe par ailleurs et en même temps des compétences linguistiques que l’on peut nommer avec le vocabulaire de la grammaire de phrase: le vocabulaire, la syntaxe , la conjugaison et la morphologie. Ces deux compétences sont donc nécessaire à l’apprentissage du langage oral. Apprentissage langage oral

27 Visionner un film d’une enseignante pratiquant la pédagogie de l’écoute
Question: Selon votre observation, sur quels principes se basent cette pédagogie? Prendre les réponses des enseignants et les synthétiser.

28 3 principes: Les principes de la pédagogie de l’écoute? Didactique
Pédagogique Apprentissage Format de séance régulier Supports non illustrés Le premier principe , du côté du la pédagogie, c’est l’évaluation différée. Les psychologues ont montré que le dialogue pédagogique était à 3 temps « questions, réponses, évaluations » qui n’est évidemment pas le format habituel des échanges conversationnels. Dans la classe, l’enseignant passe toujours par ce temps de l’évaluation après la réponse de l’élève. Soit il y a une évaluation explicite , positive, négative, validante incitant à poursuivre ou pas , soit cette évaluation se confond avec la question suivante que l’enseignant pose qui fait que de poser cette question valide ce qu’il précède. Donc sur ce système ternaire: question réponse évaluation question ou question réponse question , on organise les échanges conversationnels avec les élèves; Le dialiogue pédagogique ordinaire , c’est-à-dire on pose la question, on attend la réponse, si pas de réponse ou mauvaise on repose la question jusqu’à obtention de la réponse on a une évaluation rapide, question réponse, question réponse , ECT… Le dialogue pédagogique à évaluation différée prend le contre pied du dialogue pédagogique ordinaire car on pose une nouvelle question une fois seulement qu’on a attendu, tous les élèves qui avaient envie de parler et on repousse donc l’évaluation ( ou on dira ‘BIEN, Alors….) . Et l’enseignant n’intervient beaucoup moins fréquemment que dans un dialogue pédagogique ordinaire. Evaluation différée

29 Matériaux linguistiques fournis par:
La dialogue pédagogique à évaluation différée ou la pédagogie de l’écoute Matériaux linguistiques fournis par: les élèves le texte support l’enseignant C’est Modèle différent car dans le modèle habituel: l’enfant apprend avec l’adulte donc l’intervention fréquente de l’enseignant. Dans la pédagogie de l’écoute , le principe c’est que les enfants s’appuient avec leur camarade, en reprenant à leur manière les matériaux linguistiques de leur camarade , on a donc des effets de collaboration régulier entre enfants, ce que a un modèle qui fait que ce sont les autres élèves qui vont en premier fournir des matériaux linguistiques; en second c’est le texte support qui va fournir une bonne partie des matériaux qui est plus difficile car c’est du texte écrit et en troisième c’est l’enseignant qui a bien d’autres tâches à gérer ( régulation de la parole, questions,…).

30 Lire ou raconter l’histoire 2) Séance de langage
Le format de la séance Lire ou raconter l’histoire 2) Séance de langage Principe de répétition Principe d’exhaustivité Questions collectives Restitution de l’histoire Les personnages La pédagogie de la surprise, du suspense, on vise organiser les séances de manière très régulière, afin d’une part aux enfzants d’anticiper sur le déroulement de la séance, et donc d’avoir une réelle clarté cognitive au niveau des activités en cours à leurs sens ; la régularité est un élément qui permet aux enfants de gagner en autonomie,et d’autre part l’objectif est de construire des outils intellectuels qui leur permettront d’aborder sereinement les autres histoires, les autres séances de langage que l’enseignant proposera: Alors le format de séance :premier temps, l’enseignant lit ou raconte une histoire, deuxième temps la séance de langage proprement dit et dans ce deuxième temps l’enseignant posera des questions qu’il pourra répéter, c’est le principe de répétition, si les questions sont ouvertes on les répète facilement, le principes d’exhaustivité , on essaie d’aller le plus loin possible ,on demande, de aux enfants s’ils ont tout dit et en dernier on pose des questions collectives, on pose des questions à tous les élèves on évite des échanges individuels: déroulement : restitution de ‘l’histoire, les personnages, le sens profond de l’histoire. Le sens profond de l’histoire

31 Bilan Penser chaque activité comme activité langagière :
Pour les moments de langage collectif , s'appuyer sur le vécu collectif des enfants Organiser des groupes de langage : - petits parleurs - moyens parleurs - grands parleurs Se donner le droit d'être plus avec certains enfants en qualité et en quantité : adapter l'étayage. Avant 3 ans surtout, privilégier la communication l'enseignant / un élève autour de l'action (en cours) de l'enfant Très important : s'assurer que la situation est bien propice à faire s'exprimer les enfants avoir toujours un support à l'échange (on parle de quoi, sur quoi, pourquoi…) Varier les situations langagières pour multiplier les types de langages : narration, argumentation, justification, questionnement, description… Penser à la dimension langage dans les rencontres inter-classes.

32 Bibliographie et outils

33 IL CROIT QUE … PARLER POUR APPRENDRE... ... à raconter une histoire en s'intéressant aux croyances des protagonistes L'histoire est présentée en deux doubles pages : la première met en scène un personnage dans une situation qui permet de comprendre facilement comment le personnage réagit à cette situation ; la seconde montre que la situation est en fait différente de ce que le personnage croyait. C’EST PAS POSSIBLE… Permet après observation et description de l’image 1 d’émettre des hypothèses sur les solutions envisagées pour résoudre le problème posé Puis en page 2, on s’aperçoit que ce n’est pas possible et les enfants verbalisent pourquoi → utilisation du « parce que… »


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