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MINISTERE DE LECONOMIE ET DES FINANCES DU BURKINA FASO Direction Générale de la Coopération FORUM SUR LA COOPERATION POUR LE DEVELOPPEMENT SYMPOSIUM DE.

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1 MINISTERE DE LECONOMIE ET DES FINANCES DU BURKINA FASO Direction Générale de la Coopération FORUM SUR LA COOPERATION POUR LE DEVELOPPEMENT SYMPOSIUM DE HAUT NIVEAU,5-6 mai 2011, Bamako ROLE DE LAPPROPRIATION NATIONALE ET DES DIFFERENTS ACTEURS DE DEVELOPPEMENT : cas du Burkina Faso

2 PLAN DE PRESENTATION Introduction I- Du CSLP à la SCADD II- cadres dévaluation des performances III- bonnes pratiques constatées IV- Défis à relever Conclusion

3 INTRODUCTION Des principes de la Déclaration de Paris, lappropriation occupe une place très importante voire déterminante dans la recherche de lefficacité de la coopération orientée vers les résultats concrets. Des principes de la Déclaration de Paris, lappropriation occupe une place très importante voire déterminante dans la recherche de lefficacité de la coopération orientée vers les résultats concrets. Fort de ce constat, le Burkina Faso sest engagé depuis 2005 à travers un certain nombre dactions, à la recherche de plus defficacité dans lappropriation de ses politiques et programmes de développement. Fort de ce constat, le Burkina Faso sest engagé depuis 2005 à travers un certain nombre dactions, à la recherche de plus defficacité dans lappropriation de ses politiques et programmes de développement.

4 INTRODUCTION Les deux premières enquêtes de suivi de la Déclaration de Paris en 2006 et 2008 ont montré que le Burkina Faso a fait des efforts en matière dappropriation. Les deux premières enquêtes de suivi de la Déclaration de Paris en 2006 et 2008 ont montré que le Burkina Faso a fait des efforts en matière dappropriation. Selon lesdites enquêtes, le Burkina est passé de la note C à la note B qui qualifie l opérationnalité de sa stratégie de développement quest le CSLP. Selon lesdites enquêtes, le Burkina est passé de la note C à la note B qui qualifie l opérationnalité de sa stratégie de développement quest le CSLP.

5 I- DU CSLP à la SCADD Le CSLP adopté en 2000 et révisé en 2003 est le référentiel des interventions des donateurs au Burkina Le CSLP a été élaboré selon un processus participatif incluant tous les acteurs nationaux que sont ladministration centrale et déconcentrée, les collectivités territoriales,les OSC, ainsi que des donateurs Ces acteurs participent et contribue au processus par des apports divers:évaluation indépendante,suggestions, recommandations etc

6 I- DU CSLP à la SCADD La Stratégie de Croissance Accélérée et de Développement Durable (SCADD 2011- 2015) adoptée par le Gouvernement en décembre 2010 vient en remplacement du CSLP et met laccent sur les secteurs porteurs de croissance La Stratégie de Croissance Accélérée et de Développement Durable (SCADD 2011- 2015) adoptée par le Gouvernement en décembre 2010 vient en remplacement du CSLP et met laccent sur les secteurs porteurs de croissance Élaboré également selon un processus participatif avec les mêmes acteurs cités précédemment en plus des parlementaires Élaboré également selon un processus participatif avec les mêmes acteurs cités précédemment en plus des parlementaires

7 II- cadres dévaluation des performances Au niveau national, le cadre global le plus important pour discuter des progrès dans la réalisation des objectifs de laide, des engagements des politiques de développement et des résultats visés par les bailleurs et acteurs nationaux au Burkina Faso est la revue conjointe du Cadre Général dorganisation des Appuis Budgétaires en soutien au CSLP, instituée depuis 2007. 7

8 II- cadres dévaluation des performances La revue implique lAdministration, tous les donateurs résidents, les OSC et les parlementaires (les parlementaires sont invités à participer aux travaux et contribuent aux échanges) 8

9 II- cadres dévaluation des performances Au niveau sectoriel, les revues conjointes du CGAB/CSLP ont pour base les différentes Commissions Sectorielles et Thématiques (CST) au sein desquelles une évaluation des progrès est faite et des objectifs annuels déterminés pour le Gouvernement. Au niveau sectoriel, les revues conjointes du CGAB/CSLP ont pour base les différentes Commissions Sectorielles et Thématiques (CST) au sein desquelles une évaluation des progrès est faite et des objectifs annuels déterminés pour le Gouvernement. Une évaluation indépendante de la mise en œuvre du CSLP est faite par la société civile depuis 2007 et dont les résultats sont pris en compte dans le bilan de mise en œuvre du PAP/CSLP Une évaluation indépendante de la mise en œuvre du CSLP est faite par la société civile depuis 2007 et dont les résultats sont pris en compte dans le bilan de mise en œuvre du PAP/CSLP. 9

10 III- Bonnes pratiques constatées Au niveau national: Au niveau national: Meilleure appropriation des politiques et stratégies par les acteurs nationaux renforcement du dialogue avec les partenaires (disponibilité des PTF au dialogue avec le Gouvernement); Meilleure implication de tous les acteurs 10

11 IV- Les défis à relever Malgré les bonnes pratiques constatées, il faut noter que des défis restent encore à relever pour atteindre les objectifs escomptés en terme dappropriation nationale: - Le défi majeur demeure renforcement des capacités des acteurs locaux surtout les collectivités territoriales dans le cadre de la décentralisation - La définition des indicateurs clés nationaux de suivi

12 III- Bonnes pratiques constatées Au niveau sectoriel: la tenue régulière de revues conjointes et de misions conjointe de suivi dans deux secteurs: Au niveau sectoriel: la tenue régulière de revues conjointes et de misions conjointe de suivi dans deux secteurs: Secteur santé avec le Plan National de Développement Sanitaire(PNDS); Secteur éducation avec le Plan Décennal de Développement de lEducation de Base (PDDEB); Secteur éducation avec le Plan Décennal de Développement de lEducation de Base (PDDEB);

13 IV- Les défis à relever labsence dobjectifs précis à lendroit des donateurs labsence dobjectifs précis à lendroit des donateurs; labsence de critères dévaluation des performances des partenaires labsence de critères dévaluation des performances des partenaires le non respect des engagements internationaux pris en termes defficacité de laide par certains bailleurs le non respect des engagements internationaux pris en termes defficacité de laide par certains bailleurs 13

14 IV- Les défis à relever La mise en œuvre de programme national de renforcement des capacités adopté par le Gouvernement en 2010. La mise en œuvre de programme national de renforcement des capacités adopté par le Gouvernement en 2010.

15 CONCLUSION Lappropriation nationale permet la fiabilité, la transparence et la rigueur dans la gestion et le suivi des politiques et stratégies de développement avec le droit de regard des acteurs non étatiques; Lappropriation nationale permet la fiabilité, la transparence et la rigueur dans la gestion et le suivi des politiques et stratégies de développement avec le droit de regard des acteurs non étatiques; Elle donne une importance à la reddition des comptes et le Burkina Faso sy engage fortement. Elle donne une importance à la reddition des comptes et le Burkina Faso sy engage fortement. 15

16 MERCI DE VOTRE AIMABLE ATTENTION 16


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