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MODELE RELATIONNEL concept mathématique de relation

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1 MODELE RELATIONNEL concept mathématique de relation
relation : sous-ensemble du produit cartésien d’une liste de domaines domaine : ensemble de valeurs soient D1, D2, …, Dn, n domaines P = {n-uplets (v1,v2,…,Vn) / vi  Di pour i=1,2,…,n}

2 MODELE RELATIONNEL Ex. :

3 MODELE RELATIONNEL attribut d’une relation : couple (nom,domaine)
arité d’une relation : nombre d’attributs décrivant les individus  les éléments de la relation sont appelés n-uplets ou tuples cardinal ou cardinalité d’une relation : nombre de n-uplets de la relation Ex. : dans la relation précédente, arité = 7 cardinalité = 4

4 MODELE RELATIONNEL schéma d’une relation : nom de la relation
+ liste des attributs + contraintes Ex. : le schéma de la relation PATIENT est : PATIENT (N_SS : nombre(13), nom: chaîne(20), adresse : chaîne(30), age : entier, poids : entier, taille : nombre, diabete : caractère) clé d’une relation : ensemble d’attributs permettant d’identifier un n-uplet parmi tous les autres Ex. : dans la relation précédente, N_SS est la clé

5 MODELE RELATIONNEL schéma de base de données relationnel : ensemble de schémas de relations + un certain nombre de contraintes différents types de contraintes d’intégrité :  contraintes de domaine  dépendances fonctionnelles  contraintes référentielles ou contraintes d’inclusion

6 MODELE RELATIONNEL médecin N_O nom prénom adresse_pro tel_pro
specialiste specialité patient N_SS nom adresse age poids taille diabète consulte 0,n 0,n date

7 MODELE RELATIONNEL règles de passage modèle E-A  modèle relationnel
règle 1 : tout type d’entité est traduit en une relation dont les attributs proviennent du type d’entité. La clé primaire de la relation est celle du type d’entité. règle 2 : un type d’association est traduit en une relation dont les attributs proviennent du type d’association ainsi que des clés des types d’entité participant au type d’association. La clé primaire de cette relation est constituée des attributs provenant des types d’entités associées. règle 3 : un type d’association binaire ayant une cardinalité égale à 0,1 ou 1,1 pour un type d’entité Ei et quelconque pour Ej ne donne pas lieu à la création d’une relation. On ajoute à la relation représentant Ei les attributs du type d’association ainsi que l’ensemble des attributs clés de Ej.

8 MODELE RELATIONNEL Ex. : médecin patient consulte 0,n 0,n
N_O N_SS nom prénom adresse_pro tel_pro specialiste specialité nom adresse age poids taille diabète 0,n consulte 0,n date PATIENT (N_SS : nombre(13), nom: chaîne(20), adresse : chaîne(30), age : entier, poids : entier, taille : nombre, diabete : caractère) MEDECIN (N_O : nombre(10), nom : chaîne(20), prénom : chaîne(15), adresse_pro : chaîne(30), tel_pro : chaîne(10), specialiste : caractère, specialite : chaîne(20)); CONSULTATION (N_patient : nombre(13), N_medecin : nombre(10), date : DATE)

9 MODELE RELATIONNEL  contraintes de domaine :
 définition extensive ou intensive du domaine d’un attribut  l’existence de la valeur d’un attribut dépend de celle d’un autre attribut  la valeur d’un attribut est déduite, par calcul, de celle Ex. : dans la relation PATIENT, • les valeurs de l’attribut sont compris entre 0 et 130 • les valeurs de l’attribut diabète sont Oui ou Non • la valeur de l’attribut age peut être calculé à partir de la valeur de l’attribut N_SS dans la relation MEDECIN, • si specialiste = F alors specialite est null

10 MODELE RELATIONNEL  dépendances fonctionnelles
un attribut ou groupe d’attributs Y dépend fonctionnellement d’un autre attribut ou groupe d’attributs si à une valeur donnée de X correspond une valeur unique de Y Ex. : • soit la relation VOITURE (N_chassis, type, marque, couleur, puissance), (type, marque)  puissance • dans la relation PATIENT, l’ensemble des attributs nom, adresse, age, poids, taille, diabete dépend fonctionnellement de la valeur de N_SS

11 MODELE RELATIONNEL  contraintes référentielles ou contraintes d’inclusion  contrainte entre ensembles d’attributs de 2 relations R1 et R2  si E1 de R1 fait référence à E2 de R2, on impose que pour tout t1 de R1, il existe un tuple (et un seul) t2 tel que t2(E2) = t1(E1) Ex. : dans la relation CONSULTATION, • N_patient fait référence à un N_SS existant dans PATIENT • N_medecin fait référence à un N_O existant dans MEDECIN


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