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Colloque de la CPSRM 2007 : atelier B-1

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1 Colloque de la CPSRM 2007 : atelier B-1
Charles-Édouard Gagnon Commission scolaire des Rives-du-Saguenay CSRS Gilles Millaire Commission scolaire de la Région-de-Sherbrooke

2 Un plan d’action en efficacité énergétique: Bien plus que des projets…
Le choix du titre se veut une ouverture en terme d’une nouvelle approche pour un plan d’action concerté en EE

3 Nous devons être créatifs, intuitifs, organisés et orientés vers l’action.
Des attentes de plus en plus grandes de nos organisations face au gestionnaire du SRM. Il ne suffit plus d’engager un professionnel architecte ou ingénieur et de lui demander de faire une étude et nous préparer un projet en efficacité énergétique. Il nous faut connaître en détail l’état de nos immeubles, les technologies favorables, notre marge de manœuvre, le niveau de nos ressources et les pistes potentiels en matière d’EE. Une démarche systémique qui touchera l’ensemble de nos actions en gestion des immeubles. Nouvelles exigences au niveau de compétences requises de nos employés d’entretien, suivi constant, contrôle des opérations, choix stratégiques au niveau des investissements etc. Il est nécessaire d’organiser l’ensemble des activités de gestion de nos services.

4 Gérer l’approche de l’efficacité énergétique comme un projet de changement dans l’organisation.
Un plan d’action en EE nos oblige à revoir notre approche de gestion par rapport à l’ensemble de nos dossiers. Gérer ce nouveau cadre de référence demande une excellente préparation, planification et collaboration de notre équipe. Nous pourrions faire une parallèle avec l’implantation de projet de changement dans l’organisation. Les chances de succès sont intimement liées aux efforts que nous y investissons.

5 Plan de la présentation
Objectifs de la présentation Le contexte du réseau en 2007 Un plan d’action et approche globale Résultats de la mesure Conclusion

6 Objectifs de la présentation
Le partage d’expérience, de réflexions et d’idées novatrices Faire ressortir l’importance d’avoir un plan d’action en gestion de l’énergie comme pour les autres changements organisationnels Présentation de projets

7 Le contexte 2007 du réseau scolaire
Ouverture à l’importance des projets en gestion de l’énergie La possibilité de financer sur plus de 10 ans Les opportunités de financement La bonne maîtrise des technologies Sensibilisation accrue de nos occupants et de nos dirigeants (GO)

8 Le contexte 2007 du réseau scolaire
Obligations et contraintes réglementaires Augmentation des charges de travail des gestionnaires Les besoins en ressources humaines spécialisées et compétentes Les tendances lourdes d’augmentation des coûts d’énergie. ‘’ le baril à 100$ en 2008 ’’ La production par l’OPEP sera insuffisante

9 Pourquoi un plan d’action?
Pour faciliter… La définition d’un cadre de référence et axes de développement L’adoption et le support de l’équipe de direction La concertation et les actions des intervenants internes et externes L’atteinte de nos cibles La reddition de compte (mettre en évidence les bons coups) Assurer la réussite Je sais bien que cela est très évident, l’importance d’un plan d’action. Mon objectif à cette de la présentation est faire un lien avec l’importance d’intégrer nos actions en EE avec l’ensemble des autres actions du SRM. Comme exemple : dans nos actions de remplacements d’équipements, d’entretien, des réaménagements etc. Mais aussi dans nos actions en lien avec le DD, les approvisionnements, le perfectionnement de nos employés, les nouveaux partenaires externes. De nouvelles obligations en matière d’analyse, de suivi, de calcul et de production de rapports. Confirmer nos résultas et rendre visible nos réussites ou nos échecs.

