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Web 2.0. Web 1.0 zWeb 1.0 ydes pages Web statiques rarement mises à jour, voire jamais. zWeb 1.5 yWeb dynamique ydes systèmes de gestion de contenu rendent.

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1 Web 2.0

2 Web 1.0 zWeb 1.0 ydes pages Web statiques rarement mises à jour, voire jamais. zWeb 1.5 yWeb dynamique ydes systèmes de gestion de contenu rendent des pages Web dynamiques, xcréées à la volée à partir d'une base de données en constant changement. – yLe Web = un outil de diffusion et de visualisation de données xoù des aspects comme le nombre de pages vues et l'esthétique revêtent une très grande importance.

3 Origine du terme web 2.0 zLe terme inventé par Dale Dougherty et Craig ClineDale Dougherty y pour développer des idées pour une conférence conjointe. yle Web était dans une période de renaissance, avec xun changement de règles x une évolution des modèles d'entreprise.modèles d'entreprise y la première conférence Web 2.0 en octobre 2004.

4 Web 2.0 zinteraction entre les utilisateurs, le crowdsourcing et la création de réseaux sociaux rudimentaires zdu contenu et des effets de réseau, yavec ou sans réel rendu visuel et interactif de pages Web. zles sites Web 2.0 agissent plus comme des points de présence, y portails Web centrés sur l'utilisateur

5 Caractéristiques générales zle site ne doit pas être un jardin secret, y il doit être aisé de faire rentrer ou sortir des informations du système zl'utilisateur doit rester propriétaire de ses propres données ; zle site doit être entièrement utilisable à travers un navigateur standard ; zle site doit présenter des aspects de réseaux sociaux.

6 Web 1.0 // Web 2.0 zDoubleClick --> Google AdSense zOfoto --> Flickr zAkamai --> BitTorrent zmp3.com --> Napster zBritannica Online --> Wikipedia zsites perso --> blogs zevite --> upcoming.org et EVDB zspéculation sur les noms de domaines --> optimisation pour moteurs de recherche zpages vues --> coût au clic z« screen scraping » --> services web zpublication --> participation zsystème de gestion de contenu --> wikis zarborescence (taxonomie) --> tags ("folksonomy") zrigidité du contenu --> syndication de contenu

7 Philosophie derrière le web 2.0 z1- Le web en tant que plate-forme1- Le web en tant que plate-forme z2- Tirer parti de l'intelligence collective2- Tirer parti de l'intelligence collective z3- La puissance est dans les données3- La puissance est dans les données z4- La fin des cycles de release4- La fin des cycles de release z5- Des modèles de programmation légers5- Des modèles de programmation légers z6- Le logiciel se libère du PC6- Le logiciel se libère du PC z7- Enrichir les interfaces utilisateur7- Enrichir les interfaces utilisateur

8 Le web en tant que plate-forme

9 Le web en tant que plate-forme : Netscape vs Google zNetscape yWeb as platform + web top yproduit-phare = navigateur web, une application cliente, ystratégie xd'utiliser leur domination sur le marché du navigateur pour créer un marché à destination des serveurs haut de gamme. xLe contrôle des standards d'affichage de contenu et des applications utilisant un navigateur aurait dû en théorie donner à Netscape le même genre de pouvoir sur ce marché que celui que possède Microsoft sur celui des Pcs yRésultat xserveurs et navigateurs web devinrent de simples outils et la plus grande part de la valeur ajoutée du web se concentra dans les services diffusés par les plate-forme web zGoogle yapplication web native, xjamais vendue ou packagée mais délivrée en tant que service, avec des clients payant, directement ou indirectement, pour utiliser ce service. yComplètement différent de la « vieille » industrie du logiciel xAucun planning de sortie de différentes version, juste une amélioration continue. xAucun système de vente ou de licence, simplement des utilisateurs. xAucun problème de portage sur différentes plate-forme yGoogle est une base de données spécialisée. xni un serveur, ni un navigateur xpas une simple suite d'outils logiciels,

