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1 LA COMPETITIVITE BELGE AFEC 2e candi sc-eco Septembre- Octobre 2004 Une copie de ces transparents est disponible sur:

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1 1 LA COMPETITIVITE BELGE AFEC 2e candi sc-eco Septembre- Octobre 2004 Une copie de ces transparents est disponible sur: http://homepages.ulb.ac.be/~jmalek/afec.html

2 2 INTRODUCTION (I): Why worry ? N.B. Taux demploi = actifs occupés / pop. âge actif Taux de chômage = actifs inoccupés / pop. active totale Taux dactivité = pop. act. tot / pop. âge actif NB: Taux demploi = taux dactivité x (1 – taux de chômage) Taux demploi en 2002:

3 3 INTRODUCTION (II) Contexte Européen GOPE (TM): lignes directrices pour les politiques économiques PSC (C. Amsterdam (1997)): politique budgétaire Processus de Luxembourg (TA, titre VII): lignes directrices communes pour les politiques pour lemploi, sur 4 axes: employabilité, esprit dentreplise, adaptabilité, égalité des chances Processus de Cardiff (C Cardiff (1998)): réformes structurelles visant à améliorer le fonctionnement des marchés des B&S et des K Processus de Cologne (C. Cologne (1999)): instauration dun dialogue direct entre les 3 principaux acteurs de politiques macro: partenaires sociaux, gouvernements nationaux et BCE. Stratégie de Lisonne (C. Lisbonne, (2000)): activation les processus existants. Objectifs chiffrés (indicateurs structurels). Entre autres: –TE = 70% en 2010 (60% pour les femmes, 50% trav. Âgés) –R&D = 3% PIB en 2010, dont 2/3 vient du privé –…

4 4 I.COMPETITIVITE ? Compétitivité-prix Compétitivité économique Attractivité Nationale

5 5 II.COMPETITIVITE-PRIX Indicateur: Mais quels prix ? Notion de « internationaux » ?

6 6 II.A.Evolution des Termes de lEchange (TT) Source: BNB

7 7 II.B.Compétitivité-prix et taux de change Si Euro sapprécie, mécaniquement: –PX augmente –PM diminue –=> compétitivité baisse MAIS protège de linflation importée (prix pétroliers) Les exportateurs peuvent également maintenir PX au niveau initial en rognant sur leurs marges (« pass-through » incomplet); dépend des caractéristiques concurrentielles du secteur et de lélasticité de la demande. Source: Pacific Exchange Rate Services

8 8 III.COMPETITIVITE ECONOMIQUE Ex-Post Ex-Ante Loi du 06/01/1989 Loi du 26/07/1996

9 9 III.A.COMPETITIVITE ECONOMIQUE EX-POST Indicateurs: –Balance courante –Parts de marché à lexportation –Part relative des importations –ATTENTION: Impact de la spécialisation sectorielle !!!

10 10 III.A.1. La Balance Courante Sources: FMI et BNB

11 11 III.A.2.Parts de marché des importations Source: BNB

12 12 III.A.3.Performances à lExportation Selon le Bureau du Plan, entre 1998 et 2003, en termes réels:

13 13 III.A.4.aSpécialisation Sectorielle (I) Indice de spécialisation de Balassa pour le pays i et le secteur k: Avec w = monde (ou groupe de pays de référence) et

14 14 III.A.4.bSpécialisation Sectorielle (II) Source: CHELEM et calculs personnels

15 15 III.A.4.cSpécialisation Sectorielle (III) Source: CHELEM et calculs personnels

16 16 III.A.4.d Spécialisation Sectorielle (IV) Source: SPF Economie

17 17 III.B.COMPETITIVITE ECONOMIQUE EX-ANTE Indicateurs: –Coûts de production –Investissements –Efforts de R&D

18 18 III.B.1. Coûts de production CT = w L + r K = C L + C K Q = F(K,L) = A K L 1- r fixé sur le marché des capitaux et influencé par la politique monétaire K fixe à court terme w négocié L peut varier à court terme => accent mis sur le coût salarial C L

19 19 III.B.2. Lien compétitivité - productivité Coût unitaire (horaire) en main-dœuvre: En réarrangeant: Où PROD L est la productivité horaire du travail (= Q / L) Donc, pour diminuer CUM, il faut soit diminuer w, soit augmenter PROD L.