10 Pas de recettes, mais des étapes
Faire un portrait de notre situation (documentation) Évaluation des ressources humaines et financières disponibles (ressources et compétences) Faire la liste des opportunité, les programmes de financement et subventions (facteurs indicatifs) Se faire une image de la situation désiré (vision) Organiser et planifier nos actions (plan d’action) Selon Adams, Kingley et Smith, un changement sans plan d’action = un mauvais départ

11 Un exemple… à la CSRS ( Sherbrooke )
Les technologies du bâtiment Gestion financière et communication (comptabilité énergétique) Suivi et entretien

12 Un exemple… suite Les objectifs… 1. Diminuer la consommation (GJ/M2)
2. Bénéficier des subventions disponibles 3. Diminuer la facture ($/M2) Comment ? Un cadre de référence avec des orientations ( ) Un plan d’action en E.E ( ) 17 fiches de travail / 17 actions

13 Gestion financière et communication (comptabilité énergétique )
#1 – Engagement d’un spécialiste en énergie #2 - Contrats de performance avec Jonhson Controls #3 - Contrats de performance avec RSW #4 – Comité de travail en énergie #5 – Profils énergétiques des établissements #6 – Subventions en E.E. #7 – Suivi de la facturation #8 – Rapport annuel (décembre 2007 )

14 Les technologies du bâtiment / Suivi et entretien
#9 – Optimiseurs pour la puissance électrique (kW) #10 – Éclairage fluorescent T-12 versus T-8 #11 – Éclairage sortie de secours (DEL ) #12 – Éclairage incandescent (fluo-compact) #13 – Moteur haute efficacité #14 et #15 – Générateur de chaleur (études et remplacement de 4 en ) #16 – Horloges programmables (sys. évacuation) #17 – Isolation thermique des conduits de chauffage

15 Nous avons convenu de vous présenter une autre démarche concrète à la Commission scolaire des Rives-du-Saguenay

16 Programme Éconergétique
Économie d’énergie Programme Éconergétique Octobre 2007

17 OBJECTIFS DE LA PRÉSENTATION
1- Vous exposer le programme éconergétique implanté à la Commission scolaire des Rives-du-Saguenay depuis 2- Vous informer sur les démarches de la Commission scolaire relatives à l’implantation de ce programme. 3- Vous permettre de connaître une des façons de faire ayant permis d’obtenir des résultats probants au niveau de la performance énergétique.

18 LE PROFIL DE LA COMMISSION SCOLAIRE DES RIVES-DU-SAGUENAY

19 LA COMMISSION SCOLAIRE DES RIVES-DU-SAGUENAY (documentation)
LE PARC IMMOBILIER Le parc immobilier compte actuellement 52 bâtiments pour une superficie totale d’environ M². Les 7 plus importants bâtiments occupent près de M², soit près de 60 % de la superficie totale utilisée du parc immobilier. Les 45 autres bâtiments totalisent près de M² pour une moyenne de M² par bâtiment.

20 LA COMMISSION SCOLAIRE DES RIVES-DU-SAGUENAY
LES PRINCIPAUX BÂTIMENTS EN IMAGES Polyvalente Charles-Gravel Polyvalente La Baie

21 LA COMMISSION SCOLAIRE DES RIVES-DU-SAGUENAY
LES PRINCIPAUX BÂTIMENTS EN IMAGES Odyssée Dominique-Racine Odyssée Lafontaine

22 LA COMMISSION SCOLAIRE DES RIVES-DU-SAGUENAY
LES PRINCIPAUX BÂTIMENTS EN IMAGES CENTRE DE FORMATION PROFESSIONNELLE CFP en équipements motorisés CFP en métallurgie

23 LA COMMISSION SCOLAIRE DES RIVES-DU-SAGUENAY
LES PRINCIPAUX BÂTIMENTS EN IMAGES CENTRE DE FORMATION PROFESSIONNELLE CFP en fonderie Centre Oasis

24 LA COMMISSION SCOLAIRE DES RIVES-DU-SAGUENAY
RÉPARTITION DES SOURCES D’ÉNERGIES UTILISÉES /2007 Consommation totale réelle: GJ

25 LA COMMISSION SCOLAIRE DES RIVES-DU-SAGUENAY
RÉPARTITION DU COÛT DES SOURCES D’ÉNERGIES UTILISÉES /2007 Coût total réel: $

26 LA COMMISSION SCOLAIRE DES RIVES-DU-SAGUENAY
En résumé, la Commission scolaire a consommé GJ en 2006/2007… Soit un budget de $ pour cette énergie…. Qui représente près de 22 % du budget global total du service des ressources matérielles qui s’élève à $.