10 Le web en tant que plateforme : DoubleClick vs. Overture et AdSense zDoubleClick yChaque bannière publicitaire est en effet une forme de coopération entre 2 sites web dans un seul but : délivrer une page intégrée à un lecteur sur ordinateur de plus. yLa société misa en effet sur la croyance très « 90's » x le web était fait de publications et non de participations. x les annonceurs, et non les consommateurs, devaient être les acteurs moteur x la taille importait, x Internet serait peu à peu dominé par les quelques sites webs du haut des classements de MediaMetrix et ses semblables xdemande un contrat de vente très formel, limitant leur marché aux quelques milliers de sites les plus importants zOverture (Yahoo! Search Marketing ) et Google (AdSense)Yahoo! Search Marketing yla force collective des petits sites représente l'essentiel du contenu du web. yajouter virtuellement de la publicité sur n'importe quelle page existante. yremplacer les publicités tape-à-l'oeil et agaçantes telles que les bannières et les « pop- up » par des messages peu intrusifs, sensibles au contexte de la page à laquelle ils s'intègrent et finalement plus appréciés des consommateurs.

11 Le web en tant que plateforme : La leçon zmettre au point yun service simple d'accès y une gestion algorithmique des données ypour toucher l'intégralité du web, xjusque dans sa périphérie, xpas seulement son centre, xjusqu'au bout de sa longue traîne (long tail), xpas seulement en son coeur.

12 Tirer parti de l'intelligence collective zLes liens hypertextes sont le fondement du web. yles connections au sein du web se multiplient organiquement à la mesure que leur dicte l'activité de l'ensemble des utilisateurs zLa percée de Google dans la recherche, y basée sur le PageRank y une méthode basée sur la structure hypertexte du web plutôt que sur l'analyse des contenus. zLe produit d'eBay est l'activité collective de l'ensemble de ses utilisateurs yles avantages comparatifs d'eBay viennent entièrement de la masse critique d'acheteurs et de vendeurs disponibles, tout nouveau concurrent étant inévitablement pénalisé de ce point de vue zAmazon y l'implication du consommateur. x commentaires des acheteurs, xles invitations à participer (de plusieurs manières et sur quasiment toutes les pages) xutilise de l'activité des utilisateurs pour affiner les résultats de leurs recherches. Amazon renvoie toujours vers « les plus populaires », une notion calculée en temps réel non pas à partir des ventes mais à partir de ce que les gens d'Amazon appellent le « flow » autour des produits

13 Tirer parti de l'intelligence collective zWikipedia, yune encyclopédie en ligne basée sur le principe peu commun qu'une entrée puisse être ajoutée par n'importe quel utilisateur du web et modifiée par un autre

14 Tirer parti de l'intelligence collective z« folksonomy »« folksonomy » ydel.icio.us et Flickr,Flickr y « classement par les gens » xEn contraste avec « taxonomy », « classement standard », y catégorisation collaborative des sites utilisant des mots clés librement choisis, qu'on appelle en général « tag »

15 Tirer parti de l'intelligence collective zLes systèmes anti-spam collaboratifs y Cloudmark yagrègent les décisions individuelles des utilisateurs d'e-mail sur ce qui est et n'est pas du spam, yobtiennent de bien meilleurs résultats que les systèmes s'appuyant sur l'analyse des messages eux-mêmes

16 Tirer parti de l'intelligence collective : Blog et RSS zBlogs yRéflexion au jour le jour (incrémentale) zRSS yne pas seulement attacher une page, ymais s'y abonner, avec un avertissement à chaque fois que le contenu de la page change. zPermalinks ydevenu assez simple de pointer vers un article très spécifique et d'en débattre. yDes discussions se sont créées. zAttention collective de la blogosphère sait retenir des informations plus pertinentes que n'importe quel autre filtre

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18 Tirer parti de l'intelligence collective z3 manières d'élaborer une base de données importante. ypayer des gens pour faire le travail xYahoo! yconfier cette tâche à des volontaires xla communauté Open Source xLe projet Open Directory, un concurrent Open Source de Yahoo, en est un exemple. ychaque utilisateur contribue a construire cette base de données partagée xNapster

19 Tirer parti de l'intelligence collective : La leçon zDans l'univers web 2.0, l'implication des utilisateurs dans le réseau est le facteur-clé pour la suprématie du marché

20 La puissance est dans les données zAmazon yaméliore sans cesse ses données xen ajoutant du contenu provenant des éditeurs par exemple. y encourage les utilisateurs à évaluer les données y a aussi introduit son propre système d'identifiant, xle « ASIN »,ASIN correspond à l'ISBN lorsqu'il est présent crée un code équivalent lorsqu'il n'existe pas. y s'est doté de xune politique de gestion des données x de fournisseurs de données.

