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Chateaudun – Alençon : 118 km - 5 h En cette belle journée de fin août, nous quittons Châteaudun, continuant notre route vers le Finistère. Mais il.

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3 Chateaudun – Alençon : 118 km - 5 h

4 En cette belle journée de fin août, nous quittons Châteaudun, continuant notre route vers le Finistère. Mais il y aura bien d'autres haltes avant dy parvenir ! Nous saluons en passant l'église Notre Dame de Yèvres, dans l'Eure et Loir.

5 L'Eure ? Le Loir ? Non, l'Ozanne, qui traverse paresseusement la cité.

6 Petit halte à Brou. Ah ! La belle ville ! Admirez ces maisons anciennes, ses rues pavées… Un Office du Tourisme qui est une merveille à lui tout seul, et qui réserve à chaque touriste un accueil chaleureux, souriant… et documenté ! Cette charmante commune, située entre la Beauce et le Perche, est traversée d'ouest en est par l'Ozanne. Elle appartient à la communauté de communes du Perche-Gouët. Cette communauté de communes fait d'ailleurs un effort concerté pour retrouver la limpidité originelle de ses cours d'eau, et c'est à souligner.

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8 Comme la majorité des églises de la région Centre, la construction de léglise Saint-Lubin remonte proba- blement au XIIe siècle. Au XVe siècle et XVIe siècle, elle est agrandie dun bas- côté au sud et dun transept. En 1620, labbé Adrien Bourdoise fait construire la sacristie. En raison dun incendie du clocher, provoqué par la foudre en 1813, la flèche en bois est remplacée par une tour carrée en 1822. Le mobilier date du XVIIIe siècle. Les statues et tableaux sont également nombreux à lintérieur de léglise.

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10 Saint Lubin Alors que Lubin, tout jeune garçon, gardait les bœufs de son père, il demanda à un moine passage de lui graver sur la ceinture les lettres de l'alphabet. Et par ce moyen il apprit à lire et écrire. encouragé par son père, il entra à labbaye de Ligugé dont il devint règlementaire et cellérier, tout en continuant à étudier,. Il devint prêtre, moine, connut bien des vissicitudes en ces temps troublés (le Vème siècle) Lévêque Ethérius de Chartres, connaissant la réputation de sainteté de Lubin qui avait miraculeusement arrêté un ouragan et un incendie, lor- donna diacre et létablit abbé du monastère de Brou où, devenu prêtre, il continuait à faire des miracles. En 536, le saint évêque dAngers, Aubin, lemmena avec lui pour visiter saint Césaire dArles ; de nouveau, Lubin fut attiré par labbaye de Lérins mais saint Césaire lui représentant quil navait pas le droit dabandonner une communauté dont lévêque lui avait confié la charge, il retourna à Brou. Les sept dernières années de la vie de saint Lubin furent affligées dune longue maladie qui ne lempécha pas de continuer ses visites pastorales ni de participer au cinquième concile dOrléans (28 octobre 549) et au se- cond concile de Paris (552). Il mourut le 14 mars 557 et fut inhumé dans léglise Saint-Martin du Val, dans les faubourgs de Chartres.

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12 Cette maison aux belles sculptures aurait mérité un diaporama à elle seule. Apparte- nait-elle à un Jacquaire ? Appelée "la Mai- son de Bois", elle date du XVème siècle.

13 Ce bel ensemble architectural abrite l'hôtel de Ville de Brou. Et moi, j'attends tranquillement dans la voiture (première à gauche) tandis qu'Yvonne s'échine à vous faire de belles photos.

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15 L'ancienne chapelle de cet ancien hô- pital (photo précédente) abrite l'Office du Tourisme. Mais aussi un lieu d'exposition des œuvres d'artistes locaux. De pures merveilles. Cet escalier en bois montait sans doute au clocher de la chapelle. Le personnel de l'Office du Tourisme, que je remercie ici, a permis à Yvonne de prendre toutes les photos qu'elle souhaitait. Et j'ai dû faire un choix draconien ! Mes ces quelques clichés vous donneront une idée.

16 Une vue générale de la partie "exposition"

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19 À la sortie de Brou, qu'il a bien fallu quitter, un domaine et son pigeonnier.

20 Un peu plus loin, Beaumont les Autels et so n château : Ce château fut tout d'abord une simple tour féodale. Sa position stratégique à l'entrée du Perche en fit un lieu convoité par les troupes anglaises qui s'en emparèrent au XIVe siècle. A la même époque, l'illustre famille d'Estouteville acquit le château et ses fiefs. C'est au milieu du XVIe siècle que fut entamée la construction du nouveau château par Jean II du Blosset. Elle fut achevée vers 1580. La puissante famille de Rohan posséda le domaine au XVIIe siècle. La demeure ne fut pas épargnée lors de la révolution, les biens furent séquestrés et vendus et le propriétaire, Monsieur de Reverseaux, arrêté à Chartres et condamné à mort en février 1794. Il fallut attendre 1804 pour voir le château de Beaumont enfin restauré par Joseph Augustin, baron de Besenval. Les embellissements dus au baron de Layre, à la fin du XIXe siècle, apporteront à la demeure le caractère que nous lui connaissons aujourd'hui. Propriété privée, ce château ne se visite pas.

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22 Un peu plus loin, l'église de Vichères.

23 Maison traditionnelle dans le Perche.

24 Le clocher de Nogent le Rotrou, émergeant des feuillages, nous fait signe. Mais nous préférons nous tourner vers l'Huisne, petite rivière tranquille – du moins quand nous sommes passées ! – aux rives fleu- ries. Un lavoir est encore là, et semble bruire du claquement des battoirs et du rire des lavandières.

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27 Mais aujourdhui, cependant, ce lavoir bucolique est bien silencieux…

28 Déjà nous sommes à Bellême, ou les chapelles de l'église se regroupent en rond autour du clocher, comme des poussins autour de la mère poule…

29 Nous somme passées en voiture le long des remparts de Bellême, mais des parterres se cachent certainement dans les anciennes douves, révélées au passant trop pressé par les jets d'eau…

30 Vite, vite ! Nous devons coucher à Alençon ce soir… Nous traversons la cité du Gué de la Chaîne dont le clocher ne peut nous arrêter.

31 Bien sûr, beaucoup de croix au bord de la route… J'ai aimé celle-ci, dont le sommet se devine à peine parmi les feuillages.

32 Des bâtisses typiquement régionales jalonnent notre route.

33 Voici les ruines de l'abbaye de Perseigne. Propriété privée, centre de vacances, accès interdit en juillet et août….

34 Et voici l'église de ce charmant bourg.

35 Nous voici enfin à Alençon, notre ville-étape pour deux jours, saluées dans le soir par un vol de pigeons… Le repos de la nuit sera le bienvenu ! Et rendez-vous demain pour la visite de la ville : n'oubliez pas de vous lever de bonne heure !

36 Photos : Yvonne Documentation : essentiellement WIKIPEDIA Texte : Jacky Musique : Kleynjans - Estudine n° 7 par Arnaud Domond à la guitare Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix Jacky.questel@gmail.com http://jackydubearn.over-blog.com/ http://www.jackydubearn.fr/


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