27 LE PROGRAMME ÉCONERGÉTIQUE EN BREF
- Réalisé sur une période de neuf ans depuis 1998 à aujourd’hui. Mesures et travaux visant principalement l’optimisation énergétique dans 48 bâtiments de la Commission scolaire. Démarches de l’organisation afin d’assurer le succès de la mise en place et du suivi.

28 INVESTISSEMENT ET PRI… …depuis 1998
Investissement global…………………………… : $ Économies totales annuelles…………………… : $ Période de retour sur investissement…………. : 1.7 an

29 LES RÉSULTATS…

30 ÉVOLUTION DE LA CONSOMMATION ÉNERGÉTIQUE ET LES COÛTS QUI Y SONT ASSOCIÉS

31 ÉVOLUTION DES DEGRÉS-JOURS DE CHAUFFAGE
D-j Région : Bagotville (Qc) – Normales climatiques (30 ans)

32 ÉVOLUTION DU COÛT UNITAIRE GLOBAL MOYEN DE L’ÉNERGIE
coût en dollars par gigajoule $/Gj AUGMENTATION POUR LA C.S. DE 54 % DE À

33 ÉVOLUTION DE LA CONSOMMATION ANNUELLE TOTALE NORMALISÉE
…en gigajoules Gj DIMINUTION DE 30 % DE À

34 ÉVOLUTION DU COÛT ANNUEL TOTAL AJUSTÉ SELON L’ANNÉE NORMALE
en dollars $ AUGMENTATION DE 8 % DE À

35 LA VALEUR DES ÉCONOMIES RÉALISÉES…

36 ÉVOLUTION DES ÉCONOMIES ANNUELLES TOTALES NORMALISÉES
en dollars $ ÉCONOMIES TOTALES DEPUIS LA MISE EN PLACE DU PROGRAMME ÉCONERGÉTIQUE : $

37 LES RÉSULTATS COMPARATIFS PAR M² DEPUIS 1998

38 ÉVOLUTION DE LA CONSOMMATION RÉELLE
gigajoule par mètre carré Gj/m2

39

40 Cet objectif a été atteint dès l’année 2003-2004.
Le MELS a identifié pour notre C.S. une cible globale à atteindre de 5 % en diminution d’intensité de consommation en Gj/m² pour par rapport à l’année de référence Cet objectif a été atteint dès l’année En , la CSRS a consommée 0,637 Gj/m². À moyen terme, de façon très réaliste, un objectif de 0,570 GJ/m² est envisageable.

41 ÉVOLUTION DU COÛT UNITAIRE GLOBAL MOYEN DE L’ÉNERGIE
Coût par mètre carré $/m2

42

43 DES CONSÉQUENCES POSITIVES…

44 GAZ À EFFET DE SERRE (GES)
En raison de l’implantation du programme d’optimisation et d’efficacité énergétique, de à la commission scolaire a réduit ses émissions de gaz à effet de serre (équiv.CO2) de 57%. En économisant près de Gj par année. Ceci représente près de tonnes / année de GES en moins d’émis dans l’atmosphère. Note: Les effets additionnels des années et augmentent de façon très substantielle les résultats affichés mentionnés ci-haut. Toutefois le remplacement de l’énergie électrique au tarif BT par de l’huile a pour effet d’augmenter les émissions de GES dans l’atmosphère.

45 LES MESURES QUI ONT PERMIS D’ATTEINDRE DE TELS RÉSULTATS…

46 1- DES CONTRÔLES INFORMATISÉS
A) Remplacement des systèmes de contrôle et de centralisation existants désuets dont certains hors-marche depuis des années. B) L’addition de nombreux points de contrôles permettant de connaître de façon précise l’état d’opération des systèmes électromécaniques dans le but d’intervenir et d’optimiser l’opération. C) Différentes mesures spécifiques ont été appliquées suite à l’implantation du système.