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22 La puissance est dans les données zMapQuest yAchète simplement ses données x"Maps copyright NavTeq, TeleAtlas," ou, "Images copyright Digital Globe" zGoogle ymodèle de service léger de Google conduit à la création de nombreux services ya pris la place de Navteq en tant que fournisseur de données en se plaçant en tant qu'intermédiaire privilégié

23 La puissance est dans les données: La leçon ? zqui possède les données ? z confidentialité ? z droit des utilisateurs sur leurs données ?

24 La fin des cycles de release zLe logiciel est proposé en tant que service et non en tant que produit z1- les traitements deviennent le coeur de métier yle logiciel ne peut plus fonctionner si il n'est pas maintenu à une échelle quotidienne. yGoogle doit continuellement xparcourir le web et mettre à jour ses indices, xfiltrer le « spam link » et autres tentatives d'influencer ses résultats, xdynamiquement répondre à des centaines de millions de requêtes asynchrones d'utilisateurs, tout en leur faisant correspondre des publicités adaptés à leur contexte.

25 La fin des cycles de release z2- Les utilisateurs doivent être traités comme des co-développeurs y« la bêta perpétuelle » y le produit est développé avec de nouvelles fonctionnalités apparaissant de manière mensuelle, hebdomadaire voire quotidienne. yL'observation en temps réel du comportement de l'utilisateur dans le but de voir quelles sont les nouvelles fonctionnalités utilisées, devient donc un nouvelle compétence centrale. zModèle d’affaire yMicrosoft xdépend de la remise à niveau que chacun fait sur son PC tous les deux ou trois ans. yGoogle xne dépend que de la capacité des utilisateurs à se servir des nouvelles fonctionnalités qui leur sont proposées.

26 Des modèles de programmation légers zservices web d'Amazon y formalisme de SOAP (Simple Object Access Protocol) xles connexions B2B utilisent SOAP, y fournir un flux de données XML via HTTP yREST (Representational State Transfer) un modèle plus simple x95% des usages de ses web services se font via REST

27 REST zn'est pas un protocole ou un format,protocoleformat zc'est une architecture, c'est l'architecture originale du Web, bâtie sur quelques principes simples :architecture yl'URI est important : connaître l'URI doit suffire pour accéder à la ressource ;URI yHTTP fournit toutes les opérations nécessaires (GET, POST, PUT et DELETE, essentiellement) ;HTTP ychaque opération est auto-suffisante : il n'y a pas d'état ; yutilisation des standards hypermedia : HTML ou XML qui permettent de faire des liens vers d'autres ressources et d'assurer ainsi la navigation dans l'application REST.HTMLXML

28 Des modèles de programmation légers z1- Mettre en place des modèles de programmation légers permettant la création de systèmes faiblement couplés. yLa complexité des services web « corporate » est faite pour des systèmes fortement couplés. (B2B) yWeb 2.0 : services faiblement couplés z2- Pensez syndication, pas coordination. ylaisser des données à disposition, yne pas à contrôler ce qui se passe à l'autre bout de la connexion z3- Une conception faite pour être « bidouillable » et « remaniable ». yle web, RSS et AJAX ont un point commun : xles barrières pour les réutiliser sont très faibles.

29 Des modèles de programmation légers : Leçon zL'innovation est dans l'assemblage

30 Le logiciel se libère du PC zne plus être limité à la plate-forme PC ziTunes y va sans cesse d'un appareil portable à un système web massif, xle PC servant uniquement de mémoire locale et de station de contrôle

31 Enrichir les interfaces utilisateur zGoogle yGmail + Google Maps + Google documents xdes applications web possédant un niveau d'interactivité équivalent à un logiciel PC classique. zcombiner yles forces du web (accessible de n'importe où, capacités de recherches avancées) yavec une approche ergonomique proche des interfaces PC habituelles.