20 20 Source: Conseil Central de lEconomie

21 21 Source: Conseil Central de lEconomie

22 22 III.B.3. Comparaison Internationale de PROD L Source: SPF Economie

23 23 III.B.4. Comparaison Internationale Dynamique de PROD L

24 24 III.B.5. Autre concept de productivité: le Total Factor Productivity (TFP) Supposons que, au niveau agrégé, –Y= Q = F(K,L) = A K L 1- Dès lors, si on parvient à estimer économétriquement, on peut faire de la « comptabilité de la croissance »: On examine le comportement de A, appelé « TFP Growth »

25 25 III.B.5.b TFP GROWTH

26 26 III.B.6. Evolution du CUM

27 27 III.C.LOI DU 06/01/89: « Sauvegarde de la Compétitivité » Rapport du CCE tous les 6M 6 indicateurs et 7 pays de référence Si le rapport est mauvais, le gvmt pouvait modifier le contenu des CCT.

28 28 LOI DU 06/01/89 (suite): 6 indicateurs –Performances à lX (parts de marché) –Coûts salariaux / personne occupée –Coûts financiers (rl, rc) –Coûts énergétiques –Dynamique structurelle (FBCF) –R&D Comparaison à: –5 pays EUR (ALL, FRA, NLD, GBR, ITL) –7 pays: les 5 EUR + USA + JPN Ex-ante Ex-post

29 29 III.D.Loi du 26/07/1996 « Promotion de lEmploi et Sauvegarde Préventive de la Compétitivité» Complète et remplace partiellement la loi du 06/01/89 Principale innovation: norme salariale Rapport conjoint du CCE et du CNT deux fois par an Rapport technique annuel du CCE sur la marge disponible pour lévolution du coût salarial nominal (< moyenne prévue pour ALL, FRA et NLD) Tous les 2 ans: accord interprofessionnel au sein du CNT sur base du rapport du CCE; à défaut daccord, le gouvernement fédéral tranche. Pour les rapports du CCE: http://www.ccecrb.fgov.be/cce/text/doc61.htm

30 30 Accord interprofessionnel 1997-1998: w max = 6.1% (G) Accord interprofessionnel 1999-2000: w max = 5.9% Accord interprofessionnel 2001-2002: w max = 6.4% –En réalité, 8.3% en Belgique vs. 7.1% ailleurs Accord interprofessionnel 2003-2004: w max = 5.4% –En réalité, 4.5% en Belgique vs. 5.3% ailleurs III.D.2Loi du 26/07/1996: En pratique

31 31 IV.ATTRACTIVITE NATIONALE Forum de DAVOS Indice de lIMD

32 32 IV.A. Le « Growth Competitiveness Index » (DAVOS): 1.principes de base Mis au Point par J. SACHS et J.McARTHUR Se base sur 3 idées phares: 1.La croissance peut être analysée dans un cadre tridimensionnel: 1.Environnement macro 2.Qualité des institutions 3.Technologie 2.Le progrès technique est lunique source de croissance à LT, mais la manière de progresser nest pas unique (innovation ou imitation) 3.Le poids des 2 autres piliers nest pas le même pour les pays innovateurs et pour les pays imitateurs (les fondamentaux macro et les institutions sont plus importants dans ces pays-là). Pour en savoir plus, visitez http://www.weforum.org/

33 33 IV.A.2 Le « Growth Competitiveness Index » (DAVOS): Résultats Source: Sala-i-Martin, X. (2004), « Global Competitiveness Report: Executive Summary »

34 34 IV.B. Le « World Competitiveness Index » (IMD): 1.principes de base

35 35 IV.B. Le « World Competitiveness Index » (IMD): 2.résultats Pour en savoir plus: www01.imd.ch/wcy/factors

36 36 IV.4.C. Le Problème de lEducation Dép. publiques déducation / PIB: En 2000, B = 5.2% = 7e / UE15, mais: –Ne mesure que linput –Ne tient pas compte de la part privée Qualité de lEducation: Enquête PISA (OECD, 2000). En résumé, FLANDRE > OECD > COMM. FRANCAISE Adaptation du socle de connaissances: manque dindicateurs fiables (# diplômés en science et technologie: OK mais comparaison difficile). Espérance du # années passées à lécole (cfr. P. suiv.): peut également être trompeur !

37 37 Source: OECD, Education at a Glance, 2004 ESPERANCE DE DUREE DES ETUDES - 2004


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