47 1- DES CONTRÔLES INFORMATISÉS (suite…)
Remplacement de quatre types de systèmes installés dans les trois commissions scolaires fusionnées par un seul système performant. Signature d’une entente de partenariat de cinq ans renouvelable avec le fournisseur du système afin de se protéger contre toute hausse démesurée des coûts.

48 1- DES CONTRÔLES INFORMATISÉS (suite…)
B) … - Raccord à la nouvelle centralisation des contrôles, de tous les points existants dans les différents bâtiments déjà contrôlés. - Addition de nombreux points de contrôle dans tous les bâtiments où il y avait déjà des contrôles centralisés. - Addition de centralisation dans tous les autres bâtiments où il n’y avait pas de centralisation. - En conséquence, plus de points de contrôles physiques et près de pseudo-points* dans le but de faire un suivi précis et d’optimiser l’opération des systèmes et des bâtiments. * pseudo-points: points virtuels

49 1- DES CONTRÔLES INFORMATISÉS (suite…)
Optimisation des arrêts / départs et des horaires d’opération des systèmes de ventilation et de chauffage. Meilleur contrôle des températures de pièces tout en améliorant le confort des usagés. - Meilleure gestion des températures des systèmes de ventilation. Supervision de la qualité d’air frais en fonction du niveau de CO². Abaissement des températures de pièces. Abaissement de la température d’eau du chauffage. Contrôle optimisé de l’opération des chaudières.

50 2- INSTALLATION D’ENTRAÎNEMENT À FRÉQUENCES VARIABLES (EFV)
Près de trente EFV installés sur les principaux systèmes de ventilation. Bénéfices: - Opération optimisée par rapport aux besoins; Diminution des débits d’air, donc diminution de la puissance motrice requise et de la consommation électrique; Diminution du bruit dans certaines conditions d’opération. Diminution des coûts d’entretien.

51 Polyvalente La Baie – Admission d’air, système # 4
3- REMPLACEMENT DES VOLETS D’AIR FRAIS, D’ÉVACUATION ET DE MÉLANGE PAR DES VOLETS ÉTANCHES Avant - Volets âgés entre 30 à 40 ans. Étanchéité médiocre laissant passer de 5% à 20% d’air extérieur dans des conditions avec volets fermés. Nécessité de chauffer de façon importante l’infiltration d’air en hiver. Polyvalente La Baie – Admission d’air, système # 4

52 Polyvalente La Baie – Admission d’air, système # 4
3- REMPLACEMENT DES VOLETS D’AIR FRAIS, D’ÉVACUATION ET DE MÉLANGE PAR DES VOLETS ÉTANCHES (suite…) Après Performance d’étanchéité vérifiée des nouveaux volets inférieure à 1%. PRI inférieur à 6 mois. Polyvalente La Baie – Admission d’air, système # 4

53 4- AMÉLIORATION DE L’ENVELOPPE DU BÂTIMENT AU NIVEAU DE…
Chaque action posée et touchant l’enveloppe du bâtiment doit refléter la préoccupation d’une saine gestion énergétique. - La fenestration (qualité du produit, durabilité dans le temps et pose adéquate). L’isolation de la toiture (lors des réfections des toitures). L’addition et la réfection de SAS d’entrée. Le remplacement des portes désuètes. Le remplacement des joints d’étanchéité (coupe-froid) au pourtour des portes et des fenêtres.

54 5- REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRES DÉSUÈTES PAR DES CHAUDIÈRES À HAUTE EFFICACITÉ
- Optimisation de la capacité des chaudières. Installation de deux chaudières dans chacun des bâtiments au lieu d’une seule (sécurité d’opération). Chaudière de type intermédiaire au niveau de l’efficacité, à basse température, simple d’opération et facile d’entretien.