32 Enrichir les interfaces utilisateur zAjax yn'est pas une technologie, yplusieurs technologies, xse développant chacune de leur côté, xcombinées ensemble pour donner des résultats aussi nouveaux que puissants. zTechnologies impliquées yune présentation basée sur les standards XHTML et CSS yun affichage dynamique et interactif grâce à DOM (Document Object Model) y un système d'échange et de manipulation de données utilisant XML et XSLT y un mécanisme de récupération de données asynchrone utilisant XMLHttpRequest yJavaScript pour lier le tout

33 Technologies du web 2.0 zl'utilisation de CSS, d'un balisage XHTML sémantiquement valide et des microformats ; yLes microformats sont destinés à attacher de la sémantiquesémantique zles techniques d’applications riches telles qu'AJAX ; zla syndication et l'agrégation de contenu RSS/Atom ; zla catégorisation par étiquetage (folksonomy); yUne folksonomie est un néologisme désignant un système de classification collaborative décentralisée spontanéenéologismeclassification zl'utilisation appropriée des URL ; zune architecture REST ou des services Web XML.

34 Design pattern du web 2.0 z1- La longue traîne yLes petits sites représentent l'essentiel du contenu internet; les niches étroites constituent l'essentiel des applications possibles d'internet. z2- La puissance est dans les données yposséder une source de données unique, difficile à reproduire z3- Les utilisateurs ajoutent de la valeur yles utilisateurs ajoutent leurs données à celles que vous proposez. z4- Effets réseau par défaut ySeul un petit pourcentage des utilisateurs prendra la peine d'ajouter de la valeur à votre application. yEn conséquence : établissez des paramètres par défaut pour permettre l'accumulation des données utilisateur comme effet secondaire à leur utilisation de votre application.

35 Design pattern du web 2.0 z5- Quelques droits réservés. yLa protection des propriétés intellectuelles limite la réutilisation et prévient l'expérimentation. ySuivez les standards existants yUtilisez les licences qui possèdent le moins de restrictions possibles. z6- La Beta Perpétuelle yajoutez les nouvelles fonctionnalités régulièrement en faisant de ces ajouts une chose normale pour l'utilisateur. yImpliquez vos utilisateurs comme testeurs en temps réel, et faites en sorte de savoir qui utilise les nouvelles fonctionnalités. z7- Coopérez, ne contrôlez pas yoffrez des interfaces de services web et de syndication de contenu, yréutilisez les services des autres ycouplage faible z8- Le logiciel se libère du PC yconcevez vos applications à partir du début afin de les rendre accessibles aux appareils portables, aux PC et aux serveurs internet.

36 Web 3.0 zÉvolution de l’usage du Web et des interactions avec le contenu du web yTransformer le web en base de données xRDF + Langage de requête + API pour faire des requêtes réparties yRendre le contenu disponible par plusieurs applications qui ne sont pas de browsers yUtilisation de techniques d’intelligence artificielle xIBM et Google implémentent de nouvelles technologies qui obtiennent des informations surprenantesIBMGoogle Prédire la prochaine chanson numéro 1 en faisant du forage de données à partir des sites web musicaux des écoles secondaires yWeb sémantique yGeospatial Web xFusionner de l’information géographique avec l’information abstraite qui domine actuellement le web y3D web. xSe connecter et collaborer dans des espaces 3D Second life amélioré

37 Origine du terme web 2.0 zLe terme a été inventé par Dale Dougherty de la société O'Reilly Media lors d'une réflexion avec Craig Cline de MediaLive pour développer des idées pour une conférence conjointe. Il a suggéré que le Web était dans une période de renaissance, avec un changement de règles et une évolution des modèles d'entreprise. Dougherty a donné des exemples au lieu de définitions : « DoubleClick, c'était le Web 1.0. Google AdSense, c'est le Web 2.0. Ofoto, c'était le Web 1.0. Flickr, c'est le Web 2.0. », et recruté John Battelle. Puis, O'Reilly Media, Battelle et MediaLive ont lancé la première conférence Web 2.0 en octobre 2004. La seconde conférence annuelle a eu lieu en octobre 2005.Dale Dougherty O'Reilly Mediamodèles d'entrepriseDoubleClick Google AdSenseOfoto FlickrJohn Battelle

38 Références zWhat is Web 2.0 par Tim O'Reilly yhttp://www.oreillynet.com/pub/a/oreilly/tim/news/2005/09/30/what- is-web-20.html yhttp://www.eutech-ssii.com/ressources/view/1 (français) zWikipédia zIntroduction to Web 2.0 yhttp://www.squidoo.com/introtoweb20/http://www.squidoo.com/introtoweb20/ zWeb 2.0 Reference Center yhttp://www.programmableweb.com/reference


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