55 6- INSTALLATION DE CHAUDIÈRES ÉLECTRIQUES HORS-POINTES
Réalisée dans les bâtiments où l’importance de la consommation électrique rend avantageux ce type d’opération au niveau des coûts, tout en permettant une opération à de plus basses températures. 2 chaudières ; polyvalente La Baie 1 chaudière ; polyvalente Charles-Gravel 1 chaudière ; polyvalente Odyssée/Dominique-Racine 1 chaudière ; polyvalente Laure-Conan 1 chaudière ; polyvalente Odyssée/Lafontaine 1 chaudière ; centre L’Oasis - 1 chaudière ; centre 216

56 7- OPÉRATION DE CHAUDIÈRES ÉLECTRIQUES DU TARIF BT AU TARIF G
Suite à l’annulation du tarif BT, dans certains petits bâtiments des chaudières électriques sont opérées au tarif G autant que possible à une capacité inférieure ou égale à 50 kW sans jamais dépasser 100 kW. 26 chaudières dont la plupart dans les petites écoles primaires. Permet le chauffage de l’eau à de basses températures de mai à novembre, de façon très efficace. - Meilleur contrôle de la température d’eau évitant la surchauffe des locaux.

57 8- MEILLEUR SUIVI D’ENTRETIEN DES ÉQUIPEMENTS MÉCANIQUES, DES CHAUDIÈRES ET DES ÉQUIPEMENTS ÉLECTRIQUES Mise au point et ajustement des brûleurs. Nettoyage régulier des chaudières. Remplacement des filtres au bon moment (lecture de différentiels de pression par la centralisation). Colmatage des fuites. Remplacement des valves de chauffage.

58 AUTRES MESURES ÉCONERGÉTIQUES EN IMPLANTATION OU À VENIR, VISANT PRINCIPALEMENT L’AMÉLIORATION DE L’EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE

59 NOUVELLES MESURES ÉCONERGÉTIQUES EN IMPLANTATION OU À VENIR
Compléter la mise en place du programme d’éclairage efficace (lampes, ballasts et détecteurs de présences). Projet spécifique à l’étude: - Éclairage efficace à la polyvalente La Baie Investissement Économie PRI : $ : à $ : 7 à 8 ans L’ensemble des autres bâtiments sont actuellement en analyse et feront l’objet de projets à court terme.

60 NOUVELLES MESURES ÉCONERGÉTIQUES EN IMPLANTATION OU À VENIR
Compléter le remplacement des chaudières existantes désuètes par des chaudières à haute efficacité. Le remplacement consiste à une approche de réaménagement global de la chaufferie incluant, les pompes, les valves et la tuyauterie.

61 NOUVELLES MESURES ÉCONERGÉTIQUES EN IMPLANTATION OU À VENIR
Compléter le remplacement des volets déficients sur les systèmes de ventilation. Après Avant

62 NOUVELLES MESURES ÉCONERGÉTIQUES EN IMPLANTATION OU À VENIR
Installer des accumulateurs thermiques électriques en opération hors-pointe là où la demande et la consommation électrique le permettent. À l’étude dans 6 bâtiments: Polyvalente La Baie Polyvalente Odyssée/Lafontaine - Polyvalente Odyssée/Dominique-Racine - Polyvalente Charles-Gravel - Polyvalente Laure-Conan - Centre Oasis

63 NOUVELLES MESURES ÉCONERGÉTIQUES EN IMPLANTATION OU À VENIR
Installer des panneaux réflecteurs de chaleur dans les bâtiments où cette mesure peut s’appliquer. Nettoyer régulièrement les ailettes de chauffage à eau chaude dans les locaux.

64 NOUVELLES MESURES ÉCONERGÉTIQUES EN IMPLANTATION OU À VENIR
Installer des murs solaires pour préchauffer l’admission d’air frais en provenance de l’extérieur. Installer des systèmes de préchauffage de l’air frais en toiture. Note : Dossier actuellement à l’étude.

65 NOUVELLES MESURES ÉCONERGÉTIQUES EN IMPLANTATION OU À VENIR
Humidifier à la vapeur froide par atomisation pour remplacer les humidificateurs à électrodes; Ou tout simplement humidifier des secteurs ou des bâtiments actuellement dépourvus de systèmes d’humidification. Projet pilote actuellement au CFEM

66 NOUVELLES MESURES ÉCONERGÉTIQUES EN IMPLANTATION OU À VENIR
- Installer des systèmes de régulation du rapport air-combustible sur certains types de chaudières existantes. À l’étude dans 5 bâtiments : Polyvalente La Baie Polyvalente Odyssée/Lafontaine - Polyvalente Odyssée/Dominique-Racine - Polyvalente Charles-Gravel - Polyvalente Laure-Conan

67 NOUVELLES MESURES ÉCONERGÉTIQUES EN IMPLANTATION OU À VENIR
Remplacer des équipements non performants par des équipements à haute efficacité (moteurs, pompes, etc…).

68 NOUVELLES MESURES ÉCONERGÉTIQUES EN IMPLANTATION OÙ À VENIR (suite…)
Installer des contrôles intelligents et des entraînements à fréquences variables (EFV) sur les hottes des cafétérias. Réalisé: - Polyvalente Charles-Gravel À l’étude: - Polyvalente La Baie Note: Non applicable dans les autres polyvalentes.

69 NOUVELLES MESURES ÉCONERGÉTIQUES EN IMPLANTATION OU À VENIR (suite…)
Récupérer l’énergie; - Secteur des piscines et certains systèmes d’évacuation (24 h/24 h) Piscine – La Baie Piscine – Dominique-Racine Piscine – Lafontaine

70 NOUVELLES MESURES ÉCONERGÉTIQUES EN IMPLANTATION OU À VENIR (suite…)
Appliquer la géothermie pour certains bâtiments. - Dossier à l’étude en regard de nouveau programme de financement du MELS.

71 NOUVELLES MESURES ÉCONERGÉTIQUES EN IMPLANTATION OU À VENIR (suite…)
Améliorer l’optimisation de l’opération (horaires, systèmes et équipements).

72 NOUVELLES MESURES ÉCONERGÉTIQUES EN IMPLANTATION OU À VENIR (suite…)
Assurer un suivi serré afin d’optimiser l’utilisation et le coût des diverses sources d’énergie. Utiliser de façon plus efficace le logiciel de gestion de l’énergie «Hélios». ÉLECTRICITÉ GAZ NATUREL HUILE

73 DÉMARCHES DE LA COMMISSION SCOLAIRE AFIN D’ASSURER LE SUCCÈS DE LA MISE EN PLACE D’UN TEL PROGRAMME

74 DÉMARCHES DE LA COMMISSION SCOLAIRE
Mettre en place du personnel technique dédié à l’implantation du programme éconergétique dès le début et assurer une continuité au cours des années. Considérer que le succès ou l’insuccès de l’implantation et de ses résultats sont liés fortement à la capacité et à la motivation du personnel impliqué. - Mettre en valeur l’importance de l’équipe d’entretien.

75 DÉMARCHES DE LA COMMISSION SCOLAIRE
- La formation d’un comité de gestion de l’énergie Intervenants de la CSRS Le directeur des ressources matérielles Un directeur du secteur primaire Un directeur du secteur secondaire Un directeur de CFP Le responsable de la gestion énergétique Invités Le représentant d’Hydro-Québec Le représentant de Gaz Métropolitain Le consultant externe assurant le support technique depuis le début de la mise en place du programme (UNIGEC, experts-conseils)

76 Politique gestion de l'énergie Plan de gestion énergétique
DÉMARCHES DE LA COMMISSION SCOLAIRE - Publication régulière des résultats. La mise en place d’une politique énergétique. Politique à l’annexe 1. Politique gestion de l'énergie L’implication des gestionnaires, des directeurs, des enseignants et des élèves dans la démarche éconergétique. Concours en gestion de l’énergie. 28 écoles sur 42 ont participé au concours (incluant primaire, secondaire et centres FGA et PF). Nous avons remis $ en argent, $ en certificats-cadeaux, un voyage Hydro-Québec et des articles promotionnels (partenaires : Hydro-Québec et Gaz Métropolitain). Exemple du travail déposé par une école à l’annexe 2. Plan de gestion énergétique

77 EN CONCLUSION Les investissements éconergétiques ont permis d’atteindre des résultats des plus significatifs. Le confort des espaces a été nettement amélioré. La réduction de la consommation énergétique a contribué à améliorer grandement l’environnement, en diminuant l’émission des gaz à effet de serre. Le personnel et les étudiants ont été sensibilités sur plusieurs années. Le succès est lié à la mise en place d’un programme progressif et continu.

78 EN CONCLUSION (suite…)
De tels résultats démontrent l’importance de continuer à investir afin de maintenir la performance éconergétique. Sinon, le statut QUO ou l’absence d’investissement ciblé pourrait occasionner, en raison de la tendance à l’accroissement du coût de l’énergie, une augmentation substantielle de la facture énergétique.

79 CAR SI RIEN N’AVAIT ÉTÉ FAIT…

80 ÉVOLUTION DE LA CONSOMMATION ANNUELLE TOTALE RÉELLE ET DE LA CONSOMMATION ANTICIPÉE SI AUCUNE ACTION ÉCONERGÉTIQUE Gj

81 À PARTIR DE MAINTENANT, SI ON SE SATISFAIT
DU STATUT QUO…

82 EN CONSIDÉRANT LES HYPOTHÈSES SUIVANTES: - 4
EN CONSIDÉRANT LES HYPOTHÈSES SUIVANTES: % D’AUGMENTATION ANNUELLE DU COÛT DE L’ÉNERGIE - RÉGRESSION DE LA PERFORMANCE DE 2 % ANNUELLEMENT

83 ÉVOLUTION DE LA CONSOMMATION ANNUELLE TOTALE ANTICIPÉE ET AJUSTÉE SELON L’ANNÉE NORMALE POUR LES CINQ PROCHAINES ANNÉES Gj AUGMENTATION DE LA CONSOMMATION DE 10 % DE À

84 ÉVOLUTION DU COÛT ANNUEL TOTAL ANTICIPÉ ET AJUSTÉ SELON L’ANNÉE NORMALE POUR LES CINQ PROCHAINES ANNÉES $ AUGMENTATION DES COÛTS DE 37 % DE À

85 ET MAINTENANT, SI LA C.S. CONTINUE
À INVESTIR EN EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE…

86 EN CONSIDÉRANT LES HYPOTHÈSES SUIVANTES: - 4
EN CONSIDÉRANT LES HYPOTHÈSES SUIVANTES: % D’AUGMENTATION ANNUELLE DU COÛT DE L’ÉNERGIE - AMÉLIORATION DE LA PERFORMANCE DE 3 % PAR ANNÉE PAR UN BON SUIVI ÉNERGÉTIQUE… ET L’APPLICATION DE NOUVELLES MESURES

87 ÉVOLUTION DU COÛT ANNUEL TOTAL ANTICIPÉ ET AJUSTÉ SELON L’ANNÉE NORMALE POUR LES CINQ PROCHAINES ANNÉES SANS ET AVEC LES NOUVELLES MESURES ÉCONERGÉTIQUES $ AUGMENTATION DES COÛTS DE 8 % DE À AVEC MESURES ÉCONERGÉTIQUES VS 37 % SANS MESURES

88 VALEUR DE L’ORGANISATION
« Un travail continu en gestion énergétique exige des années d’efforts pour bien l’implanter et pour ainsi obtenir des résultats convaincants. » « Il faut pour la santé de l’organisation que l’on privilégiée cette valeur. Elle n’en sera que gagnante sur toute la ligne. »

89 FIN…

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95 I:\147\BN\Communication\Clients\presentation gestion energetique GIM 16 oct.ppt

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